Juillet ’25
Candice Vogt
Responsable RSE de Piguet Galland, plaide pour un secteur bancaire engagé en faveur de la société et de l’environnement.
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Jonathan Normand
RSE : Être impact-able plutôt qu’impeccable
La responsabilité sociale d’entreprise est devenue une attente centrale de notre société, mais l’ambition affichée ne suffit plus. En Suisse romande, seuls quinze pour cent des citoyennes et citoyens considèrent que les entreprises s’engagent suffisamment dans des initiatives RSE. Cet écart entre intention et perception souligne un déficit criant de formalisation et de suivi.

Selon le baromètre RSE mené par B Lab Suisse avec la HEIG-VD, le Centre Patronal et la CVCI, cette lacune frappe particulièrement les PME, pourtant colonne vertébrale de l’économie suisse. Dépourvues d’outils adaptés, elles peinent à quantifier concrètement leurs impacts sociaux et environnementaux. Plus de 70 % d’entre elles concentrent leurs efforts sur la réduction de l’empreinte carbone, mais sans indicateurs robustes pour évaluer l’efficacité réelle de ces actions. Résultat : une approche fragmentée qui dilue la portée transformative des stratégies RSE.
La directive européenne CSRD, récemment repoussée à 2027, imposera des obligations de transparence accrues aux grandes entreprises actives dans l’Union. Son effet cascade touche déjà les PME suisses à travers leurs chaînes d’approvisionnement, les obligeant à fournir des données précises à leurs partenaires commerciaux européens. Parallèlement, la révision de la Loi vaudoise sur l’énergie impose de nouveaux standards aux bâtiments et aux systèmes de chauffage inefficaces, exigeant des investissements concrets et mesurables. Ces dynamiques convergent vers une exigence commune : intégrer la durabilité de manière structurée, mesurable et crédible.
C’est dans cet esprit que la Swiss Impact and Prosperity Initiative (SIPI) a vu le jour. Pilotée par une coalition d’acteurs publics et privés – institutions gouvernementales, universités et organisations de la société civile –elle offre un cadre d’évaluation unifié autour de quatre piliers : humain, naturel, social et économique. Grâce à cette plateforme, les entreprises, quelle que soit leur taille, peuvent mesurer leurs performances, repérer leurs atouts et leurs marges de progression, puis valoriser leurs avancées auprès de leurs parties prenantes. En instaurant un langage commun de la durabilité, SIPI renforce la crédibilité des démarches engagées et alimente la réflexion des décideurs publics d’éléments concrets et comparables.
De nombreuses entreprises suisses pionnières incarnent déjà cette vision intégrée, en combinant innovation technologique, réduction de l’empreinte carbone, diversité et inclusion sociale. Elles démontrent qu’il est possible d’allier performance et responsabilité, à condition de disposer d’un cadre stimulant et unificateur.
À l’heure où les attentes sociétales s’intensifient, les entreprises suisses font face à un choix décisif : continuer à naviguer à vue ou transformer leur engagement RSE en véritable boussole stratégique et mesurable. Ce n’est qu’à ce prix que la durabilité cessera d’être un simple discours pour devenir une réalité partagée et mesurable.
Texte Jonathan Normand, Fondateur et CEO de la Fondation B Lab Suisse
Contenu. 04 Partenariats d’entreprise 10 Interview:
Candice Vogt 14 Bonnes pratiques RSE
Focus RSE
Chef de projet
Joan Martins
Responsable national
Pascal Buck
Rédactrice en chef Romandie
Alix Senault
Responsable graphique
Mathias Manner
Graphiste
Marie Geyer
Journalistes
Alix Senault, Léa Stocky, SMA
Image de couverture
Just_Super
Canal de distribution
Bilan
Impression
Stämpfli Publications SA
Smart Media Agency SA
Gerbergasse 5, 8001 Zürich, Suisse Tél +41 44 258 86 00 info@smartmediaagency.ch redactionFR@smartmediaagency.ch focus.swiss

Bonne lecture !
Joan Martins Chef de projet

Amstein + Walthert
De l’ingénierie à la stratégie : accompagner la transition
durable
Face aux enjeux environnementaux, Amstein + Walthert (A+W), bureau d’ingénierie et de conseil indépendant, détenu à 100 % par ses collaborateurs, ne se contente pas d’accompagner ses clients : le groupe publie chaque année depuis 2014 un rapport sur l’écoresponsabilité.
À Genève, Pierre-Antoine Legrand, qui co-pilote avec Olivier Epelly le département « Stratégie énergie et durabilité », détaille cette approche.

Pierre-Antoine Legrand
Chef d’équipe en Stratégie, énergie et durabilité, Amstein + Walthert Genève
Pierre-Antoine Legrand, quel est le positionnement d’Amstein + Walthert et que contient votre rapport ?
Amstein + Walthert, avec plus de 1100 collaborateurs en Suisse et en France, est spécialisée dans la technique du bâtiment. Un tiers de l’effectif se consacre au conseil, un domaine en forte croissance. Le rapport 2024 fixe des objectifs clairs à l’horizon 2030, intégrant les dimensions environnementales, sociales et économiques.
Comment accompagnez-vous vos clients ?
Notre force réside dans l’alliance entre expertise technique et conseil stratégique. Nous aidons nos
clients à atteindre les objectifs climatiques, notamment ceux de la Loi Climat, en évaluant leur potentiel réel de réduction des émissions. Contrairement aux cabinets généralistes, nous maîtrisons l’ensemble du processus : identification des projets d’économie, études, puis mise en œuvre des travaux. À l’inverse des bureaux purement techniques, nous intégrons aussi les aspects économiques, juridiques et stratégiques. Notre indépendance vis-à-vis des acteurs de l’énergie ou de la construction garantit un conseil objectif.
Quelles sont les principales prestations de votre département pour vos clients ?
D’une part l’établissement d’une stratégie pour réduire durablement leurs émissions, améliorer leur efficacité énergétique et exploiter leur potentiel solaire, sur la base de bilans GES et d’audits énergétiques que nous réalisons nous-mêmes. Notre expertise légale leur permet d’optimiser l’usage des outils disponibles (conventions d’objectifs, subventions, etc.). D’autre part, nous accompagnons les gestionnaires d’actifs immobiliers dans la collecte et l’analyse de données environnementales, pour répondre aux exigences croissantes en matière de reporting ESG.
À qui s’adressent ces services ?
Tous les secteurs sont concernés par l’objectif « zéro émission » d’ici 2050. Pour le secteur industriel, l’analyse des process tient une place importante. Dans l’immobilier, le focus est la décarbonation du chauffage et la rénovation par étape. Nous accompagnons également les collectivités territoriales à l’échelle des bâtiments publics mais de plus en plus à l’échelle du territoire pour dynamiser les acteurs locaux au travers des outils d’aménagement.
Quels bénéfices pour vos clients ?
Un partenariat durable pour garantir leur due diligence, l’optimisation de leurs investissements et la maîtrise de leurs charges. L’obtention de labels, avec notre concours, atteste du succès de leur démarche.


HES-SO Genève • Brandreport
LL’éthique et la responsabilité au service des compétences de
gouvernance
« Le contexte actuel incite les compétences de gouvernance, de management et d’organisation à évoluer » selon François Sibille, Maître d’enseignement HES et responsable de la formation DAS en Systèmes de gouvernance responsable de la HEG-Genève.
es enjeux de durabilité s’imposent aux entreprises et aux organisations face à la multiplication des défis. Il n’est pas nécessaire de chercher très loin pour identifier des pratiques susceptibles d’impacter directement la bonne marche d’une entreprise.
Comment peuvent-elles réagir ?
En renforçant leur capacité d’adaptation et de résilience, et repensant leur chaîne de valeur dès les premières étapes dans le but d’améliorer leur
efficience globale. Pour certaines, la mise en place d’un Système de Gouvernance Responsable est devenue une condition de survie. Non pas que les organisations aient agi de manière irresponsable jusqu’à présent, mais il est rare que la gouvernance se remette spontanément en question. Il devient essentiel pour les directions d’entreprise de reconnaître que leurs pratiques managériales doivent évoluer.
Analyser ses pratiques d’entreprise L’étape essentielle consiste à faire un véritable
examen de conscience : mon modèle économique est-il suffisamment flexible ? Mes pratiques managériales et de gouvernance sont-elles en adéquation avec les objectifs stratégiques ? Mes chaînes d’approvisionnement sont-elles sécurisées ? De cette analyse découle la nécessité de développer ou de renforcer les compétences internes pour faire face à ces enjeux inédits.
En savoir plus le programme : www.hesge.ch/heg/sgr

TSoutenir les ONG, comment renforcer sa stratégie RSE en s’engageant pour une bonne cause
Le soutien aux associations de développement est aujourd’hui essentiel. La période d’instabilité politique et économique dans laquelle
nous vivons crée des situations d’urgence humanitaire dans le monde, qui requièrent la mobilisation des subventions. Les financements privés, notamment des entreprises, deviennent donc de plus en plus importants pour aider les ONG à continuer leurs missions.
erre des Hommes Suisse s’engage à défendre les droits des enfants dans dix pays de quatre continents différents, dont la Suisse. L’association cherche en effet à rendre le monde le plus durable possible, aussi bien concernant l’écologie, le social que les droits humains. Pour ce faire, elle mène des actions au travers de quatre axes principaux : l’accès à une éducation de qualité et adaptée au contexte de l’enfant, la protection des enfants et leur évolution dans un environnement sain, l’encouragement à la participation des enfants dans les décisions qui les concernent, et l’éducation au développement durable.
Afin de mener à bien ses missions, Terre des Hommes développe des partenariats avec des entreprises basées en Suisse et qui partagent ses valeurs d’équité, de solidarité et d’engagement.
S’associer à des projets de durabilité L’engagement d’une entreprise auprès d’une ONG se décline sous plusieurs formes. Il peut consister en la participation à un événement, tel que la Marche de l’espoir organisée par Terre des Hommes Suisse, dont la 34 e édition se déroulera à Genève en octobre 2025. Avec 10 000 participants, dont 3500 enfants. Le but de cette marche est d’effectuer l’équivalent d’un tour de la

Terre en kilomètres parcourus. Chaque année, l’objectif est de récolter 300 000 CHF pour soutenir les actions de l’association.
Pour les entreprises, être sponsors de cette marche est l’occasion d’associer leur image à cet événement emblématique de Genève. La visibilité se traduit par des banderoles, des produits présentés sur place, la présence d’un stand, ou encore une visibilité digitale. Le fait de diversifier l’événement, notamment avec la création d’une course de 5 km le samedi précédent la marche, permet à l’association d’attirer de nouveaux partenaires.
Engager ses collaborateurs pour une culture d’entreprise durable En plus de soutenir une association, fédérer ses collaborateurs autour d’un projet RSE est un bon moyen pour les entreprises de développer la cohésion d’équipe, de donner un sens à leurs actions et de renforcer leur attractivité.
Ainsi, Terre des Hommes Suisse organise cette année la 5e édition de la Marche des entreprises, un événement phare pour ses partenaires. Par l’engagement qu’elle crée et les valeurs qu’elle partage, cette marche s’inscrit pleinement dans la stratégie RSE des entreprises qui y participent, en proposant une offre complète. À la suite d’un don,
l’entreprise accède à une application sur laquelle les collaborateurs peuvent s’inscrire. Ces derniers ont ensuite un mois, du 15 septembre au 15 octobre, pour faire le plus de pas possibles. La création d’un climat de compétition sain, à la fois entre les employés et entre les entreprises participantes, permet de renforcer la solidarité entre les équipes. L’entreprise montre également à ses collaborateurs qu’elle est engagée dans des missions de durabilité. Enfin, cet événement promeut le bien-être physique, en motivant les personnes à marcher davantage dans la journée. D’autres initiatives existent pour les entreprises qui souhaitent s’engager, telles que le « matching » (l’entreprise donatrice s’engage à doubler ou multiplier les dons des particuliers, afin d’encourager les contributions et d’amplifier leur impact) ou encore les cadeaux solidaires, des offres qui s’adaptent particulièrement aux PME qui ont envie de s’engager mais qui n’ont pas forcément les budgets.
Ces projets de partenariats répondent donc à un double besoin : celui des associations qui ont besoin de fonds, et celui des entreprises pour qui la mise en place de mesures RSE devient presque une obligation si elles veulent continuer à être attractive.
Texte Léa Stocky


MUZOO, grand gagnant du Prix européen du développement durable !
Chaque année, le European Museum Forum remet le Prix Meyvaert dans le cadre des European Museum of the Year Awards - EMYA. Ce prix récompense le musée européen le plus engagé et innovant en matière de développement durable, d’approche écologique et de sensibilisation du public. Le 24 mai dernier en Pologne, le prestigieux prix a été décerné à MUZOO, situé à La Chaux-de-Fonds.
Ce musée unique, qui combine muséum d’histoire naturelle et parc zoologique, se distingue par ses expériences immersives et son approche singulière du lien entre l’humain, l’animal et l’environnement.
Un lieu pionnier entre biodiversité, innovation et médiation
Installé dans un parc arboré emblématique, MUZOO est bien connu du public pour ses expositions originales, ses animaux, et son engagement écologique. Depuis sa réouverture en 2022, le musée a intégré les enjeux de durabilité écologique et de conservation de la biodiversité au cœur de sa mission.
C’est cet engagement profond qui lui vaut aujourd’hui de remporter le Prix Meyvaert.
Le jury, composé de dix experts internationaux, a salué « ses expositions qui abordent la biodiversité à travers des expériences uniques pour le public, permettant un contact direct avec les animaux.»
Sélectionné parmi une quarantaine de musées, MUZOO s’est distingué par la qualité de ses expositions, ses programmes de médiation, et son implication concrète dans la conservation du vivant.

Que représente pour vous ce prix Meyvaert ?
C’est une magnifique reconnaissance, pour l’équipe, pour tout le travail accompli au fil des années. C’est aussi la validation, par nos paires, de nos choix. Ce prix nous remplit de fierté, et nous donne une visibilité précieuse –une vraie source d’énergie pour la suite !
Comment s’est déroulée votre participation à ce concours ?
Le concours est réservé aux musées ayant récemment rouvert. La candidature demande un dossier complet décrivant les changements apportés et l’offre actuelle. Nous avons été soutenus par l’Association des musées suisses. Une fois le dossier accepté, le jury s’est déplacé sur place, suivi de « visiteurs mystères » pour vérifier la cohérence de notre discours et de notre offre.
Le processus est exigeant, mais l’équipe était très investie dès la réouverture. Nous avons intégré les enjeux de durabilité dès la conception du projet et notamment de l’exposition « Plan B », en choisissant les matériaux les plus durables possibles pour la scénographie. Nous avons travaillé avec une sérieuse volonté de frugalité et de résilience pendant tout le processus de réhabilitation. Nous avons réutilisé l’existant en favorisant la rénovation plutôt que la construction, puis nous avons installé des panneaux solaires, un système de récupération d’eau de pluie, un camping à chauves-souris, un hôtel à martinets noirs et avons renforcé la station de soins pour animaux sauvages, la seule du canton de Neuchâtel.
Nous favorisons autant que possible les matériaux biosourcés et locaux à l’intérieur et à l’extérieur du musée. Nous vendons presque exclusivement des produits locaux, bio et de saison à la cafétéria, et des articles durables dans notre boutique. La démarche est poussée jusqu’au choix de nos produits de nettoyage. Ces engagements sont bien-sûr aussi visibles au travers de nos expositions, où nous sensibilisons le public aux enjeux de préservation de la biodiversité, de l’intérêt des programmes de conservations ainsi que des sujets plus durs comme le braconnage et le trafic animalier.
Comment intégrez-vous la crise de la biodiversité dans vos expositions ? La crise du vivant est au cœur de notre exposition référence. Nous voulons faire prendre conscience sans provoquer trop d’éco-anxiété. La scénographie s’adresse à tous les publics, avec un parcours sur deux étages : d’abord un état des lieux, un constat dramatique de la situation actuelle. Ensuite, les visiteurs passent par un sas de décompression, puis un espace de collaboration et d’espoir sur la mezzanine, où les visiteurs peuvent réfléchir et se questionner pour trouver des solutions.
En quittant l’espace muséal, les visiteurs partent à la rencontre des animaux vivants du zoo, dans un environnement particulièrement traité pour être le plus adapté possible aux habitats naturels des animaux. C’est une transition forte qui rappelle l’urgence de protéger le vivant et préserver la biodiversité dans toute sa richesse. La conservation des espèces est une mission essentielle pour nous.
Nous avons aussi mis en place des ponts entre les mondes du musée et du zoo, avec des exemples concrets à l’appuis ainsi que des collaborations, notamment avec le Parc régional du Doubs, ou des associations naturalistes locales.

Comment renouvelez-vous votre offre tout en respectant la durabilité ?
La mezzanine du musée est actuellement en cours de refonte pour tenter de proposer plus de solutions. Nous proposons un large catalogue d’activités et d’ateliers scientifiques pour tous qui s’enrichit en continu, et prévoyons d’adhérer à l’association européenne des zoos et aquariums (EAZA) afin rejoindre de nouveaux programmes de conservation d’espèces protégées en conservation. Notre but est de valoriser cette démarche en appliquant les meilleurs standards.
Nous cherchons à améliorer continuellement les conditions de détention de nos animaux avec une équipe passionnée et engagée, déterminée à redéfinir l’image et le rôle des zoos aujourd’hui.
Que pourrons découvrir les visiteurs cet été au MUZOO ?
Nous présentons une exposition temporaire inédite sur le naturalisme et l’art, autour de l’artiste Paul Barruel qui explore les « phanères » : Plumes, Poils, Paul. En collaboration avec des étudiants de l’École d’Arts Appliqués de La Chaux-de-Fonds, l’exposition propose un dialogue entre tradition et création contemporaine.
Les œuvres de Paul Barruel, un aquarelliste naturaliste de talent du XXe siècle résonnent avec singularité avec des créations originales réalisées par les élèves du CPNE, Pôle Arts Appliqués, créant ainsi un lien original et unique entre l’illustrateur et les artistes d’aujourd’hui. Le musée sort de ses réserves une quarantaine de ses œuvres, qui dialoguent avec des créations faites à partir de matériaux imposés, conçu par les élèves comme des bijoux, des vêtements, des accessoires inspirés des thèmes du vivant.
Le contraste entre la rigueur scientifique de Barruel et l’audace créative des étudiants permet une relecture riche et sensible de la représentation du vivant.

F60 ans d’expertise au service de la construction genevoise
Une vision globale pour des projets immobiliers durables et sur mesure.
ondée en 1964, l’entreprise genevoise Beric célèbre cette année ses 60 ans d’activité. Depuis six décennies, elle s’est imposée comme un acteur clé de la construction et du développement immobilier sur l’arc lémanique, conjuguant savoir-faire local, expertise technique et accompagnement personnalisé.
Entreprise à taille humaine composée d’environ 35 collaborateurs, Beric est active comme architecte, entreprise générale et conseil en développement immobilier. Elle propose une offre complète, allant de la conception à la livraison, en passant par la planification, la coordination de chantier et la gestion budgétaire. Cette approche intégrée permet à l’entreprise de garantir un haut niveau de qualité à chaque étape du projet.
Basée à Genève, rue des Voisins, Beric a structuré ses équipes autour d’expertises complémentaires : architectes diplômés, aux esprits novateurs, chefs de projet, directions de travaux, gestionnaires administratifs et associés impliqués. Une organisation agile qui lui permet d’intervenir sur des projets variés : logements collectifs, immeubles en PPE, villas, bureaux, surfaces commerciales ou équipements publics.
La satisfaction client constitue le moteur de l’entreprise depuis ses débuts. Chaque mandat est abordé avec une écoute attentive, une grande rigueur et une recherche constante de solutions sur mesure. Cette philosophie
de proximité et de flexibilité est l’un des marqueurs forts de Beric, qui privilégie la qualité des relations humaines et la confiance durable avec ses partenaires.
Dans un marché en mutation, l’entreprise se distingue par sa capacité à conjuguer tradition et modernité. Elle pilote des projets à forte valeur ajoutée technique ou architecturale, comme la rénovation de bâtiments en site occupé, la création de surfaces commerciales haut de gamme ou la construction de logements à haute performance énergétique.
Parmi ses réalisations futures, on peut citer une promotion de trois villas THPE à Cologny, dont la prochaine ouverture du chantier aura lieu en janvier 2026, dont certains lots sont encore disponibles à la vente.
L’aménagement du nouveau restaurant Ottolenghi au sein du Mandarin Oriental à Genève est un projet intéressant tout comme les ouvrages publics tels que la Maternité de Genève, le Grand Théâtre de Genève, avec une notion de gestion patrimoniale et une technicité élevée. La construction ainsi que la rénovation font partie du savoir-faire proposé par Beric. Des interventions sur les bâtiments du quai de la poste et Le Rhône sont d’ailleurs en cours (de part et d’autre de la place de la poste) et s’inscriront fortement dans la dynamique du centre-ville de Genève pour leurs futures activités. Ces projets illustrent la diversité du savoir-faire Beric, sa maîtrise des contraintes techniques et son exigence de finition.
Engagée dans la vie locale, la société participe à des événements caritatifs comme la Race for Gift, en soutien à la lutte contre le cancer pédiatrique, et offre régulièrement des opportunités de formation à des apprentis, dessinateurs, architectes ou chefs de projets souhaitant rejoindre une structure dynamique et formatrice.
60 ans après sa création, Beric conserve intacte sa mission : construire durablement, avec précision, transparence et engagement, en plaçant toujours le client au centre du projet. Une entreprise qui prouve que longévité rime avec agilité, et que la qualité reste un pilier fondamental du succès. Le succès de Beric repose essentiellement sur la force de son équipe, très proactive et inspirée par les enjeux environnement et durables de notre époque.
Groupe Beric
Rue des Voisins, 17 1205 Genève
info@beric.ch +41 22 827 18 28
www.beric.ch

Pelichet, une politique RSE efficiente
Depuis 1891, le groupe Pelichet n’a cessé d’innover dans le domaine du déménagement, aussi bien pour les particuliers que pour les professionnels. Pionnier dans son secteur, le groupe s’est étendu à l’international et a toujours su s’adapter aux nouveaux modes de vie ainsi qu’aux besoins spécifiques de ses clients. Dès ses débuts, Pelichet a intégré les enjeux sociaux et environnementaux dans son ADN, en recherchant des solutions efficaces pour minimiser son impact sur l’environnement.

Stéphane Disant
CEO, groupe Pelichet
Monsieur Disant, l’entreprise pour laquelle vous êtes CEO est spécialisée dans les services de déménagement et active depuis près de 134 ans. Comment le groupe a-t-il fait face aux mutations et évolutions de notre société ?
Pelichet a su s’adapter continuellement en intégrant les enjeux sociaux et environnementaux dès ses débuts. L’entreprise a innové, élargie ses services à l’international et adapté ses prestations aux nouveaux modes de vie et aux attentes spécifiques de ses clients.
Comment mettre en place une politique RSE efficace dans une entreprise qui gère principalement des échanges et du transport de biens, un secteur fortement émetteur de carbone ?
Chez Pelichet, la mise en œuvre d’une politique RSE efficace repose sur une approche globale, structurée et évolutive. Conscients de l’impact environnemental du transport, nous avons engagé des actions concrètes et mesurables pour réduire notre empreinte carbone tout en intégrant les dimensions sociales et sociétales à notre stratégie.
Nous avons initié dès 2021 un plan ambitieux baptisé « Green Attitude », qui comprend l’électrification progressive de notre flotte (véhicules 100 % électriques ou aux normes Euro 6 grâce à notre partenariat avec Fraikin), ainsi qu’un programme de formation à la conduite écoresponsable pour nos équipes.
Sur le plan du recyclage, nous avons lancé le programme « Triple Win » qui favorise le réemploi du mobilier de bureau issu des déménagements. Ce mobilier est redistribué aux structures dans le besoin ou, s’il ne peut être réutilisé, est trié et valorisé en énergie via notre collaboration avec Helvetia Environnement, permettant notamment d’alimenter en électricité et chauffage environ 1500 foyers genevois.
Notre engagement dépasse l’aspect environnemental : nous adhérons depuis plusieurs années au Pacte mondial des Nations Unies, soutenons Planète Urgence dans des actions de reforestation, et avons obtenu des certifications exigeantes telles qu’ISO 9001 et FAIM Plus.
Pelichet a récemment remporté le Trophée RSE de la CCIFS. Que représente cette distinction pour vous et pour le groupe ?
Le Trophée RSE de la Chambre de Commerce et d’Industrie France–Suisse (CCIFS), remporté en juin 2023, est une véritable consécration pour Pelichet. Cette reconnaissance souligne l’engagement profond et structuré que nous portons depuis plusieurs années en matière de responsabilité sociale, sociétale et environnementale. Au-delà d’une distinction honorifique, ce trophée symbolise la validation externe de notre stratégie RSE.
Quels sont, selon vous, les principaux obstacles à la mise en œuvre d’une politique RSE efficace ?
Mettre en œuvre une politique RSE efficace dans un secteur comme le nôtre, celui du déménagement et du transport, implique de relever plusieurs défis majeurs.

Le premier obstacle est d’ordre structurel et logistique. Adapter une flotte de véhicules au respect des normes environnementales, intégrer des pratiques de tri des déchets, ou encore utiliser des solutions de transport alternatives comme le fluvial, nécessite des investissements lourds, des ajustements techniques complexes et une coordination poussée entre les différents services. À cela s’ajoutent des exigences de conformité et de sécurité qui demandent une vigilance constante.
Le deuxième frein est économique. Les actions RSE impliquent souvent des coûts initiaux élevés : acquisition de véhicules propres, aménagements logistiques, développement de nouveaux partenariats. Les bénéfices sont bien réels, mais ils se mesurent sur le long terme. Il est donc essentiel d’avoir une vision stratégique durable, au-delà des contraintes budgétaires immédiates.
Vient ensuite la dimension humaine. Toute politique RSE, aussi bien conçue soit-elle, ne peut être efficace sans l’adhésion des collaborateurs. Il faut accompagner les changements, former les équipes, lever les résistances naturelles et embarquer chacun dans une dynamique collective. Cela demande du temps, de la pédagogie et un management impliqué.
Pourquoi les enjeux environnementaux sont-ils intimement liés aux enjeux éthiques et sociaux ? Et trouvez-vous une corrélation entre ces préoccupations et les attentes de vos clients ?
Ils forment un tout cohérent : préserver l’environnement, c’est aussi veiller à l’équité sociale, au respect des droits humains et au développement durable. Les clients sont de plus en plus sensibles à cette cohérence dans les valeurs d’une entreprise. Et nous nous devons d’y répondre avec engagements et déterminations.
Enfin, comment envisagez-vous l’avenir et les prochaines évolutions du groupe Pelichet ?
Nous envisageons l’avenir avec ambition, responsabilité et fidélité à nos valeurs fondatrices. Depuis plus de 134 ans, Pelichet n’a cessé de se réinventer pour accompagner les mutations de la société, et cette dynamique se poursuivra avec encore plus de détermination et accompagné d’un programme d’investissements majeurs pour nos différents métiers.
Nous souhaitons également continuer à porter une RSE humaine et inclusive. Le facteur humain reste central dans notre approche : transparence, santé et sécurité au travail, qualité de vie, et promotion de l’inclusion –notamment via notre soutien à des sportifs en situation de handicap – sont des piliers essentiels de notre culture d’entreprise.
Par ailleurs, notre appartenance au groupe Mobilitas, présent dans près de 100 pays, nous offre une assise solide pour poursuivre notre développement à l’international. Nous ambitionnons de proposer des solutions de mobilité toujours plus globales, intelligentes et personnalisées, à destination des particuliers, des entreprises et des organisations internationales. L’avenir de Pelichet se construira dans cette dynamique, à la croisée de l’excellence opérationnelle, de l’impact positif et de l’agilité collective.
Plus d’informations sur www.pelichet.ch









Candice Vogt
« La durabilité n’est pas un coût, mais un investissement »
Dans le domaine bancaire, la RSE est un sujet très vaste et dont la mise en action dépend souvent des stratégies des différentes institutions. Cependant, on observe depuis quelques années une volonté globale et commune de la part des acteurs du secteur de guider leur développement vers plus de durabilité. Candice Vogt nous explique pourquoi et comment dans cette interview.
Candice Vogt est Responsable RSE au sein de Piguet Galland & Cie SA, une banque privée romande. Ses missions consistent à déployer au sein de la banque des initiatives qui visent notamment à avoir un impact positif sur la société et l’environnement.
Candice Vogt, quels types de projets ou programmes RSE sont les plus courants dans le secteur financier ?
Aujourd’hui, je pense que la finance durable est en plein essor. Elle consiste notamment à répondre à la demande des clients en matière de solutions d’investissement responsable. Toutefois, les initiatives de durabilité ne se limitent pas à l’offre à la clientèle. La réduction des émissions de gaz à effet de serre constitue également un enjeu central dans le fonctionnement interne des banques. Tout comme les enjeux de diversité, d’inclusion et de bien-être des collaborateurs qui occupent aussi une place croissante. Enfin, de nombreuses banques s’engagent dans des actions philanthropiques, certaines allant jusqu’à créer leurs propres fondations pour soutenir diverses causes.
Quels outils ou méthodologies les institutions financières utilisent-elles pour évaluer leurs critères RSE ?
La première étape consiste à créer une matrice de matérialité, un outil permettant de dialoguer avec toutes les parties prenantes et de prendre en compte leurs attentes. Cela permet de déterminer les enjeux de l’entreprise et de définir ses priorités et axes d’amélioration. Ensuite, un ensemble d’organisations, de normes et de labels permettent de structurer, d’évaluer et de certifier les initiatives RSE des entreprises. Je pense notamment au Global Reporting Initiative, qui aide à élaborer des rapports de durabilité selon un certain standard, au label B Corp, qui reconnaît les bonnes pratiques en matière de RSE, aux outils d’égalité salariale, ainsi qu’à des initiatives comme le UN Global Compact et le Swiss Triple Impact en Suisse. Les institutions financières peuvent également choisir de faire partie de réseaux mondiaux tels que les Principes pour l’investissement responsable des Nations unies et la Net-Zero Banking Alliance.
Quels sont les avantages de l’adoption de pratiques RSE pour les entreprises du secteur financier ? À mes yeux, il y en a beaucoup ! La durabilité n’est

Le premier obstacle est souvent la résistance au changement, tant en interne qu’auprès des clients.
pas un coût, mais un investissement. Il faut se donner les moyens d’agir pour répondre aux attentes des parties prenantes. L’implémentation d’une stratégie RSE permet de mobiliser les collaborateurs sur un projet global, de renforcer la gestion des risques, d’améliorer l’image de marque, de stimuler l’innovation, d’attirer et de retenir les talents ainsi que les clients. En outre, les pratiques RSE peuvent améliorer la transparence et la responsabilité des entreprises, ce qui est crucial pour maintenir la confiance des investisseurs. Elles peuvent également conduire à des économies à long terme, par exemple grâce à une meilleure gestion des ressources et à des pratiques énergétiques plus efficaces. Enfin, les entreprises qui adoptent des pratiques RSE sont souvent mieux préparées à répondre aux défis futurs.
Comment les régulations et les politiques publiques influencent-elles les pratiques RSE dans la finance ?
Elles jouent un rôle crucial dans la promotion du développement durable au sein de la place
financière. En Suisse, l’Association suisse des banquiers (ASB) émet des directives qui définissent des standards minimaux, facilitant ainsi l’adoption de pratiques plus durables par les institutions financières. Bien que certaines de ces régulations puissent sembler timides par rapport à d’autres juridictions, elles contribuent clairement à renforcer la transparence en matière de durabilité. Ces régulations sont essentielles pour accélérer l’adoption des mesures RSE, car elles établissent des standards et des attentes clairs pour les institutions financières.
Quels défis rencontrent les institutions financières dans la mise en œuvre de leurs stratégies RSE ?
Le premier obstacle est souvent la résistance au changement, tant en interne qu’auprès des clients. Il faut du temps pour s’adapter à de nouvelles pratiques et à des produits durables. Un autre défi majeur est la collecte et l’analyse des données nécessaires pour évaluer l’impact des initiatives RSE. Par exemple, les données sur les émissions de gaz à effet de serre peuvent être complexes à obtenir et à interpréter. De plus, il existe une diversité de définitions et de standards pour ce qui constitue un investissement durable, ce qui peut créer des ambiguïtés et des désaccords. Les institutions financières doivent également naviguer dans un paysage réglementaire particulièrement exigeant.
Comment ce défi peut-il être surmonté ?
Pour surmonter ces défis, il est essentiel de sensibiliser et de former les parties prenantes aux enjeux et aux bénéfices des pratiques durables. Intégrer ces pratiques de manière progressive, en démontrant leur valeur ajoutée, peut aider à réduire les résistances. La formation des collaborateurs est cruciale, notamment pour qu’ils puissent accompagner et conseiller efficacement la clientèle.
Comment voyez-vous l’évolution de l’adoption des mesures RSE dans le secteur financier ?
Je pense que c’est non seulement inévitable, mais essentiel pour garantir la durabilité et la responsabilité des institutions financières. Le secteur financier suisse est un acteur incontournable de la transition. En adoptant une approche proactive, il peut non seulement répondre aux défis actuels, mais aussi jouer un rôle de leader dans la transition vers une économie plus durable et responsable.

RWB, au cœur de la démarche durable !
Depuis 1938, l’entreprise familiale RWB œuvre dans le domaine de l’ingénierie tout en se tournant vers l’innovation et la recherche de solutions pour la population et le territoire. Forte d’équipes pluridisciplinaires d’ingénieurs qualifiés, l’entreprise n’a cessé d’innover et d’intégrer les enjeux environnementaux au cœur de son savoir-faire. Car façonner son futur passe par des engagements forts pour garantir une politique responsable orientée développement durable. RWB se positionne ainsi comme un acteur de pointe aux valeurs RSE fortes et globales.
Le groupe RWB a mis les préoccupations environnementales au centre de sa politique, c’est ainsi que des démarches ont été entreprises pour l’obtention de certifications environnementales. RWB Groupe a donc obtenu en 1998 le label Nature et Économie pour son site de Porrentruy, puis, en 1999, la norme ISO 9001, suivie de l’ISO 14001 en 2011. Plus récemment, en 2023, RWB a fait partie des trois finalistes du prix Family Business Award, qui récompense les entreprises familiales engagées en faveur de la durabilité. Puis, en 2024, l’entreprise a obtenu le label EcoEntreprise Excellence, récompensant son engagement envers la durabilité et la préservation de l’environnement. RWB, c’est 280 collaborateurs qui conseillent et accompagnent les collectivités publiques et les clients privés dans leurs démarches.
RWB met à profit ses compétences en ingénierie dans divers domaines : l’eau, l’énergie, l’environnement, l’aménagement du territoire, la géologie, la géotechnique, la métrologie, le génie civil et les systèmes d’information. Au sein de ses différents services, des équipes de spécialistes coordonnent, expertisent et réalisent tous les projets publics comme privés. Cette interdisciplinarité permet d’aborder les projets dans leur globalité complexe.
Agir concrètement avec une démarche RSE
L’approche RSE du groupe est globale et agit sur trois piliers fondamentaux : environnemental, social et gouvernance (ESG). Le pilier environnemental englobe des engagements directs pour réduire l’impact environnemental du groupe. Tous les ans, un bilan carbone est dressé pour comparer les chiffres clés. Un plan de mobilité est en cours d’élaboration pour encourager la mobilité douce pour les collaborateurs. Des mesures de sobriété énergétique sont également prises pour réduire la consommation d’électricité, de papier et de chauffage. Le tri est imposé et
suivi avec des objectifs de diminution définis. Des pratiques numériques de green IT sont adoptées afin de limiter au maximum l’empreinte énergétique des infrastructures informatiques.

Le volet social est également un pilier important, avec un soin tout particulier apporté au bien-être des salariés du groupe RWB, en interne et en externe. En interne, la flexibilité dans l’organisation et le lieu de travail, ainsi que des initiatives favorisant le bien-être et le développement professionnel, sont déjà en place. En externe, les actions sociales et les engagements solidaires se concrétisent notamment via le bénévolat et les dons à des associations.
La gouvernance est également au cœur de la démarche, avec un volet dédié à une gouvernance transparente et collaborative. Chez RWB, l’implication de chaque collaborateur compte. Les salariés participent activement à la vie de l’entreprise grâce à un actionnariat salarial. Des commissions internes mettent en place des groupes de travail favorisant l’intelligence collective et l’amélioration continue. Des chartes de référence et des documents-cadres structurent les activités de l’entreprise avec clarté et cohérence.
La formation et l’information proactive des équipes sont aussi incontournables chez RWB. En créant une dynamique d’apprentissage continue, les enjeux sont anticipés et les pratiques quotidiennes améliorées. Via des sessions interactives de formation sur des sujets d’actualité, des cafés durabilité ou
des plateformes d’échange, chacun peut y apporter son expérience enrichissante. RWB se positionne comme une entreprise formatrice, accueillant des apprentis et favorisant les échanges de savoir-faire intergénérationnels. Des formations internes sont aussi proposées avec des programmes personnalisés.
Un service de conseil RSE sur mesure
Grâce à l’expertise du groupe dans les démarches environnementales et RSE, RWB met en place une nouvelle offre de service en conseil. Afin d’accompagner les entreprises souhaitant mettre en place ou développer leurs pratiques RSE, RWB propose une approche en quatre phases.
Un diagnostic initial pour cerner les besoins de l’entreprise, la définition d’une stratégie avec des objectifs concrets, la mise en œuvre d’actions accompagnée d’outils adaptés et communiqués aux collaborateurs, puis l’évaluation des résultats pour ajuster et progresser en continu. Cette démarche est adaptée selon les souhaits des clients pour répondre au mieux à leurs besoins. Le petit plus ? Un support de communication complet est fourni pour appuyer les bénéfices des actions au sein de l’entreprise et auprès des collaborateurs. La communication est un pilier transversal de la démarche, car elle permet d’inscrire les actions dans la temporalité et les faits.
RWB Groupe permet ainsi à toutes les entreprises de bénéficier d’une expertise fiable et complète dans des sujets variés tels que le climat, les déchets, la mobilité, le green IT, l’accompagnement au reporting et la conduite du changement. Laissez-vous guider par un groupe pionnier et certifié dans la démarche RSE, s’inscrivant au cœur de l’innovation.


La stratégie RSE d’une PME familiale validée par le label B Corp
Il y a des distinctions qui récompensent un produit, un service ou une innovation. Et puis, il y a celles qui consacrent une trajectoire. En obtenant la certification B Corp avec un score remarquable de 94,2 points, Aprotec ne se contente pas de valider une démarche RSE exemplaire. L’entreprise familiale signe une étape symbolique dans une aventure entamée il y a plus de 65 ans.

Anne-Sophie Dunand-Blaesi
Directrice générale, Aprotec SA
Fondée en 1958 par Eugène Blaesi, Aprotec a pris son essor dans les années 1970 sous la houlette de son fils Michel. En recentrant l’activité sur l’éclairage de secours et de sécurité, il a propulsé la PME au rang de leader sur le marché suisse. Une success-story industrielle, mais aussi un héritage conséquent à porter pour la génération suivante. Lorsque sa fille Anne-Sophie Dunand-Blaesi reprend les rênes de l’entreprise en 2015, les défis sont nombreux. Elle est jeune, formée à l’économie et au management, peu expérimentée dans l’industrie du bâtiment, et doit s’imposer dans un univers encore largement masculin. Surtout, elle succède à une figure forte, son père, dont le nom est indissociable de celui d’Aprotec. Rien ne
garantit alors la pérennité de l’entreprise, la troisième génération étant trop souvent celle de tous les risques pour les PME familiales. Mais la jeune femme décide d’affirmer sa vision : c’est par la RSE qu’elle imprime sa marque. Écologie, justice sociale, équilibre économique : la vision est claire. L’ambition aussi.
Une certification B Corp réussie
La certification B Corp vient saluer cette transformation en profondeur. Un label exigeant, que l’entreprise a décroché grâce à une équipe resserrée, une consultante externe, et une volonté sans faille dans la construction du dossier. Consciente que ce type de projet doit être soutenu par l’ensemble des membres de l’entreprise, la directrice a impulsé également en interne une dynamique participative, en créant une « green team » de volontaires mobilisés autour des projets RSE. Ils seront les ambassadrices et ambassadeurs de cette vision. Aujourd’hui, l’heure est donc à la célébration. Celle d’un cap franchi et d’un engagement tenu. Aprotec, une entreprise à la fois performante et responsable ancrée dans son temps, mais aussi fidèle à l’esprit familial de ses origines.

Plus d’informations :
– Avenue Vibert 19, 1227 Carouge, Genève + 41 22 343 81 30
– Route du Pâqui 2, 1720 Corminboeuf, Fribourg +41 26 466 12 12
info@aprotec.ch aprotec.ch

Des solutions logicielles complètes pour une gestion
RH plus efficace et humaine
La gestion des tâches administratives peut souvent s’avérer chronophage pour les équipes des ressources humaines. C’est pourquoi Vysual, une entreprise spécialisée dans l’optimisation de processus de gestion, a mis au point des solutions logicielles RH innovantes et transparentes pour accompagner les entreprises dans leurs besoins quotidiens.
Vysual considère la gestion RH comme un levier stratégique pour les entreprises. Avec ses équipes engagées et passionnées, Vysual s’est en effet donnée pour mission d’aider les entreprises à surmonter leurs obstacles administratifs grâce à l’installation de solutions simples, efficaces, fluides et sur mesure.
Un module qui améliore la gestion RH L’outil informatique créé par Vysual permet aux entreprises de gérer l’ensemble de leurs processus RH, de la gestion des compétences aux notes de frais, en passant par l’organisation des entretiens d’évaluation, l’estimation de l’humeur des employés, le partage de documents ou encore l’envoi de messages.
Consciente des avantages concurrentiels liés à la compétitivité sur un marché du travail saturé, Vysual a développé un outil de gestion des compétences qui aide les entreprises à recruter les talents et à fidéliser les collaborateurs. En valorisant la richesse
humaine, Vysual GEPP (Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels) accompagne les entreprises dans tous les cycles de vie de leurs employés, de leur recrutement jusqu’au suivi de leur départ. L’entretien individuel fait partie de ces étapes. Facilité par le logiciel, il devient un réel moment de partage et de confiance. Les collaborateurs ont ainsi plus le temps de s’y préparer, mais aussi de réfléchir à leurs attentes, leurs objectifs et leurs axes de progression. La solution informatique permet finalement d’anticiper les évolutions et donc d’adapter les compétences des équipes en fonction des besoins de l’entreprise.
Enfin, le module RH porte une attention toute particulière au bien-être et au développement professionnel des collaborateurs, les plaçant ainsi au centre de la réussite des entreprises. Comprendre l’humeur de ses collaborateurs permet en effet de s’assurer que les employés se sentent bien et sont satisfaits de leurs conditions de travail. Le suivi RH, facilité par le logiciel Vysual, aide à la détection des risques de
surmenage ou de stress et participe ainsi à la création d’un environnement de travail sain.
Des solutions complètes adaptées aux besoins des entreprises
En plus de sa solution de gestion RH, Vysual a mis en place trois autres modules que sont la gestion des temps, la gestion de la production et le contrôle d’accès. L’entreprise propose également de connecter Vysual avec les applications tierces du client (ERP, CRM, etc.) grâce à l’API Vysual. Cette interface permet d’échanger les données de façon beaucoup plus fluide et instantanée. L’accès à l’information est ainsi facilité, ce qui garantit une interaction directe entre les logiciels, une cohérence des données et un gain de temps considérable.

Du discours à l’action : les fondations d’une politique RSE durable
Responsable du développement durable chez Swisscom, Saskia Günther plaide pour une approche profondément intégrée de la RSE, bien loin des effets d’annonce. Dans cet entretien, elle partage les erreurs courantes à éviter et sa vision, pour concilier performance économique, impact environnemental et attentes sociétales. Un éclairage concret sur les conditions d’une transition durable réussie en entreprise.

Saskia Günther
Responsable du développement durable chez Swisscom
Saskia Günther, selon vous, quelles sont aujourd’hui les priorités incontournables d’une politique RSE réellement crédible et efficace ?
Pour être crédible et efficace, une politique de développement durable doit, selon moi, répondre à deux exigences fondamentales. D’une part, le développement durable doit être pleinement intégré à la vision, aux valeurs et à la stratégie de l’entreprise, et ne pas être traité de manière isolée. D’autre part, il est essentiel que les principes du développement durable soient concrètement mis en œuvre à tous les niveaux de l’organisation.
Quelles sont les erreurs les plus fréquentes que vous observez dans la mise en œuvre des démarches RSE, et comment les éviter ? Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles la mise en œuvre d’une démarche RSE peut échouer à produire les résultats escomptés.
L’une des plus courantes est la perception selon laquelle une politique de développement durable nuirait à la performance économique. Or, cette vision influence déjà négativement les résultats
ANNONCE
Programme EcoEntreprise
de l’entreprise. En réalité, un engagement en faveur du développement durable peut générer des économies significatives, notamment grâce à une meilleure efficacité énergétique, à la mise en place d’une économie circulaire ou à une chaîne d’approvisionnement plus résiliente. Une autre erreur fréquente consiste à vouloir intégrer les enjeux de durabilité à la fin d’un processus, une fois qu’un produit est conçu ou qu’un nouveau modèle économique est déjà défini. Cette approche tardive s’avère souvent inefficace et génère des coûts supplémentaires. Il est donc essentiel d’intégrer les critères de durabilité dès les premières étapes de réflexion, qu’il s’agisse du développement d’un produit, d’un service ou d’un modèle d’entreprise.
Comment une entreprise peut-elle concilier ambition environnementale et performance économique sans tomber dans le greenwashing ?
Le greenwashing se manifeste lorsqu’une entreprise met en avant des performances élevées ou des objectifs ambitieux en matière de développement durable, sans disposer d’un plan concret pour les atteindre ni de mesures tangibles pour en attester. Plus récemment, un phénomène inverse est apparu : le greenhushing. Par crainte des critiques, certaines entreprises préfèrent ne plus communiquer sur leurs ambitions ni sur leurs résultats. À mes yeux, ce silence est encore plus problématique, car le partage d’expériences est essentiel pour faire progresser collectivement les pratiques. Pour concilier ambition environnementale et performance économique, une entreprise
doit s’appuyer sur une feuille de route claire, définissant des objectifs précis et des mesures concrètes. Elle doit également rendre compte de ses résultats de manière transparente : il ne s’agit pas seulement d’afficher une ambition, mais de démontrer les avancées réelles obtenues.
Quels indicateurs ou outils vous semblent les plus pertinents aujourd’hui pour mesurer l’impact réel d’une politique RSE, au-delà des simples obligations réglementaires ? Il existe de nombreux outils pour mesurer l’impact d’une politique RSE, mais il n’existe pas de solution unique ou universelle. Le choix de l’outil le plus pertinent dépend du profil et du secteur d’activité de l’entreprise. Ce qui me semble essentiel, c’est que chaque entreprise commence par se poser les bonnes questions : ses objectifs RSE sont-ils suffisamment concrets ? Sont-ils réellement alignés avec les enjeux de durabilité qui lui sont propres ? Dispose-t-elle d’une feuille de route claire, assortie de programmes et de mesures concrètes, et rend-elle compte de ses résultats de manière transparente ? Il est également crucial d’évaluer si le modèle d’affaires a été repensé pour conjuguer performance économique et impact positif en matière de durabilité. Enfin, le développement durable doit être pleinement intégré dans la gouvernance de l’entreprise, avec des responsabilités clairement définies, du conseil d’administration jusqu’aux collaborateurs.
Texte
SMA
Promouvoir l’entreprise responsable
Développement durable | Responsabilité sociétale | Check-lists | Autodéclaration | Certification

Démarche en ligne simple et rapide pour évaluer, maîtriser et améliorer les pratiques/impacts de l’entreprise en matière de développement durable et de responsabilité sociétale (RSE)
Permet de communiquer la performance et de valoriser l’engagement de l’entreprise par une autodéclaration ou une certification reconnue dans les marchés publics et privés
Utilisée par tous types/tailles d’entreprises (production ou services, PME, groupes,…), organisations privées et parapubliques, institutions culturelles, associations professionnelles, etc.
Facilitations disponibles : TPE/PME : démarche EcoEntreprise basic. Compatible ISO 9001/14001/45001. Certification facilitée pour les entreprises déjà certifiées ISO 14001/45001. Réseau de conseillers / coachs. Reconnaissance internationale avec le Label Responsibility Europe. Webinaires fréquents
Présentations EcoEntreprise, Durabilité dans les marchés publics, Evolutions légales,… (inscription par email). Test 30 jours gratuit : www.EcoEntreprise.ch/test

RSE en entreprise : retour d’expérience
Déployer une stratégie RSE est aujourd’hui indispensable. Mais par où commencer ? La banque Piguet Galland a choisi d’agir, en plaçant le bien-être de ses collaborateurs au cœur de sa démarche, portée par une culture d’entreprise saine et humaine.

Candice Vogt
Responsable RSE, Piguet Galland
Depuis une dizaine d’années, Piguet Galland renforce progressivement son engagement en matière de durabilité. « Lorsque je suis arrivée en 2015, la banque avait déjà une culture tournée vers ses collaborateurs, mais il n’existait pas encore de stratégie RSE clairement définie », explique Candice Vogt, Responsable RSE. Depuis, des avancées significatives ont été réalisées.
Le développement d’une stratégie RSE repose avant tout sur l’implication des femmes et des hommes qui font vivre l’entreprise, à commencer par le Conseil d’Administration et le Comité de Direction. « Au-delà des compétences, la volonté de la direction est la base de toute stratégie RSE efficace », souligne Candice Vogt. Un groupe de travail a été mis en
place pour promouvoir la durabilité auprès de toutes les parties prenantes et mieux comprendre leurs attentes. Grâce à cette dynamique collective, de nombreuses mesures ont été instaurées au fil des années. Aujourd’hui, la banque est certifiée B Corp, Great Place to Work et Fair-On-Pay Advanced. Elle s’engage également, via le Swiss Triple Impact, à aligner ses actions sur les Objectifs de développement durable des Nations Unies.
Mettre ses équipes au premier plan Pour implémenter au mieux sa stratégie RSE, la banque mise sur ses collaborateurs. Elle place la diversité, l’équité, la santé et le sens du travail au centre de ses priorités. Par exemple, chaque collaborateur bénéficie d’au moins une journée de formation par an.
Lorsque c’est possible, il peut adapter son organisation grâce au télétravail, au temps partiel ou au flex office, favorisant ainsi un meilleur équilibre entre vie professionnelle et personnelle. La banque soutient également l’engagement citoyen en offrant une journée de bénévolat par an et accompagne activement ses collaborateurs dans les moments difficiles, notamment à travers
des actions de prévention santé et une politique de tolérance zéro en matière de harcèlement. Ces engagements traduisent une conviction forte : des équipes épanouies sont essentielles à la réalisation de la vision de la banque, qui est de contribuer au bonheur de ses clients.
Accompagner le changement
« Piguet Galland est une banque à taille humaine, ce qui facilite la rapidité et l’agilité dans l’implémentation de nouvelles mesures », indique Candice Vogt. Cependant, la responsable RSE explique aussi que cela n’empêche pas une certaine résistance au changement, propre à tous les êtres humains. Qu’il concerne des actions très concrètes telles que le tri des déchets ou des nouvelles façons d’envisager les placements bancaires sous le prisme de la durabilité, le changement reste toujours un défi qu’il faut savoir relever. Pour cela, rien de mieux que le temps et la communication. Finalement, il s’agit d’oser se lancer, comme l’explique Candice Vogt : « Ce qui m’a aidée, c’est d’oser proposer, même sans certitude. On me disait souvent : « Le pire qu’on puisse te dire, c’est non.» Et c’est vrai : si on ne tente rien, il ne se passe rien.»
Transports publics de la région lausannoise • Brandreport
« Nous ne voulions pas faire de la RSE pour faire de la RSE »
Afin de disposer d’une stratégie sur le long terme, les Transports publics de la région lausannoise (tl) ont mis au point leur orientation dans une « Vision tl 2030 ». Pendant 18 mois, l’ensemble des cadres de l’entreprise se sont réunis afin d’identifier huit thématiques de durabilité soulignant leurs ambitions à l’horizon 2030. Cyril Galland, Responsable stratégie au sein des tl, nous explique comment l’entreprise a réussi à implémenter une ligne de conduite qui parle à la fois à ses collaborateurs et à ses clients.

Cyril Galland
Responsable stratégie au sein des tl
Cyril Galland, en quoi la mise en place d’une stratégie RSE au sein des tl vous est-elle apparue comme essentielle ?
Quand je suis arrivé dans l’entreprise, cette dernière possédait déjà une vision, mais qui s’arrêtait à 2025 et se concentrait principalement sur le développement de l’offre de transport et la relation client. En 2020, nous nous sommes rendu compte que cette projection était incomplète, car nous avions pour ambition de faire plus en termes de protection de l’environnement, de mesures sociales et de contribution à l’économie locale. Finalement, c’est le fruit de nos échanges qui, progressivement, nous a conduits à intégrer la dimension RSE,
plutôt qu’une intention initiale de le faire. Nous ne voulions pas faire de la RSE pour faire de la RSE.
Comment avez-vous identifié vos grandes orientations pour l’horizon 2030 ?
Nous avons mis en place un réel travail collaboratif, afin d’intégrer les réalités et les besoins des collaborateurs et collaboratrices et de les impliquer dans la démarche. Cela a eu l’effet positif de permettre à chacun de s’approprier facilement la « Vision tl 2030 » et d’en devenir le meilleur ambassadeur, et ce dès sa mise en place. Plus qu’un simple document que l’on met en avant, cette initiative est avant tout un projet vivant, que nous suivons avec des indicateurs, et qui décrit l’entreprise que l’on souhaite être au quotidien. Notre Vision est vécue tous les jours par nos équipes, ce qui in fine enrichit notre marque employeur.
Quels projets prévoyez-vous afin de renforcer votre engagement pour plus de durabilité ?
Les premiers e-bus sont exploités depuis 2024
sur notre réseau et une deuxième série de bus électriques sera très prochainement mise en service dans une partie de l’agglomération. Nous venons également de terminer la pose de panneaux photovoltaïques sur la plupart de nos bâtiments et travaillons actuellement sur une charte d’achat responsable qui certifie le respect des mesures durables par nos fournisseurs. Enfin, au niveau social, nous avons créé une communauté pour les personnes à besoins spécifiques, en travaillant avec les associations et les communes, pour que toute personne puisse se déplacer aisément et sûrement en transports publics sur notre réseau.
Interview Léa Stocky
Plus d’informations sur www.t-l.ch/vision


Chauffage | Ventilation | Climatisation | Réseau de Chaleur | Pompe à chaleur
In s ta ll ati o n | Maintenanc e | F aci l itie s Mana g emen t | C o ncept E ne rg étiqu e


NOUS PENSONS AUX GÉNÉRATIONS FUTURES !
/ Solutions énergétiques respectueuses de l'environnement / Exploitation et maintenance d'installations de chaleur ou de froid intégrant 50 à 100% d'énergies renouvelables / Réseaux de chaleur durables et performants en contracting, par le biais de notre filiale CAD Léman / Création de nombreux écoquartiers

Construire durablement : vers une enveloppe du bâtiment plus responsable
Face à ces enjeux, de nouvelles approches émergent pour réduire l’impact écologique des matériaux et optimiser la performance énergétique des bâtiments.
L’empreinte écologique des matériaux : un enjeu majeur
L’enveloppe du bâtiment – comprenant la toiture et la façade – joue un rôle clé dans la performance énergétique. Cependant, l’impact environnemental des matériaux utilisés varie fortement, même lorsque les performances restent identiques.
Certaines membranes synthétiques recyclées, par exemple, peuvent réduire considérablement l’empreinte carbone d’une toiture par rapport aux solutions classiques, sans altérer l’efficacité thermique ou la durabilité du bâtiment.
Les fiches Ecoscore sont certifiées par l’organisme indépendant Earth Action, garantissant ainsi une évaluation objective et fiable de l’impact des matériaux utilisés.
Par exemple, une toiture PHIDA Ecoplus affiche une réduction de 48 % des émissions de gaz à effet de serre par rapport au système de toiture PHIDA Reno, un standard classique, tandis que PHIDA Eco présente une empreinte carbone inférieure de 21 %, tout en maintenant des performances équivalentes.
rendant l’information plus accessible que des choix plus responsables peuvent être faits.
L’adoption d’outils comme les fiches Ecoscore, combinée aux progrès réalisés sur les matériaux et les technologies de suivi des bâtiments, montre qu’une autre manière de construire est possible.
PHIDA : une expertise de 90 ans au service du bâtiment
Les fiches Ecoscore : un outil pour des choix responsables Pour évaluer ces différences et guider les décisions, un outil innovant a été développé par PHIDA Groupe : les fiches Ecoscore. Basé sur un système de notation de A+ à F, il permet d’analyser l’impact environnemental des solutions d’étanchéité selon trois critères.
Autres leviers d’innovation pour un bâtiment plus durable Outre l’optimisation des matériaux, d’autres avancées technologiques sont en cours pour améliorer la durabilité des bâtiments. Les toitures connectées permettent d’intégrer des capteurs capables de détecter précocement d’éventuelles fuites ou dysfonctionnements. Cette technologie contribue à éviter des réparations lourdes et à prolonger la durée de vie des infrastructures.
Spécialiste de l’enveloppe du bâtiment en Suisse romande depuis plus de 90 ans, PHIDA intervient sur les toitures plates et en pente, l’étanchéité, la ferblanterie-couverture, l’isolation thermique, les façades, les revêtements en résine et les installations sanitaires.
Grâce à son savoir-faire et à sa recherche constante en innovation, l’entreprise accompagne maîtres d’ouvrage et professionnels vers des solutions durables et performantes.
* Source : Office fédéral de l’énergie (OFEN)
Le secteur du bâtiment est l’un des plus gros émetteurs de CO2. En Suisse, il représente environ 25 % des émissions et près de 40 % de la consommation énergétique*. Plus d’informations sur www.phida.ch
Il prend en compte : les émissions de CO2, exprimées en kilogrammes équivalents par mètre carré. Il évalue également la proportion de matériaux recyclés utilisés dans les solutions. Enfin, il mesure la consommation de ressources ainsi que l’impact des matériaux sur la biodiversité. Un élément clé : toutes les solutions évaluées assurent une performance énergétique identique. Seule l’empreinte environnementale varie, permettant aux décideurs de choisir une option plus responsable sans compromis sur l’efficacité du bâtiment.
Par ailleurs, des progrès significatifs sont réalisés dans l’amélioration des matériaux. Le développement de membranes et d’isolants plus performants, intégrant des composants biosourcés ou recyclés, vise à réduire leur impact écologique.
Ces innovations s’inscrivent dans une volonté globale de transformer le secteur du bâtiment en associant performance, durabilité et réduction des émissions.
La transition vers un bâtiment plus durable repose autant sur l’innovation technologique que sur une prise de conscience collective. Si les efforts pour réduire l’empreinte carbone des infrastructures se multiplient, c’est aussi en




Living Beautifully
Nombreux et uniques, nos projets de vie s’adaptent à toutes vos envies.
Les projets en cours

L’intelligence immobilière au service des propriétaires

Des stratégies immobilières durables avec Arkey
Fondée en 2023 à Lausanne, Arkey accompagne les propriétaires immobiliers dans la pérennisation et la rénovation de leurs biens, avec une approche stratégique, durable et tournée vers l’avenir. Face au double défi du changement climatique et du vieillissement du parc bâti suisse, Arkey s’appuie sur des diagnostics précis et des recommandations ciblées pour aider ses clients à anticiper les transformations à venir. Arkey s’impose ainsi comme un acteur clé de la transformation du secteur immobilier, à la croisée de la stratégie patrimoniale, de la rénovation concrète et de l’innovation numérique.

Maxime D’Ignoti
Directeur et fondateur, Arkey
Monsieur D’Ignoti, vous êtes le directeur et fondateur d’Arkey, quelle a été votre inspiration pour créer cette entreprise, et quels constats du secteur immobilier vous ont conduit à lancer cette solution ?
« Arkey est née d’un constat simple : les décisions de rénovation ou d’investissement ne peuvent être pertinentes que si elles reposent sur une compréhension fine et structurée du patrimoine existant. Or, dans la pratique, les propriétaires sont souvent seuls face à des choix complexes, aux enjeux importants et interdépendants : énergétiques, financiers, fonctionnels, réglementaires. Nous avons créé une structure qui permette à ces propriétaires –qu’ils soient privés ou institutionnels – de prendre des décisions stratégiques éclairées, combinée à une capacité d’action concrète sur le terrain. Notre approche intégrée permet de projeter les travaux sur le long terme, en alignant rénovation, performance et valorisation. »
Comment déployez-vous votre solution à l’échelle nationale et quel est, selon vous, son potentiel de croissance sur le marché suisse ?
« Aujourd’hui, nous sommes principalement actifs dans le canton de Vaud. Nous préparons désormais l’extension de nos services à
d’autres cantons, en tenant compte de facteurs déterminants : le cadre réglementaire étant différent d’un canton à l’autre, ainsi que la dynamique du marché. Cela représente donc pour nous à la fois un défi et une opportunité. Cela dit, le besoin est transversal : le parc immobilier suisse est vieillissant et les enjeux ESG concernent toutes les typologies de propriétaires – institutionnels, privés, publics. Le potentiel de croissance est donc significatif ; la majorité des bâtiments nécessitera des rénovations lourdes ces prochaines décennies. Or, ces transformations ne peuvent plus être pensées uniquement sous l’angle technique ou réglementaire. C’est là qu’Arkey apporte une vraie valeur ajoutée, en articulant stratégie, impact et mise en œuvre proactive. »
En quoi votre solution représente-t-elle un levier efficace pour accompagner les projets de rénovation énergétique ?
« Nous avons pour vocation de pousser une réflexion visionnaire avec nos parties prenantes : adapter les bâtiments aux usages actuels et futurs pour répondre durablement aux modes de vie des occupants et à la place du bâti dans notre société. Aujourd’hui, cela implique notamment l’économie circulaire, le réemploi des matériaux, repenser l’usage des communs, adopter une vision globale plutôt qu’unitaire. La durabilité est pour nous synonyme de décisions à valeur ajoutée. »
Quels outils mettez-vous au service de vos clients pour parvenir à mettre en place une stratégie globale et concrète ?
Nous utilisons la data et des outils numériques pour centraliser les informations sur chaque bien ou portefeuille. Cela nous permet, par exemple,
d’identifier des opportunités de mutualisation –entre immeubles d’un même propriétaire ou d’un même quartier – afin de réduire les coûts, limiter les impacts pour les occupants, optimiser les calendriers d’intervention tout en sécurisant la disponibilité de la main-d’œuvre, et en renforçant l’impact global de nos projets.
Parmi les projets que vous avez réalisés, lesquels vous ont le plus marqué ?
Je suis en ce moment absorbé par un projet qui conjugue patrimoine, densification et performance énergétique. Travailler sur ces d’enjeux croisés est particulièrement stimulant. En tant que passionné de la construction au sens large, j’y vois chaque fois l’opportunité d’innover, de lier passer et avenir, et de fédérer l’ensemble des parties prenantes autour d’une vision commune.
Un autre exemple marquant : notre approche de mutualisation des interventions. Grâce à nos bases de données, nous avons identifié plusieurs immeubles propices à des actions coordonnées. Sans le savoir, différents acteurs réfléchissaient à des projets similaires dans un même périmètre. En les réunissant, nous avons révélé des synergies et proposé des optimisations concrètes, sans altérer l’ADN de chaque projet.
J’aime à penser qu’Arkey agit comme le mortier d’un projet bien construit : celui qui relie les acteurs, solidifie les intentions et transforme les contraintes en cohérence. Au travers cette complexité, notre valeur ajoutée s’exprime pleinement. Cela donne de nouvelles perspectives à nos métiers ; quel bel élan de motivation !

Luigia, les convictions et le goût de l’Italie
Chez Luigia, la cuisine italienne ne se résume pas à une simple assiette ! Elle incarne un art de vivre, profondément enraciné dans la tradition, mais résolument tourné vers l’avenir. Derrière chaque plat, chaque geste, se cache une philosophie ambitieuse : celle d’une restauration durable, ancrée dans le terroir et dans la tradition familiale, respectueuse de l’environnement, et guidée par une passion sincère du bien manger.

Umberto Bandiera
Responsable RSE, Capomondo
Depuis sa fondation et l’ouverture de son premier restaurant en 2010 à Genève, Luigia s’est donnée pour mission de faire vivre la culture culinaire italienne dans toute sa richesse. Luigi Guarnaccia et Enrico Coppola ont hérité de leurs nonnas l’amour des bons produits et la rigueur du choix des ingrédients. Chez Luigia, la sélection des produits et des fournisseurs est primordiale. Les restaurants sont ainsi livrés trois fois par semaine directement d’Italie, avec une attention constante portée à la qualité et à la fraîcheur. Les tomates, les huiles d’olive, les pâtes, les légumes ou les fromages utilisés en cuisine sont tous choisis pour leur goût, leur origine et leur intégrité. Ils ne servent pas seulement à composer un menu ; ils racontent une histoire, celle de familles, d’artisans, de terres fertiles et de gestes transmis depuis des générations.
Un terroir sublimé
Luigia ne se contente pas de célébrer la tradition. Elle l’élève, la prolonge, en l’inscrivant dans une démarche responsable. Loin des effets d’annonce, cette responsabilité se concrétise dans des engagements profonds. En Toscane, la famille fondatrice a racheté un domaine agricole de 60 hectares, baptisé Col di Lupo. Sur ces terres, cultivées selon les principes de l’agriculture biologique, poussent des légumes de saison, des céréales anciennes, 12 000 oliviers et des artichauts. Tout est pensé pour favoriser la biodiversité, préserver la
qualité des sols et renforcer les circuits courts entre la terre et l’assiette. Un équilibre essentiel et précieux qui sublime le lien étroit entre l’homme et la nature.
Une philosophie inspirée de la Blue Economy
Ce lien direct entre terroir et table illustre parfaitement la vision originelle de Luigia. Chaque restaurant devient la vitrine d’un engagement : celui de nourrir autrement, de respecter le cycle naturel des ingrédients, tout en impliquant producteurs et clients dans cette belle dynamique vertueuse. Une philosophie appliquée via une approche s’inscrivant dans la logique de la Blue Economy, un modèle qui vise non seulement à réduire l’impact écologique, mais aussi à régénérer les ressources, à créer de la valeur en harmonie avec les écosystèmes.
Un engagement multilatéral et cohérent Dans les cuisines comme dans les coulisses, rien n’est laissé au hasard. La gestion de l’eau est optimisée, les déchets organiques sont transformés en compost, les livraisons sont repensées pour limiter au maximum les émissions, et les bâtiments sont conçus ou rénovés avec des matériaux biosourcés. Ces engagements sont aujourd’hui valorisés par de nombreuses certifications durables, comme « Carbon Free » à Fribourg et à Sion, ou encore la certification B-Corp, une première pour la restauration commerciale suisse. Tous les restaurants du groupe ont été évalués autour de cinq axes à fort impact : environnement, collaborateurs, clients, gouvernance, communauté.
L’humain au cœur du projet Luigia ne se contente pas d’embaucher, elle forme, elle accompagne, elle crée des parcours de vie professionnelle adaptés à chacun de ses collaborateurs. À Meyrin, la Luigia Academy incarne cette ambition éducative. Véritable laboratoire vivant, elle accueille de nouvelles recrues,
mais aussi des chefs expérimentés venus approfondir leurs compétences dans une logique d’excellence et de transmission. L’Academy est aussi un lieu d’expérimentation pour la cuisine durable, avec potager urbain, composteur, système de récupération d’eau de pluie, toiture végétalisée et surveillance de la biodiversité. Un lieu fascinant et pionnier, où les passionnés de gastronomie italienne peuvent venir apprendre dans la bienveillance et l’esprit d’équipe.
Des tablées engagées
Loin du cliché du restaurant figé dans les anciennes traditions, Luigia incarne un équilibre rare entre héritage et modernité. Son succès repose sur cette alchimie : la chaleur d’une trattoria familiale, le goût des produits vrais, la rigueur d’une logistique durable, et une vision à long terme. On y vient pour savourer une pizza au levain naturel, un plat de pâtes maison, un risotto aux légumes de saison, une authenticité récompensée dans toute la Suisse par le label « Fait Maison ».
Manger chez Luigia, c’est renouer avec l’essentiel. C’est vivre un moment de partage autour de recettes simples et savoureuses, mais aussi prendre part à un projet qui donne du sens à l’acte de se nourrir (et surtout, se régaler). En remettant le goût, le respect des saisons, la valorisation des terroirs et l’humain au centre de la table, Luigia ne suit pas simplement une tendance : elle ouvre la voie d’une restauration plus juste, plus durable et plus ancrée dans son temps.
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Protection anticalcaire sans compromis : l’innovation suisse qui révolutionne les foyers
Àune époque où durabilité et efficacité doivent aller de pair, de nombreux propriétaires se posent une question centrale : comment résoudre le problème gênant du calcaire sans nuire à l’environnement ou à la santé ? La réponse vient de Suisse et porte le nom de Tratson – une technologie qui prouve que l’innovation et la responsabilité ne sont pas incompatibles.
Le problème sous-estimé dans nos conduites d’eau
Les dépôts de calcaire sont bien plus qu’un simple problème esthétique. Ce sont des facteurs de coûts silencieux qui ont des répercussions financières considérables dans chaque foyer. Une fine couche de calcaire d’un seul millimètre sur un élément chauffant peut augmenter la consommation d’énergie jusqu’à dix pour cent. Pour un ménage suisse moyen, cela représente des coûts supplémentaires annuels de plusieurs centaines de francs.
Les conséquences vont cependant bien au-delà de la facture énergétique. Les machines à laver, lave-vaisselle et machines à café souffrent de l’exposition constante au calcaire. Leur durée de vie se raccourcit drastiquement, et des réparations coûteuses ou des remplacements prématurés deviennent inévitables. Les experts estiment qu’un ménage moyen dépense annuellement entre 800 et 1200 francs supplémentaires à cause des dommages liés au calcaire.
Quand la solution devient le problème Pendant des décennies, les adoucisseurs à base de sel ont été considérés comme la référence dans la lutte contre le calcaire. Ces systèmes échangent les ions calcium et magnésium contre des ions sodium – un processus qui prévient certes les dépôts calcaires, mais crée de nouveaux problèmes. L’eau « douce » résultante contient nettement plus de sodium, ce qui peut être préoccupant pour la santé, notamment pour les personnes souffrant d’hypertension ou de problèmes rénaux.
L’entretien des installations traditionnelles est considérable. Annuellement, plus de 100 kilogrammes de sel doivent être rechargés –une tâche pénible et coûteuse. S’ajoute l’empreinte écologique : la production de sel, le transport et l’élimination des emballages pèsent lourdement sur l’environnement. Ce n’est pas sans raison que certains pays ont déjà interdit les adoucisseurs à base de sel en raison de leur impact environnemental.
La révolution suisse : précision électromagnétique
C’est là qu’intervient l’innovation de Tratson. L’entreprise suisse a développé une technologie basée
sur les champs électromagnétiques qui s’attaque au problème du calcaire à la racine. Le champ électromagnétique modifie la structure cristalline des minéraux dans l’eau. Ainsi, les particules calcaires perdent leur capacité d’adhérer aux surfaces, tandis que les précieux minéraux calcium et magnésium sont entièrement préservés dans l’eau.

Cette technologie a été scientifiquement validée. Une thèse complète soumise à la prestigieuse EPFZ démontre l’efficacité de la technologie Tratson. De plus, la technologie a été documentée et confirmée par l’Office fédéral de l’environnement.
La santé au centre : des minéraux dont le corps a besoin Un avantage décisif de la technologie Tratson réside dans la préservation des minéraux naturels dans l’eau potable. Le calcium et le magnésium sont essentiels pour la santé humaine. Le calcium ne renforce pas seulement les os et les dents, mais joue aussi un rôle important dans la contraction musculaire et la fonction nerveuse. Le magnésium soutient plus de 300 processus enzymatiques dans le corps.
Des études montrent que les personnes qui boivent régulièrement de l’eau riche en minéraux ont un risque réduit d’ostéoporose et de maladies cardiovasculaires. La technologie Tratson préserve ces avantages pour la santé tout en éliminant les effets néfastes des dépôts calcaires.
La durabilité comme principe fondamental
En cette période de changement climatique, Tratson établit de nouveaux standards pour la protection anticalcaire durable. Les appareils ne nécessitent ni sel ni produits chimiques et ne produisent aucun déchet. La consommation d’énergie est minimale et la durée de vie des appareils est exceptionnellement longue. Avec plus de 10 000 appareils installés, Tratson économise annuellement plus d’un million de kilogrammes de sel et maintient ainsi plus de 50 millions de litres d’eau potable propres.
Expériences pratiques : quand les clients deviennent ambassadeurs
La satisfaction des clients Tratson parle d’elle-même. Avec une note Google de 4,9 étoiles, l’entreprise
fait partie des fournisseurs les mieux notés du secteur. Les clients rapportent régulièrement des dépôts calcaires nettement réduits, moins d’efforts de nettoyage et une amélioration perceptible de la qualité de l’eau.
Particulièrement impressionnantes sont les expériences des propriétaires qui utilisaient auparavant des installations à base de sel. Ils apprécient non seulement la suppression de l’entretien, mais aussi le fait que leur eau retrouve un goût naturel. Un autre grand avantage que les clients soulignent constamment est la fin du transport pénible de sel – plus jamais il ne faut transporter de lourds sacs de sel de plus de 25 kilogrammes à la cave, ce qui représente un soulagement considérable, particulièrement pour les personnes âgées ou celles souffrant de problèmes de dos.
L’avenir de la protection anticalcaire
Tratson représente une nouvelle génération de technologies environnementales qui allient efficacité et durabilité. Avec la garantie de remboursement à 100 % sur une année entière, Tratson souligne sa confiance en sa propre technologie.
La précision et la qualité suisses que représente Tratson établissent de nouveaux standards dans l’industrie de la protection anticalcaire. À une époque où les consommateurs recherchent de plus en plus d’alternatives durables, l’entreprise offre une solution qui répond à toutes les exigences : efficace, saine, respectueuse de l’environnement et économique.
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En tant qu‘offre spéciale pour les lecteurs de cet article, Tratson accorde une remise exclusive de 12 % sur tous ses appareils de protection anticalcaire. Utilisez le code promotionnel « ÉTÉ12 » sur www.tratson.ch et obtenez cette technologie innovante à prix réduit. L‘offre est valable jusqu‘à fin juillet 2025 et vous permet de protéger durablement votre domicile contre les problèmes de calcaire.
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