EMPLOI_FORMATION_2025 by VDN

16e

SALON

DE L'EMPLOI

ET DE LA FORMATION

Pour construire son avenir, ici et maintenant

C’est avec la même ambition que le Salon de l’Emploi et de la Formation revient pour sa 16e édition, ce mercredi 1er octobre 2025, au Caveau Castelnau à Reims.

Cet événement se veut une véritable passerelle entre la formation et l'emploi, avec pour mission d’accompagner chacun, quel que soit son statut : collégiens, lycéens, étudiants, demandeurs d’emploi ou professionnels en reconversion.

En 2024, le salon affichait un bilan très positif : 1 500 visiteurs, une soixantaine d’exposants et un taux de satisfaction de… 98 % ! Cet engouement témoigne de l’utilité de ce rendez-vous, de la dynamique sur laquelle il s’appuie et de l’engagement de tous les acteurs.

Cette année, au rez-de-chaussée, l’offre de formation sera particulièrement riche avec la présence d’institutions comme l’Université de Reims Champagne-Ardenne, ainsi que des acteurs tels qu’Alméa Formation, le Groupe Saint Michel, Avize Viti Campus, les Compagnons du Devoir ou encore le Greta, la formation en transports et logistique... Les visiteurs pourront également profiter de services tels qu'une méthode de recrutement par simulation, des dispositifs pensés pour aider chacun à préparer efficacement son avenir.

À l’étage, les entreprises qui recrutent seront au rendez-vous : SNCF, Crédit Agricole, Groupama Nord-Est, ADMR, Vivescia mais aussi les filières de

l’armée et de la sécurité (...) Ces rencontres directes favoriseront les échanges entre employeurs et candidats, dans une ambiance propice au dialogue. Le Salon se distingue enfin par son caractère hybride : au-delà des stands physiques, il offre des ressources pour préparer sa visite, poser ses questions et accéder à des outils en ligne.

Cette journée dédiée à l’emploi et à la formation constitue donc une occasion unique de découvrir, d’échanger et de repartir avec des pistes concrètes pour son avenir professionnel.

NICOLAS

Directeur du pôle

Innovation et Développement de Rossel Est Médias

Dynamiser les secteurs qui recrutent pour favoriser l’emploi

L’activité économique est structurée en secteurs, filières, branches et métiers, chacun présentant des spécificités en matière de besoins de développement économique et de pratiques de recrutement. Dans ce contexte, France Travail s'engage à jouer un rôle clé dans l'accompagnement des diﬀérents secteurs afin de répondre aux enjeux actuels du marché du travail.

L'objectif de France Travail est d'aider les employeurs à devenir plus attractifs pour recruter les bonnes compétences. Cela passe par une collaboration étroite avec les acteurs économiques locaux pour identifier les savoir-faire et savoir-être nécessaires et les profils recherchés. En soutenant les entreprises dans leurs efforts de formation et de recrutement, France Travail vise à garantir que tous les talents, qu'ils soient jeunes diplômés ou professionnels en reconversion, puissent trouver leur place sur le marché du travail.

Pour renforcer l’attractivité des métiers et des secteurs en tension, France Travail met en place diverses actions. Cela inclut la promotion des métiers souvent méconnus ou sous-estimés pour attirer davantage de candidats. En favorisant une approche inclusive,

France Travail s'assure que chaque individu, quelle que soit sa situation personnelle ou professionnelle, ait accès aux opportunités d'emploi.

En participant activement au développement des territoires, France Travail contribue à la création d'un écosystème dynamique.

« Dans la Marne, les secteurs de l'industrie, du BTP, de l'hôtellerie-restauration, du transport, du commerce, de la Santé et de l'agri-viticulture sont des piliers de notre dynamisme économique. Notre approche collaborative avec les entreprises et leurs représentants joue un rôle central dans notre stratégie visant à réduire les tensions de recrutement » explique Richard Colardelle, directeur départemental de France Travail Marne.

Ainsi, grâce à une stratégie bien définie et à l'engagement des acteurs économiques locaux, France Travail se positionne comme un acteur incontournable dans la dynamisation des secteurs qui recrutent.

RICHARD

COLARDELLE Directeur départemental de France Travail Marne

FOSTIER

FRANCE TRAVAIL

L'URCA Moteur de la formation et de l'emploi en Champagne-Ardenne

Dans un contexte où l’avenir professionnel des jeunes et l’adaptation des compétences aux besoins du marché local sont plus que jamais au cœur des enjeux de notre territoire, l’université de Reims Champagne-Ardenne (URCA) s’aﬃrme comme un acteur incontournable. Implantée dans la Marne, les Ardennes, l’Aube et la Haute-Marne, l’URCA accueille chaque année près de 28 000 étudiantes et étudiants et emploie plus de 2 500 personnels. De l’accès aux études supérieures via le DAEU (équivalent du baccalauréat) jusqu’au doctorat, elle propose plus de 150 diplômes et accompagne les parcours de formation avec pour objectif de donner à chacun les moyens de construire son avenir.

Pour atteindre cette ambition, l’URCA, renforce sa présence sur le terrain et participe cette année encore au Salon de l’Emploi et de la Formation à Reims. A cette occasion, l’université met en lumière ses nombreuses opportunités : formations en alternance, dispositifs de formation continue et de formation professionnelle, mais aussi offres d’emploi au sein de l’établissement.

L'IUT de Reims-Châlons-Charleville et l'UFR Sciences économiques sociales et de gestion seront également représentés, témoignant de la diversité des filières

proposées au sein de l’université et de l'engagement de l'URCA dans l'accompagnement des jeunes vers une insertion professionnelle réussie.

En tant que 5e employeur du territoire champardennais, l'URCA contribue fortement au dynamisme économique local. L’université recrute dans de nombreux domaines, administratif, technique et académique, avec pour objectif d’attirer des talents diversifiés et qualifiés. Cette politique de recrutement soutient l’excellence de l’enseignement, de la recherche et des services proposés à l’ensemble de ses usagers.

Pluridisciplinaire, ouverte et résolument tournée vers l’avenir, l’URCA rayonne dans divers domaines et s’illustre dans les secteurs stratégiques de la bioéconomie et l’environnement, l’Intelligence Artificielle et la santé.

Grâce à la richesse de ses formations, à sa politique de recrutement et à son ancrage territorial fort, l’université porte une ambition claire : préparer l’avenir en conjuguant excellence académique, recherche de pointe, innovation et engagement auprès de celles et ceux qui façonneront le territoire de demain.

CHRISTOPHE CLÉMENT

Président de l’université de Reims Champagne-Ardenne

Les exposants Formation (rez-de-chaussée)

Les exposants Emploi (1er étage)

Animations sur le salon

Rez-de-chaussée

Simulateur de conduite de poids lourd - Stand n° 5

Le jeu du nez de vin - Stand n° 16

Méthode de recrutement par simulation - Stand n° 12

1er étage

Scène de crime - Stand n° 11

5 minutes pour convaincre - Stand n° 2

Quels sont les métiers d’avenir dans le Grand Est ?

Les secteurs qui recrutent le plus

Santé, numérique, industrie, écologie… La région

Grand Est regorge d’opportunités pour qui cherche un métier d’avenir. Tour d’horizon des filières qui recrutent.

Avec près de 5 millions d’habitants et une économie diversifiée, la région

Grand Est se distingue par des besoins en recrutement importants dans plusieurs secteurs stratégiques. Portée par les transitions numérique et écologique, mais aussi par le vieillissement de la population et l’évolution des métiers industriels, la région affiche une forte demande de profils qualifiés.

De la cybersécurité aux soins à la personne, en passant par l’énergie ou l’industrie de pointe, les métiers d’avenir se dessinent dès aujourd’hui.

Écologie et transition énergétique : des métiers en plein essor

La transition écologique est une priorité régionale. Le Grand Est investit dans les énergies renouvelables, la gestion durable des ressources, la réduction des déchets et la protection de la biodiversité. Cela crée un fort besoin de techniciens en énergie solaire et éolienne, de spécialistes en qualité environnementale, ou d’ingénieurs en développement durable. Ces métiers demandent des compétences techniques pointues et offrent de belles perspectives d’évolution.

Industrie : des profils techniques très demandés

Premier bassin industriel de France, le Grand Est regroupe près de

220 000 emplois dans ce secteur. Si l’automobile ou la métallurgie restent des piliers, les entreprises peinent à recruter régleurs, chaudronniers, techniciens matériaux, soudeurs ou agents de maintenance. L’industrie de demain recherche des profils maîtrisant les technologies et s’adaptant aux mutations (robotisation, fabrication additive…).

Écologie et énergie : vers une économie verte

Avec plus de 310 000 emplois « verdissants », la transition énergétique ouvre de nouvelles perspectives. Techniciens de maintenance, installateurs de panneaux solaires, ingénieurs en efficacité énergétique ou spécialistes de l’hydrogène sont très recherchés. Les filières liées à l’eau, aux déchets ou au BTP durable recrutent aussi des canalisateurs, des tuyauteurs ou des chefs de chantier.

Numérique : un secteur en pleine expansion

Le secteur numérique a généré plus de 2 300 emplois supplémentaires en dix ans dans la région. Développeurs, techniciens support, spécialistes en cybersécurité ou data analystes sont en tête des besoins. PME et grands groupes cherchent des profils agiles, formés à l’IA ou au marketing digital.

Santé et social : un besoin croissant de proximité

Près de 9 000 recrutements par an sont attendus d’ici à 2030 dans la santé et l’action sociale. Infirmiers, aides-soignants, auxiliaires de puériculture, éducateurs spécialisés ou aides à domicile sont essentiels pour répondre aux défis du vieillissement et de l’accompagnement des publics fragiles.

Que vous soyez issu(e) du milieu financier, commercial ou en reconversion professionnelle, Capfinances développe son réseau de conseillers patrimoniaux indépendants afin d’accompagner ses clients dans la réalisation de leurs projets de vie !

Dès le début de votre activité, vous avez accès à un accompagnement solide et sur-mesure aﬁn de connaitre la réussite sans tarder

CPF : comment utiliser votre Compte Personnel de Formation sans vous tromper ?

Encore trop méconnu ou mal utilisé, le CPF peut pourtant changer une carrière. Voici comment en tirer le meilleur parti.

Créé pour permettre à chacun de se former tout au long de la vie, le Compte Personnel de Formation (CPF) est devenu un levier précieux pour évoluer professionnellement ou se reconvertir… À condition de savoir s’en servir.

Mais entre démarches administratives, conditions d’éligibilité et abondements possibles, il est facile de s’y perdre. Formation sur le temps de travail, vigilance face aux arnaques, types de formations accessibles : explications pour mieux comprendre et utiliser son CPF.

Un droit à la formation à portée de clic

Chaque actif dispose d’un CPF dès son entrée sur le marché du travail, accessible via le site Mon Compte Formation ou son application mobile. Le compte est alimenté automatiquement chaque année, à hauteur de 500 € (ou 800 € pour les moins qualifiés), cumulables jusqu’à 5 000 € (ou 8 000 € selon les cas).

À noter : vous êtes seul(e) à pouvoir utiliser votre CPF.

Quelles formations peut-on financer avec le CPF ?

- Formations certifiantes et diplômes (CAP, Bac pro, BTS, titres professionnels)

- Bilan de compétences

- Actions de validation des acquis de l’expérience (VAE)

- Formations linguistiques pour améliorer son niveau en anglais, espagnol, etc.

- Permis de conduire (voiture, poids lourd, etc.) lié à une activité professionnelle

- Formations aux outils numériques

- Préparation à des concours et examens professionnels

- Accompagnement à la création ou reprise d’entreprise

Ces formations doivent être proposées par des organismes certifiés Qualiopi et référencés sur la plateforme officielle.

Se former sur son temps de travail, c’est possible ?

Oui, mais sous conditions. Si la formation se déroule hors temps de travail, vous êtes libre de l’effectuer sans demander l’autorisation de votre employeur. En revanche, si elle a lieu pendant les heures de travail, son accord est indispensable, à la fois sur le contenu de la formation et sur le calendrier. Une demande formelle doit être adressée au moins

60 jours à l’avance pour une formation de moins de six mois, et 120 jours pour une formation plus longue. Sans réponse de sa part dans le délai imparti, l’accord est considéré comme acquis.

Un quota CPF insuffisant ?

Des solutions pour compléter le financement

Le montant de votre CPF ne suffit pas à couvrir le coût d’une formation ?

Des abondements complémentaires peuvent être mobilisés. Employeur, France Travail, OPCO (opérateurs de compétences), ou encore les collectivités territoriales peuvent participer au financement.

Ces aides sont désormais intégrées aux parcours en ligne : si vous êtes éligible, la plateforme vous le signale automatiquement au moment de la demande.

Arnaques au CPF : les bons réflexes pour se protéger

Les fraudes au CPF se sont multipliées ces dernières années. Ne transmettez jamais vos identifiants, même à une personne se présentant comme « conseiller CPF ». Vérifiez systématiquement que l’organisme est bien référencé sur la plateforme officielle et qu’il est certifié Qualiopi, un label obligatoire pour bénéficier de financements publics.

En cas de doute, contactez directement le service Mon Compte Formation ou votre conseiller en évolution professionnelle (CEP).