Focus 50 Plus 2023 - Top2

Page 1

50 PLUS Monica Bellucci

Dans la lignĂ©e des actrices italiennes les plus sensuelles, Monica Bellucci devient de plus en plus iconique avec l’ñge - mais aussi plus audacieuse.

MAR ‘23 AVEC PHILIPPE MOREL AU CONSEIL D’ÉTAT, CELA VA CHANGER ! Points forts Parking voiture Fr. 20.- la semaine Check-in express 60 min. avant le dĂ©part 027 306 22 30 - www.buchard.ch Majorque Les pieds dans l’eau en 1h30 DĂ©parts tous les jeudis du 8 juin au 5 octobre 2023 MAJORQUE N’A JAMAIS ÉTÉ AUSSI PROCHE QU’AVEC NOTRE VOL DIRECT DEPUIS SION ! DÈS 1’195.PAR PERSONNE VOL + HOTEL En lire plus sur focus.swiss UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA premium partner plusd‘informations page11 premium partner weitereinformat i onen seite 13

Delphine Roulet Schwab

Changer de regard sur les personnes vieillissantes

La Suisse vieillit. Aujourd’hui, prĂšs de 19 % de la population a 65 ans ou plus. Selon l’Office fĂ©dĂ©ral de la statistique, ce chiffre montera Ă  plus de 25 % dans tous les cantons d’ici 2045. Dans un pays en pleine mutation dĂ©mographique, les personnes ĂągĂ©es restent souvent perçues comme un poids mort pour la sociĂ©tĂ© : elles coĂ»teraient cher, seraient dĂ©pendantes et se montreraient rĂ©fractaires au changement. Ces stĂ©rĂ©otypes, particuliĂšrement marquĂ©s dans les domaines de l’emploi et de la santĂ©, mĂšnent Ă  des discriminations fondĂ©es sur l’ñge. Ainsi, Ă  compĂ©tences Ă©gales, il est souvent plus difficile de retrouver un emploi quand on s’approche de la retraite. De mĂȘme, Ă  diagnostic comparable, certains traitements mĂ©dicaux et opĂ©rations ne sont plus remboursĂ©s par les assurances maladie Ă  partir d’un Ăąge donnĂ©.

Cet Ăągisme reprĂ©sente une forme de discrimination trĂšs frĂ©quente et plus acceptĂ©e socialement que le racisme et le sexisme, selon une Ă©tude europĂ©enne. Les stĂ©rĂ©otypes liĂ©s Ă  l’ñge passent souvent inaperçus dans la vie quotidienne. Il est, par exemple, considĂ©rĂ© comme normal de penser que si quelqu’un conduit trop lentement, cela doit ĂȘtre une personne ĂągĂ©e, ou que « les personnes Ă  la retraite peuvent bien prendre les transports publics hors des heures de pointe, car elles n’ont rien d’autre Ă  faire de la journĂ©e ».

Cette vision nĂ©gative du vieillissement constitue un terreau fertile pour l’émergence de formes de violence et de maltraitance, plus ou moins insidieuses, qui portent atteinte aux droits fondamentaux des personnes vieillissantes. Il s’agit parfois de violences physiques, telles que des coups ou de la sĂ©questration, mais ce sont le plus souvent des maltraitances psychologiques (p.ex. dĂ©nigrement, humiliations, menaces, infantilisation), des nĂ©gligences (p.ex. nourriture inadĂ©quate, non-soulagement de la douleur, logement inadaptĂ©) et de la maltraitance financiĂšre (p.ex. usage de biens ou de fonds sans accord, utilisation abusive de signatures ou de cartes de crĂ©dit). Ces abus de confiance et de pouvoir sont dans certains cas motivĂ©s par de mauvaises intentions. Ils sont cependant aussi parfois le fait de

membres de l’entourage ou de professionnels qui pensent mieux savoir que la personne ĂągĂ©e ce qui est bien pour elle, sans se demander comment elle-mĂȘme conçoit son propre bien et quelles sont ses prioritĂ©s.

Sortir de cette posture Ăągiste et potentiellement maltraitante nĂ©cessite de changer de regard sur les seniors et de reconnaĂźtre leur expertise en lien avec leur expĂ©rience du vieillissement. Cette reconnaissance devrait s’exprimer Ă  plusieurs niveaux : au quotidien, en respectant le pouvoir d’agir et l’autonomie des personnes

vieillissantes et en Ă©vitant de dĂ©cider Ă  leur place « pour leur bien » ; mais aussi aux niveaux sociĂ©tal et politique, en incluant systĂ©matiquement des reprĂ©sentants d’organisations de personnes retraitĂ©es dans les groupes de travail concernant des sujets liĂ©s au vieillissement. Lutter contre l’ñgisme et la maltraitance passe Ă©galement par une meilleure connaissance de la rĂ©alitĂ© de la vieillesse en Suisse. Contrairement aux idĂ©es reçues, la grande majoritĂ© des personnes de 65 ans et plus vit Ă  domicile de maniĂšre indĂ©pendante. C’est Ă©galement le cas des personnes de 80 ans et plus, puisque seulement 15 % d’entre elles vivent en Ă©tablissement mĂ©dico-social. Nous oublions par ailleurs souvent que les personnes retraitĂ©es participent activement Ă  l’économie par la garde bĂ©nĂ©vole des petits-enfants, l’aide Ă  des proches dĂ©pendants et l’engagement associatif notamment. Plus spĂ©cifiquement, il importe de faire connaĂźtre les offres d’écoute, de soutien et de conseil pour les personnes ĂągĂ©es concernĂ©es par des actes de discrimination, de violence ou de maltraitance. A cet Ă©gard, l’association alter ego, en Suisse romande, et le Centre national de compĂ©tence Vieillesse sans violence proposent une permanence tĂ©lĂ©phonique gratuite et ouverte Ă  toute la population au numĂ©ro 0848 00 13 13. DiffĂ©rentes offres de formation spĂ©cialisĂ©e existent Ă©galement, mises en place notamment par l’association alter ego (formations de sensibilisation et formation de rĂ©fĂ©rents PREMALPA) ainsi que par l’UnitĂ© de mĂ©decine des violences du CHUV et la Haute Ecole de la SantĂ© La Source (module de formation continue post-grade). D’autres organisations telles que Pro Senectute ou l’association Alzheimer offrent Ă©galement des prestations de conseil dans le domaine du vieillissement dans tous les cantons.

Texte Delphine Roulet Schwab, Professeure Ă  la Haute Ecole de la SantĂ© La Source (HES-SO), PrĂ©sidente de l’association alter ego et du Centre national de compĂ©tence Vieillesse sans violence

DĂ©couvrir les reliques d’une Ă©poque fascinante

La nouvelle exposition de la Fondation Martin Bodmer prĂ©sente une sĂ©lection des plus impressionnants manuscrits enluminĂ©s du IIIĂšme au XVIĂšme. Des dispositifs de rĂ©alitĂ© virtuelle augmentĂ©e, des ateliers de calligraphie et d’enluminure, des confĂ©rences et un week-end mĂ©diĂ©val entre autres activitĂ©s feront voyager le visiteur au coeur du Moyen Âge.

de manuscrits e-codices, ces institutions joignent leurs forces pour que le public puisse avoir accĂšs Ă  ce prĂ©cieux patrimoine livresque, trĂšs rarement (voire jamais) exposĂ©, digne d’ĂȘtre admirĂ© tant de par sa beautĂ© que de par sa pertinence historique.

grand public une sélection des plus précieux manuscrits médiévales conservés en Suisse. Pour rendre hommage au projet national de numérisation

Le visiteur de « TrĂ©sors enluminĂ©s de Suisse » sera face Ă  des textes mĂ©diĂ©vaux transmetteurs d’une sagesse trĂšs prĂ©sente dans nos vies quotidiennes (et dans nos traditions !) mais aussi superbement illustrĂ©s par les maĂźtres enlumineurs du Moyen Âge : « Les manuscrits enluminĂ©s, avec leurs peintures aux couleurs rutilantes et la brillance de la feuille d’or, marquent notre imaginaire collectif du Moyen Âge. VĂ©hicules d’un savoir hĂ©ritĂ© et sauvĂ© de l’AntiquitĂ© ou reflets d’une Ă©poque Ă  la fois rude et raffinĂ©e, ils matĂ©rialisent une civilisation plus livresque qu’on le croit souvent. Dans son inoubliable roman Le Nom de la Rose, Umberto Eco nous avait offert une plongĂ©e parmi les livres du Moyen Âge, Ă  la rencontre des hommes qui les fabriquaient, qui les lisaient et qui les conservaient. Ces gĂ©nĂ©rations de

scribes, d’enlumineurs, de bibliothĂ©caires et d’érudits lecteurs, ces livres en ont gardĂ© les traces, touchantes ou surprenantes : plainte d’un scribe transi dans son atelier glacĂ©, demande de la bĂ©nédiction divine en fin d’ouvrage, malĂ©dictions contre les potentiels voleurs, notes de lecture marquĂ©es d’une manicule – ces mains Ă  l’index tendus dĂ©signant un passage important –, trou du parchemin raccommodĂ© au point de croix, attaques par les dents affamĂ©es d’un rat ou traces d’un vieil incendie de monastĂšre. Autant que des chefs-d’Ɠuvre artistiques, ces vĂ©nĂ©rables livres, prĂ©vus pour affronter les siĂšcles et qui ont parfois dĂ©passĂ© un millĂ©naire d’existence malgrĂ© les vicissitudes du temps, sont les prĂ©cieuses reliques d’une Ă©poque fascinante qui n’a pas fini de nous faire rĂȘver ! » – Nicolas DucimetiĂšre, co-commissaire de l’exposition.

« TrĂ©sors enluminĂ©s de Suisse » est complĂ©tĂ©e par l’exposition « Objet du mĂ©diĂ©val » : une prĂ©sentation exceptionnelle des fleurons mĂ©diĂ©vaux du MusĂ©e d’art et d’histoire de GenĂšve.

2 UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA FOCUS.SWISS BRANDREPORT ‱ FONDATION MARTIN BODMER ÉDITORIAL CHEF DE PROJET OZAN YALCIN COUNTRY MANAGER PASCAL BUCK HEAD OF CONTENT ROMANDIE LÉA STOCKY GRAPHIC & LAYOUT SARA DAVAZ, JOEL STEINER JOURNALISTES LÉA STOCKY, MAÉVANE MAS, EMMANUEL VIACCOZ, BERTRAND MONNARD IMAGE DE COUVERTURE HFPA CANAL DE DISTRIBUTION TRIBUNE DE GENÈVE ET 24HEURES IMPRIMERIE CIL CENTRE D’IMPRESSION LAUSANNE SA SMART MEDIA AGENCY GERBERGASSE 5, 8001 ZURICH, SUISSE TÉL +41 44 258 86 00 INFO@SMARTMEDIAAGENCY.CH REDACTIONFR@SMARTMEDIAAGENCY.CH FOCUS SWISS 04 14 12 16 04 Escapade 08 Caroline Ida Ours 10 Interview : Monica Bellucci 12 Beat Bösch 14 Le vieillissement aujourd'hui 16 ESCA LIRE MIEUX. FOCUS 50 PLUS.
Lutter contre l’ñgisme et la maltraitance passe par une meilleure connaissance de la rĂ©alitĂ© de la vieillesse en Suisse.
Bonne lecture! Ozan Yalcin Chef de projet La nouvelle exposition temporaire de la Fondation Martin Bodmer en partenariat avec la BibliothĂšque de l’Abbaye de Saint Gall dĂ©voile au

La cinquantaine, ou le moment idéal du retour vers soi grùce à l'acupuncture

AprĂšs un demi-siĂšcle passĂ© sur terre, la cinquantaine est l’heure du bilan. Entre ce que l'on aimerait encore faire et parfois le manque d'Ă©nergie pour le rĂ©aliser, la frustration, l’irritabilitĂ© ou la dĂ©pression peuvent apparaĂźtre. La mĂ©decine chinoise fait de cette remise en question un atout pour le futur.

Comment la mĂ©decine chinoise apprĂ©hende-t-elle la transition d’une pĂ©riode de vie Ă  une autre ?

La famille de Lingling SHI pratique la mĂ©decine chinoise depuis quatre gĂ©nĂ©rations en Chine. Pour la doctoresse (Cn), la cinquantaine est le moment idĂ©al pour opĂ©rer ce retour en soi et trouver la paix intĂ©rieure qui aide Ă  bien vieillir. Dans cette interview, elle explique comment la mĂ©decine chinoise permet de se connaĂźtre mieux soi-mĂȘme pour retrouver un Ă©quilibre et une harmonie, et pour adapter son corps et son esprit Ă  cette nouvelle Ă©tape de la vie.

Lingling SHI, pourquoi avez-vous dĂ©cidĂ© d’ouvrir Biomed MTC ?

Le cabinet de mĂ©decine chinoise Biomed MTC a Ă©tĂ© fondĂ© en 2017 pour proposer aux personnes qui en ont besoin une nouvelle approche de thĂ©rapie naturelle. L’équipe et moi-mĂȘme souhaitions partager notre savoir-faire, en faire bĂ©nĂ©ficier la population genevoise, faciliter la vie de nos patients, et ce de façon traditionnelle, authentique et en proposant des rendez-vous rapidement. Notre cabinet est accessible Ă  tous.

Quels sont les soins que vous proposez ?

Nous pratiquons l’acupuncture, les massages Tuina, la physiothĂ©rapie, prodiguons des conseils diĂ©tĂ©tiques, des cours de Qi gong ou encore conseillons des infusions de mĂ©decine chinoise. Nous personnalisons tous nos traitements afin d’aider nos patients de la façon la plus adĂ©quate possible.

La mĂ©decine chinoise porte une attention toute particuliĂšre Ă  cette pĂ©riode. Loin d’ĂȘtre « le dĂ©but de la fin », elle est perçue comme l’occasion de mettre la seconde pĂ©riode de sa vie sur les bons rails : une pĂ©riode plus empreinte de sagesse et oĂč la satisfaction remplace le dĂ©sir. La mĂ©decine chinoise met l’accent sur la prĂ©vention car ces changements commencent de façon lente dĂšs 4-5 ans avant la cinquantaine. Il est plus facile de traiter le problĂšme lorsqu’il est encore au stade embryonnaire afin de prĂ©parer le corps et l’esprit pour la suite. Quels dĂ©sagrĂ©ments peuvent en dĂ©couler ?

Les symptĂŽmes les plus courants sont les bouffĂ©es de chaleur, la transpiration, la sĂ©cheresse des muqueuses et l’influence sur les relations de couples, la baisse de libido, la fatigue, les sautes d’humeur, la dĂ©pression ou le repli sur soi, les troubles du sommeil, les troubles digestifs et la constipation, la chute de la densitĂ© osseuse et de la tonicitĂ© musculaire, donc une prise de poids. Cette pĂ©riode s’accompagne souvent de douleurs qui n’ont pas Ă©tĂ© traitĂ©es correctement comme l’arthrose, les Ă©paules gelĂ©es ou encore toute maladie chronique qui se verra amplifiĂ©e avec une certaine baisse du systĂšme immunitaire.

En quoi la mĂ©decine chinoise permet-elle de traiter efficacement ces dĂ©sagrĂ©ments ou pathologies ?

Le yin ramĂšne des liquides dans le corps qui viennent Ă©quilibrer la chaleur et remettre en mouvement l'Ă©nergie du foie. La mĂ©decine chinoise peut aider Ă  diriger Ă  bon escient cette Ă©nergie et la transformer en bien-ĂȘtre. Les plantes de phytothĂ©rapie chinoise aident par exemple Ă  faire circuler et Ă  renforcer l’énergie, Ă  refroidir le sang et rééquilibrer la chaleur interne. Avec l’acupuncture, le corps s’harmonise et les dĂ©sĂ©quilibres du systĂšme endocrinien (hormones) sont compensĂ©s par de l’énergie venant d’autres organes. Il s’agit de rĂ©tablir la circulation de l’énergie malgrĂ© les obstacles dus au changement hormonal. Le systĂšme nerveux se rĂ©gule et agit sur les bouffĂ©es de chaleur mais aussi sur l’humeur, la fatigue et la transpiration. Ces aiguilles sont Ă  usage unique, stĂ©rile et indolore. Les rĂ©sultats se stabilisent dans les cinq premiĂšres sĂ©ances puis, plus le suivi sera long, plus la personne gagnera en bienĂȘtre. L’effet de l’acupuncture sur le taux de testostĂ©rone de l’homme est par exemple assez flagrant.

Quels sont ses bienfaits à la fois physiques et psychiques ?

Les soucis de santĂ© ne sont pas une fatalitĂ©. Dans la mĂ©decine chinoise, le patient est amenĂ© Ă  ĂȘtre acteur de sa santĂ© en opĂ©rant certains changements alimentaires et d’hygiĂšne de vie. Loin d’ĂȘtre une condamnation, la cinquantaine est une occasion unique de mettre les choses Ă  plat, de faire le bilan et de changer ce qui ne va pas. La mĂ©decine chinoise envisage l’ĂȘtre dans sa globalitĂ©, Ă©coute le patient et comprend son ressenti tout en lui donnant les clĂ©s pour augmenter sa qualitĂ© de vie. BĂ©nĂ©ficier des traitements de mĂ©decine chinoise au milieu de sa vie permet de prĂ©parer une seconde mi-temps plus harmonieuse que la premiĂšre.

BARRYLAND - MUSÉE ET CHIENS DU SAINT-BERNARD

Une expérience unique sur les traces du chien national suisse

Barryland Ă  Martigny est le lieu de rencontre entre les amoureux des animaux et les chiens Saint-Bernard. Une visite divertissante au cƓur de l’univers de Barry qui constitue une excursion idĂ©ale pour toute la famille.

Barry, c’est le nom du chien Ă  qui les Saint-Bernard doivent leur cĂ©lĂ©britĂ©. Selon la lĂ©gende, il aurait secouru plus de 40 personnes au col du Grand-St-Bernard. L’attraction principale du musĂ©e, celle qui attendrit les cƓurs et fait briller les yeux des visiteurs, est la rencontre avec les fameux chiens de l’Hospice du Grand-St-Bernard. Tous les jours Ă  Barryland, les visiteurs ont l’occasion d’admirer les Saint-Bernard ainsi que d’observer les gardiens et gardiennes dans leurs nombreuses

tĂąches quotidiennes. Observer de prĂšs les Barry en train de jouer, de s’entraĂźner, de gambader et bien plus encore est toujours une expĂ©rience inoubliable. Les visiteurs peuvent Ă©galement y dĂ©couvrir les adorables petits pensionnaires : cinq lapins, quatre cochons d’Inde et deux tortues d’Hermann, qui se trouvent vers les parcs extĂ©rieurs des Saint-Bernard.

Musée et expositions

Le musĂ©e est consacrĂ© au chien national suisse et Ă  sa rĂ©gion d’origine. Il prĂ©sente les Saint-Bernard dans l’art, dans des tableaux peints et des gravures sur cuivre, dans plus de 100 ans de publicitĂ© ainsi que dans des films de divertissement, des bandes dessinĂ©es et des publicitĂ©s. En outre, le musĂ©e montre le rĂŽle du Saint-Bernard Ă  travers les Ăąges – de l’ancien chien d’avalanche au chien social pour les personnes ayant des besoins spĂ©cifiques et celles qui se trouvent dans des situations de vie difficiles. Une photobox invite les visiteurs Ă  prendre une photo souvenir avec des sujets librement choisis.

L’espace « Barry Family », au deuxiĂšme Ă©tage, propose des jeux et des divertissements pour les jeunes fans de Barry. Des animations et activitĂ©s

rĂ©guliĂšres pour les enfants sont Ă©galement organisĂ©es Ă  Barryland tout au long de l’annĂ©e, ainsi que des promenades avec les Saint-Bernard en avril et en mai (sur inscription prĂ©alable).

Restaurant « CafĂ© de Barry »

Le restaurant du musĂ©e est le lieu idĂ©al pour une pause gourmande dans une ambiance moderne et chaleureuse. Le « CafĂ© du Barry » propose des menus quotidiens, des spĂ©cialitĂ©s de saison et des produits rĂ©gionaux. À la belle saison, une terrasse magnifique situĂ©e en face de l’amphithéùtre accueille les visiteurs le temps d’une courte pause ou d’un instant plus long selon les envies. Ce stop idĂ©al chouchoute tant les enfants que les parents et grands-parents.

Infos

Images Déborah Dini et Cedric Widmer

‱ Ouvert 7/7 de 10h Ă  18h, sauf les 24-25 dĂ©cembre

Accessible en fauteuil roulant

Restaurant: cuisine chaude non-stop, de 11h Ă  17h

Barryland Rue du Levant 34, 1920 Martigny

T. 027 720 53 53

www.barryland.ch

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA 3
BRANDREPORT BIOMED-MTC ‱ BRANDREPORT #FOCUS50PLUS
‱
Lingling SHI Doctoresse (Cn) et fondatrice de Biomed Interview Léa Stocky

Gruyùre, l’escapade authentique

Dans une rĂ©gion magnifique oĂč les produits du terroir, les musĂ©es et chĂąteaux ainsi que les paysages sont Ă  connaĂźtre absolument, la GruyĂšre fait figure d’exception dans le paysage touristique romand. FidĂšle Ă  sa culture, Ă  ses traditions ainsi qu’à son savoir-faire local, la rĂ©gion est Ă  (re)dĂ©couvrir sans plus tarder. Pourquoi ne pas le faire lors d’une exposition ?

En matiĂšre de tourisme, la Suisse regorge de rĂ©gions toutes plus belles les unes que les autres. Outre les principales villes, qui permettent de bĂ©nĂ©ficier d’activitĂ©s et attractions citadines dans un cadre apaisant propre au pays, on trouve aussi et surtout de nombreux villages et communes Ă  dĂ©couvrir et apprĂ©cier pour leur authenticitĂ©. Dans des paysages naturels Ă  couper le souffle, on profite ainsi d’une offre touristique qui a su conserver et prĂ©server ses racines culturelles et traditionnelles. Et parmi ces rĂ©gions, la GruyĂšre fait office d’incontournable. Pour dĂ©couvrir son histoire et son patrimoine, rien de mieux que le MusĂ©e gruĂ©rien. Une vision actualisĂ©e, vivante et dynamique du patrimoine gruĂ©rien

Le MusĂ©e gruĂ©rien s’attache depuis plus d’un siĂšcle Ă  mettre en valeur et Ă  faire vivre le patrimoine rĂ©gional, en faisant partager le quotidien de ses habitants au fil des siĂšcles. Son exposition permanente « La GruyĂšre – itinĂ©raires et empreintes », qui s’étend sur plus de 1000 mĂštres carrĂ©s, propose entre autres de visiter l’intĂ©rieur d’une ferme et d’un chalet d’alpage et de cheminer dans les rues de la ville de Bulle au

XVIIIe siĂšcle. Entre ville et campagne, Ă©levage du bĂ©tail et premiĂšres industries, vie quotidienne et culture locale, dĂ©couvrez tous les secrets de la rĂ©gion d’origine du cĂ©lĂšbre fromage de GruyĂšre.

Moderne et interactive, cette exposition est conçue comme un rĂ©cit et s’articule autour de diffĂ©rents thĂšmes : fabrication et commerce du fromage, artisanat et premiĂšres industries, vie domestique et population, Ă©volution dĂ©mographique de Bulle, pouvoirs et territoires du Moyen Âge au XIXe siĂšcle, religion (Ă©glise officielle et piĂ©tĂ© privĂ©e), ainsi que crĂ©ation et diffusion des reprĂ©sentations emblĂ©matiques de la rĂ©gion. Le parcours, qui comprend un spectacle audiovisuel, des maquettes, des costumes, objets et peintures, ainsi que des jeux destinĂ©s au jeune public promet un moment de dĂ©couverte ludique et passionnant. Au MusĂ©e gruĂ©rien, il n’y a pas que des choses Ă  regarder, il y en a aussi Ă  toucher et Ă  manipuler, telles qu’un toit en tavillons Ă  reconstituer.

Le MusĂ©e accueille Ă©galement des expositions temporaires thĂ©matiques ou artistiques qui, tout en ayant un lien avec la GruyĂšre, abordent d’autres horizons. Ces expositions rĂ©unissent des Ɠuvres

12.0317.09.2023 musee-gruerien.ch

d’art, des objets et des documents originaux qui concourent Ă  Ă©clairer les enjeux du monde actuel.

RĂ©formes : Et Fribourg resta catholique Associer le canton de Fribourg et le catholicisme a longtemps Ă©tĂ© une Ă©vidence. Pourtant, Ă  la clef de ce qui deviendra une « citadelle catholique », il y a la dĂ©termination d’autoritĂ©s civiles et ecclĂ©siastiques conjointes qui fondent leur stratĂ©gie Ă  la fois sur une vaste entreprise de communication et sur un souci permanent de contrĂŽle.

Avec sa nouvelle exposition fascinante qui remonte aux origines de la citadelle catholique fribourgeoise, le Musée gruérien offre aux visiteurs une occasion unique de découvrir comment la réforme catholique issue du Concile de Trente a influencé la vie religieuse, culturelle et intellectuelle de la région à travers les siÚcles. Et interroge sur la place désormais occupée par le patrimoine religieux dans notre quotidien.

Le concile de Trente, qui s'est tenu de 1545 Ă  1563, a Ă©tĂ© un Ă©vĂ©nement majeur dans l'histoire de l'Église catholique. Il a Ă©tĂ© convoquĂ© pour rĂ©pondre aux dĂ©fis posĂ©s par la RĂ©forme protestante et pour

renforcer la foi catholique en Europe. Alors que Berne, son puissant voisin passe Ă  la RĂ©forme, Fribourg choisit dĂšs le dĂ©but des annĂ©es 1520 de rester fidĂšle Ă  la foi traditionnelle. Point d’immobilisme dans cette rĂ©solution mais de nombreux changements en phase avec la culture moderne du temps : la RĂ©forme catholique s’impose Ă  la ville et au canton dĂšs la fin du XVIe siĂšcle.

Telle une remontĂ©e dans le temps, cette exposition temporaire offre la possibilitĂ© d’admirer des Ɠuvres d'art Ă  l’intensitĂ© puissante, des objets cultuels rares, des manuscrits inĂ©dits ainsi que des documents et des livres issus de la bibliothĂšque ancienne des Capucins de Fribourg. Autant de piĂšces essentielles au patrimoine fribourgeois qui reflĂštent les diffĂ©rents visages de cette culture religieuse. Les visiteurs sont Ă©galement invitĂ©s Ă  dĂ©couvrir comment les rĂ©formes promues par ce concile ont changĂ© et influencĂ© la vie des gens, de la liturgie Ă  la musique, en passant par l'Ă©ducation et la vie quotidienne.

Réformes

4 UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA FOCUS.SWISS ESCAPADE
Et Fribourg resta catholique
Image iStockphoto/Nico Valsangiacomo

Divorcer aprùs cinquante ans. Quels enjeux ?

L’espĂ©rance de vie moyenne tend Ă  s’allonger. Elle est aujourd’hui d’environ 80 ans. Ainsi, lorsque l’on a 50 ou 60 ans, il reste encore de belles annĂ©es Ă  vivre et de plus en plus de couples dĂ©cident, pour de multiples raisons, de divorcer, de s’offrir de nouvelles opportunitĂ©s de vie. Mais de quoi faut-il tenir compte avant d’entamer les dĂ©marches ? Focus avec Me Vanessa Green, de l’Étude Green Avocats.

Me Vanessa Green, quelle est la proportion de clients qui fait appel à vos conseils, aprùs 50 ans ?

S’agissant des consultations pour des cas de sĂ©paration ou de divorce, j’estime les clients de plus de 50 ans Ă  environ 30 % de ma consultation. Depuis quelques annĂ©es, les cas de divorce chez les plus de cinquante ans est en constante augmentation.

Comment l’expliquer ?

Cela est difficile Ă  Ă©valuer. Je pense que ce phĂ©nomĂšne peut ĂȘtre liĂ© Ă  l’évolution de la sociĂ©tĂ©, Ă  l’augmentation de l’espĂ©rance de vie. TrĂšs souvent, les Ă©poux attendent que les enfants aient quittĂ© le nid familial pour initier une sĂ©paration. Les parents s’autorisent alors Ă  vivre pour eux, chacun de leur cĂŽtĂ©. Dans ces situations, si l’idĂ©e d’une telle dĂ©marche Ă©tait latente, elle survient nĂ©cessairement.

Quels sont les enjeux ?

Contrairement aux cas de ruptures survenant entre 25 et 40 ans, ce type de divorce implique d’autres enjeux ; principalement financiers. La liquidation des rapports de copropriĂ©tĂ© sur un bien immobilier, par exemple, avec l’éventuel rachat de la part de son conjoint, ou encore, le partage de la fortune

Ă©pargnĂ©e, tout comme les avoirs et cotisations liĂ©s Ă  la retraite. Ce sont des sujets qui prĂ©occupent. Quelles peuvent ĂȘtre les difficultĂ©s rencontrĂ©es en fonction du rĂ©gime matrimonial ?

Si les Ă©poux se sont mariĂ©s sous le rĂ©gime matrimonial de la sĂ©paration de biens, la situation peut se rĂ©vĂ©ler compliquĂ©e, aprĂšs divorce, pour celui qui a peu travaillĂ© durant le mariage. La personne n’a en effet pas eu la possibilitĂ© de se constituer Ă©pargne personnelle. Le juge devrait en tenir compte dans le cadre de la fixation d’une contribution d’entretien, mais la jurisprudence est devenue beaucoup plus restrictive dans ce domaine ; c’est dĂ©sormais l’autonomie des conjoints post divorce qui prime.

Qu’en est-il lorsque les Ă©poux sont soumis au rĂ©gime matrimonial de la participation aux acquĂȘts ?

Dans le cadre du rĂ©gime lĂ©gal, en cas de divorce, la moitiĂ© de l’épargne constituĂ©e au moyen de revenus sera dĂ©volue Ă  son conjoint (dettes dĂ©duites auparavant), sauf en cas de contrat modifiant cette clĂ© de partage. Si chaque Ă©poux a un bĂ©nĂ©fice Ă  partager, il y a compensation des montants. Cela Ă©tant, chaque Ă©poux reprend ses biens propres. Ainsi, les montants dont l’époux Ă©tait dĂ©jĂ  titulaire au moment de son mariage ne seront pas partagĂ©s. De la mĂȘme maniĂšre, les avoirs perçus Ă  titre d’hĂ©ritage durant le mariage par l’un ou l’autre Ă©poux ne seront pas partagĂ©s. Lorsqu’il s’agit de biens immobiliers acquis dans le cadre d’une succession, cela ne pose en gĂ©nĂ©ral pas de difficultĂ©, mais lorsque la succession ou les avoirs dĂ©tenus avant mariage comportent essentiellement des liquiditĂ©s, il n’est pas rare que l’époux ait versĂ©s ces montants

sur des comptes bancaires destinĂ©s Ă  l’usage familial, Ă  un moment donnĂ© ou tout au long du mariage. Dans cette situation, les liquiditĂ©s seront alors certainement qualifiĂ©es d’acquĂȘts, en application de la prĂ©somption lĂ©gale consacrĂ©e Ă  l’art. 200 al. 3 du code civil, et soumises au partage. Le conseil sera alors de conserver ses biens propres sĂ©parĂ©ment en gardant les preuves utiles.

Quid du partage de la prĂ©voyance professionnelle ?

En cas de divorce, les avoirs de prĂ©voyance professionnelle accumulĂ©s durant le mariage seront partagĂ©s par moitiĂ©, nous faisons rĂ©fĂ©rence ici au deuxiĂšme pilier. Cette rĂ©glementation a pour but de permettre aux deux conjoints de disposer d’avoirs de prĂ©voyance identiques aprĂšs le divorce. Le rĂ©gime matrimonial n’a pas d’influence sur le partage des avoirs de deuxiĂšme pilier pour cause de divorce.

Et qu’en est-il d’éventuels rachats d’annĂ©es d’assurance ?

Effectivement, il est important de prĂ©ciser que les montants rachetĂ©s durant le mariage, soit le rachat d’annĂ©es de cotisations, font partie intĂ©grante de la prestation de sortie Ă  partager. Cela est systĂ©matiquement le cas dans le cadre du rĂ©gime matrimonial lĂ©gal, mais Ă©galement, ce que les Ă©poux ignorent souvent, dans le cadre du rĂ©gime de la sĂ©paration de biens. La seule exception intervient dans le cas oĂč un Ă©poux, sĂ©parĂ© de biens, a procĂ©dĂ© Ă  des rachats de prĂ©voyance au moyen de sommes qui seraient qualifiĂ©es de biens propres dans le rĂ©gime de la participation aux acquĂȘts, autrement dit, des sommes perçues Ă  titre d’hĂ©ritage, d’avance d’hoirie, de donation ou qui appartenaient Ă  l’époux avant le mariage. Une fois de plus, il faut

ĂȘtre en mesure de prouver que les fonds sont des biens propres. En rĂ©sumĂ©, cela signifie donc qu’un Ă©poux sĂ©parĂ© de biens qui Ă©pargne des montants, issus de son revenu, sur un compte bancaire dont il est titulaire, ne devra en aucun cas partager son Ă©pargne au moment du divorce. A contrario, si ce mĂȘme Ă©poux procĂšde Ă  des rachats de prĂ©voyance au moyen de ses revenus, il se verra dans l’obligation de les partager dans le cadre de la rĂ©partition de l’avoir LPP. Est-ce qu’il est possible de dĂ©roger Ă  certaines rĂšgles en matiĂšre de prĂ©voyance ?

On peut effectivement dĂ©roger Ă  un partage des avoirs de prĂ©voyance, voire l’exclure, pour autant qu’il s’agisse d’un accord entre les parties. Cela dit, avant de ratifier une telle convention entre Ă©poux, le Tribunal devra prĂ©alablement s’assurer que chacun bĂ©nĂ©ficiera, au moment de sa retraite, d’une prĂ©voyance jugĂ©e adĂ©quate.

L’Étude Green Avocats est active dans les diffĂ©rents domaines du droit et dispose d’équipes spĂ©cialisĂ©es en droit de la famille (divorce, sĂ©paration, liquidation du rĂ©gime matrimonial, droits parentaux, succession), en droit de la responsabilitĂ© civile, en droit des contrats, en droit administratif et en droit pĂ©nal.

BRANDREPORT REALSTONE

‱

Julian Reymond, CEO de Realstone, a comme principal challenge de rĂ©aliser la transition Ă©nergĂ©tique des immeubles actuels et de construire des logements durables pour demain, tout en garantissant aux investisseurs des revenus stables. Il explique les avantages d’investir dans des fonds immobiliers, et ce Ă  n’importe quel moment de sa vie, plutĂŽt que d’ĂȘtre propriĂ©taire d’immeubles en dĂ©tention directe.

neutralitĂ© carbone. Pour y parvenir, outre le remplacement de toutes les chaufferies au mazout ou au gaz par des systĂšmes alimentĂ©s par des Ă©nergies renouvelables et la rĂ©fection de l’enveloppe des immeubles, nous explorons aussi des solutions innovantes.

Julian Reymond, qu’est-ce que Realstone ?

Realstone est une direction de fonds de placement qui gĂšre plus de 4.2 milliards de francs d’actifs immobiliers en Suisse, essentiellement rĂ©sidentiels. Une bonne partie de notre clientĂšle sont des caisses de pension, mais nous nous adressons aussi aux particuliers. Nous crĂ©ons de la valeur en investissant l’argent qui nous est confiĂ© dans la rĂ©novation du parc immobilier que nous gĂ©rons et dans des nouveaux projets de constructions. En contrepartie, nous reversons les revenus locatifs Ă  nos investisseurs sous forme de dividendes. Notre objectif est d’ĂȘtre le gestionnaire d’actifs immobiliers le plus durable, le plus innovant et le plus performant de Suisse, pour nos investisseurs et pour nos locataires.

Quelles sont les valeurs de Realstone ?

Les valeurs de Realstone sont assez simples : un fort esprit d’équipe, une grande prĂ©cision et une excellence Ă  toute Ă©preuve. Ces valeurs helvĂ©tiques soutiennent notre philosophie d’investissement nommĂ©e « Real impact », qui consiste Ă  agir de maniĂšre responsable et durable, en donnant du sens Ă  chacune de nos actions pour qu’elles aient un impact rĂ©el. Car pour nous la durabilitĂ© et le bien-ĂȘtre des locataires sont centraux dans la gestion, la construction et la rĂ©novation de nos immeubles.

Comment se traduit concrĂštement ce souci de durabilité ?

Nous nous sommes engagĂ©s Ă  rĂ©duire les Ă©missions de CO2 de notre parc immobilier en dessous de 20 kg/m2/an d’ici 2031 afin d’atteindre Ă  terme la

Nous avons par exemple Ă©tĂ© les premiers Ă  installer des compteurs individuels dans les nouveaux logements pour informer les locataires de leurs consommations Ă©nergĂ©tiques. A Horgen (ZH), le chauffage de notre projet de 444 logements est entiĂšrement exempt d’émissions de CO2 grĂące Ă  la rĂ©utilisation de la chaleur Ă©mise par un datacenter voisin. Nous installons Ă©galement des panneaux photovoltaĂŻques sur nos toits afin de fournir de l’électricitĂ© propre.

Les investissements dans la durabilité sont-ils profitables aux investisseurs ?

Certainement! Nous avons planifiĂ© sur dix ans nos investissements dans la rĂ©duction des Ă©missions de CO2. La future loi fĂ©dĂ©rale sur le climat, l’innovation et l’énergie – soumise Ă  votation en juin prochain – fixe une rĂ©duction des gaz Ă  effet de serre de 100 % d’ici 2050 pour le secteur du bĂątiment. Plus on anticipe ces investissements, plus on aura le temps de lisser leur amortissement sur les annĂ©es Ă  venir afin de maintenir des dividendes stables. Quelqu’un qui investit dans l’un de nos fonds aura donc aussi un impact en termes de rĂ©duction d’émissions de CO2

Qui peut investir et quels sont les avantages Ă  investir dans des fonds immobiliers plutĂŽt que d’ĂȘtre propriĂ©taire d’immeubles en dĂ©tention propre ?

GrĂące aux fonds immobiliers, tout le monde peut investir dans la pierre pour quelques centaines de francs. Le premier avantage est fiscal : des porteurs de parts privĂ©s qui investissent dans nos fonds sont exonĂ©rĂ©s d’impĂŽts sur les dividendes reçus et sur le capital investi. Ensuite, la liquiditĂ© de l’investissement facilite la succession. Par

exemple, un investissement d’un million composĂ© de parts Ă  100 francs est plus facile Ă  diviser qu’un immeuble de la mĂȘme valeur, ce qui Ă©vite de nombreux tracas pour les hĂ©ritiers.

Enfin, les risques liĂ©s Ă  la vacance sont rĂ©duits grĂące Ă  une plus grande diversification des biens. Les revenus sont stables puisque nous percevons des loyers dont le volume total augmente grĂące Ă  notre gestion active en matiĂšre de rĂ©novations et densification des immeubles, sans parler d’une Ă©ventuelle croissance possible en lien avec le retour de l’inflation et des taux d’intĂ©rĂȘt en hausse. En outre, cela comporte aussi l’avantage de ne pas devoir s’occuper de la gestion d’un immeuble, surtout que la transition Ă©nergĂ©tique peut vite reprĂ©senter un casse-tĂȘte pour un propriĂ©taire qui n’aurait pas les compĂ©tences techniques ni les capacitĂ©s financiĂšres pour la mener.

Aprùs 50 ans, est-il trop tard pour investir ?

Il n’est jamais trop tard! Mon conseil est d’investir à moyen/long terme. L’objectif d’un fonds immobilier

n’est pas du « day-to-day trading », mais bien un investissement sur une dizaine d’annĂ©es. En Suisse, l’immobilier a toujours Ă©tĂ© une valeur refuge. De plus, il est indexĂ© Ă  l’inflation et au taux d’intĂ©rĂȘt, ce qui permet de suivre leur Ă©volution au lieu de la subir. Enfin, une nouvelle opportunitĂ© intĂ©ressante se profile pour les propriĂ©taires privĂ©s qui rĂ©flĂ©chissent Ă  simplifier leur succession ou dont l’immeuble est concernĂ© par la transition Ă©nergĂ©tique. Avec la FINMA, nous discutons actuellement de la possibilitĂ© de faire des apports en nature, aussi nommĂ©s swaps, c’est-Ă -dire de permettre Ă  une personne de cĂ©der son bien immobilier Ă  un fonds contre un certain nombre de parts de celui-ci. La loi le permet, nous sommes simplement en train de le mettre en place dans nos contrats de fonds pour que cela soit faisable dans les prochains mois.

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA #FOCUS50PLUS 5 GREEN AVOCATS ‱ BRANDREPORT
« Il n’est jamais trop tard pour investir dans l’immobilier »
Interview Léa Stocky et Maévane Mas Julian Reymond CEO de Realstone

Pour une vie sonore Ă©panouie !

L’OMS estime dans son rapport mondial sur l’audition 2021 que 1,5 milliard de personnes dans le monde vivent avec une dĂ©ficience auditive.

En Suisse, on estime que 10% de la population souffre de problÚmes auditifs, chiffre en constante progression avec une démographie vieillissante.

d’éprouver des difficultĂ©s de comprĂ©hension en tĂȘte Ă  tĂȘte, en groupe, en rĂ©unions de famille, lors de conversations tĂ©lĂ©phoniques ou en regardant la tĂ©lĂ©vision. Les personnes concernĂ©es se sentent mal Ă  l’aise en sociĂ©tĂ© en particulier en milieu bruyant. De plus, elles peuvent percevoir des bruits appelĂ©s des acouphĂšnes.

Qui peut ĂȘtre concernĂ© ?

Comment dĂ©tecter une perte d’audition ?

Vers qui se tourner si l’on remarque que l’on entend moins bien ? Quelles solutions existent ? Fabien Masquelier, audioprothĂ©siste au centre auditif Audika – GenĂšve Coutance, rĂ©pond Ă  ces questions dans l’interview qui suit.

Fabien Masquelier, quelle est la mission des centres auditifs Audika ?

NĂ©e de l’union de quatre distributeurs d’appareils auditifs dont les origines remontent Ă  1929, Audika a Ă©tĂ© fondĂ©e en 2016 et appartient au groupe Demant qui est un des leaders mondiaux dans le domaine de l’audiologie. Depuis sa fondation, la mission d’Audika est d’aider le plus de personnes Ă  mieux entendre en rendant l’accĂšs aux solutions auditives disponibles pour tous et de s’engager au quotidien pour le bien-ĂȘtre et la santĂ© auditive.

Chez Audika, nous avons compris que dans la vie, tout est affaire de nuances et que beaucoup de choses se jouent sur des dĂ©tails qui font toute la diffĂ©rence. Cela s’applique Ă©galement Ă  la vie d’une personne qui est capable de mieux entendre, qui ressent la joie de percevoir Ă  nouveau tous les sons qui lui semblaient perdus. Ce qui caractĂ©rise Audika est que chaque individu, avec ses dĂ©sirs et ses besoins, est au cƓur de notre attention, «tout est donc affaire de nuances». Par consĂ©quent, nous lui garantissons une solution auditive personnalisĂ©e.

Quels sont les signes d’une perte d’audition ?

Ils peuvent ĂȘtre diffĂ©rents en fonction de l’ñge. Pour les enfants, nous constatons des difficultĂ©s dans l’acquisition et ou le dĂ©veloppement du langage, des troubles de l’élocution et du comportement avec Ă©galement des difficultĂ©s d’apprentissage Ă  l’école. Chez les adultes, la perte d’audition peut se manifester par le fait

GĂ©nĂ©ralement, la diminution de l’acuitĂ© auditive se manifeste vers l’ñge de 50 ans par un vieillissement naturel des cellules de l’oreille interne, que l’on nomme presbyacousie. Nous pouvons aussi citer les maladies chroniques, la consommation de tabac, les otites. Il peut Ă©galement y avoir des prĂ©dispositions gĂ©nĂ©tiques, des maladies telles que la mĂ©ningite ou la prise de certains mĂ©dicaments ototoxiques qui peuvent engendrer des dĂ©fiances auditives. L’otosclĂ©rose qui touche les osselets de l’oreille moyenne provoque Ă©galement une diminution de l’acuitĂ© auditive. L’exposition au bruit peut Ă©galement entraĂźner un dĂ©ficit auditif. Quels sont ses impacts sur la vie des individus ?

Il y a d’abord des consĂ©quences sociales : des difficultĂ©s croissantes Ă  communiquer et parfois un isolement etc. Des consĂ©quences physiques : fatigue frĂ©quente, acouphĂšnes, perte d’équilibre etc. Plusieurs Ă©tudes dont celle de la revue scientifique The Lancet publiĂ©e en 2020 affirment que la perte auditive est le principal facteur de risque de la dĂ©mence. Des consĂ©quences psychologiques : dĂ©pression, difficultĂ©s Ă  se concentrer, repli sur soi etc. Une perte d’audition affecte la vie des personnes qui en sont atteintes.

Les environnements sonores et vocaux sont dynamiques, complexes et imprĂ©visibles. Le cerveau doit ĂȘtre systĂ©matiquement capable de les gĂ©rer. En effet, quelles que soient nos capacitĂ©s auditives, notre cerveau essaiera toujours de reconnaĂźtre ce que nous entendons et d’y donner un sens.

Que faire si l’on remarque que l’on entend moins bien ?

Si l’on remarque que l’on entend moins bien, il est important de prĂ©ciser qu’à la moindre gĂȘne, il est recommandĂ© de consulter un audioprothĂ©siste ou un oto-rhino-laryngologiste, ce dernier

pourra dĂ©terminer l’origine des troubles auditifs ressentis. Dans de rares cas, une perte d’audition peut survenir brusquement, souvent de façon unilatĂ©rale. Si cela se produit, je conseille aux personnes de se rendre en urgence Ă  l’hĂŽpital.

Est-il possible de prĂ©venir une perte d’audition ? Si oui, comment ? Malheureusement, pas tous les types. Il est possible de prĂ©server son capital auditif et d’éviter les traumatismes sonores provoquĂ©s par le bruit en Ă©vitant les sons forts (au-dessus de 80 dB), en limitant son temps d’exposition et sa proximitĂ© au bruit et en accordant des moments de silence Ă  ses oreilles. Nous recommandons et proposons Ă  cet effet des protections auditives sur-mesure avec diffĂ©rents niveaux d’attĂ©nuation en cas d’exposition au bruit. Nous recommandons Ă©galement d’adopter une bonne hygiĂšne de vie et d’éviter la consommation excessive de tabac qui peut perturber la circulation sanguine et entraĂźner la dĂ©gĂ©nĂ©rescence des cellules ciliĂ©es de l’oreille interne. Quels services proposez-vous au sein d’Audika ?

Tout d’abord, nous attachons une grande importance Ă  la prĂ©vention ainsi qu’au dĂ©pistage des problĂšmes auditifs. Nous rĂ©alisons pour se faire des bilans auditifs complets et proposons des rendez-vous de conseil.

Notre rĂŽle est ensuite de guider le malentendant dans le choix de son Ă©quipement auditif aprĂšs avoir effectuĂ© des tests complets et performants et pris le temps de comprendre ses attentes. Nous mettons ensuite Ă  disposition gratuitement les aides auditives, pour que les personnes puissent Ă©valuer le bĂ©nĂ©fice obtenu dans leur environnement. Durant cette pĂ©riode d’apprentissage de 30 jours, nous les revoyons en gĂ©nĂ©ral de façon hebdomadaire, afin de procĂ©der en fonction de leur ressenti aux ajustements de rĂ©glages nĂ©cessaires et Ă  la mise en place d’une correction adaptĂ©e. Nous disposons pour ce faire d’outils exclusifs comme le Sound Studio ou le Fra-Matrix. Une fois l’adaptation finalisĂ©e, nous mettons en place un suivi dans la durĂ©e.

Concernant les appareils, nous disposons des technologies les plus innovantes et discrĂštes. Ils intĂšgrent dĂ©sormais de nombreuses possibilitĂ©s de rĂ©glages et fonctions qui permettent aux malentendants de mieux comprendre leurs interlocuteurs mĂȘme en milieu bruyant. Ils s’adaptent aux diffĂ©rentes ambiances sonores en proposant une gestion en temps rĂ©el de la correction de façon complĂ©tement automatique.

L’utilisation du Bluetooth permet Ă©galement de pouvoir proposer une liaison directe entre l’appareil auditif et le tĂ©lĂ©phone ou la tĂ©lĂ©vision, ce qui amĂ©liore considĂ©rablement l’intelligibilitĂ©, notamment pour les personnes atteintes de dĂ©ficiences auditives sĂ©vĂšres.

Notre rĂŽle est de donner le meilleur support pour compenser « une perte » Ă  laquelle chacun de nous rĂ©agira diffĂ©remment. Nous attachons donc chez Audika, au-delĂ  de l’aspect technique, une importance toute particuliĂšre au soutien du malentendant en le conseillant et en l’écoutant pour lui assurer un confort auditif durable.

Qu’est-il intĂ©ressant de savoir en plus sur l’audition ?

Notre ouĂŻe est un organe fin et dĂ©licat. Elle Ă©volue avec le temps, et gĂ©nĂ©ralement, la perte d’audition se passe lentement et presque imperceptiblement. Si l’audition diminue et que les codes neuronaux importants ne peuvent plus ĂȘtre fournis au cerveau, le centre de l’audition dans le cerveau est moins stimulĂ© et sollicitĂ© et des structures neuronales essentielles sont perdues. Par exemple, si les sons aigus ne sont plus perçus au fil du temps, le cerveau dĂ©sapprend le traitement de ces sons. Le centre de l’audition devient alors incapable de gĂ©rer des subtilitĂ©s auditives qui n’ont pas Ă©tĂ© traitĂ©es depuis longtemps. Et plus cette privation

dure longtemps, plus ses effets sont importants. C’est pourquoi un traitement prĂ©coce est essentiel : plus la perte auditive est identifiĂ©e tĂŽt, et plus il sera facile d’amĂ©liorer Ă  nouveau les capacitĂ©s auditives. L’oreille est un stimulant important pour le cerveau. Nous entendons avec les oreilles, mais nous comprenons avec le cerveau. Par consĂ©quent, nous avons besoin de notre audition pour apporter au cerveau des informations vitales sur l’environnement. En effet, c’est notre cerveau qui rend possible la perception des sons et la comprĂ©hension de la parole en premier lieu. Si le cerveau ne reçoit pas ces impulsions importantes, cela peut l’amener Ă  « oublier comment entendre ».

En 2015, une Ă©tude du Pr HĂ©lĂšne Amieva montre clairement que la surditĂ© est associĂ©e Ă  un dĂ©clin cognitif accĂ©lĂ©rĂ© chez le sujet ĂągĂ© mais que l’utilisation d’appareils auditifs attĂ©nue ce dĂ©clin. Les aides auditives permettent donc au cerveau de rester actif et dynamique.

L’audition et l’équilibre sont liĂ©s. En effet, beaucoup de troubles de l’équilibre sont liĂ©s Ă  des problĂšmes de l’oreille interne. Or, cette derniĂšre renferme deux organes, la cochlĂ©e et le vestibule, qui travaillent de pair et donnent le sens de l’équilibre. La littĂ©rature scientifique rapporte d’ailleurs un lien de plus en plus Ă©troit entre la perte d’audition non corrigĂ©e et le risque de chutes.

Voulez-vous en savoir plus sur la perte auditive ou cherchez-vous un appareil auditif qui réponde parfaitement à vos exigences ?

N’hĂ©sitez pas Ă  prendre rendez-vous dans votre centre auditif Audika le plus proche. Les audioprothĂ©sistes se feront un plaisir de vous aider.

Centre auditif Audika

Claudia Caruso, Audioprothésiste BF

Adrien Faija, Audioprothésiste BF

Centre Balexert Avenue Louis-CasaĂŻ 27 1209 GenĂšve-Balexert

Tél. 022 970 17 85

Centre auditif Audika

Fabien Masquelier, Audioprothésiste BF

Rue de Coutance 10

1201 GenĂšve-Coutance

Tél. 022 318 62 90

Centre auditif Audika

Sébastien Zapp, Audioprothésiste BF

Centre Commercial de Crissier Chemin du Closalet 7 1023 Crissier

Tél. 021 637 67 37

Centre auditif Audika

Manuel Fanesi, Audioprothésiste BF

Centre commercial du Forum Place du Marché 6B

1820 Montreux

Tél. 021 966 40 30

Audika est l’un des audioprothĂ©sistes les plus renommĂ©s et les plus innovants, avec son propre centre de recherche au Danemark. En Suisse, Audika est bien reprĂ©sentĂ© avec plus de 70 centres auditifs et 200 employĂ©s.

6 UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA #FOCUS50PLUS
Fabien Masquelier AudioprothĂ©siste BF Centre auditif Audika –GenĂšve Coutance
BRANDREPORT ‱ AUDIKA SA
La prévention de la déficience auditive est essentielle tout au long de la vie.

MARSEILLE*

PARIS

JEU-CONCOURS

Tentez de remporter 2 allers-retours SuisseParis ou GenĂšve-Marseille en STANDARD 1 . Pour participer, flashez le QR-Code en bas Ă  droite de cette page et remplissez le formulaire de participation.

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA
ÈRE

« Je n’ai pas de tabou, c’est important pour libĂ©rer la parole »

« Dans la vie, il faut oser » est la devise de Caroline Ida Ours. Elle a effectivement osĂ© quelque chose que la plupart des gens trouvaient, selon ses mots, « complĂštement dingue ». Aujourd’hui, Ă  62 ans, elle est influenceuse et mannequin. Dans cette interview, elle se confie sur son parcours et l’ñgisme qui rĂšgne dans le milieu.

Caroline Ida Ours, quand et comment ĂȘtes-vous devenue mannequin ?

Avant d’ĂȘtre mannequin, j’ai travaillĂ© dans l’entreprise familiale de mes 20 ans Ă  mes 45 ans.

J’ai ensuite Ă©tĂ© assistante commerciale pendant deux ou trois ans avant d’ĂȘtre chassĂ©e par un cabinet de recrutement et de travailler pendant sept ans pour un crĂ©ateur de sac Ă  main.

J’ai commencĂ© mon mĂ©tier d’influenceuse sur les rĂ©seaux il y a six ans. Les derniĂšres annĂ©es n’avaient pas Ă©tĂ© faciles et j’ai eu envie de faire quelque chose pour moi. Je me suis donc lancĂ©e sans trop savoir oĂč cela allait me mener. C’est venu comme une Ă©vidence, je ne peux pas l’expliquer. J’avais dĂ©jĂ  un compte Instagram et une bonne intuition. Aujourd’hui, j’ai une communautĂ© de plus de 100 000 followers et je suis trĂšs engagĂ©e sur les questions de body positivitĂ©, de diversitĂ© et d’inclusivitĂ©. J’essaie surtout de casser l’ñgisme, une discrimination de la sociĂ©tĂ© envers les personnes plus ĂągĂ©es. Je pense en effet que vieillir est une chance. Quand on a un rĂȘve, il faut tout faire pour le rĂ©aliser. J’ai osĂ© et j’ai eu raison de suivre mon instinct.

Trois ans plus tard, aprĂšs avoir sautĂ© le pas sur Instagram, je suis devenue mannequin un peu par hasard. Qu’entendez-vous par là ?

J’ai participĂ© il y a trois ans au salon de la lingerie sur le thĂšme du body positive. De nombreuses femmes Ă©taient invitĂ©es pour reprĂ©senter la diversitĂ©. Par la suite, le salon m’a rappelĂ©e pour que je dĂ©file sur la catwalk en tant que mannequin. À partir de ce moment-lĂ , des marques ont commencĂ© Ă  me contacter. J’ai par exemple fait plusieurs campagnes pour la marque de lingerie Darjeeling.

Qu’est-ce qui vous plaĂźt le plus dans votre mĂ©tier ?

Je fais du bien aux femmes et je fais bouger les choses. Depuis un an, beaucoup de mĂ©dias se sont intĂ©ressĂ©s Ă  moi car en tant que femme « normale », je parle de sujets dont personne ne parlait auparavant. Cela correspond Ă  l’ouverture de la sociĂ©tĂ© sur ce problĂšme d’invisibilisation, de diversitĂ©, de body positivitĂ©. Finalement, je suis la porte-parole des femmes de plus de 50 ans dans les mĂ©dias.

Justement, quelle est la place des femmes de plus de 50 ans dans le mannequinat ?

Elle est rĂ©duite Ă  presque zĂ©ro. Lors de la derniĂšre fashion week, il y avait 0,5 % de mannequins de plus de 50 ans. Il y a trĂšs peu de travail et beaucoup de demandes. Les critĂšres sont aussi trĂšs limitants. Aujourd’hui, en plus d’avoir le physique typique de mannequin et de faire du 36 ou du 38, il faut avoir de longs cheveux blancs. Portant du 44, je ne corresponds pas Ă  ces critĂšres, c’est pourquoi on vient plutĂŽt me chercher sur Instagram. La vieillesse fait peur. Les gens ne veulent pas voir des personnes ĂągĂ©es et prĂ©fĂšrent se projeter grĂące Ă  des mannequins plus

jeunes. C’est pourquoi les marques sont frileuses et n’osent pas changer leur marketing d’un coup. Elles attendent plutĂŽt que de jeunes crĂ©ateurs dĂ©cident de suivre le mouvement de la vie et de faire ce pas-lĂ . Y a-t-il une Ă©volution ?

Je ne remarque pas que les choses changent. Par les agences, j’ai trĂšs peu de castings. Étant donnĂ© que les marques ne leur demandent pas des personnes avec des profils diffĂ©rents, les agences ne sont pas forces de propositions. On commence Ă  voir plus de femmes d’un certain Ăąge lorsqu’elles ont entre 75 et 80 ans, avec un profil de grand-mĂšre. Dans ce cas-lĂ , la demande est un peu plus importante. Je ne lis plus les magazines de mode, car je ne m’y retrouve pas, et ce n’est pas normal. En couverture, ce sont soit des femmes trĂšs jeunes, soit des stars qui peuvent ĂȘtre plus ĂągĂ©es mais qui ne sont pas des personnes lambdas.

J’aimerais seulement travailler plus. Aujourd’hui, je ne gagne pas ma vie grĂące au mannequinat mais grĂące Ă  mon travail d’influenceuse et aux partenariats. Toutefois, mĂȘme dans l’influence, les femmes plus ĂągĂ©es sont souvent davantage axĂ©es sur la mode ou des

thÚmes précis et considérés comme féminins tels que la ménopause, et non pas sur une diversité de sujets.

Au niveau du nombre de shootings que je fais, je n’ai pas vraiment de visibilitĂ© sur l’annĂ©e et c’est trĂšs alĂ©atoire. Parfois je n’en ai pas pendant plusieurs semaines voire mois et ensuite je peux en avoir deux dans le mois.

Qu’est-ce que le body positive selon vous ?

Le body positive est l’acceptation de soi et de son corps, tout simplement. Il s’agit de s’aimer et d’essayer de prendre soin de son corps pour aller le plus loin possible.

Vous communiquez beaucoup sur les sujets qui vous tiennent à cƓur. Pourquoi est-ce important pour vous ?

Je n’ai pas de tabou, c’est important pour libĂ©rer la parole. Parler davantage Ă  travers les rĂ©seaux permet d’atteindre des personnes qui n’osent pas s’exprimer et de faire bouger les choses.

Que faudrait-il pour faire bouger les choses ?

Il faudrait que plus de femmes s’expriment et que les codes de la sociĂ©tĂ© changent, mais qu’il y ait aussi plus d’intergĂ©nĂ©rationalitĂ© dans la sociĂ©tĂ© et les entreprises. MĂ©langer les plus jeunes et les plus vieux permettrait d’apprendre les uns des autres. Il n’y aura malheureusement pas de changements dans les vingt prochaines annĂ©es. Avez-vous de nouveaux projets ? Heureusement oui, sinon je serai malheureuse (rires). Je travaille avec la marque Darjeeling sur un projet qui sortira en fin d’annĂ©e. J’ai aussi un projet en cours avec la marque Afibel. Le dĂ©but d’annĂ©e est un peu calme, ce qui me permet d’avoir du temps pour m’exprimer sur les sujets qui me tiennent Ă  cƓur et les causes que je veux dĂ©fendre.

Entreprise familiale depuis 1993, nous diffusons une large gamme de produits destinés à améliorer le quotidien et la mobilité.

8 UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA FOCUS.SWISS INTERVIEW ‱ CAROLINE IDA OURS
CONSEILS SUR SITE DEVIS GRATUIT ET SANS ENGAGEMENT INSTALLATION ET ENTRETIEN DANS TOUTE LA SUISSE ROMANDE
LIFT VERTICAL SIÈGE OU PLATEFORME T +41 21 887 02 10 info@meditec.ch · www. meditec.ch MĂ©langer les plus jeunes et les plus vieux permettrait d’apprendre les uns des autres.
Interview Léa Stocky Images màd

La protection du logement de famille et le devoir d’information rĂ©ciproque entre Ă©poux

Le logement de famille est un local d’habitation dans lequel les Ă©poux, avec ou sans enfant, vivent ensemble et oĂč ils ont choisi d’établir durablement leur communautĂ© conjugale. Ce local, centre de vie de ces personnes, est en principe un immeuble (maison ou appartement) ; mĂȘme si d’autres situations sont imaginables (pĂ©niche, caravane). Comment est-il protĂ©gé ?

Avoir un logement et ne pas devoir le quitter sans raison est tout simplement vital pour une famille, spĂ©cialement eu Ă©gard aux enfants ; il faut donc Ă©viter que l’époux titulaire des droits sur le logement de la famille les cĂšde, les restreigne ou y renonce Ă  cause d’une situation familiale tendue ou par lĂ©gĂšretĂ©.

Logement de famille et situations familiales

Cette protection a du sens lorsqu’un seul des conjoints est titulaire des droits (contractuels ou rĂ©els) sur le logement de famille. Lorsque les Ă©poux sont colocataires, ils doivent rĂ©silier le bail en commun, et la rĂ©siliation du bail doit leur ĂȘtre notifiĂ©e sĂ©parĂ©ment, dĂ©jĂ  en vertu des rĂšgles de droit du bail. Si les enfants paraissent ĂȘtre au centre des prĂ©occupations, la protection vise en rĂ©alitĂ© les couples mariĂ©s, qu’ils aient ou non des enfants ; les concubins sont exclus de cette protection.

Le logement de famille conserve en principe sa caractĂ©ristique pendant toute la durĂ©e du mariage, mĂȘme aprĂšs l’introduction d’une procĂ©dure de divorce, Ă©galement en prĂ©sence d’une sĂ©paration de fait. Les Ă©poux ne peuvent pas y dĂ©roger, ni en modifier le champ d’application par contrat de mariage, indĂ©pendamment du rĂ©gime matrimonial applicable. Les dĂ©pendances et accessoires liĂ©s au logement, tel que la cave, le

grenier, le garage, la place de parc, entrent Ă©galement dans le champ de protection. N’entrent pas en considĂ©ration les rĂ©sidences secondaires ou autres maisons de vacances, ni les objets mobiliers qui garnissent le logement familial.

Consentement du conjoint

Un Ă©poux ne peut, sans le consentement exprĂšs de son conjoint, ni rĂ©silier le bail, ni aliĂ©ner la maison ou l’appartement familial. On n’exige pas que les conjoints procĂšdent ensemble, mais celui qui n’a pas de droit sur le logement de famille doit donner son consentement. Cette dĂ©claration doit ĂȘtre expresse, claire, sans Ă©quivoque ni conditions. Le consentement doit ĂȘtre communiquĂ© et reçu par le tiers cocontractant. La protection du logement de famille exige le consentement du conjoint non locataire pour rĂ©silier un contrat de bail ou pour chaque acte restreignant les droits sur ledit logement. L’article 169 CC impose aussi le consentement du conjoint non titulaire d’un droit de

propriĂ©tĂ© sur le logement pour tous les actes qui restreignent les droits dont dĂ©pend le logement de famille. Le premier acte soumis au consentement du conjoint qui vient Ă  l’esprit est l’aliĂ©nation de l’habitation, Ă  savoir le transfert de propriĂ©tĂ©, que ce soit par la vente, donation, l’échange ou l’apport de l’immeuble au sein d’une sociĂ©tĂ©.

Conséquence du défaut de consentement

L’absence de consentement entraĂźne la nullitĂ© des transactions passĂ©es. Cette nullitĂ© peut ĂȘtre constatĂ©e en tout temps et doit ĂȘtre relevĂ©e d’office par le juge. La nullitĂ© peut ĂȘtre invoquĂ©e par n’importe quelle personne concernĂ©e.

Refus du consentement et intervention du juge

Le conjoint peut refuser son consentement lorsque celui-ci est requis. Il n’est cependant pas libre car le juge peut ĂȘtre appelĂ© Ă  supplĂ©er l’absence de consentement si celui-ci est refusĂ© sans motif lĂ©gitime. Le refus n’est lĂ©gitime que s’il est dans l’intĂ©rĂȘt bien compris de la famille. L’époux titulaire des droits dont dĂ©pend le logement de famille ne peut en appeler au juge que s’il lui est impossible de recueillir le consentement de son conjoint ou si ce consentement lui est refusĂ©. L’autorisation du juge remplace ainsi le consentement du conjoint. AprĂšs l’introduction d’une procĂ©dure en divorce, la compĂ©tence passe aux juges des mesures provisionnelles. Le devoir de renseigner entre Ă©poux La loi prĂ©voit un devoir d’information rĂ©ciproque des conjoints en matiĂšre patrimoniale. L’article 170 CC confĂšre aux conjoints un droit Ă  l’information sur leurs situations financiĂšres respectives. Chacun des conjoints est titulaire envers l’autre d’un droit aux renseignements, qu’il peut faire valoir

en justice s’il dispose d’un intĂ©rĂȘt juridiquement protĂ©gĂ©. Ce droit prend naissance Ă  la conclusion du mariage et s’éteint Ă  sa dissolution. Un conjoint peut exercer son droit aux renseignements en tout temps. Le conjoint a droit Ă  la connaissance de tout Ă©lĂ©ment propre Ă  lui donner des informations sur la composition du patrimoine du conjoint. Les renseignements portent sur les revenus, produits du travail, rendement de la fortune, sur les biens et les dettes. Le devoir d’information porte sur tous les renseignements et les documents demandĂ©s nĂ©cessaires et adĂ©quats pour permettre Ă  l’époux demandeur de se faire une idĂ©e prĂ©cise de la situation financiĂšre de son conjoint. L’étendue s’apprĂ©cie dĂšs lors dans chaque cas, en fonction des circonstances et du but recherchĂ©. La demande d’information porte sur la situation Ă©conomique actuelle du conjoint ; le conjoint peut aussi avoir un intĂ©rĂȘt Ă  obtenir des renseignements sur d’anciennes transactions et sur des dĂ©marches Ă  venir.

La loi prĂ©voit ainsi expressĂ©ment le recours au juge si le conjoint refuse de donner des renseignements. Le conjoint peut demander au juge d’ordonner Ă  l’autre conjoint ou aux tiers de fournir les renseignements utiles et de produire les piĂšces nĂ©cessaires. Ainsi, peuvent ĂȘtre des destinataires de la dĂ©cision judiciaire les mandataires, gĂ©rants de fortune, banquiers, fiduciaires, etc. La loi rĂ©serve toutefois le secret professionnel des avocats, notaires, mĂ©decins, ecclĂ©siastiques et de leurs auxiliaires. La loi ne vise toutefois pas le secret bancaire, ni le secret fiscal, ni les informations dĂ©tenues par une fiduciaire.

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA #FOCUS50PLUS 9 BURYSEK & DISERENS AVOCATS ‱ BRANDREPORT
histoire a changĂ© l’Histoire PAR LE RÉALISATEUR DE
nouveau ïŹlm de Stephen FREARS Sally HAWKINS Steve COOGAN
29 MARS AU CINÉMA
Un Ă©poux ne peut, sans le consentement exprĂšs de son conjoint, ni rĂ©silier le bail, ni aliĂ©ner la maison ou l’appartement familial.
Son
THE QUEEN ET PHILOMENA Le
LE

et sensualitĂ© sont des questions d’énergie, non d’ñge »

Dans la lignĂ©e des actrices italiennes les plus sensuelles, Monica Bellucci devient de plus en plus iconique avec l’ñge - mais aussi plus audacieuse. Elle commence l’annĂ©e 2023 avec le one-woman-show Maria Callas : Letters & Memoirs Ă  Broadway. En parallĂšle, l’actrice aujourd’hui ĂągĂ©e de 58 ans prĂ©pare une sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e sur la vie de Tina Modotti, photographe, actrice et activiste du XXĂšme siĂšcle.

Dans diffĂ©rentes interviews rĂ©alisĂ©es avant la rĂ©cente pandĂ©mie, Monica Bellucci se confie sur son rapport Ă  la beautĂ©, sur sa passion pour la comĂ©die et sur la façon dont ses filles l’ont aidĂ©e Ă  assumer son rĂŽle de « working mom ». Retour sur le parcours d’une icĂŽne.

Les dĂ©buts d’une Ă©toile montante

Le nouveau siĂšcle vient tout juste de commencer lorsque Monica Bellucci se promĂšne dans les rues d’une petite ville cĂŽtiĂšre italienne, et s’installe au passage dans le cƓur des spectateurs du monde entier. Dans un film rĂ©alisĂ© par Giuseppe Tornatore, l’actrice incarne « MalĂšna », une femme trop sensuelle pour sa ville conservatrice. Le film est nommĂ© par l’AcadĂ©mie des Oscars Ă  Los Angeles en 2001 pour sa cinĂ©matographie Ă©poustouflante, mais la dĂ©couverte d’une telle Ă©toile est ce qui a rendu le film mĂ©morable.

Monica Anna Maria Bellucci est nĂ©e le 30 septembre 1964 Ă  CittĂ  di Castello, au nord de PĂ©rouse. Elle est la fille unique de Brunella Briganti, peintre amateur, et de Pasquale Bellucci, propriĂ©taire d’une entreprise de transport routier. Son pĂšre l’appelait « attrice » car dĂ©jĂ  petite, elle aimait jouer des personnages. « Mes parents ont Ă©tĂ© bons avec moi et m’ont soutenue lorsque j’ai voulu partir », se souvient-elle avec Ă©motion. « Ma mĂšre Ă©tait trĂšs jeune, elle n’avait que 20 ans quand je suis nĂ©e, je pouvais donc lui parler de tout. Quand je suis partie, elle m’a dit que je ne voudrai plus jamais revenir; et elle avait raison. » Elle dĂ©crit son milieu comme modeste, mais avec des relations humaines fortes. Ce sont des Ă©lĂ©ments qu’elle recherche Ă©galement dans son travail.

En effet, la portĂ©e du rĂŽle jouĂ© n’a jamais vraiment comptĂ© pour l’actrice. « Ce qui compte, ce n’est pas le nombre de minutes que je vais passer Ă  l’écran. J’aime les moments forts. Les moments magiques. Lorsque j’ai la chance de travailler avec des rĂ©alisateurs talentueux, j’apprends beaucoup. J’ai travaillĂ© avec Emir Kusturica pendant quatre ans et avec David Lynch pendant cinq minutes, mais nous avons vĂ©cu un moment magnifique. Les bons rĂ©alisateurs savent ce qu’ils peuvent faire avec un acteur, mĂȘme si l’acteur lui-mĂȘme ne sait pas s’il en est capable. »

Une beauté indiscutable

La beautĂ© de Monica Bellucci a rapidement Ă©tĂ© remarquĂ©e: elle fait ses premiĂšres photos professionnelles Ă  l’ñge de 13 ans et devient mannequin pour un coiffeur Ă  l’ñge de 18 ans. Elle est alors Ă©tudiante en droit, mais a rapidement abandonnĂ© ses Ă©tudes lorsque sa carriĂšre de mannequin a dĂ©collĂ© et qu’elle est devenue l’égĂ©rie de Dolce & Gabbana : « Il s’agissait alors de jeunes stylistes dĂ©jĂ  cĂ©lĂšbres », se souvient-elle lors d’un entretien en 2015. « J’ai fait mes premiers dĂ©filĂ©s avec eux. Domenico et Stefano sont des amis et lorsque nous collaborons, nous n’avons pas vraiment l’impression de travailler. Nous partageons Ă©galement l’amour du cinĂ©ma italien et de toutes ces belles dames extraordinaires comme Gina Lollobrigida, Sophia Loren, Silvana Mangano et Monica Vitti. »

La relation entre une actrice et son corps L’actrice, qui fĂȘtera ses 59 ans cette annĂ©e, a rapidement compris qu’elle pouvait utiliser sa beautĂ© autrement : « Un acteur est comme un danseur », a-t-elle dĂ©clarĂ© lors d’un entretien en 2018. « À travers notre corps, nous exprimons qui nous sommes. J’ai souvent utilisĂ© mon corps comme un instrument pour reprĂ©senter des Ăąmes trĂšs diffĂ©rentes. Simplement, l’instrument en question n’est pas un piano ou une guitare, mais moi-mĂȘme. Lorsque vous donnez cette partie de vous, elle devient trĂšs fragile; vous devez la protĂ©ger et trouver les personnes qui sauront la

respecter. Je ne suis pas prĂȘte Ă  donner ma douleur Ă  n’importe qui, parce que lorsque je prĂ©pare un rĂŽle, je travaille avec ma propre douleur, avec quelque chose de trĂšs profond, mĂȘme si ce n’est qu’un simulacre. »

Cette confiance, elle l’a offerte notamment Ă  Gaspar NoĂ© qui l’a montrĂ©e brutalement violĂ©e dans IrrĂ©versible (2002) : « Parfois ma beautĂ© a Ă©tĂ© utilisĂ©e par des rĂ©alisateurs pour reprĂ©senter les pires choses, oĂč la beautĂ© est lĂ  pour ĂȘtre dĂ©truite, pour montrer la violence qui existe dans le monde. »

Actrice sur grands écrans, mais pas seulement

Monica Bellucci a toujours Ă©tĂ© partante pour une nouvelle aventure en tant qu’actrice, mais elle s’est longtemps tenue Ă  l’écart de la scĂšne théùtrale - jusqu’en 2019, annĂ©e oĂč elle dĂ©couvre les sĂ©lections pour le spectacle solo Maria Callas : Letters & Memoirs. Elle prĂ©sente ensuite ce one woman show au Théùtre Marigny Ă  Paris, puis Ă  AthĂšnes, Ă  Rome, Ă  Milan, Ă  Londres et plus rĂ©cemment Ă  New York. « C’est un duo passionnant... l’actrice incroyablement glamour Monica Bellucci joue la soprano incroyablement

glamour Maria Callas ; une diva rendant hommage Ă  une autre », Ă©crit The Guardian. Monica Bellucci apprĂ©cie la fragilitĂ© et la sensibilitĂ© de la cantatrice nĂ©e il y a 100 ans. « Elle a eu une vie courageuse et a suivi son cƓur », dit-elle avec admiration dans le New York Times. Elle a voulu divorcer Ă  un moment oĂč en Italie, cela Ă©tait interdit. Elle est encore une source d’inspiration aujourd’hui car bien qu’elle ait eu tout le monde contre elle, elle s’est battue pour son bien-ĂȘtre Les femmes dans le cinĂ©ma

Au fil des ans, Monica Bellucci bouscule de nombreuses conventions. Lorsqu’elle est choisie pour jouer dans le film de James Bond Spectre, elle fait remarquer que « ’est la premiĂšre fois qu’une femme de James Bond est plus ĂągĂ©e que le protagoniste. C’est un concept trĂšs moderne de le voir dans les bras d’une femme plus ĂągĂ©e et courageuse, car cela prouve que la fĂ©minitĂ© existe mĂȘme si une femme vieillit. »

À Hollywood, l’image de la femme dans le cinĂ©ma semble avoir Ă©voluĂ©. Cette annĂ©e, la saison des rĂ©compenses des Oscars a en effet Ă©tĂ© dominĂ©e par Michelle Yeoh, Angela Bassett et Jamie Lee Curtis, toutes des femmes nominĂ©es de plus de 60 ans. En Europe, les carriĂšres de femmes comme Isabelle Huppert, Catherine Deneuve et Judi Dench ont permis aux femmes de traverser le temps avec grĂące. « Mettre les femmes Ă  l’écart de la sociĂ©tĂ© lorsqu’elles ne peuvent plus procrĂ©er est vraiment dĂ©modĂ© », dĂ©clare Monica Bellucci. «Les femmes ont tellement plus Ă  donner : leur intelligence, leur sensibilitĂ©, leur fĂ©minitĂ©. »

Lorsque le mouvement #MeToo a balayĂ© l’industrie, Monica Bellucci a applaudit le fait que les femmes se sentent plus en sĂ©curitĂ© et les hommes un peu plus effrayĂ©s, mais elle estime aussi qu’il faut beaucoup de temps pour apprendre quoi faire de la libertĂ© qui a manquĂ© pendant si longtemps : « Si un oiseau reste longtemps dans une cage, mĂȘme si vous ouvrez la porte, il restera dans la cage. Il faut du temps pour s’habituer Ă  la libertĂ© », dĂ©clare-t-elle Ă  l’époque. « J’ai eu mes expĂ©riences dans la mode et j’étais prĂȘte, lorsque j’ai fait mon premier film, Ă  faire face Ă  ce genre de situations. C’est le cas dans toutes les professions. C’est une question de pouvoir, pas de sexualitĂ©. Elle essaie d’inculquer Ă  ses deux filles, Deva, aujourd’hui ĂągĂ©e de 18 ans, et LĂ©onie, 12 ans, le chemin parcouru par les femmes et la nĂ©cessitĂ© de ne pas le considĂ©rer comme acquis. « Je leur explique qu’il y a encore 60 ans, en Italie, un homme pouvait tuer une femme sans aller en prison. Les femmes se sont battues pour arriver lĂ  oĂč nous sommes aujourd’hui. Peut-ĂȘtre devrions-nous toutes ĂȘtre fĂ©ministes. » GĂ©rer sa vie privĂ©e

Monica Bellucci a toujours veillĂ© Ă  ce que ses filles la considĂšrent comme leur mĂšre, et non comme une actrice. Lorsqu’elles Ă©taient plus jeunes, elle leur avait mĂȘme proposĂ© d’arrĂȘter de travailler pour ĂȘtre plus prĂ©sente. « Mais elles m’ont dit qu’elles voulaient que je continue. Je pense qu’il est bon de montrer aux enfants que vous avez une passion dans la vie. C’est pourquoi je leur dis : trouvez quelque chose que vous aimez, quelque chose qui vous rend heureuses de vous rĂ©veiller le matin et d’aller travailler ».

Monica Bellucci a rencontrĂ© le pĂšre de ses filles, l’acteur Vincent Cassel, sur le tournage de L’Appartement en 1996. Ils ont Ă©tĂ© mariĂ©s pendant 14 ans, puis ont divorcĂ© mais entretiennent toujours une relation Ă©troite.

« Si vous avez passĂ© de belles annĂ©es avec quelqu’un et que vous avez des enfants, je pense que ces beaux moments doivent rester Ă  jamais », a-t-elle dĂ©clarĂ© lors d’une interview en 2015. « L’amour peut se transformer et ĂȘtre prĂ©sent d’une maniĂšre diffĂ©rente. Il sera toujours le pĂšre de mes enfants et je le respecterai toujours. »

Aujourd’hui, elle frĂ©quenterait le rĂ©alisateur Tim Burton, qu’elle a rencontrĂ© au Festival du film LumiĂšre Ă  Lyon l’annĂ©e derniĂšre. Lorsqu’on lui demande ce qu’elle trouve sexy chez un homme lors de la tournĂ©e de promotion de Spectre, elle rĂ©pond : « Je dois dire que ce qui est sexy pour moi, c’est un homme qui me surprend et qui me fait rire. Un homme qui vous fait rire, c’est dĂ©jĂ  quelque chose d’extraordinaire. »

10 UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA FOCUS.SWISS MONICA BELLUCCI
« Amour
Texte MarlÚne von Arx Traduction Maévane Mas Images HFPA
Mettre les femmes Ă  l’écart de la sociĂ©tĂ© lorsqu’elles ne peuvent plus procrĂ©er est vraiment dĂ©modĂ©.

Vendre sa maison et rester y habiter : profiter de la retraite grñce au viager

Le viager peut ĂȘtre un formidable outil de planification patrimoniale et successorale. Il permet de rĂ©pondre de façon efficace et flexible Ă  de nombreux enjeux auxquels font face les sĂ©niors en Suisse. Le viager permet ainsi de vivre une retraite sereine et Ă©panouie. C’est pourquoi il connait un engouement grandissant en Suisse.

Âș ImpĂŽt immobilier complĂ©mentaire (IIC) : Le vendeur devra aussi s’acquitter de l’IIC, dont le montant dont le montant dĂ©pend de la valeur fiscale du bien immobilier.

Tillit Invest: l’expert reconnu du viager en Suisse romande

Tillit Invest est une jeune entreprise romande spĂ©cialisĂ©e dans l’achat de terrains et de maisons individuelles, notamment sous forme de viager. L’offre de Tillit Invest est avantageuse pour les propriĂ©taires. L’entreprise n’est pas un intermĂ©diaire entre vendeurs et acheteurs et agit pour le compte d’investisseurs suisses solides et recommandables. Ainsi, Tillit Invest traite directement avec les propriĂ©taires, ne prend pas de commissions sur la transaction effectuĂ©e avec ses investisseurs et dispose de la surface financiĂšre pour rĂ©aliser des transactions dans les meilleures conditions.

Professionnels: découvrez le viager pour en faire bénéficier vos clients

Le viager, qu’est-ce que c’est ?

Le viager est un type de contrat de vente immobiliùre, qui permet de vendre sa maison tout en gardant le droit d’y habiter.

Pour beaucoup de propriĂ©taires, le bien immobilier constitue la majoritĂ© du patrimoine. Mais c’est une partie de leur fortune Ă  laquelle ils n’ont pas facilement accĂšs. S’ils ont besoin d’argent, ils ont gĂ©nĂ©ralement deux possibilitĂ©s : faire un emprunt, mais la banque pourrait ne pas accorder de prĂȘt, surtout s’ils sont d’un Ăąge avancĂ©, ou vendre la maison, ce qui implique de dĂ©mĂ©nager, pour se retrouver dans un bien locatif souvent plus petit et plus cher, et de changer ses habitudes de vie.

Le viager permet donc aux propriĂ©taires d’accĂ©der immĂ©diatement au capital de leur maison, tout en continuant d’y habiter et en maintenant leurs habitudes de vie.

Il y a plusieurs types de contrats viagers, mais tous comprennent quelques éléments clés : La valeur vénale : la valeur estimée de la maison, souvent calculée par un professionnel. La valeur vénale sert de point de départ à la négociation entre vendeur et acheteur sur le prix de vente.

Le droit d’usage : le droit que prĂ©serve le propriĂ©taire de continuer Ă  utiliser sa maison aprĂšs l’avoir vendue.

‱ Le bouquet : le montant que verse l’acheteur au vendeur au moment de la vente. Le montant du bouquet correspond Ă  la valeur vĂ©nale moins la valeur du droit d’usage. La dĂ©cote : la diffĂ©rence entre la valeur vĂ©nale et le bouquet. ExprimĂ©e en pourcentage par rapport Ă  la valeur vĂ©nale, la dĂ©cote correspond donc Ă  la valeur du droit d’usage.

Une solution avantageuse et adaptée aux besoins de chacun

Si les propriĂ©taires qui recourent au viager ont des besoins variĂ©s, ils ont tous ont un point commun : ils ne veulent pas quitter leur maison, mais la vente s’impose comme la meilleure solution.

Vendre sa maison en viager convient particuliĂšrement dans les situations suivantes:

‱ Faire face Ă  des difficultĂ©s financiĂšres.

‱ Mettre à l’abri un conjoint.

‱ Aider les gĂ©nĂ©rations suivantes – par exemple pour acheter une propriĂ©tĂ© ou Ă  lancer une entreprise par exemple. RĂ©gler sa succession de son vivant. PrĂ©server un patrimoine et un niveau de vie lors d’un changement de vie.

‱ Profiter de la vie.

Les modalités du viager

Le contrat viager peut se dĂ©cliner en plusieurs modalitĂ©s, selon ce qui convient au mieux Ă  la situation du vendeur. Un contrat viager peut ainsi ĂȘtre: Avec ou sans rente : si le vendeur le souhaite, il peut toucher une rente. Le montant de la rente est fixĂ© au moment de la vente, mais la durĂ©e pendant laquelle elle sera versĂ©e n’est pas connue.

‱ Libre ou occupĂ© : avec un viager occupĂ©, le vendeur continue de vivre dans sa maison. Avec un viager libre, la maison est Ă  la disposition de l’acheteur, mais le vendeur continue de recevoir une rente. Le viager libre peut ĂȘtre trĂšs pratique si le vendeur vit en EMS et a besoin de ressources supplĂ©mentaires pour financer son hĂ©bergement. À vie ou Ă  terme : lors d’une vente Ă  terme, la durĂ©e du droit d’habitation est dĂ©finie au moment de la vente.

‱ Droit d’habitation ou usufruit : si le vendeur dĂ©cide de garder l’usufruit de la maison, il pourra non seulement y vivre, mais aussi la louer. Par rapport Ă  un droit d’habitation classique, l’usufruit peut entrainer des coĂ»ts d’entretiens, une charge hypothĂ©caire et des impĂŽts plus Ă©levĂ©s

Histoires de propriétaires Tillit Invest

Christian, 76 ans vit dans la maison oĂč il a grandi : une villa de campagne Ă  proximitĂ© du lac. RetraitĂ© avec une faible pension, sa banque estime qu’il reprĂ©sente un risque important. Elle lui offre deux options : rembourser une partie de son hypothĂšque pour rĂ©duire son exposition, ou vendre la maison et rembourser le tout. Afin de rajouter de la pression pour une rĂ©solution rapide, la banque augmente son taux hypothĂ©caire. Ne pouvant plus y faire face, Christian doit vendre sa maison. Certains acheteurs lui proposent une belle somme. Mais ces montants suffiraient Ă  peine pour rembourser sa dette hypothĂ©caire et l’obligeraient Ă  quitter la maison de son enfance pour dĂ©mĂ©nager dans un petit appartement en location.

Christian dĂ©cide donc de confier sa problĂ©matique Ă  Tillit Invest. Attentive Ă  sa situation, Tillit Invest fait une analyse dĂ©taillĂ©e de sa maison pour dĂ©terminer quelle solution lui conviendrait le mieux. Tillit Invest fait une offre Ă  Christian qui lui permet de vendre sa maison Ă  un prix favorable. Il peut ainsi rembourser sa dette hypothĂ©caire et recevoir un joli montant avec lequel il pourra profiter de la vie. Cerise sur le gĂąteau : il continue d’habiter gratuitement toute sa vie dans sa maison qu’il avait hĂ©ritĂ© de sa maman.

Pour dĂ©couvrir d’autres histoires de propriĂ©taires que Tillit Invest a pu aider, visitez leur site internet : www.tillitinvest.ch/histoires

Les garanties du viager

Lorsqu’un propriĂ©taire vend son bien en viager, il bĂ©nĂ©ficie de diverses protections :

‱ Quelle que soit la modalitĂ© choisie du viager, le droit d’usage est inscrit dans l’acte de vente notariĂ© dans le registre foncier. Les Ă©lĂ©ments discutĂ©s pendant le processus de vente sont consignĂ©s dans des Ă©crits, et le projet d’acte est discutĂ© et modifiĂ© avec le concours d’un notaire.

‱ AprĂšs la vente, le bien reste la rĂ©sidence principale du vendeur qui a un statut similaire Ă  celui d’un locataire. Le droit d’habitation est clairement stipulĂ© dans le contrat de vente et constitue la base des rapports fiscaux et contractuels du vendeur. Le vendeur est gĂ©nĂ©ralement responsable des charges, des assurances, de l’entretien courant du bien et des petits travaux. Les gros travaux sont du ressort de l’acheteur.

‱ Avant de rĂ©aliser une transaction et afin que les droits et obligations de chaque partie soient clairement connus de chacun, il est conseillĂ© d’établir une planification d’éventuels travaux Ă  faire, et de les stipuler dans l’acte notariĂ©.

À propos du coĂ»t

Il y a trois Ă©tapes pour calculer le prix du viager, c’est-Ă -dire le montant du bouquet :

‱ On commence par le prix de vente sur lequel l’acheteur et le vendeur s’entendent Ă  partir de la valeur vĂ©nale et des Ă©ventuels travaux Ă  prĂ©voir.

‱ Puis on calcule la valeur du droit d’habitation en utilisant une formule actuarielle prescrite. Pour ce faire, on tient compte d’un taux d’intĂ©rĂȘt admis par les autoritĂ©s fiscales ainsi que de l’espĂ©rance de vie du propriĂ©taire. Enfin, on soustrait la valeur du droit d’habitation au prix de vente pour obtenir le montant du bouquet que le vendeur touchera au moment de la transaction.

Combien vaut son bien ? Une estimation prĂ©cise, gratuite et immĂ©diate !

Avec le calculateur immobilier de Tillit Invest les propriĂ©taires peuvent obtenir une estimation prĂ©cise, gratuite et immĂ©diate de la valeur vĂ©nale de leur bien. Quelques clics suffisent. Le calculateur de Tillit Invest est universel : il couvre tous types de propriĂ©tĂ© (appartement, maison mitoyenne ou individuelle, immeuble) sur toute la Suisse. Que ce soit pour faire affaire avec Tillit Invest ou n’importe qui d’autre, l’estimation sera prĂ©cieuse comme point de dĂ©part pour toute nĂ©gociation. À retrouver sur: www.tillitinvest.ch/estimation

La fiscalité du viager en Suisse

Le traitement fiscal d’une vente viagĂšre peut se dĂ©composer en deux temps : Au moment de la vente : le vendeur peut ĂȘtre imposĂ© aux niveaux cantonal et communal. Sont potentiellement imposables les bĂ©nĂ©fices et gains immobiliers sur la vente – c’est-Ă -dire la diffĂ©rence entre le montant total de la vente et le prix auquel le bien immobilier a Ă©tĂ© achetĂ©.

‱ Pendant la durĂ©e du contrat le vendeur peut avoir Ă  rĂ©gler trois types d’impĂŽts:

Âș ImpĂŽt sur le revenu : si une rente viagĂšre est perçue, celle-ci est imposable Ă  hauteur de 40 %. La valeur locative du bien est imposable.

Âș ImpĂŽt sur la fortune: un vendeur en viager pourrait avoir Ă  s’acquitter d’un Ă©ventuel impĂŽt sur la fortune, dont le montant est dĂ©terminĂ© Ă  partir de la valeur du bouquet.

Tillit Invest travaille Ă©troitement avec les banquiers courtiers, avocats, notaires, etc. Qu’il s’agisse d’une vente immobiliĂšre dĂ©licate ou d’une situation lĂ©gale ou fiscale compliquĂ©e, Tillit Invest peut apporter une solution efficace. Les solutions de Tillit Invest permettent aux banques de maĂźtriser leur risque crĂ©dit tout en amĂ©liorant la satisfaction de leurs clients. Pour dĂ©couvrir les opportunitĂ©s de partenariats et collaboration disponibles, les professionnels souhaitant bĂ©nĂ©ficier des services de Tillit Invest peuvent contacter l’entreprise ou se rendre sur le site www.tillitinvest.ch/parternariats.

Le viager, une solution flexible et adaptée aux besoins de chaque propriétaire Au-delà du concept de base, il est important de noter que le viager est avant tout un outil flexible et adapté aux besoins des propriétaires. En effet, il leur permet de créer des solutions sur mesure pour accéder au capital de leur maison, tout en gardant la possibilité de rester vivre chez eux.

Pour tout savoir sur le viager en Suisse Nombreux sont ceux qui ont entendu parler du viager et voudraient en savoir plus.

Tillit Invest a publié le premier ouvrage sur le viager en Suisse destiné au grand public. Le livre contient des réponses claires à toutes les questions sur les spécificités du viager en Suisse.

Pour commander le livre et profiter d’une remise exceptionnelle scannez le QR code ci-dessous avec la camĂ©ra de votre tĂ©lĂ©phone.

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA 11 TILLIT INVEST ‱ BRANDREPORT #FOCUS50PLUS
Tillit Invest Rue des Bosquets 15, 1805 Vevey Place Edouard-ClaparĂšde 5, 1205 GenĂšve 022 575 22 67 info@tillitinvest.ch www.tillitinvest.ch
Jean-Baptiste de Bantel et Iavor Tzolov, co-fondateurs de Tillit Invest Image Adrienne Wavre

« Le sport m’apporte une qualitĂ© de vie »

En 1996, Beat Bösch, alors ĂągĂ© de 25 ans, se casse la septiĂšme vertĂšbre cervicale lors d’un accident de gymnastique et devient tĂ©traplĂ©gique. Aujourd’hui, il compte parmi les athlĂštes handisports suisses les plus performants et travaille pour l’Association suisse des paraplĂ©giques. Dans cette interview, il parle de son parcours et du rĂŽle que le sport joue dans sa vie.

Beat Bösch, quels sont les Ă©vĂ©nements qui vous ont le plus marquĂ© dans votre vie ?

D’abord, bien sĂ»r, l’accident. J’ai voulu faire un double salto sur le double trampoline et je suis tombĂ© sur la tĂȘte. À ce moment-lĂ , toute ma vie a basculĂ© et j’ai dĂ» complĂštement me rĂ©orienter. D’autre part, la perte de mon pĂšre m’a beaucoup marquĂ©e. J’ai dĂ» apprendre Ă  gĂ©rer et Ă  vivre avec ces deux Ă©vĂ©nements.

Cela fait maintenant 26 ans que vous ĂȘtes tĂ©traplĂ©gique. Que cela signifie-t-il ?

Je suis paralysĂ© des quatre membres. Je ne peux pas bouger les jambes et je ne peux plus fermer le poing entiĂšrement, mais je peux encore lever les bras et tendre les doigts. Les muscles qui assurent la stabilitĂ© du tronc sont aussi paralysĂ©s. Du point de vue fonctionnel, je n’ai plus qu’une faible sensibilitĂ©. Je ne sens donc que trĂšs faiblement les contacts sur ma peau, parfois mĂȘme pas du tout. De plus, presque toutes les paralysies ont des rĂ©percussions sur la vessie et l’intestin. Ce qui s’ajoute chez moi, c’est que je ne peux plus transpirer.

Vous pratiquez du sport depuis longtemps. Quelles sont les diffĂ©rences entre vos entraĂźnements d’avant votre accident et ceux d’aprĂšs ?

De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, l’effort est plus important. Avant l’accident, je pouvais me changer et me dĂ©placer plus rapidement. Aujourd’hui, je dois davantage Ă©couter mon corps car il ne peut plus

autant compenser en cas de surentraĂźnement. J’ai toutefois commencĂ© Ă  m’intĂ©resser aux diffĂ©rentes fonctions et interactions du corps. Je pense qu’il est en effet plus facile d’accepter son destin quand on en comprend les diffĂ©rentes consĂ©quences.

Que le sport vous apporte-t-il ?

Le sport m’apporte une bien meilleure qualitĂ© de vie. Je suis en forme et plus fort grĂące Ă  l’entraĂźnement et j’ai la musculature nĂ©cessaire pour les dĂ©placements quotidiens. Ma circulation sanguine est aussi diminuĂ©e par ma position assise qui peut entraĂźner des points de pression ou des problĂšmes de peau. Je minimise cela en bougeant tous les jours. Je peux dire avec fiertĂ© qu’au cours de ces 26 derniĂšres annĂ©es, je n’ai jamais dĂ» me rendre Ă  l’hĂŽpital pour de tels problĂšmes. Je me sens Ă©galement plus en forme, plus Ă  l’aise mentalement et plus motivĂ© au quotidien. De plus, le sport est une bonne prĂ©voyance vieillesse, et pas seulement pour moi.

Qu’est-ce qui vous a poussĂ© Ă  pratiquer l’athlĂ©tisme ?

AprĂšs l’accident, c’est le sport qui m’a le plus manquĂ©.

J’ai essayĂ© diffĂ©rents sports pendant ma rééducation et j’ai fini par dĂ©couvrir la course en fauteuil roulant. Au dĂ©but, pratiquer une activitĂ© physique Ă©tait surtout bon pour mon psychisme. Une sĂ©ance de sport ne m’a jamais fait me sentir plus mal que je ne l’étais avant l’entraĂźnement (rires). Puis je me suis entraĂźnĂ© de plus en plus, j’ai commencĂ© Ă  faire

des courses et j’ai obtenu des rĂ©sultats relativement bons. Cela m’a motivĂ© et j’ai fini par atterrir un peu par hasard dans le sport de compĂ©tition. Quand je repense Ă  mon premier tour de piste sur 400 mĂštres, je n’aurais jamais pensĂ© cela possible. J’étais tellement Ă©puisĂ© que je ne pouvais plus m’imaginer courir. Finalement, j’avais tort (rires).

Formulations complĂštes pour le cartilage, les tendons, les ligaments, les os et les muscles.

ExtraCell Matrix ECM, Drink

Arîmes orange ou fruits rouges, l’original du fondateur!

Avec 10’000 mg de peptides de collagĂšne (types I, II, III), sulfates de glucosamine et de chondroĂŻtine, acide hyaluronique, MSM, L-lysine, L-thrĂ©onine, edelweiss, gentiane, cynorrhodon, minĂ©raux et vitamines.

ExtraCell Matrix PRO, Drink

ArĂŽme orange, le nec plus ultra. Avec 10’000 mg peptides de collagĂšne (de types I, III et UC-II), sulfate de glucosamine vegan, sulfate de chondroĂŻtine, acide hyaluronique vegan, MSM, L-lysine, L-thrĂ©onine, lycopĂšne, curcuma, boswellia, grenade, magnĂ©sium, cynorrhodon, edelweiss, gentiane, minĂ©raux et vitamines.

ExtraCell Matrix C-II CURMA PLUS, Tabs

Les comprimés complets et exclusifs pour cartilage, ligaments, tendons. Avec collagÚne de type II, chondroïtine, glucosamine, curcuma, cynorrhodon, MSM, vitamines et minéraux.

↓ Plus d’informations

ExtraCell Muscle & Enegy, Drink

Musculature et métabolisme énergétique. Pour hommes et femmes adultes. En combinaison avec une activité sportive réguliÚre, ExtraCell Muscle & Energy vous aide à maintenir et à augmenter votre masse musculaire, à normaliser votre métabolisme énergétique et réduire la fatigue.

Ces compléments alimentaires sont disponibles chez Amavita, Sun Store, Coop Vitality et un grand nombre de pharmacies indépendantes.

Swiss Alp Health

Tél: +41 21 711 33 11 info(at)swiss-alp-health.ch

Quelles sont vos limites et comment rĂ©ussissez-vous Ă  les dĂ©passer ?

Mes limites se situent surtout au niveau physique. Aujourd’hui, environ 70 % de mes muscles sont paralysĂ©s. Je veux utiliser mes capacitĂ©s au maximum, mais je dois toujours prendre en compte ce que mon corps peut faire ou non. Je perçois mes limites encore mieux qu’avant : si la charge est trop Ă©levĂ©e, le corps rĂ©agit immĂ©diatement, par exemple par une inflammation. C’est pourquoi il est trĂšs important d’évaluer correctement la charge adĂ©quate. Le sport devrait toujours ĂȘtre bĂ©nĂ©fique pour la santĂ© et non l’inverse. Vous avez remportĂ© plusieurs mĂ©dailles lors de diffĂ©rents jeux paralympiques et Ă©vĂ©nements sportifs. Que reprĂ©sententelles pour vous ?

Une mĂ©daille est toujours le plus beau souvenir que l’on puisse ramener d’un Ă©vĂ©nement sportif. Beaucoup d’émotions y sont liĂ©es, c’est pourquoi je conserve les mĂ©dailles les plus importantes dans une vitrine dans mon salon. Pour moi, elles confirment le fait que j’ai accompli quelque chose. En tant qu’athlĂšte handisport, observez-vous une diffĂ©rence de traitement ou de reconnaissance par rapport Ă  d’autres athlĂštes ?

MĂȘme si la plupart des personnes sont admiratives de mon parcours, les gens ne comprennent pas toujours ce que cela signifie de faire du sport en fauteuil roulant et ne peuvent pas estimer la valeur de la performance. Je le comprends, car peu s’assoient une fois dans leur vie dans un fauteuil de course et font un ou deux tours de piste sur 400 mĂštres.

Avez-vous de futurs projets sportifs ?

Normalement, mon planning se fait toujours au rythme des Jeux paralympiques. Cependant, aprĂšs Tokyo 2021, je ne voulais plus fonctionner de la sorte. Mes plans d’entraĂźnement sont certes toujours axĂ©s sur cet objectif mais ne sont plus aussi fixes. Je continue simplement Ă  faire du sport tant que j’y trouve du plaisir. Je prends les choses comme elles viennent, annĂ©e aprĂšs annĂ©e.

Au quotidien, rencontrez-vous des difficultĂ©s pour vous dĂ©placer ?

Je me dĂ©place relativement bien d’un endroit Ă  l’autre car j’ai une voiture adaptĂ©e Ă  mes besoins et que je peux utiliser de maniĂšre autonome. Les plus gros problĂšmes se posent souvent Ă  aprĂšs. Je trouve dommage que des amĂ©nagements relativement simples ne soient pas rĂ©alisĂ©s. Construire une rampe pour franchir une marche n’est pas si compliquĂ© mais permet de faciliter la vie des personnes utilisant un fauteuil roulant. Il faut tout planifier Ă  l’avance, voir avec qui on se dĂ©place et si cette personne peut nous aider.

Cadeau !

1 ExtraCell Hyalo

Suite à l’achat de 2 produits Swiss Alp Health (en un seul achat) dans votre pharmacie ou droguerie, vous recevrez gratuitement

1 ExtraCellHyalo

Envoyez par courrier postal ce bon avec la quittance en indiquant votre nom et adresse à: Swiss Alp Health, Route d’Arnier 4, 1092 Belmont-sur-Lausanne ou envoyeznous la quittance par email: info(at)swiss-alp-health.ch

Valable jusqu’au 31.07.2023

Capsules pour le cartilage, la peau et le tissu conjonctif, avec acide hyaluronique hautement dosé (300 ml), MSM, curcuma, extrait de pépins de raisin avec OPC. Idéal en combinaison avec tous les produits Swiss Alp Health.

12 UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA FOCUS.SWISS BEAT BÖSCH
Image Pius Amrein/Luzerner Zeitung
Interview Julia Ischer et Léa Stocky

Terre de feu et de glace

DĂ©couvrez les paysages contrastĂ©s de l’Islande que ce soit lors d‘un voyage accompagnĂ© d’un guide francophone ou lors d‘un sĂ©jour individuel en voiture de location. Nous vous proposons de multiples variantes en haute ou basse saison.

Retrouvez ci-dessous nos trois recommandations ou d’autres produits sur notre site internet.

VOYAGE ACCOMPAGNÉ

Les bijoux de l’Islande 15 jours du 17.06 – 01.07

Dùs Fr. 6230.– par personne en chambre double

VOYAGE INDIVIDUEL

‱ DĂ©couverte du Nord de l’Islande

‱ 8 jours du 21.06 – 25.08

Dùs Fr. 2620.– par personne en chambre double

VOYAGE INDIVIDUEL

‱ Les trĂ©sors du sud - ouest de l’Islande

‱ 8 jours du 21.06 – 25.08

Dùs Fr. 2290.– par personne en chambre double (Hîtel)

Nous vous conseillons volontiers personnellement

Tel. 022 389 70 80 info@kontiki.ch

Plus d’informations :

Plus d’informations :

Plus d’informations :

www.kontiki.ch

2023-110.01_KO_Inserat_Focsu50+_Mars23_290x440mm_F.indd 1 16.03.23 15:17

En 2021, le nombre de centenaires en Suisse atteint 1888, contre seulement deux en 1910. La population suisse, comme celle du reste du monde, vit de plus en plus longtemps. Mais que signifie vieillir aujourd’hui ?

Mélissa-Asli Petit Docteure en sociologie sur la thématique du vieillissement

Étudier la thĂ©matique de l’ñge et de la longĂ©vitĂ© du point de vue de la sociologie est Ă©clairant car cela permet de mettre en lumiĂšre Ă  la fois les codes, les normes et les valeurs transmis par des groupes socio-influents, tels que les mĂ©dias ou les arĂšnes politiques, mais aussi de comprendre comment les individus vivent leur propre rapport Ă  l’ñge. MĂ©lissa-Asli Petit, docteure en sociologie sur la thĂ©matique du vieillissement, a créé en 2015 un bureau d’études et de conseils en sociologie sur ces thĂ©matiques. La mission principale de Mixing GĂ©nĂ©rations est en effet de rĂ©aliser des Ă©tudes sur les comportements et les besoins des personnes en fin de carriĂšres ou retraitĂ©es, et de sensibiliser tout un chacun sur l’importance du lien entre les gĂ©nĂ©rations. Un autre rapport au fait de vieillir « Le vieillissement est un processus qui s’infiltre tout au long de notre parcours dĂšs notre naissance » indique MĂ©lissa-Asli Petit. Il s’agit en effet d’avancer en Ăąge, avec les stigmates Ă  la fois physiques et psychiques liĂ©s au vieillissement du corps. Si vieillir concerne tout ĂȘtre humain depuis la nuit des temps, sa signification n’est pas toujours la mĂȘme en fonction

des sociĂ©tĂ©s. La sociologue explique en effet qu’aujourd’hui, un changement a lieu dans le sens donner Ă  ce processus. Ce n’est plus seulement la perte d’autonomie et l’angoisse d’une certaine dĂ©crĂ©pitude, mais au contraire la mise en lumiĂšre d’un potentiel, d’un sentiment de libertĂ© ou encore d’aventure pour les personnes de 50 ans et plus : « Ce vieillir n’a pas les mĂȘmes rĂ©alitĂ©s sociales que celui de nos grands-parents car les parcours de vie sont diffĂ©rents. Le fait de vieillir est aujourd’hui en recomposition. »

Cette nouvelle façon d’apprĂ©hender l’ñge s’explique par plusieurs facteurs. Selon la sociologue, les personnes nĂ©es aprĂšs la Seconde Guerre mondiale font partie d’une gĂ©nĂ©ration d’émancipation : « Cette gĂ©nĂ©ration se caractĂ©rise par la non-contrainte et la libertĂ© : les cinquantenaires et plus se tournent vers des actions et des comportements qui leur permettent de ne pas se sentir trop contraints mais libres. » AprĂšs avoir suivi un certain nombre de normes durant leur vie, ces personnes arrivent Ă  la cinquantaine avec le souhait de recomposer leur propre vie et une volontĂ© de reprise sur soi-mĂȘme. Cela s’accompagne aussi d’une conscience de son propre corps, comme le dĂ©montre les Ă©volutions de rĂ©flexions sur le corps des femmes avec une meilleure comprĂ©hension de la mĂ©nopause par exemple. Il y a avant tout une recherche de sens, avec la mise en avant de sujets de sociĂ©tĂ©.

Un Ăągisme qui perdure

Cette nouvelle vision liĂ©e au fait de vieillir ne permet pas encore d’éradiquer complĂštement l’ñgisme, qui est une discrimination envers une

Formulations exceptionnelles

ExtraCell Woman

Peau, cheveux et bien-ĂȘtre

Avec 30+ nutriments, la formule complĂšte d’ExtraCellWoman contribue au maintien de fonctions corporelles normales: les systĂšmes immunitaire et nerveux, le mĂ©tabolisme des graisses, le taux de cholestĂ©rol, la glycĂ©mie, la fonction hĂ©patique, les os, les muscles, l’énergie, la peau, le tissu conjonctif, les cheveux et les ongles.

ExtraCell Man

Vitalité, énergie, peau et cheveux

Avec 40+ nutriments, la formule complĂšte d’ExtraCellMan contribue au maintien de fonctions corporelles normales: taux de testostĂ©rone, fertilitĂ©, spermatogenĂšse et reproduction. De plus, ExtraCellMan contribue au maintien de la musculature, du mĂ©tabolisme Ă©nergĂ©tique, du systĂšme nerveux, des performances intellectuelles, du systĂšme immunitaire, de la vision, du taux de cholestĂ©rol, du mĂ©tabolisme des graisses, de la fonction hĂ©patique, de la peau (et sa pigmentation), des muqueuses, des cheveux et des ongles. Ces complĂ©ments alimentaires sont disponibles chez Amavita, Sun Store, Coop Vitality et un grand nombre de pharmacies indĂ©pendantes.

→ Plus d’informations

personne en raison de son Ăąge. Ces stĂ©rĂ©otypes et pratiques discriminantes se retrouvent Ă  tous les niveaux de la sociĂ©tĂ© et particuliĂšrement dans le monde mĂ©diatique ou encore politique, avec des publicitĂ©s qui vantent des produits anti-Ăąge ou des politiques publiques qui peuvent ĂȘtre discriminantes.

In fine, l’ñgisme entraĂźne un manque de reprĂ©sentativitĂ© des personnes de plus de 50 ans dans les mĂ©dias. MĂ©lissa-Asli Petit indique : « Le manque de reprĂ©sentativitĂ© des cinquantenaires et plus est liĂ© aux stĂ©rĂ©otypes : on pense qu’ils coĂ»tent trop chers, qu’ils ne servent plus Ă  rien, qu’ils sont ringards. Au cinĂ©ma par exemple, une femme ĂągĂ©e va ĂȘtre plus encline Ă  jouer des rĂŽles de grand-mĂšre. Il y a un rĂ©el besoin de dĂ©construction de ces stĂ©rĂ©otypes liĂ©s Ă  l’ñge. » Le problĂšme survient lorsqu’on oppose les gĂ©nĂ©rations ou les groupes de personnes, comme les plus vieux et les plus jeunes, ou encore les femmes ĂągĂ©es et les hommes ĂągĂ©s.

Pour la sociologue, une vision plus positive de l’ñge passe inĂ©vitablement par un dialogue entre les gĂ©nĂ©rations. Il faut savoir regarder la beautĂ© et l’expĂ©rience que chaque Ăąge apporte, afin de vivre pleinement son Ăąge et d’apprĂ©cier chaque moment de la vie.

Lutter contre l’ñgisme passe Ă©galement par une rĂ©ponse adĂ©quate Ă  l’augmentation du nombre de 65 ans et plus dans la sociĂ©tĂ©. Il est en effet important d’avoir conscience des enjeux sociĂ©taux liĂ©s Ă  la longĂ©vitĂ©. MĂ©lissa-Asli Petit donne quelques exemples : « Comment rĂ©pondre Ă  la forte demande des plus de 50 ans dans le monde du travail ?

Dans l’espace public, ne faut-il pas construire un escalator plutĂŽt qu’un escalier ? Comment va-t-on s’occuper des nouveaux centenaires ? » Replacer les 50 plus au cƓur de la sociĂ©tĂ© Une des autres maniĂšres de lutter contre l’ñgisme est de considĂ©rer les personnes plus ĂągĂ©es pour ce qu’elles sont, c’est-Ă -dire des citoyens Ă  part entiĂšre avec une forte utilitĂ© sociale. Elles ont des compĂ©tences et elles souhaitent s’en servir : la garde des petits-enfants par les grands-parents permet aux femmes d’aller travailler plus facilement par exemple. Pour MĂ©lissa-Asli Petit, cela passe Ă©galement par un dĂ©veloppement de l’économie circulaire et une entraide entre toutes les gĂ©nĂ©rations. En ce qui concerne les retraitĂ©s, elle ajoute : « Le fait de ne plus travailler enlĂšve Ă  certains cette identitĂ© sociale et ils veulent la retrouver. » L’engagement dans le bĂ©nĂ©volat pour permettre d’aider les autres ou encore l’achat d’objets connectĂ©s aident Ă  remĂ©dier Ă  ce sentiment car ils ont l’impression d’exister Ă  travers cela. Enfin, il est Ă©galement important de souligner le rĂŽle de la famille : « Souvent, le point de rupture est quand la famille considĂšre que les plus ĂągĂ©s ne sont plus utiles. On a besoin des liens familiaux et extra-familiaux pour que chacun puisse donner sa propre part » indique MĂ©lissa-Asli Petit. Il s’agit donc de favoriser l’intergĂ©nĂ©ration, en comprenant bien que chaque Ăąge Ă  un rĂŽle Ă  jouer dans la sociĂ©tĂ©. L’enjeu est de rĂ©ussir Ă  ne pas crĂ©er de conflits entre les gĂ©nĂ©rations et Ă  inventer une sociĂ©tĂ© plus inclusive oĂč chacun Ă  sa place.

Cadeau ! 1 ExtraCell Brain & Eyes

Suite à l’achat de 2 produits

Swiss Alp Health (en un seul achat) dans votre pharmacie ou droguerie, vous recevrez gratuitement

1 ExtraCell Brain & Eyes

Envoyez par courrier postal ce bon avec la quittance en indiquant votre nom et adresse à: Swiss Alp Health, Route d’Arnier 4, 1092 Belmont-sur-Lausanne ou envoyez-nous la quittance par email: info(at)swiss-alp-health.ch

Valable jusqu’au 31.07.2023

Swiss Alp Health

Tél: +41 21 711 33 11 info(at)swiss-alp-health.ch

Contribue au fonctionnement normal du cerveau et au maintien d’une vision normale. Capsules avec omĂ©ga-3 DHA, phosphatydilsĂ©rine (PS), lutĂ©ine, zĂ©axanthine, lycopĂšne, Q10, zinc, vitamines C, E et groupe B.

14 UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA FOCUS.SWISS Image iStockphoto/kate_sept2004 LE VIEILLISSEMENT AUJOURD'HUI
« Le fait de vieillir est aujourd’hui en recomposition »
Texte Léa Stocky
et complùtes pour la femme et l’homme.

Accompagner les familles dans l’épreuve difficile qu’est la mort, telle est la mission que se sont donnĂ©es les Pompes FunĂšbres GĂ©nĂ©rales Ă  GenĂšve. Guillaume Lavigne (52 ans) et CĂ©dric Fernandes (27 ans), conseillers funĂ©raires, nous parlent de leur mĂ©tier peu commun et pourtant essentiel. Guillaume Lavigne et CĂ©dric Fernandes, pourquoi avoir choisi cette profession et qu’est-ce qui vous plaĂźt le plus dans votre mĂ©tier ?

Guillaume Lavigne : C’est un travail qui a su apporter un sens Ă  ma vie professionnelle, mais surtout Ă  ma vie personnelle. AprĂšs plusieurs annĂ©es en tant que commercial, j’ai eu envie de me dĂ©tacher de ce monde de chiffres et d’objectifs. Ce qui me plait Ă©normĂ©ment, c’est de me sentir utile aux autres, dans des moments oĂč ils ont besoin d’aide. L’accompagnement, l’écoute et l’empathie sont pour moi les qualitĂ©s les plus importantes. C’est avant tout un mĂ©tier de conseil.

CĂ©dric Fernandes : Devenir conseiller funĂ©raire Ă©tait comme une Ă©vidence pour moi. J’ai toujours voulu travailler avec l’humain. Pour rĂ©pondre Ă  ce qui me plaĂźt le plus, je dirais l’authenticitĂ© ! En effet, c’est une fonction qui vous confronte constamment Ă  la rĂ©alitĂ© de la vie. C’est un domaine dans

lequel vous prenez conscience de la beautĂ© des choses simples et que tout n’est qu’éphĂ©mĂšre.

Quelles sont les qualitĂ©s requises pour l’exercer ?

CF : C’est avant tout un mĂ©tier d’adaptation et d’attention. Il faut arriver Ă  rencontrer le dĂ©funt Ă  travers sa famille, afin de les conseiller au mieux. Une autre qualitĂ© primordiale est l’esprit de cohĂ©sion. Il faut Ă©galement une grande stabilitĂ© mentale bien sĂ»r, ainsi qu’une discipline exemplaire. Vous comprendrez que l’erreur est compliquĂ©e dans des moments si complexes.

Pouvez-vous dĂ©crire une de vos journĂ©es types ?

GL : Il n’y pas de journĂ©e type. Chaque jour, nous rencontrons des familles diffĂ©rentes. De plus, la diversitĂ© de notre travail nous amĂšne Ă  ĂȘtre polyvalents. Selon vous, comment peut-on bien accompagner les familles dans le deuil ?

CF : Je crois que comprendre et respecter leurs attentes est la seule façon de soulager leur peine. Lorsqu’une famille vous remercie de l’avoir accompagnĂ©e, c’est pour moi la plus belle des victoires. Comment faites-vous pour rĂ©ussir Ă  passer outre la tristesse des familles ?

GL : On ne passe jamais outre la tristesse des gens. Cependant, notre rĂŽle est de les accompagner sereinement. Il y a des contextes qui nous touchent plus que d’autres. Dans certaines situations, il est difficile de ne pas faire le parallĂšle avec notre propre histoire. Pourquoi prĂ©parer sa fin de vie ?

CF : Notre dĂ©part est une certitude et comme tout voyage, il se prĂ©pare. La clĂ© est la communication. Souscrire un contrat de prĂ©voyance, c’est poser un cadre. L’approche est trĂšs diffĂ©rente lorsqu’une famille organise des funĂ©railles dans ce contexte. L’entretien est beaucoup plus fluide et serein. De plus, un contrat de prĂ©voyance permet de garantir le respect des souhaits du dĂ©funt. Azur PrĂ©voyance FunĂ©raire consigne les volontĂ©s des familles depuis 2002. Nous sommes plus que des conseillers funĂ©raires : nous sommes leurs confidents et nous en sommes honorĂ©s.

À partir de quand et comment peut-on prĂ©parer sa fin de vie en toute sĂ©rĂ©nité ?

GL : Il n’y a pas d’ñge pour prĂ©parer sa fin de vie, la mort touche n’importe qui et n’importe quand. À 48 ans, j’ai Ă©tĂ© victime d’un AVC, ce qui m’a beaucoup fait rĂ©flĂ©chir sur le sujet. J’ai une femme et deux filles. L’idĂ©e de les quitter sans mĂȘme leur Ă©pargner cette tĂąche m’est aujourd’hui inconcevable ! Chaque instant est le bon moment pour en parler, puisque tout le monde est concernĂ©. PrĂ©parer son dĂ©part, c’est permettre Ă  ses proches de faire son deuil correctement et dans le respect de ses volontĂ©s.

bateau au milieu du LĂ©man ; et la plus belle selonmoi, la cĂ©rĂ©monie nocturne et son feu d’artifice. Finalement, je crois que les seules limites sont celles que l’on s’impose. Et tant que l’on reste dans le « politiquement correct » et dans ce qui est autorisĂ©, alors allons-y !

Comment sensibiliser Ă  la prĂ©voyance ?

CF : Il est trĂšs compliquĂ© d’arriver Ă  sensibiliser Ă  cela. Comme tout engagement, signer un contrat nĂ©cessite une certaine rĂ©flexion. Je crois que c’est une dĂ©marche personnelle, qui doit se faire naturellement. Certaines personnes ont beaucoup de mal Ă  accepter la mort. MalgrĂ© mon Ăąge, j’ai moi aussi Ă©tĂ© confrontĂ© Ă  la perte de plusieurs personnes qui m’étaient proches. Je connais la difficultĂ© d’entreprendre des choix Ă  la place de l’autre. Je connais aussi l’incomprĂ©hension et la colĂšre qu’engendre le deuil. On peut lire cependant Le Petit Prince de Saint-ExupĂ©ry s’interroger face au serpent : « Je me demande si les Ă©toiles sont Ă©clairĂ©es, afin que chacun puisse un jour retrouver la sienne. » Que conseilleriez-vous Ă  des personnes qui ont des apprĂ©hensions quant Ă  l’organisation de leur fin de vie ?

GL : Je peux comprendre l’apprĂ©hension, nous en avons tous. Ceci-dit, en parler ne fait pas mourir ! Pour que vos vƓux soient respectĂ©s et pour que votre famille soit protĂ©gĂ©e, il est important d’en discuter.

Dans quelle mesure est-il possible de personnaliser un contrat ?

CF : Depuis plusieurs annĂ©es j’ai eu l’occasion de recevoir des idĂ©es trĂšs surprenantes. Parfois, certaines personnes souhaitent adapter ces moments-lĂ  Ă  leur image, je trouve que c’est une bonne chose. Cela commence par la personnalisation du cercueil. Demander un cercueil bleu ou noir par exemple, ou Ă  ce que vos enfants, petits-enfants et amis dessinent ou Ă©crivent sur celui-ci. Mais on peut aussi dĂ©vier sur des choses bien plus spectaculaires ! Certaines familles m’ont demandĂ© un jour : une pluie de pĂ©tales de roses par hĂ©licoptĂšre ; une arrivĂ©e en calĂšche tirĂ©e par des chevaux ; une cĂ©rĂ©monie avec une urne sur un

AZUR PRÉVOYANCE FUNÉRAIRE

Gardien de vos volontés depuis 2002

Et vous ? Vous l’imaginez comment votre dernier voyage ?

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA #FOCUS50PLUS 15 AZUR PRÉVOYANCE FUNÉRAIRE SA ‱ BRANDREPORT
« Chaque instant est le bon moment pour en parler »
Guillaume Lavigne Conseiller funéraire Cédric Fernandes Conseiller funéraire
Route de Saint-Georges 79 - 1213 Petit-Lancy | Avenue Cardinal-Mermillod 46 - 1227 Carouge TĂ©l. 022 342 66 22 | info@azur-prevoyance.ch | www.azur-prevoyance.ch Merci de retourner ce coupon Ă  : Azur PrĂ©voyance FunĂ©raire SA Route de Saint-Georges 79 - 1213 Petit-Lancy | TĂ©l. 022 342 66 22 ❍ Veuillez me contacter pour une Ă©tude personnalisĂ©e, sans engagement de ma part, de ma prĂ©voyance funĂ©raire ❍ Je souhaite recevoir une documentation sur vos contrats de prĂ©voyance Nom : PrĂ©nom : TĂ©l : Adresse : N° postal : Lieu :
Il n’y a pas d’ñge pour prĂ©parer sa fin de vie, la mort touche n’importe qui et n’importe quand.

Un soutien physique et émotionnel offert aux personnes touchées par le cancer

Le cancer est une maladie qui touche de nombreuses personnes chaque annĂ©e, affectant non seulement leur santĂ© physique, mais Ă©galement leur bien-ĂȘtre Ă©motionnel et social. Durant cette pĂ©riode, certaines personnes n’ont pas accĂšs au soutien nĂ©cessaire pour des raisons diverses qui peuvent ĂȘtre financiĂšres, mais aussi parce que la famille ne vit pas dans le mĂȘme pays, par exemple.

niveau du soutien Ă©motionnel, nous avons deux groupes de soutien gĂ©nĂ©raux (en ligne ou en personne) mais aussi des groupes de soutien spĂ©cialisĂ©s sur le cancer du sein par exemple, ou pour les adolescents. Nous avons aussi des services d’art thĂ©rapie, des cours de yoga ou de pilates, des groupes de walk & talk et aussi un groupe de bien-ĂȘtre beautĂ©, oĂč nous proposons de l’aide au niveau du maquillage et des cheveux.

La Suisse, et GenĂšve en particulier, compte effectivement une importante population Ă©trangĂšre et variĂ©e au niveau dĂ©mographique. ESCA CancerSupport s’est donc donnĂ© la mission d’offrir Ă  toutes personnes concernĂ©es par la maladie un soutien tant pratique qu’émotionnel. En proposant des activitĂ©s entiĂšrement gratuites et en anglais, l’association souhaite apporter une aide gĂ©nĂ©ralisĂ©e Ă  toutes et tous. Alana Dunsmore, responsable de la communication et de la sensibilisation Ă  ESCA CancertSupport, prĂ©sente l’organisation. Alana Dunsmore, qu’est-ce que ESCA CancerSupport ?

ESCA CancertSupport est une organisation Ă  but non lucratif qui offre un soutien Ă©motionnel et une aide pratique aux personnes touchĂ©es par le cancer. Nos services s’adressent Ă  toute personne touchĂ©e par le cancer, qu’il s’agisse d’une personne en cours de traitement, d’une personne en deuil ou d’un soignant. Nous soutenons Ă©galement les personnes qui vivent en Suisse, mais dont un proche vivant Ă  l’étranger suit un traitement contre le cancer. Nous soutenons des personnes de tous Ăąges, y compris de jeunes enfants. Tous nos services sont offerts en anglais mais sont ouverts Ă  toutes les nationalitĂ©s. Comme nos services sont Ă©galement offerts en ligne, ils sont ouverts Ă  toute personne vivant en Suisse ou dans les rĂ©gions avoisinantes. Quels services et activitĂ©s proposez-vous ?

Nous proposons un large éventail de services. Au

En plus de tout cela, nous avons une librairie dans laquelle les membres peuvent se retrouver et discuter, et un « pair support », dans lequel les volontaires peuvent offrir de nombreux services comme accompagner quelqu’un Ă  l’hĂŽpital ou prĂ©parer un gĂąteau. Les volontaires peuvent apporter du soutien aux personnes touchĂ©es par le cancer mais aussi Ă  la famille. Nous essayons de fournir de nombreux services pour couvrir un maximum de besoins.

Pourriez-vous dĂ©crire une journĂ©e type en tant que membre d’ESCA CancerSupport ?

Pour les volontaires, chaque journĂ©e est diffĂ©rente. Une centaine de volontaires nous aident tous les jours et font un travail Ă©norme tant au niveau organisationnel qu’au niveau du support fourni envers les membres. Certains volontaires font des activitĂ©s plus pratiques avec les participants, d’autres prĂ©fĂšrent offrir une aide au niveau de l’administration.

Quelle est votre devise et vos missions ?

« Personne n’est seul face au cancer », telle est notre devise. Nos missions sont orientĂ©es en fonction de cette derniĂšre: nous souhaitons fournir une aide pratique Ă  tous ceux qui en ont besoin, peu importe leur nationalitĂ© ou leur revenu. Notre mission est d’accueillir toutes les communautĂ©s.

GenĂšve compte effectivement beaucoup d’expatriĂ©s qui ne peuvent pas toujours pas avoir le soutien de leurs proches Ă  cause de la distance. Nous proposons d’ailleurs notre soutien pour pouvoir accueillir une plus large communautĂ©.

Avec qui collaborez-vous majoritairement ?

Nous travaillons avec diffĂ©rentes personnes telles que des professionnels du soin et de la santĂ©. Nous collaborons avec des hĂŽpitaux, des cliniques et diverses aides dans le domaine. Il est important pour nous que la communautĂ© mĂ©dicale sache que nous sommes lĂ  et que nous fournissons ce support additionnel. Nous travaillons Ă©galement avec d’autres organisations de soutien face au cancer, car nous savons que nos services ne peuvent pas offrir l’entiĂšretĂ© de l’aide nĂ©cessaire. Il est important de s’unir et de travailler main dans la main pour offrir l’aide la plus globale possible. Le cancer est une maladie qui touche de plus en plus de personnes. Comment voyez-vous cette Ă©volution dans le futur ?

Le nombre de personnes qui vivent avec le cancer et le nombre de dĂ©cĂšs suite Ă  un cancer ne fait qu’augmenter en Suisse. Les chiffres indiquent une croissance de 15 % d’augmentation de la maladie entre 2018 et 2025. Cette tendance est en partie dĂ»e Ă  une plus grande espĂ©rance de vie et Ă  l’augmentation de la population. C’est pourquoi nous souhaitons dĂ©velopper et agrandir nos services, qui permettront de subvenir aux besoins des personnes concernĂ©es et leur fournir un soutien de qualitĂ©.

Vous organisez une journĂ©e portes ouvertes le 30 mars 2023. À qui s’adresse cet Ă©vĂ©nement et que peuvent attendre les visiteurs de cette journĂ©e ?

L’évĂ©nement est ouvert Ă  toutes les personnes qui

Nos circuits francophones de rĂȘve dĂ©jĂ  accompagnĂ©s au dĂ©part de la Suisse:

souhaitent en apprendre davantage sur ESCA CancerSupport. Cela peut ĂȘtre la communautĂ© mĂ©dicale, d’autres organisations, la famille, les volontaires et bien sĂ»r les personnes directement touchĂ©es par la maladie. L’idĂ©e est que les visiteurs aient un aperçu de ce que nous proposons. C’est une opportunitĂ© pour les visiteurs d’interagir avec nos services, de discuter, de comprendre quelles sont nos missions. Toutes les personnes qui sont intĂ©ressĂ©es Ă  faire du bĂ©nĂ©volat sont Ă©galement les bienvenues. Nous aurons un programme qui accueillera ces Ă©ventuels bĂ©nĂ©voles pour prĂ©senter nos services, discuter entre nous et rĂ©pondre aux questions. L’évĂ©nement dĂ©bute Ă  16 heures et est entiĂšrement gratuit.

Mas Images mĂ d

Pour plus d’informations et inscriptions aux portes ouvertes:

Toutes ces destinations, couvertes par nos circuits en mini-groupes, sont aussi proposées

“à la carte” !

votre

Adresse: ESCA CancerSupport

ChĂąteau du Grand-Saconnex

Chemin Auguste-Vilbert 14 1218 Le Grand-Saconnex

Voyagiste de qualité depuis 1980.

Ă  la rue du Valentin 34, 1004 Lausanne, avec accueil sur rendez-vous.

16 UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA #FOCUS50PLUS BRANDREPORT ‱ ESCA
Nouvelle-ZĂ©lande & Nouvelle-CalĂ©donie Argentine & Torres del Paine (Chili) Le Cap, Namibie, Botswana & train Rovos au Zimbabwe L’Australie d’ouest en est, avec la Tasmanie
www.novatours.ch
lausanne@novatours.ch
A
service
Alana Dunsmore Responsable de la communication et de la sensibilation Ă  ESCA CancerSupport

Dr Hester Haverdings

Comprendre, prĂ©venir et soigner les maladies liĂ©es Ă  l’urologie

Dr Grégoire Mayor

Dr Gregory Wirth

Qu’est-ce que l’urologie ?

À partir de 50 ans, la prĂ©valence d’un certain nombre de pathologies liĂ©es au

augmente, particuliĂšrement pour

Les tumeurs de prostate et de vessie (surtout chez le tabagique) sont Ă©galement frĂ©quentes, de mĂȘme que les problĂšmes d’incontinence urinaire et de calculs rĂ©naux. Les infections urinaires Ă  rĂ©pĂ©tition sont Ă©galement un problĂšme frĂ©quent notamment chez la femme mĂ©nopausĂ©e.

Y a-t-il une place pour des examens de dĂ©pistage ?

L’opportunitĂ© et l’utilitĂ© d’une dĂ©tection prĂ©coce du cancer de la prostate ainsi que ses consĂ©quences doivent ĂȘtre discutĂ©es avec son mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste ou avec son urologue Ă  partir de 50 ans ou dĂšs 45 ans si des parents directs (pĂšre, frĂšre, etc) ont Ă©tĂ© touchĂ©s par cette maladie. Si le patients et le mĂ©decins ont jugĂ© utile de proposer des examens, il faudra alors rĂ©aliser un toucher rectal et une prise de sang (PSA).

L’absence de consensus sur un dĂ©pistage systĂ©matique Ă  large Ă©chelle est dĂ» au fait que la dĂ©tection et le traitement de certaines tumeurs biologiquement peu, voire fort peu, agressives n'apportent a priori aucun gain chez certaines personnes en fonction de leur espĂ©rance de vie et des potentielles consĂ©quences nĂ©gatives de certains traitements.

problĂšmes les plus frĂ©quents sont l’apparition et la pĂ©joration de symptĂŽmes urinaires liĂ©s Ă  une augmentation du volume de la prostate suite Ă  des mĂ©canismes complexes et imparfaitement compris de dĂ©sĂ©quilibre hormonal liĂ© au vieillissement.

Il s’agit d'une spĂ©cialitĂ© mĂ©dico-chirurgicale qui s’intĂ©resse au diagnostic et au traitement des maladies qui concernent le systĂšme urinaire des femmes et des hommes (reins, uretĂšres, vessie et urĂštre) ainsi que l’appareil reproducteur masculin (prostate, verge et testicules).

Quelles sont les pathologies liĂ©es Ă  l’urologie qui peuvent toucher les personnes de plus de 50 ans ?

Les problĂšmes les plus frĂ©quents sont l’apparition et la pĂ©joration de symptĂŽmes urinaires liĂ©s Ă  une augmentation du volume de la prostate suite Ă  des mĂ©canismes complexes et imparfaitement compris de dĂ©sĂ©quilibre hormonal liĂ© au vieillissement. La localisation anatomique de la prostate directement sous la vessie et autour de l’urĂštre explique les symptĂŽmes urinaires bien que la prostate ne soit pas une glande du systĂšme urinaire

Au niveau des campagnes de prĂ©vention connues au niveau mondial, il existe durant le mois de novembre la campagne “Movember” qui sensibilise aux problĂ©matiques de santĂ© masculine.

Quelles sont les pathologies soignĂ©es Ă  la Clinique GĂ©nĂ©rale-Beaulieu ?

On distingue classiquement la chirurgie oncologique qui concernent les tumeurs des reins, de la vessie, de la prostate et des testicules de la chirurgie fonctionnelle qui s’intĂ©resse au traitement des symptĂŽmes urinaires en corrigeant par exemple des problĂšmes d’incontinence ou d’hypertrophie prostatique ou des problĂšmes plus spĂ©cifiques de dĂ©viation pĂ©nienne ou de fertilitĂ©. Une activitĂ© importante est Ă©galement la prise en charge en urgence ou en Ă©lectif des problĂšmes souvent trĂšs douloureux liĂ©s aux calculs rĂ©naux.

Enfin, nous pratiquons également au cabinet un grand nombre de vasectomies (section des canaux qui amÚnent les spermatozoïdes dans le sperme, à des fin de stérilité)

La proximitĂ© physique entre le Centre et la Clinique permet une prise en charge fluide avec une disponibilitĂ© Ă©levĂ©e. La collaboration avec nos collĂšgues de radiologie ou de mĂ©decine nuclĂ©aire est Ă©galement s’en trouve Ă©galement facilitĂ©e. Des tumor board sont organisĂ©s chaque semaine avec nos collĂšgues oncologues et radio-oncologues Quels sont vos nouveaux projets ?

Nous avons introduit rĂ©cemment le traitement de l’hypertrophie prostatique par injection vapeur qui permet de prĂ©server certaines fonctions sexuelles qui sont habituellement perdues lors d’un traitement endoscopique classique. La procĂ©dure dure environ 15 minutes avec un risque de complication immĂ©diate trĂšs faible. Toutefois, ce type de traitement minimalement invasif ne s’adresse pas Ă  tous les patients souffrant d’hypertrophie prostatique, notamment ceux souffrant d’une maladie avancĂ©e.

Le traitement de la dysfonction Ă©rectile par ondes de choc extracorporelles offre Ă©galement une nouvelle possibilitĂ© d’amĂ©lioration de la fonction Ă©rectile, avec de bons rĂ©sultats surtout chez les patients diabĂ©tiques. La prise en charge est proposĂ©e par sĂ©ances de 10 Ă  15 minutes, deux fois par semaine, pour un total de 8-12 sĂ©ances. Cette

modalitĂ© de traitement est souvent proposĂ©e de maniĂšre concomitante Ă  un traitement pharmacologique de type Viagra ou Cialis et permet d’en amĂ©liorer l’effet sans augmentation de dose, souvent associĂ©e Ă  une multiplication des effets secondaires.

La Clinique GĂ©nĂ©rale-Beaulieu s’est Ă©galement dotĂ©e d’un laser de derniĂšre gĂ©nĂ©ration pour la prise en charge des calculs rĂ©naux et urĂ©tĂ©raux (laser Thulium). Les amĂ©liorations techniques permettent une meilleure fragmentation des calculs et ainsi de rĂ©duire la durĂ©e opĂ©ratoire, notamment pour les calculs trĂšs denses et de diminuer le risque de fragments rĂ©siduels qui pourraient provoquer de nouvelles crises douloureuses aprĂšs l’intervention.

Nous sommes Ă©galement en phase d’initiation d’un processus de certification du centre de la prostate.

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA 17 CLINIQUE GÉNÉRALE BEAULIEU ‱ BRANDREPORT #FOCUS50PLUS
Les
domaine urologique les hommes. Les Docteurs Hester Haverdings, Gregory Wirth et GrĂ©goire Mayor du Centre d’Urologie GĂ©nĂ©rale-Beaulieu, structure adjacente Ă  la Clinique GĂ©nĂ©rale-Beaulieu, expliquent dans cette interview les maladies qu’ils soignent.
Image iStockphoto/mi-viri

annĂ©es, dans le domaine du droit, on constate par ailleurs l’existence d’une volontĂ© centrale : l’avocat se doit d’ĂȘtre crĂ©ateur de solutions originales, dans toute la mesure du possible hors des tribunaux. Dans ce cadre, des spĂ©cialisations dans des domaines comme le conseil, la

de l’autre pour tenter de trouver un accord

pĂ©renne. Pour ce faire, le nĂ©gociateur met en Ɠuvre des connaissances prĂ©cises, des techniques trĂšs pointues, qui vont du droit Ă  l’économie, en passant par l’analyse contextuelle ou encore la psychologie – notamment l’écoute active voire la dĂ©tection du mensonge.

Le divorce d’un couple ĂągĂ©

CDR DIVORCE.CH

L’enfant mineur et le divorce de ses parents

Statistiquement, prÚs de la moitié des 17 000 divorces prononcés chaque année en Suisse concernent des conjoints ùgés de plus de 50 ans.

financiĂšrement. Il s’agit de la fameuse « pĂ©nalisation du mariage ». Elle porte en particulier sur 4 aspects.

Chaque annĂ©e en Suisse, plus de 12 000 enfants sont touchĂ©s par le divorce ou la sĂ©paration de leurs parents, qu’ils soient mariĂ©s ou non. De plus en plus de parents comprennent que l’intĂ©rĂȘt supĂ©rieur des enfants n’est certainement pas de faire de la procĂ©dure mais bien de trouver un arrangement acceptable. Ainsi, plus de la moitiĂ© des utilisateurs du site divorce.ch ont des enfants et, parmi eux, un bon tiers choisit la garde alternĂ©e.

Depuis les annĂ©es 1950, le divorce s’est banalisĂ©. Les causes du divorce n’ont plus aucune importance et les rĂšgles sur les consĂ©quences du divorce sont bien connues et standardisĂ©es de sorte qu’il est inutile de mener de longues procĂ©dures coĂ»teuses, pas seulement financiĂšrement mais Ă©motionnellement aussi, pour finalement arriver Ă  un rĂ©sultat connu d’avance.

Les consĂ©quences d’un divorce sont purement financiĂšres et rĂ©sultent de calculs qui ont maintenant Ă©tĂ© formatĂ©s et imposĂ©s par le Tribunal fĂ©dĂ©ral – si le couple n’arrive pas Ă  trouver une solution amiable acceptable, de sorte que le rĂ©sultat final est prĂ©visible. Tout est jouĂ© Ă  l’avance et les marges d’apprĂ©ciation des tribunaux s’amoindrissent de plus en plus.

Fiscal Lorsque les deux conjoints travaillent, ils sont pĂ©nalisĂ©s fiscalement car ils paient plus d’impĂŽts que des concubins. C’est particuliĂšrement sensible pour la classe moyenne. En 2018, on estimait que 704 000 couples 000 rentiers) subissaient ce dĂ©savantage fiscal. Le Tribunal fĂ©dĂ©ral a dĂ©noncĂ© cette inĂ©galitĂ© de traitement en 1984 dĂ©jĂ  mais comme il n’y pas les pouvoirs de dĂ©clarer une loi fĂ©dĂ©rale inconstitutionnelle, l’inĂ©galitĂ© de traitement reste d’actualitĂ© aujourd’hui encore. Petit espoir, le 22 mai 2022, le Conseil fĂ©dĂ©ral a fixĂ© les lignes directrices sur un projet de taxation individuelle. Les dĂ©bats n’auront lieu qu’en 2023 (prĂšs de 40 ans aprĂšs l’arrĂȘt du TF) et l’issue reste incertaine.

Dans une procĂ©dure judiciaire, il n’y a jamais de gagnants mais il y a surtout des perdants : les enfants qui en sont traumatisĂ©s, souvent gravement, parfois Ă  vie.

C’est la raison pour laquelle www.divorce.ch connait de plus en plus de succĂšs. Tous les aspects du divorce sont dĂ©taillĂ©s et vulgarisĂ©s pour permettre de comprendre les rĂšgles. L’information est gratuite et documentĂ©e (partage de la LPP, pensions, autoritĂ© parentale, garde, droit de visite etc). Des conseils personnalisĂ©s sont disponibles en tout temps par tĂ©lĂ©phone, avec ou sans vidĂ©o (entre CHF 75.- et CHF 180.- selon la durĂ©e et l’urgence), et les documents Ă  envoyer au tribunal pour ĂȘtre divorcĂ©s par consentement mutuel et sans avocat, dans les 3 mois, ne coĂ»tent que CHF 550.-.

Les rĂšgles sont simples et tout est Ă©crit Ă  l’avance : l’autoritĂ© parentale reste conjointe par principe, la garde est soit attribuĂ©e Ă  un parent avec un droit de visite Ă  l’autre, soit alternĂ©e. Le parent qui n’a pas la garde de l’enfant doit payer une contribution Ă  l’entretien de l’enfant Ă  l’autre parent, Ă  hauteur d’environ 15 % de son salaire net pour un enfant, 25 % pour deux enfants et 30 % pour trois enfants.

Les couples mariĂ©s, mĂȘme sĂ©parĂ©s ne peuvent recevoir au mieux qu’une rente et demie, soit CHF 3675.- par mois alors qu’un couple de concubin peut recevoir deux rentes pleines, soit CHF 4900.-. Une diffĂ©rence de CHF 1225.-, uniquement du fait du mariage. Pour les petits rentiers, cette diffĂ©rence est trĂšs sensible de sorte qu’ils ont tout intĂ©rĂȘt Ă  divorcer, tout en restant ensemble comme par le passĂ©.

l’ñge de 6 ans, l’enfant a le droit d’ĂȘtre entendu par le Tribunal, sans la prĂ©sence des parents et des avocats. Le Tribunal suivra en principe l’avis de l’enfant dĂšs qu’il a suffisamment de maturitĂ© pour exprimer sa ferme volontĂ©, soit dĂšs l’ñge de 12-13 ans environ. Il ne faut jamais placer l’enfant dans un conflit de loyautĂ©. Par principe et naturellement, l’enfant aime ses deux parents et il ne peut pas choisir l’un contre l’autre. Trop de parents ignorent encore cette rĂšgle fondamentale et cherchent, volontairement ou non, Ă  instrumentaliser l’enfant ou Ă  dĂ©nigrer l’autre parent devant l’enfant ; ce qui ne peut que perturber trĂšs sĂ©rieusement l’enfant.

Frais d’assistance ou mĂ©dicaux non couverts

parentale de devoir trouver une solution nĂ©gociĂ©e, parents refuse de discuter sĂ©rieusement, il/elle montre ainsi son manque de responsabilitĂ© parentale et s’expose par consĂ©quent Ă  ne pas avoir la garde de l’enfant car ce parent n’est pas suffisamment adulte

Il n’est pas rare qu’un couple ĂągĂ© dĂ©cide de divorcer, tout en restant ensemble comme avant le divorce, uniquement pour des raisons financiĂšres car leur situation de couple mariĂ© ne leur permet pas de pouvoir vivre dĂ©cemment ou est trop dĂ©savantageuse

La garde alternĂ©e peut ĂȘtre ordonnĂ©e par le tribunal malgrĂ© l’opposition de l’un des deux parents. DĂšs

Si l’un des deux conjoints mariĂ©s nĂ©cessite des soins mĂ©dicaux de longue durĂ©e, ou un placement en institution (EMS), l’autre a une obligation de lui venir en aide financiĂšrement de sorte que la paupĂ©risation risque de guetter et l’un et l’autre. Si le couple est divorcĂ©, il n’y a plus cette obligation de venir en aide financiĂšre lorsque l’ex n’a pas les moyens de faire face Ă  ses dettes non couvertes par les assurances. Le dĂ©ficit sera alors pris en charge par les prestations complĂ©mentaires. Il y a lĂ  aussi un intĂ©rĂȘt financier certain, concret et important d’ĂȘtre divorcĂ©s plutĂŽt que de rester mariĂ©s. Prestations complĂ©mentaires

Pour Ă©viter les bagarres judiciaires stĂ©riles et interminables, une nouvelle approche expĂ©rimentale est tentĂ©e Ă  Vevey et Ă  Monthey. DorĂ©navant, ce n’est plus un juge unique qui tranche mais un panel de spĂ©cialistes (pĂ©dopsychiatres, assistants sociaux, juge, juristes, avocats) qui discute avec les parents pour qu’ils arrivent eux-mĂȘmes Ă  trouver une solution acceptable, en insistant sur leur responsabilitĂ©

Les prestations complĂ©mentaires sont versĂ©es par l’assurance sociale Ă  ceux qui ne peuvent pas subvenir financiĂšrement Ă  leurs besoins essentiels. En bref, pour ceux qui n’arrivent pas Ă  couvrir leur minimum vital. Si vous ĂȘtes mariĂ©s, le droit aux prestations complĂ©mentaires se dĂ©termine par rapport Ă  la situation des deux Ă©poux. Si vous n’ĂȘtes pas mariĂ©s mais divorcĂ©s – mĂȘme en restant au mĂȘme domicile -, chacun a droit aux prestations complĂ©mentaires calculĂ©es en fonction de la situation personnelle de chacun des deux. LĂ  encore, les couples mariĂ©s sont dĂ©savantagĂ©s par rapport aux couples de concubins.

Les dĂ©savantages du divorce sont essentiellement successoraux : en cas de dĂ©cĂšs de l’un, l’autre n’est pas hĂ©ritier lĂ©gal mais un tiers qui aura Ă  payer des droits de succession importants (50 %). Mais pour ceux qui sont dĂ©jĂ  dans une situation financiĂšre trĂšs serrĂ©e de leur vivant, il y a bien peu de chance que leur succession soit importante et, au demeurant, il suffit de faire une donation avant le divorce ou de

Ainsi, en quelques mois une solution nĂ©gociĂ©e, d’accord avec les parents, se dessine rapidement. Le Tribunal de Monthey constate que dans pratiquement 100 % des cas un arrangement amiable nĂ©gociĂ© et convenu a ainsi pu ĂȘtre conclu en moins de trois mois. C’est assurĂ©ment la voie Ă  suivre et Ă  Ă©tendre dans tout le pays.

mettre les descendants comme hĂ©ritiers pour Ă©viter toute taxation (sauf dans les quelques cantons – Vaud par exemple – qui taxent les hĂ©ritiers directs Ă  un taux rĂ©duit et Ă  partir de CHF 50 000.-).

Au total, il reste que, malheureusement et dans de trop nombreux cas concrets, il est financiÚrement préférable de vivre en couple en concubinage et divorcés, plutÎt que de rester mariés car les lois sont pénalisantes pour beaucoup de couples mariés. www.divorce.ch

Pour plus d’informations sur www.divorce.ch

100 % de succùs depuis 2007

100 % de succùs depuis 2007

Magique. Unique. Charmant. DÉCOUVREZ

18 UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA #FOCUS50PLUS
BRANDREPORT ‱ DIVORCE.CH
OFFRES SPÉCIALES: T +41 41 639 75 75 INFO.ENGELBERG@KEMPINSKI.COM KEMPINSKI.COM/ENGELBERG
NOS
‱ CONTENU SPONSORISÉ
individualisée et sur mesure. Ces derniÚres
pénale.

Transmettre l’Évangile par un geste ultime

Quelles valeurs souhaite-t-on pour la sociĂ©tĂ© de demain ? Nous avons toutes et tous besoin de repĂšres et d'espĂ©rance. L’action des prĂȘtres et des agents pastoraux de l’Église catholique romaine - GenĂšve (ECR) le prouve. Par eux, le message de joie et de paix de l’Évangile rayonne. Un jour viendra peut-ĂȘtre oĂč l'on rĂ©flĂ©chira Ă  ce que l’on peut faire pour les aider. On pourra alors choisir de transmettre une partie de ses biens par un legs.

La sociĂ©tĂ© traverse des dĂ©fis humains et spirituels. Devant la rapiditĂ© de l’information, l’exacerbation de la violence, le manque de repĂšres des jeunes gĂ©nĂ©rations, le message de l’Évangile est crucial pour permettre Ă  nos contemporains de promouvoir la paix et la justice.

Ce sont les valeurs de Foi, d’EspĂ©rance et de CharitĂ© qui nous permettront de faire advenir, ensemble, un monde toujours meilleur. « Merci Ă  tous ceux qui Ɠuvrent dans la conviction que l’on peut vivre dans l’harmonie et la paix, conscients de la nĂ©cessitĂ© d’un monde plus fraternel », Ă©crit ainsi le pape François.

Quoi de plus essentiel, dans ce contexte, que de permettre aux artisans de paix d’assurer leur ministĂšre dans notre canton ? Ce sont les prĂȘtres et les agents pastoraux laĂŻcs, dĂ©vouĂ©s dans leurs missions paroissiales et pastorales qui peuvent apporter aux Genevoises et aux Genevois le message fort et si contemporain de l’Évangile. Mais l’Église catholique romaine - GenĂšve (ECR) ne reçoit aucune subvention, ni de l’État ni du Vatican.

C’est pourquoi, aujourd’hui, elle a besoin d’aide

Ce sont les dons de la communautĂ© qui permettent Ă  la vie catholique genevoise de rayonner aujourd’hui et demain. Le jour viendra, peut-ĂȘtre prochainement, oĂč on se demandera ce que l’on peut faire concrĂštement pour continuer Ă  Ă©crire cette histoire de maniĂšre pĂ©renne. Ce jour-lĂ , on aura la possibilitĂ© de la soutenir en transmettant une partie de ses biens par un testament pour aider ses actions.

DĂ©signer l’Église catholique romaine - GenĂšve (ECR) comme hĂ©ritiĂšre de tout ou partie de ses biens est un geste fort qui compte beaucoup pour son avenir. Ce geste n’engage Ă  rien car on reste Ă  tout moment libre de modifier son testament.

Toutes

Peut-on faire un legs sans dĂ©shĂ©riter ses proches ?

Oui, il est tout Ă  fait possible de faire un legs Ă  l’Église catholique romaine – GenĂšve sans retirer la part d’hĂ©ritage qui revient aux enfants ou autres parents. La loi prĂ©voit qu’un certain pourcentage de nos biens revienne automatiquement Ă  nos plus proches parents.

Il est ainsi compatible de choisir de soutenir durablement l’action des prĂȘtres et de l’Église catholique Ă  GenĂšve tout en assurant Ă  ceux qu’on aime le plus une transmission financiĂšre pour les aider Ă  rĂ©aliser leurs projets.

Quel montant, quels biens peut-on donner ?

Chaque don compte, il n’y a pas de montant minimum. Dans l’Évangile, une femme donne deux piĂšces d’argent ; et ce don compte par-dessus tous les autres car il reprĂ©sente tout ce qu’elle a (Marc 12, 38-44). Nous avons tous des situations diffĂ©rentes
 la gĂ©nĂ©rositĂ© se mesure selon ses possibilitĂ©s d’aider son Église. On peut le faire en la nommant hĂ©ritiĂšre de tout ou partie de ses biens dans son testament, que ce soit pour une somme d’argent ou un bien physique. L’histoire de l’Église catholique est Ă©crite avec les paroles et

Votre expert de l’Oeil à Genùve

Acacias

Carouge Chantepoulet

Jonction

Le Lignon

Malagnou Onex

Plainpalais

Servette Vernier Versoix

Vésenaz

Pour recevoir une information

SANS ENGAGEMENT ET CONFIDENTIELLE

Contactez Audrey Brasier, Responsable de la relation avec les testateurs de l’Église Catholique Romaine à Genùve

« Je suis disponible pour répondre à vos questions et vous aider dans vos démarches au 022 319 43 55 ou par e-mail à audrey.brasier@ecr-ge.ch

Audrey Brasier, Responsable de la relation avec les testateurs de l’Église catholique romaine à Genùve

ou scannez le QR code ci-contre et remplissez le formulaire de contact.

Nous nous engageons à ce que la collecte et le traitement de vos données soient conformes à la Loi fédérale sur la protection des données.

les gestes de tout un chacun, qu’ils soient d’ordre humains ou matĂ©riels. Cette histoire dure depuis deux mille ans, et encore aujourd’hui nous la perpĂ©tuons lĂ  oĂč nous sommes, avec les personnes que nous cĂŽtoyons. Aujourd’hui, pourquoi ne pas transmettre par un legs l’hĂ©ritage spirituel qui guide notre sociĂ©tĂ© vers un monde meilleur ? Merci Ă  tous ceux qui Ɠuvrent dans la conviction que l’on peut vivre dans l’harmonie et la paix, conscients de la nĂ©cessitĂ© d’un monde plus fraternel, car nous sommes tous des crĂ©atures de Dieu : frĂšres et sƓurs.

consultations ophtalmologiques

& Urgences

ContrÎle de la vision, tension oculaire, permis de conduire, consultation enfant, consultation chirurgie réfractive, urgence.

Avenue Bois-de-la-Chapelle 15, 1213 Onex onex@cliniqueoeilgeneve.ch www.cliniqueoeilgeneve.ch

022 879 12 34

© LoloStock adobestock

À bientît j’espùre.
UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA 19 ÉGLISE CATHOLIQUE ROMAINE - GENÈVE ‱ BRANDREPORT #FOCUS50PLUS
« EN LÉGUANT À MON ÉGLISE, JE TRANSMETS L’ESPOIR À MON PROCHAIN »

Caves Ouvertes NeuchĂąteloises

À DÉGUSTER AVEC MODÉRATION ACHETEZ VOTRE BILLET C A V E S O U V E R T E S N E U C H A T E L C H
12-13 mai 2023

Trois femmes, trois chirurgiennes, trois expériences

mes patients, les liens puissants qui se créent avec eux et le fait de pouvoir leur apporter une solution dans leur processus de guérison.

La chirurgie est une spécialité technique en pleine évolution, le choix des différentes stratégies opératoires pour obtenir le meilleur résultat oncologique et esthétique possible fait aussi partie des raisons de ma passion pour ce métier.

Dre S. Seidler : Le fait d’intervenir dans les moments cruciaux de la vie des femmes, de pouvoir leur apporter une solution au cas par cas, de les aider Ă  traverser les Ă©preuves et Ɠuvrer pour une issue favorable.

et oĂč les patients se sentent inclus dans leur parcours de soins, ils sont reconnaissants et oublient les prĂ©jugĂ©s. J'ai d'ailleurs plus souvent eu des remarques concernant mon Ăąge plutĂŽt que mon genre.

Quels sont les challenges auxquels vous avez dĂ» faire face ?

Dre M. Kohlik : La formation et l’exercice de cette profession ont parfois Ă©tĂ© semĂ©s d’embĂ»ches. Certains collĂšgues chirurgiens se sont affairĂ©s Ă  ce que je change de chemin, mais finalement cela m’a permis de me poser les bonnes questions et de renforcer ma motivation pour cette spĂ©cialitĂ©. Bien entendu, j’ai aussi fait des rencontres bienveillantes et trouvĂ© des mentors masculins extraordinaires.

Avec mon mari, nous avons toujours accordĂ© beaucoup d’importance Ă  la qualitĂ© des moments partagĂ©s en famille, autour des repas, des activitĂ©s sportives et musicales.

Dre S. Seidler : Deux enfants de 560 et 600 kg: mes chevaux (rires). Un d’eux a fait une petite dĂ©pression cet hiver, mais est en pleine forme Ă  prĂ©sent. Comme tout le monde, je gĂšre le temps tant bien que mal.

Dre P. Fillet : Oui, j’ai une petite fille de 3 ans. Mon mari et moi exerçons le mĂȘme mĂ©tier et nous nous comprenons donc facilement. Nous n’avons pas d’aide extĂ©rieure mais avons rĂ©ussi Ă  nous organiser au quotidien.

Le mois de mars avec la JournĂ©e internationale des droits des femmes est l’occasion de rencontrer trois chirurgiennes qui exercent Ă  la Clinique de Genolier. Dans un milieu encore majoritairement masculin, elles y ont fait leur place.

La Docteure Magdalena Kohlik, gynĂ©cologue et chirurgienne du sein, la Docteure StĂ©phanie Seidler, gynĂ©cologue et chirurgienne du sein, et la Docteure Pauline Fillet, chirurgienne vasculaire, partagent leur parcours et leurs expĂ©riences avec honnĂȘtetĂ©.

Comment avez-vous choisi cette spécialité ?

Dre M. Kohlik : À l’ñge de 6 ans, j’ai eu un accident de ski oĂč je me suis cassĂ© les deux jambes. Le mĂ©decin de montagne qui s’est occupĂ© de moi m’a fortement impressionnĂ©e et c’est Ă  lui que je dois ma vocation.

Plus tard, j’ai rencontrĂ© des professeurs et des mentors qui m’ont beaucoup encouragĂ©e, soutenue, formĂ©e, et mĂȘme permis d’obtenir une bourse pour exercer Ă  l’étranger dans un centre renommĂ© de chirurgie. C’est grĂące Ă  eux Ă©galement que j’ai pu obtenir une formation solide de chirurgien.

Dre S. Seidler : Pour ma part, j'ai choisi cette spĂ©cialitĂ© pour la possibilitĂ© d’accompagner les patientes Ă  travers les diffĂ©rentes Ă©tapes de leur vie et pour la sous-spĂ©cialitĂ© de chirurgie cancĂ©rologique, qui me tient particuliĂšrement Ă  cƓur.

Dre P. Fillet : J'ai entamĂ© des Ă©tudes de mĂ©decine dans l'idĂ©e de devenir chercheur en laboratoire. En premiĂšre annĂ©e de mĂ©decine, j'ai dĂ©couvert les cours d’anatomie, qui m'ont passionnĂ©e. En 2Ăšme annĂ©e, je suis entrĂ©e pour la premiĂšre fois dans un bloc opĂ©ratoire et c'est lĂ  que j'ai dĂ©couvert l'aspect concret et manuel de la chirurgie. La chirurgie vasculaire est diffĂ©rente des autres spĂ©cialitĂ©s chirurgicales. Nous rĂ©parons les vaisseaux dans tout le corps et nous n’intervenons que dans des rares cas en oncologie. Qu’est-ce qui vous plaĂźt le plus dans ce mĂ©tier ?

Dre M. Kohlik : C’est le contact privilĂ©giĂ© avec

Dre P. Fillet : J’aime le cĂŽtĂ© humain et cette empathie dont on doit faire preuve au quotidien. Lorsque le patient vient Ă  la consultation, c’est un moment qu’il peut apprĂ©hender. C’est donc Ă  nous, en tant que chirurgien, de lui expliquer, de le rassurer et de gagner sa confiance. C'est un mĂ©tier trĂšs valorisant. Comment vous sentez-vous aujourd'hui en tant que chirurgienne dans un environnement oĂč les hommes sont encore majoritairement prĂ©sents ?

Dre M. Kohlik : Je me sens trĂšs bien dans cet environnement qui, il est vrai, est encore majoritairement masculin. J’ai créé ma place parmi de nombreux collĂšgues masculins et fĂ©minins avec lesquels j’entretiens d’excellents rapports professionnels.

Dre S. Seidler : À ma place, en tant que femme qui s’occupe de la santĂ© de la femme.

Dre P. Fillet : PlutĂŽt trĂšs bien ! Durant mes Ă©tudes, il y a eu des moments difficiles car il y a encore beaucoup de prĂ©jugĂ©s. Aujourd’hui, il n’est pas toujours Ă©vident d’arriver dans un nouvel Ă©tablissement, car il faut montrer ses compĂ©tences, probablement un peu plus que si nous Ă©tions un homme d’un certain Ăąge. Je ressens beaucoup d'ouverture face Ă  l’arrivĂ©e de plus de mixitĂ© au bloc opĂ©ratoire.

Ressentez-vous une évolution concernant la considération de la femme chirurgienne ?

Dre M. Kohlik : C’est une Ă©vidence. Le temps oĂč les patients cherchaient une relation paternaliste avec leur chirurgien est clairement rĂ©volu. Ils veulent prendre part aux dĂ©cisions, comprendre ce qui leur arrive et les options possibles. Les femmes ont pris leur place et font un travail remarquable. De plus, des qualitĂ©s souvent attribuĂ©es aux femmes peuvent constituer un atout majeur dans notre profession. En ce qui concerne la chirurgie oncologique du sein, les patientes peuvent parfois se sentir mieux comprises par une femme.

Dre S. Seidler : Les Ă©tudiantes sont majoritaires dans les amphithéùtres, c’est pourquoi on retrouve de plus en plus de consƓurs dans les diffĂ©rentes spĂ©cialitĂ©s, incluant la chirurgie.

Dre P. Fillet : Heureusement oui, et dans le bon sens ! De mon cĂŽtĂ©, je redoutais d'avoir des aprioris de la part de mes patients, qui sont une population majoritairement masculine d'un certain Ăąge, mais finalement, absolument pas. À partir du moment oĂč l'on explique bien les choses, avec professionnalisme,

Dre S. Seidler : Je n’ai pas Ă©tĂ© Ă©duquĂ©e Ă  penser que je ne pouvais pas rĂ©aliser une certaine tĂąche en raison de mon genre, mais uniquement de mes capacitĂ©s ou de mon entraĂźnement. La premiĂšre fois oĂč j’ai commencĂ© Ă  entendre des rĂ©flexions fondĂ©es sur le genre Ă©tait malheureusement lors de mes stages de mĂ©decine Ă  propos de ma spĂ©cialitĂ© avec des phrases type « la gynĂ©cologie est une discipline chirurgicale, ce n'est pas compatible avec une vie de famille ». Ma mĂšre est gynĂ©cologue et cela a Ă©tĂ© la preuve pour moi qu’on peut concilier vie professionnelle et vie privĂ©e. Ce genre de phrases me paraissaient complĂštement absurdes, car si ma mĂšre et d’innombrables femmes l’ont fait avant, pourquoi rĂ©tropĂ©daler ? Il m’a toujours semblĂ© relativement intuitif que des femmes s’occupent de thĂ©matiques concernant les femmes.

Par la suite de ma formation, dans certains Ă©tablissements, les internes femmes n’étaient pas prioritaires pour les places dans les rotations chirurgicales. Heureusement, pas dans toutes les institutions, sans quoi je n’aurais pas rĂ©ussi Ă  me former. Le sentiment de rĂ©volte que cette situation a gĂ©nĂ©rĂ© chez moi s’est estompĂ© et je suis fiĂšre de faire partie des Ă©quipes dans lesquelles j’évolue.

Dre P. Fillet : Lors de mon deuxiĂšme entretien dans la premiĂšre clinique oĂč j’ai travaillĂ© en tant que chirurgien indĂ©pendant, je suis arrivĂ©e « trĂšs » enceinte. Toutefois, le directeur Ă©tait humain et trĂšs comprĂ©hensif et cela n’a posĂ© aucun problĂšme. Avez-vous des enfants ?

Dre M. Kohlik : Oui, j’ai deux garçons. J’ai commencĂ© ma formation chirurgicale avant leur naissance. C’est une question d’organisation de pouvoir mener ce type de formation en ayant des enfants en bas Ăąge. L’organisation familiale doit ĂȘtre parfaite. Et d’ailleurs, nous, les femmes, sommes multitĂąches. Mes enfants sont aujourd’hui des adolescents, bien dans leurs baskets et qui arrivent Ă  me dire qu’ils sont fiers de ma profession, mĂȘme si j’ai pu ĂȘtre moins prĂ©sente pour eux lorsqu’ils Ă©taient plus petits. NĂ©anmoins, je me suis toujours organisĂ©e pour ĂȘtre lĂ  dans les moments importants et ils savent qu’ils sont ma prioritĂ©. J’ai rĂ©ussi Ă  leur transmettre qu’on peut ĂȘtre passionnĂ© par son travail, ce qui est important pour moi. Maintenant, ils trouvent que je travaille beaucoup trop, et que jamais ils ne travailleront autant, mais il paraĂźt que la gĂ©nĂ©ration Z a d’autres prioritĂ©s !

Comment conciliez-vous vie privée et travail ?

Dre M. Kohlik : Je n’ai jamais entendu un journaliste poser cette question Ă  un homme. Vous voyez, il y a encore du chemin Ă  faire. D’ailleurs, mon mari travaille Ă©galement Ă  temps plein.

Ma vocation ne m’a jamais empĂȘchĂ© de concilier vie privĂ©e et vie professionnelle. Ma vie privĂ©e me ressource, de mĂȘme que ma vie professionnelle qui m’apporte une satisfaction qui se ressent ensuite dans ma vie privĂ©e.

Dre S. Seidler : Grñce à l’extension des horaires d’ouverture des magasins !

Dre P. Fillet : Aujourd’hui, le mĂ©tier de chirurgien a beaucoup changĂ© : nous ne sommes plus Ă  l’hĂŽpital de 7h Ă  22 h, du lundi au dimanche. Cependant, il s’agit certes d’un mĂ©tier prenant, c’est pourquoi il est important d’avoir du soutien de la part de personnes qui comprennent notre mĂ©tier et notre passion. Aujourd’hui, je suis Ă©galement intĂ©grĂ©e au sein d’une Ă©quipe, ce qui permet d'ĂȘtre soutenue en cas de besoin. Que diriez-vous aux femmes qui hĂ©sitent Ă  se lancer dans cette spĂ©cialitĂ© ?

Dre M. Kohlik : N’hĂ©sitez pas ! Si l’investissement personnel et la responsabilitĂ© vis-Ă -vis de vos patients ne vous fait pas peur, c’est une profession qui, certes exigeante, est absolument passionnante et extrĂȘmement gratifiante.

Dre S. Seidler : De ne pas se limiter aux histoires de genre, le monde a dĂ©jĂ  changĂ©, mĂȘme s’il y a encore des amĂ©liorations Ă  faire. Le travail occupe une partie plus que consĂ©quente de la vie, il est donc essentiel de s’en tenir Ă  ce qui nous passionne et non Ă  des critĂšres dictĂ©s par d’autres et susceptibles de changer.

Dre P. Fillet : Je leur dirais Ă©galement de ne pas hĂ©siter ! Un autre conseil que je souhaiterais leur donner est de ne pas se laisser dĂ©stabiliser. Au cours de nos Ă©tudes, il n’est pas rare de rencontrer des personnes qui tentent de nous dissuader du haut de leur hiĂ©rarchie. Mais il ne faut pas les Ă©couter, car nous pouvons tout faire !

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA 21 CLINIQUE DE GENOLIER ‱ BRANDREPORT #FOCUS50PLUS
Dre Magdalena Kohlik Directrice médicale du Centre du Sein, spécialiste FMH en gynécologie opératoire, obstétrique et chirurgie du sein Dre Stéphanie Seidler Spécialiste FMH en gynécologie opératoire, obstétrique et chirurgie du sein Dre Pauline Fillet Spécialiste FMH en chirurgie vasculaire
mĂ d
Images

Vivre mieux sa maladie grñce à l’entraide

Le projet « HĂŽpitaux favorables Ă  l’entraide » vise Ă  promouvoir l’entraide autogĂ©rĂ©e comme complĂ©ment aux soins de suivi. Il encourage la coopĂ©ration entre les centres d’info-entraide, les groupes d’entraide et les hĂŽpitaux avec comme objectif le renforcement des compĂ©tences en santĂ© des patients et de leurs proches.

bĂ©nĂ©ficier aux professionnels et Ă  l’institution. Par exemple, il est nĂ©cessaire de renforcer la prĂ©vention secondaire et tertiaire dans l’ensemble de la chaĂźne de soins, de combler les lacunes dans le suivi des patients et complĂ©ter l’expertise professionnelle par le savoir expĂ©rientiel des patients et de leurs proches.

InfirmiĂšre de formation et ayant travaillĂ© durant prĂšs de 30 ans dans le milieu des soins, Sylviane Fellay rejoint l’équipe de BĂ©nĂ©volat Vaud en dĂ©cembre 2019 pour assurer les prestations du Centre Info-Entraide Vaud. Dans cette interview, elle parle de l’entraide autogĂ©rĂ©e et plus particuliĂšrement du projet national d’Info-Entraide Suisse « Renforcer les compĂ©tences en santĂ© grĂące aux HĂŽpitaux favorables Ă  l’entraide » qui se dĂ©ploie dans le canton de Vaud.

Sylviane Fellay, quel est l’objectif du projet Hîpitaux favorables à l’entraide ?

FinancĂ© et soutenu par Promotion SantĂ© Suisse, le projet HĂŽpitaux favorables Ă  l’entraide vise Ă  promouvoir l’entraide autogĂ©rĂ©e comme complĂ©ment Ă  l’hospitalisation et aux soins de suivi. Il encourage la coopĂ©ration entre les centres d’Info-entraide actifs dans presque tous les cantons, les groupes d’entraide et les hĂŽpitaux – il s’agit lĂ  du Triangle de coopĂ©ration. Nous souhaitons ancrer durablement ces coopĂ©rations, en accompagnant les hĂŽpitaux dans cette dĂ©marche menant Ă  une certification de l’hĂŽpital.

En quoi ce projet consiste-t-il exactement ?

Nous souhaitons que les mesures Ă©laborĂ©es visent les bienfaits des personnes concernĂ©es et leurs proches en favorisant l’autogestion et en amĂ©liorant les compĂ©tences en santĂ©. Le but est de maintenir une qualitĂ© de vie et rendre possible la participation sociale par le biais des groupes d’entraide existants (ou Ă  crĂ©er). Ces mesures doivent aussi

Un autre Ă©lĂ©ment central de ce projet est le processus de coopĂ©ration avec les reprĂ©sentants de groupes d’entraide sur un pied d’égalitĂ© avec l’hĂŽpital et le Centre Info-entraide.

Sur quels critùres les mesures s’appliquent-elles ?

Des experts, Ă©galement issus de groupes d’entraide, ont dĂ©fini six critĂšres pour des mesures de qualitĂ©. En premier lieu, l’entraide autogĂ©rĂ©e est clairement prĂ©sentĂ©e et expliquĂ©e aux patients et Ă  leurs proches. Il est en effet important qu’ils soient informĂ©s au bon moment de la possibilitĂ© de participer Ă  un groupe d’entraide.

Aussi, l’hĂŽpital informe en interne et en externe de la coopĂ©ration avec l’entraide autogĂ©rĂ©e, et une personne de contact est dĂ©signĂ©e et disponible dans l’institution. De plus, un Ă©change rĂ©gulier d’informations et d’expĂ©riences dans le cadre du Triangle de coopĂ©ration est organisĂ©. Ainsi, la participation des groupes d’entraide Ă  cette dĂ©marche est rendue possible.

Qui fait partie de ce projet ?

Dans chaque coopĂ©ration, un Centre Info-Entraide, un hĂŽpital et des membres de groupes d’entraide participent, en impliquant parfois l’association qui les soutient.

Combien d’hîpitaux y participent ?

En Suisse, 34 hĂŽpitaux sont actuellement actifs comme « HĂŽpitaux favorables Ă  l’entraide » ou sont en train de mettre en Ɠuvre les mesures nĂ©cessaires. Pour le canton de Vaud, l’hĂŽpital de Lavigny (service de NeurorĂ©habilitation) est le premier Ă  avoir manifestĂ©

son intĂ©rĂȘt. Les Ă©quipes sont enthousiastes et convaincues des bĂ©nĂ©fices mutuels que cela peut apporter. Des contacts sont en cours avec d’autres hĂŽpitaux rĂ©gionaux avec qui nous espĂ©rons bientĂŽt travailler.

Quelles solutions les hîpitaux peuventils adopter pour faciliter l’accùs à l’information aux patients et à leur famille ?

Cela peut se faire avec une mention appropriĂ©e sur le site web de l’institution, des Ă©vĂ©nements ciblĂ©s au sein de l’hĂŽpital, par exemple lors de la journĂ©e des malades, ou par du matĂ©riel d’information ciblĂ© Ă  l’attention des patients et de leurs proches.

On peut Ă©galement envisager d’intĂ©grer des groupes lors de manifestations thĂ©matiques en tant que tĂ©moins ou confĂ©renciers pour valoriser leur savoir expĂ©rientiel. Cela permet aussi de dĂ©velopper un vrai partenariat avec le patient.

Pourquoi amĂ©liorer les compĂ©tences en santĂ© est-il bĂ©nĂ©fique pour les patients ?

Selon l’étude « L’entraide autogĂ©rĂ©e en Suisse », la participation Ă  un groupe d’entraide rĂ©duit les prĂ©occupations liĂ©es Ă  la maladie et renforce une approche

ciblĂ©e et coopĂ©rative entre les soins professionnels et les personnes concernĂ©es, on parle de compliance. En outre, les liens sociaux sont renforcĂ©s, et le sentiment de ne pas ĂȘtre seul Ă  vivre une maladie est salutaire, car l’accĂšs Ă  un groupe d’entraide leur permet de trouver comprĂ©hension et soutien face aux maladies et aux situations de vie difficiles.

Quelles sont les prochaines Ă©tapes du projet ?

L’objectif est de signer des conventions avec trois Ă  quatre hĂŽpitaux d’ici 2024, Ă©galement dans d’autres cantons comme celui de GenĂšve par exemple. Pour cette premiĂšre coopĂ©ration avec l’HĂŽpital de Lavigny, les travaux pour Ă©laborer le catalogue de mesures dĂ©butent le 15 mars 2023. L’étape suivante consistera Ă  mettre en Ɠuvre ces mesures, puis Ă  les Ă©valuer sur plusieurs mois, et enfin Ă  valider qu’elles sont toutes conformes aux critĂšres de qualitĂ©. Nous espĂ©rons pouvoir certifier cet hĂŽpital d’ici l’automne 2024.

Interview Maévane Mas et Léa Stocky

Quelles solutions thĂ©rapeutiques ?

Éclairage avec la Docteur Aude Ambresin, spĂ©cialiste en ophtalmologie et ophtalmochirurgie au sein du Centre Swiss Visio de Montchoisi.

Comment caractĂ©riser la DMLA ?

Quels sont les problùmes qui affectent la vue des seniors ?

Certains troubles de la vue, comme la « presbytie », sont liĂ©s Ă  l’ñge, mais n’entraĂźnent aucune consĂ©quence fĂącheuse pour la personne. AprĂšs avoir Ă©tĂ© diagnostiquĂ©e, elle se voit prescrire une paire de lunettes et peut reprendre le cours normal de sa vie. La cataracte, autre exemple, est une opacification du cristallin. Elle est, de nos jours, traitĂ©e par le biais d’une opĂ©ration chirurgicale. Il n’en va pas de mĂȘme pour certaines maladies des yeux, elles aussi liĂ©es Ă  l’ñge, mais dont l’évolution peut provoquer, Ă  terme, une cĂ©citĂ© partielle, voire totale par absence de prise en charge rapide et adĂ©quate. En guise d’exemple, plus alarmant, le glaucome qui se dĂ©veloppe sans douleur ni baisse de vue dans un premier temps lorsque la pression augmente Ă  l’intĂ©rieur de l’Ɠil. Mais quand elle atteint un certain seuil, cette derniĂšre vient comprimer le nerf optique, et il commence Ă  en souffrir. Il est alors nĂ©cessaire d’agir rapidement, les dĂ©gĂąts Ă©tant irrĂ©versibles. La rĂ©tinopathie diabĂ©tique peut toucher, pour sa part, les personnes souffrant d’un diabĂšte, avec pour consĂ©quence la destruction des cellules rĂ©tiniennes par excĂšs de sucre dans le sang. Le dĂ©pistage chez le patient diabĂ©tique est primordial. Enfin, nous arrivons Ă  celle qui sera le thĂšme principal de notre Ă©change, Ă  savoir la DMLA, la dĂ©gĂ©nĂ©rescence maculaire liĂ©e Ă  l’ñge. Sa prĂ©valence est relativement faible initialement, d’environ 5 % entre 55 et 65 ans. Elle augmente avec l’ñge pour atteindre environ 15 % au-delĂ  de 75 ans.

Comme son acronyme l’indique, la DMLA est une maladie dĂ©gĂ©nĂ©rative. Elle affecte la macula des personnes qui en sont victimes. Il s’agit d’une petite zone de la rĂ©tine particuliĂšrement dense en cellules nerveuses, les photorĂ©cepteurs, dont la mission est de capter la lumiĂšre et d’apprĂ©hender notre environnement avec finesse et dĂ©tails. Contrairement au glaucome qui tend Ă  rĂ©duire le champ visuel pĂ©riphĂ©rique, la DMLA impacte la vision centrale. Cette maladie est principalement liĂ©e Ă  l’ñge, mais elle peut avoir pour origine des facteurs environnementaux comme la fumĂ©e du tabac, ou encore, en lien avec l’hĂ©rĂ©ditĂ©. Il est important de souligner cependant que l’absence d’antĂ©cĂ©dents familiaux ne doit pas ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme un critĂšre qui prĂ©serve d’une telle maladie.

Quels sont les symptîmes ?

Dans son stade prĂ©coce, cette maladie est la plupart du temps asymptomatique et sans douleur ; les symptĂŽmes sont souvent ressentis par le patient comme une Ă©volution par palier. Lorsque les symptĂŽmes commencent Ă  ĂȘtre perçus, les personnes peuvent Ă©prouver certaines difficultĂ©s Ă  s’adapter aux soudaines variations de lumiĂšre, par exemple, en entrĂ©e ou sortie de tunnels. A un stade plus avancĂ©, des taches sombres peuvent apparaĂźtre dans le champ de vision central. Il arrive, en outre, que la lecture se trouve affectĂ©e par une attĂ©nuation ou disparition des caractĂšres imprimĂ©s. Enfin, certaines personnes perçoivent une dĂ©formation des lignes horizontales et verticales, typiquement celles du carrelage.

Comment Ă©volue-t-elle ?

A un stade tardif, la DMLA peut prendre deux formes que l’on caractĂ©rise par les terminologies « sĂšche » et « humide ». Elle est dite « sĂšche » lorsque les cellules de la macula se dĂ©gradent lentement, avec une perte d’acuitĂ© visuelle trĂšs progressive. La forme humide, pour sa part, Ă©volue beaucoup plus rapidement. Elle est due Ă  des Ă©coulements de liquide ou de sang

provoquĂ©s par une prolifĂ©ration anarchique de vaisseaux sanguins dans les sous-couches rĂ©tiniennes de la macula. La DMLA humide prĂ©sente un caractĂšre d’urgence qui nĂ©cessite une prise en charge rapide. Existe-t-il des traitements pour guĂ©rir de la DMLA ?

A tous stades, la maladie de DMLA ne peut pas ĂȘtre guĂ©rie. Sa prise en charge thĂ©rapeutique vise Ă  retarder son Ă©volution et/ou limiter les effets visuels qu’elle engendre. L’hygiĂšne de vie, l’arrĂȘt du tabac, la prise d’antioxydants, d’omĂ©ga-3 et de vitamines spĂ©cifiques Ă  l’atteinte de la macula peuvent soutenir les processus thĂ©rapeutiques naturels de l’organisme pour lutter contre la DMLA. En marge de cela, sous sa forme prĂ©coce, une approche rĂ©cente trouve un certain intĂ©rĂȘt dans la prise en charge de la DMLA . Elle est basĂ©e sur l’utilisation de la lumiĂšre Ă  diffĂ©rentes longueurs d’onde, Ă©mises par une machine dans l’Ɠil du patient. Cette mĂ©thode a pour but de stimuler le mĂ©tabolisme des photorĂ©cepteurs par une action sur les mitochondries principalement. Les premiers rĂ©sultats sont encourageants en dĂ©montrant un effet sur la vision des contrastes des patients. Par ailleurs, notons

une rĂ©elle percĂ©e thĂ©rapeutique, et que le 17 fĂ©vrier 2023 fera date, car ce jour-lĂ , la FDA a approuvĂ© le premier traitement pour la forme tardive sĂšche de cette maladie cĂ©citante. Il s’agit d’un traitement par injection dans l’Ɠil d’un mĂ©dicament qui agit sur la cascade de l’inflammation. Il bloque localement les derniĂšres Ă©tapes de cette cascade qui conduit Ă  l’attaque des membranes des cellules de rĂ©sidentes de la macula, et Ă  leur dĂ©gradation. Des traitements existent depuis 2006 aussi pour la forme humide. Ils consistent en des injections souvent trĂšs rĂ©guliĂšres de mĂ©dicament dans le corps vitrĂ©, aprĂšs anesthĂ©sie locale de l’Ɠil. Ces traitements visent Ă  bloquer la croissance et la porositĂ© des nĂ©o-vaisseaux, pour les empĂȘcher de saigner et de couler. Ils sont bien supportĂ©s par les patient.e.s, avec des bĂ©nĂ©fices tangibles sur le long terme. Les nouvelles molĂ©cules sur le marchĂ© permettent, aujourd’hui, d’espacer les injections de plusieurs mois ; ce qui devrait permettre, pour les patients, d’allĂ©ger la charge liĂ©e Ă  ces traitements. Quels conseils donneriez-vous aux personnes approchant la cinquantaine ?

Effectuer un dĂ©pistage prĂ©coce dĂšs 50 ans ou avant en cas de symptĂŽmes visuels ou de maladie comme le diabĂšte afin de pouvoir, le cas Ă©chĂ©ant, intervenir Ă  temps et ainsi, ralentir, voire stopper, non seulement la DMLA, mais aussi toute autre maladie silencieuse et pourtant parfois irrĂ©versible de l’Ɠil. Ce dĂ©pistage complet doit ĂȘtre effectuĂ© par un.e mĂ©decin ophtalmologue. Il consiste en un examen approfondi de l’Ɠil par diffĂ©rentes mĂ©thodes, dont l’imagerie rĂ©tinienne. Il s’agit d’une dĂ©marche indispensable pour prĂ©server la santĂ© de ses yeux.

22 UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA
#FOCUS50PLUS BRANDREPORT ‱ BÉNÉVOLAT-VAUD
BRANDREPORT ‱ SWISS VISIO Sylviane Fellay
Les liens sociaux sont renforcĂ©s, et le sentiment de ne pas ĂȘtre seul Ă  vivre une maladie est salutaire.
Les maladies de l’Ɠil liĂ©es Ă  l’ñge.
Dr Aude Ambresin Spécialiste en ophtalmologie et ophtalmochirurgie DMLA humide non traitée avec Hémorragie

Une voiture électrique qui plaßt à toutes les générations

PassĂ©es la cinquantaine, de nombreuses personnes recherchent une voiture Ă©lectrique Ă  la fois confortable et de haute qualitĂ©. C’est pourquoi les clients ont besoin des meilleurs conseils et de la meilleure orientation possible. L’entretien avec les experts le montre : les voitures Ă©lectriques de la marque JAC offrent divers avantages.

pour les véhicules électriques. Les voitures de la marque JAC en sont un exemple parfait.

Qu’est-ce qui caractĂ©rise les voitures Ă©lectriques de JAC ?

Entretien avec Kevin Baumann, responsable des abonnements automobiles et manager JAC au garage Auto Kunz AG

Kevin Baumann, quelle est l’ampleur de la demande de vĂ©hicules Ă©lectriques ?

Ces derniĂšres annĂ©es, l’intĂ©rĂȘt de nos clients pour les voitures Ă©lectriques n’a cessĂ© de croĂźtre. Cela est bien sĂ»r dĂ» dâ€șune part Ă  la prise de conscience croissante des thĂšmes de l’environnement et de la durabilitĂ©. D’autre part, cela est Ă©galement liĂ© au fait qu’il existe des offres de plus en plus intĂ©ressantes

Il y a plusieurs facteurs qui rendent les produits de la maison JAC particuliers. Un facteur dĂ©cisif est certainement la taille et l’énorme confort des voitures. Si l’on met ces avantages en relation avec le prix relativement bas, on peut parler dâ€șune vĂ©ritable offre de pointe. En dâ€șautres termes, les voitures Ă©lectriques sont une solution Ă©conomique. Les avantages gĂ©nĂ©raux des vĂ©hicules Ă©lectriques entrent Ă©galement en ligne de compte : les voitures de JAC ne font pas de bruit et n’émettent pas de CO2, mais elles offrent un grand plaisir de conduite et un prix de l’énergie relativement bas.

À qui s’adressent les voitures de JAC ?

Toutes les gĂ©nĂ©rations apprĂ©cient les voitures JAC. Ce n’est pas Ă©tonnant, car comme je l’ai dit, pour un budget relativement faible, elles bĂ©nĂ©ficient de beaucoup de fiabilitĂ©, de sĂ©curitĂ©, de mobilitĂ© et de capacitĂ© de transport. Je tiens en outre Ă  souligner que les vĂ©hicules JAC ne sont pas seulement des voitures de raison : avec jusqu’à 193 CV, ils offrent aussi un Ă©norme plaisir de conduite. Enfin, elles conviennent parfaitement aux personnes de 50 ans et plus qui recherchent plus d’espace pour les bagages, les courses ou les Ă©quipements de sport, et ce Ă  petits prix et avec une excellente qualitĂ©.

Chaque client est diffĂ©rent. Comment vous assurez-vous que tous trouvent le vĂ©hicule qui leur convient chez vous ?

Nous attachons une grande importance à un processus de conseil approfondi. Nos spécialistes connaissent parfaitement toutes les marques ainsi

ProSensÂź

La protection antivirale en cas d’infections grippales

À titre prĂ©ventif dans les lieux prĂ©sentant un risque accru d’infection

que les diffĂ©rents modĂšles et classes. Nous sommes ainsi en mesure de toujours trouver les vĂ©hicules qui rĂ©pondent exactement aux besoins individuels de nos clients. Bien entendu, nous restons volontiers Ă  leur disposition aprĂšs la vente. Câ€șest pourquoi nous offrons, pour chaque achat de voiture neuve, un bon pour un service gratuit lorsque le vĂ©hicule atteint 30 000 kilomĂštres.

Beaucoup de vendeurs en Romandie proposent Ă  leurs clients des vĂ©hicules JAC. Il est mĂȘme possible de faire un test de conduite, afin que le client soit sĂ»r de son choix et puisse tester la grande qualitĂ© et la grande fiabilitĂ© de nos voitures. D’ailleurs, parmi nos clients, nous comptons le cirque Knie qui nous fait confiance lors de tous ses dĂ©placements.

Images mĂ d

Vous trouverez de plus amples informations sur www.jac-schweiz.ch

Les concessionnaires en Romandie

‱ Garage Central Cully, Rue de la Gare 1, 1096 Bourg-en-Lavaux

‱ Garage Reparex SA, Rte de PrĂȘles 13, 2516 Lamboing

‱ Transalpin SA, Route du Gd-St-Bernard 10, 1921 Martigny-Croix

‱ Ernst Schöpfer AG, Bahnhofstrasse 7, 3185 Schmitten

En cas de refroidissement, de sinusite et de rhume des foins

Réduit la charge virale Raccourcit la durée du refroidissement Végan; ne contient ni lactose, ni gluten, ni agent conservateur

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA #FOCUS50PLUS 23 JAC ‱ BRANDREPORT
PRO-202301-01-FR
nucuA e et d ’ accoutumance
prosens.gebro lA g u e rouge  Carragel o es Âź
ProSensÂź
acheter
nïżœen
au lieu de CHF 55.50 Disponible dans le shop online Valable jusqu’au 30.04.2023, non cumulable 3 ProSensÂź Spray nasal protect & relief acheter et nïżœen payer que 2 CHF 37.00 au lieu de CHF 55.50 Disponible
pharmacie ou droguerie Valable jusqu’au 30.04.2023, non cumulable Information pour le commerce spĂ©cialisĂ©: remboursement effectuĂ© par le service externe ou envoyez le bon avec quittance Ă  info@gebro.ch ou Ă  Gebro Pharma AG, Grienmatt 2, 4410 Liestal (incl. 7.7 % TVA) SCANNEMOI Action 3 pour 2 Action 3 pour 2 F50+ 3f2-03-2023 F50+ 3f2-03-2023 ✁ ✁ Scanner le code QR et profiter de l’action: 7 612053 210027 PRS_Ins_3fuer2_290x218_2023-04.indd 1 16.03.23 09:47
www.prosens.ch Follow us on:
3
Spray nasal protect & relief
et
payer que 2 CHF 37.00
dans votre
Kevin Baumann Manager JAC au Garage Auto Kunz AG

L’importance de l’humain dans l’accompagnement des familles endeuillĂ©es

Accompagner au mieux les familles dans l’épreuve difficile qu’est la mort d’un proche, telle est la mission que se sont donnĂ©es les Pompes funĂšbres Cassar SA. Dans cette interview, Nicolas Baumgartner, directeur de Cassar SA, explique en quoi cela concerne tant des questions de prĂ©voyance que d’empreinte Ă©cologique du secteur.

Nicolas Baumgartner, en quoi les Pompes funùbres Cassar SA sont-elles un acteur incontournable du secteur ?

Un des Ă©lĂ©ments prĂ©pondĂ©rants de notre entreprise est l’accompagnement de proximitĂ©. En effet, nous disposons actuellement de 19 bureaux rĂ©partis dans 19 localitĂ©s vaudoises. Ces bureaux sont attribuĂ©s Ă  des conseillers funĂ©raires ayant un attachement avec la rĂ©gion oĂč ils travaillent, de par leur naissance, leur scolaritĂ©, leur vie sociale. Ceci dans le but de bien comprendre les nĂ©cessitĂ©s spĂ©cifiques de chaque famille en deuil. Autre fait important, notre entreprise, connue pour pratiquer des tarifs trĂšs abordables, a Ă©tĂ© dĂ©signĂ©e Ă  deux reprises (sur deux enquĂȘtes) l’entreprise de pompes funĂšbres la moins chĂšre de Suisse Romande par l’émission « À bon entendeur » de la TSR. Pourquoi la prĂ©voyance funĂ©raire est-elle importante ?

La personne prĂ©pare Ă  lâ€șavance ses propres obsĂšques. Ainsi, au moment du dĂ©cĂšs, la famille est dĂ©chargĂ©e de tous les choix et de tous les doutes quant aux volontĂ©s de son cher disparu. Comme la facture a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© rĂ©glĂ©e par le contractant selon un plan de paiement totalement libre, la famille est Ă©galement exonĂ©rĂ©e de cette charge financiĂšre.

Qui peut souscrire à un contrat obsùques et à quel moment ?

Tout le monde peut souscrire Ă  un contrat obsĂšques mais, gĂ©nĂ©ralement, câ€șest aux alentours de lâ€șĂąge de la retraite ou lors de problĂšmes de santĂ© que les personnes y songent.

Les Pompes funĂšbres Cassar SA ont Ă©tabli un questionnaire en ligne (www.cassar.ch) qui permet, sans engagement, d’étudier les diffĂ©rentes options et de prendre le temps de considĂ©rer ses derniĂšres volontĂ©s ainsi que leurs aspects pratiques avec sa famille ou son conjoint.

La convention obsĂšques

Parlons-en simplement, Et vivez l’esprit tranquille


Pourquoi et comment remĂ©dier Ă  ce tabou ?

Aujourd’hui, nous parlons plus facilement de la mort grĂące notamment Ă  diffĂ©rents articles oĂč diffĂ©rentes Ă©missions Ă  la radio ou la tĂ©lĂ©vision. Nous recevons un nombre incalculable de demandes de stages dans notre entreprise, tĂ©moignant ainsi de lâ€șintĂ©rĂȘt et de la curiositĂ© grandissante relatifs Ă  la mort et aux pratiques funĂ©raires. Nous sommes heureux de rĂ©pondre Ă  toutes questions afin de collaborer Ă  la dĂ©mocratisation de notre profession.

Quel est l’impact Ă©cologique des funĂ©railles ?

Les Pompes funĂšbres Cassar SA sont avant-gardistes en matiĂšre de respect de l’environnement. Un corbillard Tesla (100 % Ă©lectrique) vient d’ĂȘtre acquis et nous disposons d’une large gamme de cercueils et d’urnes Ă©cologiques.

Quelles sont les solutions pour des funĂ©railles plus Ă©cologiques ?

Être prĂ©sents dans presque toutes les villes du canton de Vaud nous permet de diminuer le nombre de kilomĂštres parcourus. La rationalisation des transports et le renouvellement des vĂ©hicules ont pour effet de diminuer l’impact carbone de notre entreprise, thĂ©matique qui nous est chĂšre. Veiller Ă  ce que nos bureaux soient correctement isolĂ©s et Ă©viter les excĂšs de chauffage font Ă©galement partie de notre quotidien. Enfin, conseiller des cercueils et des urnes moins polluants lors d’une crĂ©mation ou d’une mise en terre est aussi une prioritĂ© pour nous. Pourquoi est-ce important de limiter l’empreinte carbone du secteur ?

C’est un devoir de tous et les Pompes funĂšbres Cassar sont trĂšs impliquĂ©es dans cet effort collectif.

Vous pouvez nous retrouver sur notre site www.cassar.ch

ou par téléphone au 021 329 08 10 021 866 10 20

BRANDREPORT ‱ CONSERVATOIRE ET JARDIN BOTANIQUES DE LA VILLE DE GENÈVE

Découverte botanique et apprentissage ludique

Le printemps s'installe doucement dans notre environnement et entraĂźne la floraison de nombreuses plantes et fleurs. Pour observer au mieux ce spectacle unique, les Conservatoire et Jardin botaniques de GenĂšve s'avĂšrent ĂȘtre un vĂ©ritable paradis pour les amateurs de la nature ou les curieux. Outre la beautĂ© intrinsĂšque de ce cĂ©lĂšbre lieu, une variĂ©tĂ© d'activitĂ©s Ă©ducatives et enrichissantes est proposĂ©e pour dĂ©couvrir la diversitĂ© de leurs activitĂ©s.

tous les aspects de l'institution. Cette activitĂ© permet de mettre en lumiĂšre les mĂ©tiers fascinants liĂ©s Ă  la botanique et de souligner l‘importance de la recherche et de la conservation au sein de l’institution.

La visite du jardinier

Le premier mercredi de chaque mois, un jardinier ou une jardiniĂšre accueille les visiteurs dans une partie du jardin identifiĂ©e le matin mĂȘme. Cette visite surprise est une façon idĂ©ale de s’immerger dans les collections vivantes au fil des saisons et une occasion unique de poser toutes sortes de questions sur l’horticulture et la botanique dans une atmosphĂšre conviviale.

Les rendez-vous du dimanche

Cette annĂ©e, les Conservatoire et Jardin botaniques genevois prĂ©sentent un programme riche marquĂ© de nouveautĂ©s, et promettent ainsi une expĂ©rience mĂ©morable aux visiteurs en quĂȘte d’aventure et d'Ă©vasion. DĂ©couverte du calendrier 2023.

Les variations botaniques

Partir Ă  la dĂ©couverte des jardins durant l’heure de midi, c’est ce qui est proposĂ© tous les mardis Ă  12h30. Un expert de l'institution (jardinier, horticulteur, conservateur, chercheur ou encore mĂ©diateur) est prĂ©sent pour interagir avec le public et mettre en avant les activitĂ©s menĂ©es tout au long de l’annĂ©e. L'objectif est de montrer que le jardin ne se rĂ©sume pas Ă  un simple parc pour se promener, mais qu'il abrite Ă©galement une dimension de recherche impliquant notamment des mĂ©tiers mĂ©connus.

Les experts accueillent les visiteurs à l'entrée et les emmÚnent découvrir les différentes collections, qu'il s'agisse du jardin, des herbiers, de la graineterie ou encore de la bibliothÚque. Les visiteurs peuvent ainsi découvrir des plantes vivantes, des planches d'herbier, des livres ou assister à des rempotages, couvrant ainsi

Les visites organisĂ©es le dimanche offrent une opportunitĂ© supplĂ©mentaire de dĂ©couvrir les diffĂ©rentes facettes de l’institution sous la conduite d’un guide spĂ©cialisĂ©. De par son horaire, c’est l’activitĂ© dominicale parfaite pour profiter d’une bouffĂ©e d’oxygĂšne tout en apprenant dans un espace dĂ©diĂ© Ă  la nature.

La nouveautĂ© du dimanche – les rallyes

Au travers d’un rallye dans les collections vivantes et, en particulier l’exposition temporaire annuelle

#PlanĂšteVerte – missions botaniques, les participants peuvent explorer les pratiques de conservation, de recherche et de protection mises en Ɠuvre pour maintenir la qualitĂ© des multiples collections de l’institution.

Lors de ces trois rallyes qui prendront place entre juillet et septembre, l'Ă©quipe de mĂ©diation organisera un jeu d’exploration, offrant aux visiteurs la possibilitĂ© de remplir des missions variĂ©es, telles que prise de photos, collecte d'informations sur les espĂšces vĂ©gĂ©tales ou rĂ©ponses Ă  des questionnaires préétablis.

À la fin de la chasse au trĂ©sor, divers artefacts ou Ă©chantillons sont mis Ă  disposition pour permettre aux participants d'approfondir leurs recherches et de mieux comprendre les concepts dĂ©couverts. Cette activitĂ© Ă  la fois ludique et Ă©ducative est une opportunitĂ© de dĂ©couvrir les diffĂ©rents aspects du travail effectuĂ© aux Conservatoire et Jardin botaniques de GenĂšve, ainsi que les richesses de leurs collections vivantes.

Missions botaniques du jeudi soir

Cette activitĂ© est Ă©galement une nouveautĂ© proposĂ©e par le Jardin botanique et est Ă©galement liĂ©e Ă  l’exposition temporaire annuelle ; une expĂ©rience audio-visuelle prĂ©sentant les six missions de l’institution: protĂ©ger, explorer, rechercher, coopĂ©rer, conserver et transmettre. Les jeudis soirs, les experts filmĂ©s dans les capsules vidĂ©o prĂ©sentent davantage leur mĂ©tier et expliquent ce qu’ils mettent en place pour rĂ©pondre aux diffĂ©rentes missions. Cet Ă©change unique et intimiste avec le public est particuliĂšrement intĂ©ressant car il permet de mieux comprendre les activitĂ©s des experts et de crĂ©er un lien plus personnel et accessible entre scientifiques et visiteurs. En effet, c’est l’occasion de rencontrer et de cĂŽtoyer les personnes qui contribuent de prĂšs ou de loin Ă  l’amĂ©lioration des connaissances du monde botanique et fongique et nous donnent les clĂ©s pour mieux le conserver.

Activités sur inscription

Pour plus de détails: https://www.cjbg.ch/fr

24 UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA
#FOCUS50PLUS BRANDREPORT ‱ CASSAR POMPTES FUNÈBRES
Texte Maévane Mas
Visites & ateliers 2023

Des soins à domicile si personnalisés

« On ne s’épanouit jamais mieux que chez soi » est l’un des leitmotivs de de Senevita Casa. Cette entreprise d’aide et de soins Ă  domicile se distingue par un service trĂšs personnalisĂ©, ce qui est un grand atout. Rester chez soi, malgrĂ© le temps qui passe, mĂȘme trĂšs ĂągĂ©, permet de maintenir les habitudes, la qualitĂ© de vie.

« On garde son autonomie, de la dignitĂ©, un pouvoir de dĂ©cision aussi », rĂ©sume Lydia Gachet, directrice de Senevita Casa pour le canton de Vaud, qui nous reçoit dans les bureaux de Renens. Manuel Mugnier, lui, occupe la mĂȘme fonction Ă  GenĂšve. Senevita Casa ou une aide Ă  visage humain, comme le dit le site de l’entreprise.

En rĂ©alitĂ©, en Suisse, Senevita Casa, qui existe depuis 40 ans, comprend deux entitĂ©s distinctes. PrĂ©sente uniquement en Suisse alĂ©manique, Senevita AG gĂšre pas moins de 40 rĂ©sidences destinĂ©es aux personnes ĂągĂ©es qui sont « bien plus que des maisons de retraite ». Il s’agit, rĂ©partis un peu partout Outre-Sarine, d’immeubles situĂ©s proches des centres villes rassemblant des appartements de deux ou trois piĂšces avec cuisine et un restaurant public. Les rĂ©sidents qui ont besoins de soins 24/7 vivent dans une chambre individuelle confortable ou, si nĂ©cessaire, double – intĂ©grĂ©e dans un espace de vie qu’ils partagent avec d’autres rĂ©sidentes et rĂ©sidents. Chez Senevita, les offres ambulatoires et stationnaires fusionnent parfaitement et les seniors bĂ©nĂ©ficient dans chaque phase de vie du soutien adĂ©quat d’un seul prestataire. La garantie d’une vĂ©ritable indĂ©pendance. Active dans toute la Suisse, dont la Romandie, Senevita Casa est, elle, spĂ©cialiste en soins Ă  domicile. « En ce moment, nous comptons quelques 600 bĂ©nĂ©ficiaires sur l’Arc lĂ©manique entre GenĂšve et Lausanne » prĂ©cise Lydia Gachet.

Chaque client a ses besoins propres et est traitĂ© individuellement. « Toutes les situations sont diffĂ©rentes, Nous Ă©changeons beaucoup avec les personnes, leurs familles, les proche-aidants », prĂ©cise Lydia Gachet. Dans un premier temps, c’est une infirmiĂšre dite de rĂ©fĂ©rence qui dĂ©finit les besoins. Ensuite, au vu de la situation, toute une Ă©quipe est mise-en-place, comportant les compĂ©tences nĂ©cessaires que ce soit du personnel infirmier, des aides-soignants, des auxiliaires de santĂ©, du personnel de maison, une gamme complĂšte et Ă©clectique. « L’infirmiĂšre de rĂ©fĂ©rence passe une fois par semaine chez le client pour s’assurer que tout se dĂ©roule bien », prĂ©cise Lydia Gachet.

Au fil du temps, les mĂȘmes collaborateurs de Senevita Casa se relaient auprĂšs de la personne, sans qu’il y ait de changement, en respectant des horaires ponctuels,

Ă  heures fixes et rĂ©guliĂšres. Le client ne doit jamais avoir affaire Ă  une personne inconnue. « Il s’agit de petites structures trĂšs personnalisĂ©es. Nos collaborateurs qualifiĂ©s travaillent en harmonie, c’est ainsi que nous concevons notre mission, observe Lydia Gachet.

Les gens aiment savoir qui vient et quand, connaĂźtre les Ă©quipes. Cela crĂ©e des liens, un climat de partage et de confiance. Chaque personne est unique c’est essentiel Ă  nos yeux ».

Les services ne se limitent bien sĂ»r pas aux soins mĂ©dicaux. Selon les situations, les Ă©quipes de Senevita Casa s’occupent de tout ou presque. Une prise en charge globale. PrĂ©parer les repas, accomplir les tĂąches mĂ©nagĂšres, la lessive, le nettoyage, faire les courses, accompagner le client chez le mĂ©decin ou le coiffeur. Une relation de complicitĂ© s’établit souvent ce qui permet de partager des moments plus ludiques comme une partie de jass, des balades en commun, des discussions sur tout et de rien. Un sentiment de ben ĂȘtre et de confiance doit prĂ©valoir, aux yeux de l’entreprise. Aujourd’hui selon de rĂ©centes dĂ©couvertes scientifiques, mĂȘme les personnes atteintes de dĂ©mence peuvent parfois rester Ă  la maison Ă  condition de bĂ©nĂ©ficier du soutien adĂ©quat. Chez Senevita Casa, les services si besoin peuvent ĂȘtre assurĂ©s 7 jours sur 7 et 24h sur 24 y compris des veilles de nuit.

Les missions et les valeurs chĂšres Ă  Senevita Casa sont rĂ©sumĂ©es dans un document, dont nous reproduisons ici quelques extraits significatifs de l’esprit de l’entreprise. « Nous nous sentons responsables du bien-ĂȘtre physique et Ă©motionnel de nos clients. Nos prestations se distinguent par le professionnalisme et la chaleur humaine. Nous respectons les habitudes des clients et de leurs proches. Nous faisons tout notre possible pour leur garantir une autonomie maximale. Nous traitons nos clients et leurs proches de maniĂšre amicale et emphatique en respectant la vie privĂ©e, avec toujours un sens de l’humour plein de tact. Nous entretenons des contacts rĂ©guliers avec les proches ».

L’aide Ă  domicile apportĂ©e par Senevita Casa ne se limite pas aux seuls seniors. Des personnes handicapĂ©es peuvent aussi y avoir recours. De maniĂšre plus momentanĂ©e, Senevita Casa peut Ă©galement venir en aide Ă  des personnes de tout Ăąge malades ou qui se remettent d’une hospitalisation « Parfois, explique Lydia Gachet, nos collaborateurs prodiguent les soins tĂŽt le matin pour permettre Ă  la personne de partir au travail normalement, le transport pouvant ĂȘtre assurĂ© par Transport Handicap ».

La fidĂ©litĂ© des clients, les tĂ©moignages de satisfaction constituent aux yeux de Lydia Gachet la meilleure rĂ©compense du travail accompli. « Parmi nos clients, nous comptons plusieurs centenaires dont une dame par exemple qui nous nous est fidĂšle depuis une dizaine d’annĂ©es. Un autre centenaire, restĂ©e chez nous, trĂšs longtemps, est dĂ©cĂ©dĂ©e en janvier peu aprĂšs son 100e anniversaires. Nous Ă©tions tous trĂšs tristes ». Chez Senevita Casa, la prioritĂ© est toujours donnĂ©e Ă  la qualitĂ© des relations. « Lors de diffĂ©rentes occasions, nous envoyons un petit cadeau Ă  nos clients. Nous leur tĂ©lĂ©phonons pour prendre des nouvelles. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, les familles et les proches, avec qui nous avons des contacts rĂ©guliers, sont trĂšs contents », poursuit Lydia Gachet.

Dans un milieu si concurrentiel, comment Senevita Casa se fait-elle connaitre ? « A travers la publicitĂ© mais aussi par les mĂ©decins, les rĂ©seaux de santĂ©, les infirmiĂšres de liaison dans les hĂŽpitaux. Mais le plus important reste peut-ĂȘtre le bouche-Ă -oreille », souligne Lydia Gachet.

Agréé par les caisses maladies (soins infirmiers), Senevita Casa se charge aussi Ă©galement des dĂ©marches administratives fournit les contacts nĂ©cessaires concernant l’aide financiĂšre, rĂ©pond Ă  toutes les questions. Quels coĂ»ts l’assurance maladie prend-elle en charge ? Une assurance complĂ©mentaire est-elle nĂ©cessaire ? A quels prestations complĂ©mentaires le client a-t-il droit ?

Depuis 11 ans chez Senevita Casa, Lydia Gachet s’épanouit dans ce travail au service des autres. Serait-elle prĂȘte, si le besoin s’en fait sentir un jour, d’avoir recours aux services de l’entreprise qui lui est si chĂšre ? Sa rĂ©ponse ne fait pas le moindre doute. « Sans hĂ©sitations car nos collaborateurs sont de trĂšs belles personnes », conclut-elle.

PrĂ©sent dans toute la Suisse romande Senevita Casa offre aux personnes ĂągĂ©es notamment des services oĂč la qualitĂ© humaine et la confiance prĂ©valent.
Vaud : Avenue des Baumettes 3, 1020 Renens 021 311 19 20 GenĂšve : Rue Jacques Grosselin 8, 1227 Carouge 022 340 40 95
Des valeurs clés pour cette entreprise.
Lydia Gachet directrice de
site
Nadia Lharras responsable des soins
Sabine
des soins Advertorial UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA #FOCUS50PLUS 25 SENEVITA AG ‱ PUBLIREPORTAGE
Manuel Mugnier directeur de site
Bouron responsable

Monte-personnes et monte-escaliers:

Les conditions de vie Ă  la maison peuvent trĂšs vite changer – une petite mĂ©saventure, un accident ou une maladie peuvent soudain ĂȘtre la cause d’une mobilitĂ© rĂ©duite. Lorsque monter les escaliers devient un obstacle insurmontable, des solutions angoissantes telles que l’abandon de son domicile et le dĂ©mĂ©nagement en maison de retraite peuvent Ă©tre Ă©voquĂ©es. Toutefois, avec un monte-escalier, il est possible de rester chez soi.

La société Högg Liftsysteme propose des solutions idéales pour toute personne à mobilité réduite et garantit un délai de livraison court pour les siÚges élévateurs droits et courbes.

‱ Les siĂšges Ă©lĂ©vateurs droits sont disponibles du stock et montĂ©s sur l’escalier du client en quelques heures.

GrĂące Ă  la technique actuelle des rails modulaires, le mono-siĂšge curviligne avec son rail ultra-Ă©troit de seulement six centimĂštres est aussi prĂȘt Ă  ĂȘtre montĂ© en trois semaines environ.

‱ Les mesures sont prises avec prĂ©cision sur place, sur l’escalier. Le dessin est immĂ©diatement Ă©tabli et, sur cette base, les diffĂ©rents segments prĂ©fabriquĂ©s peuvent ĂȘtre prĂ©parĂ©s tout de suite.

Les rÚgles de sécurité de ces siÚges élévateurs répondent aux exigences les plus strictes. Chaque siÚge élévateur est homologué.

Gamme complĂšte de monte-escaliers suisses Le vaste assortiment de la sociĂ©tĂ© Högg Liftsysteme, propose des monte-escaliers, des Ă©lĂ©vateurs pour chaises roulantes, des plateformes Ă©lĂ©vatrices et des ascenseurs. Les spĂ©cialistes fabriquent chaque ascenseur sur mesure car chaque maison, qu’elle soit ancienne ou nouvelle, est individuelle tout comme les besoins des personnes concernĂ©es.

Le conseil détaillé et gratuit a lieu au domicile du client ou au sein de la société Högg Liftsysteme. Chaque modÚle est disponible pour une visite et un essai, ce qui garantit une recherche de

L’élĂ©vateur domestique E50 – disponible Ă  un prix avantageux - convient parfaitement pour l’intĂ©rieur et l’extĂ©rieur.

solution optimale. Les diffĂ©rents types d’ascenseurs sont disponibles pour l’intĂ©rieur et l’extĂ©rieur Ă  des prix intĂ©ressants. Selon le type d’ascenseur, le montage ne prend que quelques heures.

MĂȘme aprĂšs l’installation, les clients peuvent compter sur un service fiable et de qualitĂ©. Un fonctionnement impeccable du monte-escalier ou de l’ascenseur est garanti par un service de piquet 24h/24.

Et avec les trois sites Lausanne – Saint-Gall –Berne – le client peut ĂȘtre servi encore plus rapidement et de maniĂšre optimale, que ce soit pour un premier conseil Ă  son domicile ou aprĂšs le montage par le service clientĂšle respectif.

Route de Bellevue 7

CH-1029 Villars-Ste-Croix

Tél 021 800 06 91

www.hoegglift.ch

Lausanne Saint-Gall Berne

26 UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA #FOCUS50PLUS BRANDREPORT ‱ HÖGG LIFTSYSTEME 2. BILLETS, CONCERTS & INFORMATIONEN SUR : MARS 23 CANNIBAL CORPSE, DARK FUNERAL, INGESTED & STORMRULER KOMPLEX 457 ZURICH 24.03. AVATAR, VEIL OF MAYA & KASSOGTHA KOMPLEX 457 ZURICH 30.03. AVRIL 23 AVRIL 23 MAI 23 JUIN 23 OVERKILL, EXHORDER, HEATHEN & KEOPS KOMPLEX 457 ZURICH 19.04. FETTES BROT THE HALL ZURICH 26.04. MAI 23 THE GREATEST LOVE OF ALL - A TRIBUTE TO WHITNEY HOUSTON VOLKSHAUS ZURICH 02.05. SKILLET, LIKE A STORM & EVA UNDER FIRE HALLE 622 ZURICH 03.05. ROY BIANCO & DIE ABBRUNZATI BOYS DYNAMO ZURICH 09.05. W.A.S.P. & IMAGES OF EDEN KOMPLEX 457 ZURICH 10.05. FLER KOMPLEX 457 ZURICH 01.06. DISTURBED, I PREVAIL & NOTHING MORE HALLE 622 ZURICH 21.06. MESHUGGAH, DESTRUCTION & MESSIAH Z7 PRATTELN 23.06. BIBI BLOCKSBERG THE HALL ZURICH 31.03. DELAIN, XANDRIA & ILLUMISHADE KOMPLEX 457 ZURICH 27.04. CORROSION OF CONFORMITY, PLAINRIDE & TOXIK DYNAMO ZURICH 15.05. WE CAME AS ROMANS, CASKETS & SEEYOUSPACECOWBOY KOMPLEX KLUB ZURICH 21.05. MONSTER MAGNET & MORE Z7 PRATTELN 24.06. THE WINERY DOGS, ELEGANT WEAPONS & JARED JAMES NICHOLS KOMPLEX 457 ZURICH 23.06.
« ConseillĂ©s par des experts et montĂ©s par des professionnels »
SiÚges élévateurs pour escaliers droits et tournants, montés en quelques heures sur place.

Je suis

tente

abrite les victimes de tremblements de terre.

Je suis ton testament.

Votre testament peut sauver des vies. Scannez le code QR pour télécharger gratuitement votre guide des legs et héritages.

✓

Oui, je commande mon guide des legs et héritages.

Prénom Nom Rue / No

NPA

Lieu

Veuillez l’envoyer Ă  : MĂ©decins Sans FrontiĂšres Legs et HĂ©ritages

Route de Ferney 140 Case postale 1224 1211 GenĂšve 1 www.msf.ch/legs

TG24H03 / 2023
Népal © Omar Havana
la
qui
msf_adv_coupon_crutches_290x218_LaTribune_TG24H03_2023_FR.indd 1 06.03.23 16:14
Je suis la béquille qui rend la marche à nouveau possible. Je suis le médecin qui redonne courage aux patients.

Pour des souvenirs inoubliables

‱ Les Ă©glises vikings en bois debout de Borgund et Lom

‱ Bryggen, le quartier mythique de Bergen

‱ L’étroit NĂŠrĂžyfjord, souvenir d’une vie

DÈS 3’395.-

PAR

NORVÈGE

Du 1er au 9 juillet 2023*

LES FJORDS NORVÉGIENS

De vraies sensations dans une nature préservée

DÈS

PAR PERSONNE EN CHAMBRE DOUBLE 8 JOURS

Du 2 au 9 août 2023*

DÈS 2’895.PAR

PERSONNE

CROATIE

POINTS FORTS RÉPUBLIQUE-TCHÈQUE

‱ Salzbourg, ville de Mozart, compositeur de gĂ©nie

‱ Au cƓur du champ de bataille d’Austerlitz

‱ Prague, la capitale magique de l’Europe

*car 5* VIP *car 5* VIP

Du 8 au 15 octobre 2023

CROISIÈRE ANNIVERSAIRE EN YACHT

Prague, la ville aux cent clochers, inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO est l’une des plus belles villes d’Europe. Venez dĂ©couvrir des airs de BohĂȘme tout en passant par des lieux magiques comme Salzbourg ou Linz. HĂŽtels 3* et 4*, demi-pension

‱ La Croatie, ses Ăźles Ă©dĂ©niques et villages chargĂ©s d’histoire

‱ DĂ©cor de cartes postales Ă  Hvar et Mljet

‱ Split, trĂ©sor d’architecture romaine

Lieux de départ au plus prÚs de chez vous, depuis les cantons de GE, FR, NE, VD et VS

RÉSERVEZ WWW.BUCHARD.CH ‱ 027 306 22 30 PRESTATIONS INCLUSES
coup de fendant du patron
en car 4* tout confort
Boissons
Le
Voyage
Accompagnatrice Buchard
gratuites Ă  bord du car
Le Grand Nord vous attend avec ses chutes d’eau et ses montagnes qui s’élĂšvent majestueusement. Sillonnez fjords et villes traditionnelles Ă  bord de votre car, de ferries et de bateaux pour une immersion complĂšte au cƓur de ces paysages immaculĂ©s. HĂŽtels 3* et 4*, pension complĂšte (4 dĂźners libres) PERSONNE EN CHAMBRE DOUBLE
9 JOURS
Et si vous vous laissiez embarquer pour une croisiĂšre anniversaire, intimiste et inoubliable en Croatie Ă  bord d’un yacht entiĂšrement rĂ©servĂ© Ă  la clientĂšle Buchard ? Cabine double extĂ©rieure, demi-pension Ă  bord (+ souper jour 6)
CABINE
POINTS FORTS
EN
DOUBLE 8 JOURS
POINTS FORTS
AUTRICHE -
PRAGUE ET LA BOHÈME
Des airs de BohĂȘme et des escales en BaviĂšre Buchard Voyages fĂȘte ses 70 ans en Croatie
1’995.-

Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.