est avec un immense plaisir que nous vous présentons le cinquième numéro de Montaigu-Vendée Magazine. Conçu et édité par les Éditions Offset 5, ce magazine de prestige vous invite à explorer les multiples facettes de Montaigu-Vendée, une ville en perpétuel mouvement.
Culture, patrimoine, économie, sport… À travers ces pages, partez à la découverte de ce qui fait la richesse et l’énergie de notre territoire. Vous y croiserez des projets porteurs d’avenir, comme la réhabilitation des Quais Saint-Hilaire, l’arrivée prochaine d’un nouvel hôtel et d’un complexe de loisirs avec la Barjots Arena, le nouveau centre de secours, les services innovants de l’hôpital ou encore la belle programmation des 15 ans de Thalie.
Ce numéro met aussi en lumière celles et ceux qui façonnent le présent et l’avenir de Montaigu-Vendée : les jeunes lauréats des Trophées Pégase, dont l’engagement est une véritable source d’inspiration.
Rencontrez également les bénévoles du bar associatif de la Chausselière, les passionnés du Montaigu-Vendée Boufféré Volley-Ball (MVB) et les riders du bike park, seul club de BMX freestyle en Vendée. Tous incarnent avec enthousiasme l’esprit sportif et associatif de notre commune. Laissez-vous également séduire par l’univers singulier du sculpteur équestre Simon Boisliveau, plongez dans l’histoire étonnante de la digue de Montaigu, et découvrez des initiatives solidaires, comme celle de Super Spectre, qui crée des vêtements adaptés aux enfants autistes.
Je tiens à remercier chaleureusement les équipes des Éditions Offset 5 pour cette nouvelle collaboration, qui, une fois encore, valorise Montaigu-Vendée à travers des contenus riches, porteurs de sens et magnifiquement illustrés.
Bonne lecture à toutes et à tous, et que ce numéro vous donne un bel aperçu de l’énergie qui anime Montaigu-Vendée.
Maire de Montaigu-Vendée
QUAIS SAINT-HILAIRE : Montaigu-Vendée dessine un nouveau visage urbain
MONTAIGU-VENDÉE : une dynamique collective face aux enjeux de santé
SUPER SPECTRE
Histoire & patrimoine
UNE HISTOIRE DE DIGUE
DOMAINE DE L’ABBAYE DE MESLAY : le nouveau joyau de l’événementiel
des prix exceptionnels
jusqu’au 18 octobre 2025
Art & Culture
THALIE : 15 ans de culture
SIMON BOISLIVEAU : sculpter l’âme des chevaux
LES HILAIRANTES : le festival humoristique qui se fait un nom
Jeunesse, loisirs et sports
PÉGASE : des trophées qui font s’envoler les ambitions
Tout BAIGNE pour eux
C’est pour la BONNE CAUSE mon canard !
BIKE PARK MONTAIGU-VENDÉE : quand le vélo fait bonnes figures
MONTAIGU-VENDÉE BOUFFÉRÉ
VOLLEY-BALL : jeunes, sets et match
Directeur de la publication : Responsable d’édition : Coordinatrice éditoriale : Responsable Régie publicitaire s.mendelski@offset5.fr
Rédaction : Fanny Gauvin, Pierre Ollier, Noëlla Ravon, Arnaud Roizen
Photos : Pierre Ollier, Noëlla Ravon, Patricia Robineau, Adobe-Stock
Nous remercions chaleureusement Florent Limouzin, Maire de Montaigu-Vendée, le service Communication de Montaigu-Vendée et tous nos annonceurs.
Impression : Imprimerie Offset 5 Édition 3 rue de la Tour – La Mothe-Achard 85150 Les Achards - Tél. 02 51 94 79 14 Email : offset5@offset5.fr
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ÉCONOMIE & Initiatives
Quais SaintHilaire
MONTAIGU-VENDÉE DESSINE UN NOUVEAU VISAGE URBAIN
C'est un projet qui mûrit depuis 20 ans, né d’un enjeu clair : repenser l’accessibilité autour de la gare de Montaigu-Vendée. Aujourd’hui, il devient réalité. Le quartier des Quais Saint-Hilaire se dessine petit à petit et s’inscrit comme un véritable pivot urbain, entre ville et campagne, modernité et nature. « Avec près de 20 hectares repensés autour de la gare, ce nouvel espace incarne l’ambition d’un territoire qui est d’offrir à ses habitants, à ses visiteurs et aux entreprises un environnement de vie agréable, connecté, dynamique et durable », confie Antoine Chéreau, président de la communauté d’agglomération Terres de Montaigu.
Ce quartier nouvelle génération, conçu comme un lieu hybride, mêlera habitat, services, économie tertiaire et espaces de loisirs. Il se veut autant un lieu de travail qu’un espace de vie, avec une ambition forte : créer du lien. 400 logements verront le jour, accessibles à toutes les étapes de la vie. Commerces, restauration, équipements sportifs et culturels, mais aussi bureaux et infrastructures éco-pensées viendront compléter cette offre. Les mobilités douces y seront privilégiées grâce à des aménagements dédiés, une promenade piétonne et cyclable en bordure de voie ferrée, et une grande place laissée aux espaces verts. Le tout, à seulement dix minutes à pied du centre-ville.
Le parking à étages gratuit de 490 places, déjà sorti de terre, pose la première pierre concrète de cette transformation. « Il annonce un futur quartier accessible, attractif et à haute qualité de vie. Et ce dynamisme est aujourd’hui renforcé par des nouvelles arrivées majeures… Un effet levier pour accueillir d’autres activités », se réjouit le président de Terres de Montaigu.
Hôtel Ibis Styles,
UNE NOUVELLE ESCALE AU CŒUR
DES QUAIS SAINT-HILAIRE
C’est une première pour Montaigu-Vendée : la marque Ibis Styles (groupe Accor) posera ses valises dans le quartier des Quais Saint-Hilaire à l’horizon 2028. Le projet, mené par Pauline Le Calvez, entrepreneuse de 29 ans déjà implantée dans l’hôtellerie à Brest et Nantes, s’est imposé lors d’un appel à projets de Terres de Montaigu. Et pour cause : « son intégration parfaite au futur paysage urbain et sa promesse d’un lieu à la fois accueillant, moderne et ancré localement, nous a totalement séduit. Nous partageons les mêmes valeurs, c’est rassurant », confie Florent Limouzin, maire de MontaiguVendée.
Avec 2 000 m2 répartis sur quatre niveaux, l’hôtel classé 3 étoiles proposera 70 chambres, dont plusieurs familiales, à l’univers graphique original. « Fidèle à l’esprit créatif d’Ibis Styles et l’identité dynamique de Montaigu-Vendée », souligne Pauline Le Calvez. Plus qu’un simple lieu d’hébergement, l’hôtel se veut un trait d’union entre les voyageurs et la ville. « Nous y proposerons des animations deux fois par mois, comme des soirées karaoké ou des videgreniers. L’idée est d’avoir un hôtel vivant qui se différencie des autres et dans lequel on se sent bien », explique la jeune entrepreneuse.
L’établissement proposera également une salle de séminaire et un espace de vie partagé, accessible aussi bien aux clients qu’aux habitants du quartier. Une dizaine d’emplois locaux seront créés.
RENFORCER L’ATTRACTIVITÉ DU TERRITOIRE
Pour Antoine Chéreau, président de Terres de Montaigu, ce nouvel hôtel illustre parfaitement la vision portée par le projet des Quais Saint-Hilaire. « Nous conjuguons ici dynamisme économique et qualité de vie. Cet hôtel vient renforcer notre offre et répondre aux besoins croissants des entreprises comme des voyageurs. »
Le futur Ibis Styles, comme le quartier qui l’accueillera, « incarne une nouvelle génération d’espaces urbains, conçus pour les usages de demain. Une invitation à vivre Montaigu-Vendée autrement. »
Pauline Le Calvez :
« FAIRE DE CET HÔTEL UN LIEU DE VIE, ANCRÉ DANS SON TERRITOIRE »
À 29 ans, Pauline Le Calvez est à la tête de Le Calvez Développement, entreprise qu’elle a créée en 2021. Avec l’ouverture d’un Ibis Styles prévue en 2028 dans ce quartier en plein essor, la jeune cheffe d’entreprise poursuit son développement dans l’Ouest et met un pied en Vendée. Elle nous en dit plus sur ce projet.
Pourquoi implanter un hôtel Ibis Styles à Montaigu-Vendée ?
« Ce territoire m’a immédiatement plu pour son dynamisme et sa situation stratégique. Montaigu-Vendée est connectée aux grands pôles comme Nantes, La Roche-sur-Yon ou Cholet, tout en conservant une qualité de vie remarquable. Le quartier des Quais Saint-Hilaire incarne cette vision moderne d’une ville à taille humaine, tournée vers l’avenir. C’est exactement l’environnement que nous recherchons pour nos projets et nous sommes convaincus du potentiel. »
Quel sera l’esprit de ce futur établissement ?
« Fidèle à l’ADN d’Ibis Styles, l’hôtel aura une vraie personnalité, avec un design sur mesure inspiré de l’énergie locale. Ce ne sera pas un simple lieu de passage, mais un lieu de vie, accueillant, coloré, et ouvert sur le quartier. L’objectif est que chacun s’y sente bien, qu’il soit voyageur, professionnel en déplacement ou riverain. »
Comment vivez-vous ce nouveau défi en tant que jeune entrepreneuse ?
« C’est un projet enthousiasmant à plusieurs niveaux. Il s’inscrit dans une dynamique de territoire, génèrera des emplois locaux et permettra de valoriser Montaigu-Vendée comme une destination. En tant que jeune cheffe d’entreprise, je suis très attachée à donner du sens à mes projets. L’hôtellerie, ce n’est pas juste une prestation de nuit : c’est créer du lien, de l’accueil, de l’expérience. C’est un premier pas en Vendée. Je vais mener à bien ce projet, avant, pourquoi pas, d’en développer d’autres sur le territoire. J’ai 2 ou 3 villes Vendéennes en tête, mais chaque chose en son temps. »
Barjots Arena
UN COMPLEXE DE LOISIRS ET SPORTIF DE 5 000 M2
Ils sont connus pour leurs sauts délirants, leurs dunks millimétrés et leur énergie débordante. Mais cette fois, les Barjots Dunkers, groupe de basketteurs acrobatiques basé à l’Herbergement, délaissent les parquets pour se lancer dans un nouveau projet : un espace totalement inédit, la Barjots Arena. Un complexe de loisirs et sportif de 5 000 m2 qui verra le jour à Montaigu-Vendée, au cœur du nouveau quartier des Quais Saint-Hilaire.
UNE IDÉE FOLLE, NÉE DANS LES COULISSES
C’est en 2021 qu’Alexandre Brachet, Alexis Gouraud et Romain Brachet, membres fondateurs des Barjots Dunkers, rêvent tout haut d’un lieu à leur image. « On parlait de notre avenir, d’une maison pour les Barjots. Très vite, on a sorti une règle et un crayon. On a esquissé un terrain de basket, un bar, un restaurant… Et on s’est dit : pourquoi pas ? », raconte Alexandre. Trois ans plus tard, leur vision prend vie.
UN VÉRITABLE LIEU DE VIE
La Barjots Arena sera un espace hybride, un lieu de sport, de loisirs, de rencontres et de travail, sur deux étages, conçu comme un écosystème à part entière. Le projet prévoit :
• des terrains indoor de padel, de badminton, de basket 3x3,
• un parc de trampolines et des jeux immersifs pour tous les âges,
• un bar-restaurant, dirigé par la cheffe Éloïse Nanet (4e associé du projet), formée à l’école Ducasse et forte d’un parcours international,
• des salles de séminaire, de réunion et de coworking, pour faire de l’Arena un lieu prisé aussi par les professionnels,
• et bien sûr, des bureaux, pour héberger, entre autres, l’équipe des Barjots Dunkers et leurs projets toujours plus audacieux.
Un lieu de vie XXL à Montaigu
UNE AVENTURE HUMAINE, LOCALE ET COLLECTIVE
Plus qu’un simple complexe, les Barjots veulent créer un lieu de vie convivial et fun, adapté à tous les âges et tous les profils. « Ce projet, on le pense pour tous : les jeunes, les familles, les pros, les passionnés de sport ou ceux qui veulent juste passer un bon moment entre amis », explique Alexis Gouraud. Il permet aussi aux Barjots de la première heure de rebondir et d’envisager l’avenir en dehors du parquet. Attachés à leurs racines vendéennes, les associés se sont entourés de partenaires locaux pour la conception et la construction de ce lieu hors normes, dont la livraison est prévue en septembre 2027. Soutenus par les élus et les services de Terres de Montaigu, le projet s’intègre pleinement dans la transformation urbaine du quartier des Quais Saint-Hilaire.
Avec un investissement de 9 millions d’euros, la Barjots Arena entend bien participer à la redynamisation économique et sociale du territoire. Création d’emplois, nouvelles offres de loisirs, lieu de rassemblement pour les événements sportifs et culturels… La commune y voit un atout fort. « Ce projet répond aux attentes de nos habitants, notamment des jeunes et des familles », souligne Florent Limouzin, maire de Montaigu-Vendée.
En bref, la Barjots Arena, c’est plus qu’un projet fou ! C’est une nouvelle façon de vivre, de bouger, de se rencontrer… en plein cœur de la Vendée.
Tendance DÉCO
IDEORAMA
Réinventer son chez-soi
REPENSER SON INTÉRIEUR, CHANGER DE LITERIE… LES PROJETS D’AMÉNAGEMENT NE MANQUENT PAS ! DEPUIS NOVEMBRE 2020, IDÉORAMA EST LE FIDÈLE COMPAGNON DE TOUTES VOS ENVIES : LITERIE, MEUBLES ET SALON, AMÉNAGEMENT INTÉRIEUR, DÉCORATION, LUMINAIRES, SPA, SAUNA…
Un univers complet sous un même tOit
Literie spécialisée, meubles sur mesure, salons personnalisables… Grégory Pelloquin, fondateur de l’enseigne, a conçu Idéorama comme un écosystème total. Décoration contemporaine, créations industrielles audacieuses, pièces design… Impossible de repartir les mains vides !
L’atout secret ? Une gamme de prix étendue, de la literie aux meubles de salon en passant par la décoration, pour permettre à chacun de concrétiser ses rêves
La French TOuch assumée
L’exceptiOn vendéenne
Idéorama cultive sa différence. Seule enseigne vendéenne à proposer une literie à eau complète, elle développe aussi un espace bien-être avec spas et saunas traditionnels ou infrarouges.
Idéorama revendique ses origines. Cette exigence s’illustre dans les collaborations avec des fournisseurs locaux au savoir-faire reconnu. La maison Girardeau perpétue son art du mobilier en bois, tandis que l’éditeur Couture révolutionne l’approche du meuble avec sa fameuse « table à la carte. » Le client sélectionne tous les détails de sa pièce pour composer un meuble parfaitement adapté à son espace de vie.
Juste pour vOus
Chez Idéorama, standardiser est un gros mot. Sélectionnez les motifs et tissus de vos fauteuils de relaxation ou la configuration de votre canapé : canapé d’angle, canapé deux places ou trois places, accoudoirs ou méridienne ? À vous de choisir. Et pour les projets plus ambitieux (dressing, meuble TV, etc.), la méthode Idéorama privilégie l’humain : des échanges avec les spécialistes, et la validation de solutions personnalisées.
ACCESSOIRES DÉCO, LUMINAIRES ET SOLUTIONS DE RANGEMENT : TOUT EST PENSÉ DANS LES MOINDRES DÉTAILS POUR CONCEVOIR UN HABITAT HARMONIEUX DE A À Z.
85600 Montaigu-Vendée Du lundi au vendredi : 9h30 - 12h30 et 14h - 19h Samedi : 9h30 - 19h 02 51 31 96 79 contact@ideorama.com
Montaigu-Vendée
UNE DYNAMIQUE COLLECTIVE
FACE AUX ENJEUX DE SANTÉ
Entre développement hospitalier ambitieux et futur centre de secours dernière génération, Montaigu-Vendée confirme son rôle moteur dans l’offre de santé et de sécurité du nord Vendée et du sud Loire-Atlantique. À l’heure où le bassin de vie attire chaque année de nouveaux habitants, ces équipements deviennent des piliers essentiels pour répondre aux besoins croissants de la population.
Un hôpital AU CŒUR du territoire
Rayonnant sur un bassin de vie de plus de 100 000 habitants, le site hospitalier de Montaigu-Vendée ne cesse de monter en puissance. Rattaché au Centre Hospitalier Départemental (CHD) de la Vendée basé à La Rochesur-Yon, il affiche une dynamique de développement remarquable, à la hauteur des enjeux du territoire.
24 spécialités de consultation
« Le site de Montaigu-Vendée, c’est avant tout la proximité », souligne Yannick Richard, directrice adjointe du CHD. « Il permet aux habitants de bénéficier d’une offre de soins large, au plus proche de leur domicile. » Avec pas moins de 24 spécialités en consultation ou en hôpital de jour dont la cancerologie, une unité de médecine polyvalente de 60 lits, un centre périnatal (424 grossesses suivies en 2023), un service de soins médicaux et de réadaptation dédié aux troubles nutritionnels, ou encore un centre d’imagerie performant (6 074 scanners réalisés en 2023), l’hôpital de Montaigu-Vendée propose une prise en charge complète, moderne et évolutive.
consultations hospitalières externes (en ambulatoire, sans hospitalisation) en 2023
« Plus de 50 % des patients sont admis directement sur demande de leur médecin traitant, sans passer par les urgences. C’est une particularité forte de notre organisation, qui repose sur une étroite collaboration avec les professionnels de santé libéraux du territoire », insiste le docteur David Trewick, chef du service de médecine polyvalente.
424
grossesses suivies au Centre Périnatal de Proximité en 2023
Vers une offre encore plus AMBITIEUSE
L’établissement continue d’évoluer : un service d’addictologie et une équipe mobile de gériatrie sont venus compléter l’offre existante, avec pour objectif de favoriser le maintien à domicile des personnes âgées. Un angiologue intervient désormais pour proposer une technique innovante de traitement des varices au laser, en ambulatoire. Et d’ici fin 2026 ou début 2027, un projet d’IRM viendra renforcer les équipements de pointe disponibles sur place.
2 438
patients hospitalisés en médecine polyvalente en 2023
En parallèle, un nouveau pôle de médecine spécialisée verra le jour dans le quartier des Hauts de Montaigu. Ophtalmologie, radiologie et autres spécialités y seront regroupées dans un bâtiment voisin de l’hôpital, facilitant ainsi les parcours de soins. Ce projet s’accompagnera d’une réflexion globale sur l’accessibilité et le stationnement dans ce quartier en mutation.
Mais cette montée en puissance ne doit pas faire oublier les inquiétudes, notamment aux urgences. Antoine Chéreau, président du CHD de la Vendée, rappelle : « bénéficier d’un hôpital de qualité, qui ouvre de nouveaux services et propose une offre de soins complète, y compris avec un service d’urgences toute l’année, est une chance sur laquelle nous veillons. L’articulation des services hospitaliers avec le développement du secteur libéral mobilise aussi notre attention, et notre accompagnement auprès de nos professionnels actuels ou qui souhaitent s’installer. »
des patients résident à Montaigu-Vendée (chiffre 2021)
Autre projet structurant pour la commune : la construction d’un nouveau centre d’incendie et de secours à l’horizon 2028, porté par le Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) de la Vendée. Installé entre la rue du Fromenteau et la rocade D202, ce site ultra moderne sera taillé sur mesure pour répondre à l’augmentation du nombre d’interventions, liée à la croissance démographique et urbaine.
Ce bâtiment de 2 905 m2, conçu par le cabinet montacutain Archi Urba Déco, intégrera 89 sapeurs-pompiers dont 17 professionnels, une remise pour 11 véhicules, et une section de jeunes sapeurs-pompiers. Il comprendra également un pôle de formation territorial ouvert aux entreprises locales.
« Je souhaite que les sapeurs-pompiers s’approprient pleinement ces locaux modernes, pensés pour eux et adaptés à leurs missions », souligne Bérangère Soulard, présidente du CA du SDIS. Un engagement partagé par le maire Florent Limouzin, qui y voit « une réponse forte aux enjeux de sécurité », et par Antoine Chéreau, président de Terres de Montaigu, pour qui ce projet s’inscrit « dans une politique globale : vidéoprotection, police intercommunale, brigade mobile de gendarmerie… » Écologique, le bâtiment misera sur les énergies renouvelables (panneaux photovoltaïques) et des systèmes de récupération d’eau pour les manœuvres. Un investissement de 9,37 millions d’euros pour un territoire en pleine transformation.
Spécialiste des constructions, rénovations et agencements en bois, l'entreprise Guérin Bremaud est l'interlocuteur privilégié des particuliers et professionnels qui souhaitent apporter une touche soignée à leurs aménagements extérieurs et intérieurs.
GUÉRIN BREMAUD
Travailler
le bois, produire de l'harmonie
L'harmonie
Depuis 1992, Guérin Bremaud met ses compétences de menuisier agenceur au service des particuliers et de chaque espace de leurs habitations. Un mot pour résumer l'approche de l'entreprise et de ses deux agenceurs décorateurs ? L'harmonie. « Nous partons généralement d'un projet de cuisine, puis nous imaginons le réagencement des éléments autour, de la chambre au salon », explique Michel Allais, Directeur Général. « Nous sommes constamment en veille pour découvrir les nouveaux matériaux tendance et, toujours en fonction des budgets, nous privilégions les matériaux écologiques. »
Chez Guérin Bremaud,
on forme et on recrute !
Alors que se profilent les départs en retraite d'employés présents depuis sa création, Guérin Bremaud s'apprête à recruter des charpentiers qualifiés « Dans notre entreprise familiale, le quotidien n'est jamais monotone ! Construire une ossature, retravailler une vieille charpente, maîtriser la technicité d'une surélévation : on explore beaucoup de sujets dans ce métier, qui demande donc souplesse et polyvalence. » En parallèle de ces futurs recrutements, Guérin Bremaud continue de miser sur la formation : plus d'une centaine d’apprentis et de Compagnons y ont été formés, tandis qu'en moyenne, un stagiaire par jour a franchi les portes de l'entreprise cette année !
Constructeur de maisons en ossature bois ainsi que de terrasses et pergolas, Guérin Bremaud mène également des projets d'extension, de surélévation et d'isolation thermique par l'extérieur, permettant à ses clients de redonner du cachet à leurs biens.
Un effet WAOUH pour les professionnels et leurs clients
Les professionnels de tous secteurs (hôtels, fleuristes, coiffeurs...) peuvent également compter sur Guérin Bremaud pour concevoir des devantures, espaces d'accueil et éléments décoratifs qui leur ressemblent vraiment. « Le bois amène indéniablement un côté chaleureux. Lorsque l'on travaille intelligemment des matériaux nobles comme le chêne, cela permet à l'artisan de se démarquer en produisant un effet WAOUH chez ses clients. Des envies les plus sobres aux plus clinquantes, nos agenceurs conçoivent toujours des projets sur mesure. »
Des Herbiers à Noirmoutier en passant par Nantes, l'entreprise travaille également avec des architectes et décorateurs d'intérieur. « Nos points forts, ce sont la qualité d'écoute et la précision de nos réalisations. En travaillant avec nous, ils ont la certitude que le rendu respectera tous les engagements pris auprès de leurs clients. »
GUÉRIN BREMAUD
BUREAU – ATELIER
La Souchais
85500 BEAUREPAIRE
Tél. 02 51 66 65 72
www.guerin-bremaud.com
SHOWROOM
2 Grand Rue Sainte-Blaise
85500 LES HERBIERS
Tél. 02 51 61 56 61
Ouvert du mardi au vendredi : 9h-12h30 / 14h-19h
Le samedi : 9h-13h sur rendez-vous
SUPER SPECTRE
SUPER SPECTRE
Lors d’une chaude journée de juillet, Faye McDermott, fondatrice de la marque Super Spectre, a reçu l’équipe d’Offset 5 dans sa maison familiale de Montaigu-Vendée.
Faye prépare les activités estivales de son cadet, Tommy, 4 ans : routine visuelle, pictogrammes, puzzles… Diagnostiqué neuroatypique depuis l’âge de 2 ans, Tommy a besoin de ces exercices quotidiens, même sur le temps des vacances : ils le rassurent, le stimulent, et évitent les transitions difficiles à la rentrée. Cette organisation bien rodée et ces connaissances fines de la neuroatypie, Faye les doit autant aux soignants qui accompagnent son fils qu’à son caractère : sensible, battant et déterminé.
Super Spectre :
UNE MARQUE NÉE D’UN BESOIN
Été 2023. Tommy, qui ne parle toujours pas à l’approche de ses deux ans, développe une nouvelle obsession : il se déshabille compulsivement. Faye et Steeve, son compagnon, essaient tout : salopettes, shorts à liens… Rien ne convient, jusqu’à cette combinaison anti-UV dénichée pour les vacances. « Elle lui faisait comme une seconde peau. Il était apaisé. » Tommy passe l’été en combi mais, à l’automne, Faye refuse cette solution peu esthétique, et se met en quête de l’équipement qui répondra à leurs besoins. Malheureusement, les déceptions s’enchaînent : des pièces souvent trop médicales, adaptées uniquement à la nuit… En désespoir de cause, Faye pousse la porte d’une couturière locale, qui accepte de créer pour elle les premiers prototypes. La jeune maman sait exactement ce qu’elle veut : à partir de cette fameuse combinaison anti-UV, proposer un modèle bien ajusté, qui couvre les bras et les jambes.
L’idée est née. Faye et Steeve décident de fonder une ligne de vêtements pour les enfants avec des particularités sensorielles, Super Spectre. Un nom qui reflète leur philosophie : « super » pour transformer les différences en super-pouvoirs, « spectre » pour embrasser toute la diversité du spectre autistique. « Quand je vois le temps que j’ai perdu, je pense alors immédiatement à toutes les familles qui sont dans notre cas. »
Super Spectre développe tout d’abord trois modèles pour répondre aux différentes sensibilités : une combinaison en jersey milano, une version plus ample en velours côtelé, et un modèle en molleton ultra-confortable. Chaque pièce est pensée avec une fermeture protégeant la peau et des finitions adaptées. « L’idée était aussi de proposer quelque chose de résistant parce que Tommy a 4 ans, c’est un enfant qui vit : il court, saute, se roule par terre… »
SUPER SPECTRE
« Une cape de visibilité »
En parallèle de la marque, Faye crée un compte Instagram, d’abord pour briser l’isolement, mais aussi pour partager ses découvertes. Les sondages auprès de sa communauté, qui grandit vite, révèlent des besoins récurrents et la gamme s’enrichit de nouveaux vêtements, mais aussi d’accessoires astucieux, comme cette pochette pour AirTag intégrée au vêtement, une idée soufflée par une maman soignante. « Il y a beaucoup d’enfants non verbaux qui parfois peuvent être happés au niveau sensoriel par quelque chose et se perdre », explique Faye.
Car l’engagement de Faye et Steeve ne s’arrête pas au textile. Très vite, ils prennent conscience d’une double peine qui frappe les familles d’enfants autistes : aux défis quotidiens s’ajoutent l’incompréhension et les jugements extérieurs, des maladresses qui les isolent encore davantage. Cette méconnaissance les pousse à agir. Grâce à Steeve, qui est graphiste, ils imaginent une campagne de sensibilisation. Des affiches à télécharger, mais aussi des flyers et stickers, des badges… « L’idée, c’est de rendre visible l’invisible. » Une démarche inclusive qui fait mouche : des milliers de téléchargements, un affichage spontané dans les écoles, les cabinets médicaux, mais aussi les entreprises, etc.
Une communauté qui grandit
C’est ce qui fait la force de Super Spectre : une authenticité, sans posture experte, qui touche au cœur. Les retours sur la marque sont excellents, les commandes d’IME (instituts médico-éducatifs) se multiplient, et les demandes pour l’adulte explosent. Le compte Instagram devient un lieu d’échange quotidien où les familles puisent autant de conseils pratiques que du réconfort.
Pour le shooting photo de la collection, Faye choisit de mettre en valeur ces liens. Son appel sur les réseaux sociaux mobilise des familles d’enfants autistes qui n’hésitent pas à faire des centaines de kilomètres — de Lyon, de Paris — pour une journée à Nantes. Ce jour-là, Super Spectre devient bien plus qu’une marque : c’est une aventure collective qui prend forme.
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HISTOIRE &Patrimoine
Une histoire de Digue !
Au cœur de la cité subsistent les vestiges d'un ouvrage paradoxalement célèbre dans la culture populaire (on connaît la chanson...), mais méconnu de la plupart de nos contemporains, y compris localement : la digue de Montaigu. Forteresse de défense bâtie sous Louis XI, elle avait pour objectif de repousser les offensives anglaises et bretonnes. Longue de 80 mètres et creusée de part en part d'un couloir d'artillerie, elle est le témoin du virage technologique que représente l'arrivée du canon sur les champs de bataille médiévaux. Visite avec l'historienne et guide-conférencière Pauline Retailleau, la référence locale sur le sujet.
Stratégie militaire
Lors du couronnement de Louis XI en 1461, la France est morcelée entre de puissantes féodalités. Un problème pour le roi, qui entreprend alors « de soumettre des villes afin d'y installer des garnisons dans le but d'affaiblir les seigneurs locaux », nous explique Pauline Retailleau. À la même époque, le duc de Bretagne, François II, représente pour le royaume la menace la plus pressante, d'autant que ce dernier est allié aux Anglais. Alors, quand iI rebâtit fièrement le château des Ducs à Nantes (1466), « il adresse un message clair d'indépendance au roi de France », dont la réaction ne se fait pas attendre. En 1473, Louis XI rachète donc Montaigu pour 10 000 écus d’or et y stationne quarante
Prouesse d’ingénierie
Montaigu rachetée, il faut désormais la défendre. Entre 1476 et 1481, les ingénieurs de la cour conçoivent et bâtissent la fameuse digue, « sous la forme d'un barrage creux, une structure de 80 mètres de long sur une quinzaine de large, qui combine de manière géniale deux fonctions défensives. » Et pour l'époque, il s'agit d'une véritable prouesse d’ingénierie : vers l'extérieur, la digue crée « un vaste étang qui maintient la ville hors de portée des assaillants » et de leur artillerie. À l'intérieur de l'ouvrage, un tunnel permet, sur toute sa longueur, d'y dissimuler des soldats et des canons, dont seules les extrémités dépassent d'ouvertures minuscules. La voûte est le « fruit d'une stéréotomie (l'art de la découpe et de l'assemblage des pierres de taille - ndlr) millimétrée », à même d'encaisser des forces considérables. L'historienne précise : « il faut que la chose soit sacrément solide pour soutenir à la fois la pression de l'eau d'un côté, mais aussi les vibrations des canons de l'autre. » Cette digue est complétée par « une haute tour bastionnée, probablement la seconde bâtie côté royaume de France après celle du MontSaint-Michel », qui couvre sa façade d'éventuels tirs croisés, tout en offrant un post de guet bienvenu sur le paysage environnant. En ville, les quatre portes médiévales sont renforcées et adaptées aux nouvelles pièces d'artillerie. C’est notamment le cas au pont Jarlet dont subsiste un promontoire non loin, à l'endroit même où se trouve aujourd'hui le kiosque du parc du Val-d'Asson.
Menace silencieuse
Alors Pauline Retailleau, en tant que guide-conférencière, accompagne in situ des publics variés et de tout âge, et s'emploie à leur faire découvrir cet héritage médiéval vendéen autour de visites riches en informations et anecdotes. « Le parcours débute systématiquement en surplomb du site, et cette approche révèle souvent des surprises car, si beaucoup de locaux suivent les visites et qu'ils connaissent tous la digue, ils ne savent pas forcément où elle se trouve, ni à quoi elle correspond. » Elle souhaite ainsi « vulgariser et rendre accessible » toutes les connaissances autour de la digue, et transmettre ce « secret de castellologues » au plus grand nombre. Son but : que chacun découvre ce que représente cette forteresse d'ingénieur unique en France, fascinante par sa conception révolutionnaire et jalon de l'histoire militaire de notre pays. Mais pour y parvenir, l'historienne insiste sur un point crucial : « la valorisation passe par la sauvegarde », qui se traduit notamment par le contrôle du développement de la végétation, qui prend racine dans la moindre anfractuosité entre deux pierres. Une menace silencieuse « qui constitue le plus gros enjeu de conservation. »
Office de Tourisme de Montaigu 67 rue Georges Clémenceau Montaigu-Vendée www.terresdemontaigu.fr officedetourisme@terresdemontaigu.fr 02 51 06 39 17
DÉCOUVRIR LA DIGUE
Pour découvrir ce site exceptionnel, plusieurs options s'offrent au visiteur via le parcours patrimonial fléché gratuit, le jeu de piste pour les plus jeunes, ainsi que les visites guidées animées par Pauline Retailleau via l'Office de Tourisme. Aussi, des visites privées sur mesure d'une heure et demie. Le pari de la guide-conférencière : « montrer qu'un public de 5 ans ou de 80 ans peut saisir toute la subtilité d'un ouvrage du XVe siècle, pour peu qu'on lui raconte la bonne histoire de la bonne façon. »
Pauline Retailleau
Historienne de l'architecture formée à l'université de Nantes, Pauline Retailleau est titulaire d'un double master en valorisation du patrimoine et recherche en architecture. Aujourd'hui, elle conjugue recherche universitaire et transmission populaire à travers son entreprise Ikhnos (du grec « traces »), une structure à double vocation : bureau d'études spécialisé dans la recherche historique en amont des chantiers de restauration, et activité de guide-conférencière sur le patrimoine vendéen. Passionnée par l'ingénierie architecturale médiévale, elle s'est imposée comme l'une des rares spécialistes de la digue de Montaigu. Sa philosophie repose sur une conviction : « le public, quel qu'il soit, quel que soit son âge, quelles que soient ses connaissances, est complètement capable de recevoir, de s'intéresser et de comprendre la nuance scientifique. Il suffit juste de choisir la manière dont on l'exprime. » Actuellement engagée dans la rédaction d'un ouvrage collectif sur les parcs et jardins des châteaux de Vendée, elle incarne une nouvelle génération d'historiens « qui refuse tout nivellement par le bas » dans la vulgarisation patrimoniale.
Domaine
l'Abbaye de Meslay
LE NOUVEAU JOYAU DE L'ÉVÉNEMENTIEL
À La Guyonnière, une ancienne institution du XIXe siècle s'éveille d'un long sommeil. Transformée en lieu de réception de prestige, le Domaine de l'Abbaye de Meslay offre aujourd'hui un cadre d'exception pour les mariages, séminaires d'entreprise, événements culturels et retraites bien-être. Visite guidée avec Élodie Rineau, directrice générale.
À TRAVERS LES ÉPOQUES
L'Abbaye de Meslay porte en ses murs une riche histoire. Construite sur les ruines d'un ancien château médiéval, en 1867, elle a connu plusieurs transformations. « Elle a notamment été un orphelinat, un centre de pèlerinage, ou encore un noviciat (un lieu où, pendant une période, des aspirants à la vie religieuse venaient s'y initier - ndlr) », retrace Élodie Rineau. En 1973, l'Institut de Meslay (aujourd'hui CFP de Meslay) en devient propriétaire jusqu'à sa vente l'année dernière. C'est alors qu'interviennent trois entrepreneurs : Alain Duret, Julien Morisset et Jérôme Rousseau, qui s'associent et rachètent ce patrimoine quelque peu délaissé. « Le domaine était quand même un peu endommagé ! » reconnaît la directrice. D'importants travaux de réhabilitation et de rénovation débutent alors, menés tambour battant entre octobre 2024 et avril 2025. Le chantier est imposant, mais révèle peu à peu toute la splendeur cachée de l'édifice.
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LES MARIAGES AU CŒUR DE L'ANCIENNE CHAPELLE
Depuis son ouverture officielle le 23 mai 2025, l'abbaye s'impose comme un lieu de réception privilégié. La salle principale, somptueuse, est aménagée dans l'ancienne chapelle. « Sur plus de 230 m2, elle peut accueillir jusqu'à 200 convives en format cocktail. » À l'extérieur, outre le parc de 3 hectares qui offre une multitude d'endroits où célébrer une cérémonie laïque sous les arbres centenaires, une tente berbère et une grande terrasse permettent d'organiser un vin d'honneur ou des animations. Et pour que la noce soit belle jusqu'au bout de la nuit, « 70 couchages, répartis entre la villa et le cloître, permettent de loger les mariés et leurs proches. » De même, Élodie Rineau privilégie la liberté totale des futurs époux : « nous travaillons avec des prestataires privilégiés que nous proposons, mais nous n'imposons personne. Chacun fait comme il le souhaite. Les futurs mariés choisissent leur traiteur, leur DJ, etc. » Une philosophie qui séduit : « quand on se marie ici, le domaine est entièrement privatisé », garantissant une exclusivité (et une tranquillité) totale aux célébrants.
DES SÉMINAIRES D'ENTREPRISE
SUR MESURE
L'Abbaye ne se contente pas d'accueillir les unions. Trois salles de séminaire, de 58 à 78 m2 dont une accessible PMR, offrent des capacités modulables pour recevoir 25 à 50 personnes selon les configurations. « Quand une entreprise me sollicite, ma mission est de détecter ses besoins, autant que les valeurs qu'elle recherche », explique la directrice, privilégiant un accompagnement sur mesure. Spacieux et confortables, ces
espaces de travail bénéficient tous du meilleur équipement audio-visuel, d'un support technique et logistique, et d'une offre de restauration sur place. « Les entreprises peuvent évidemment privatiser l'ensemble du domaine », bénéficiant ainsi du parc pour y organiser des activités en plein air. En bref, des prestations haut de gamme « propices à la réflexion, à la créativité, et à la cohésion d'équipe. »
CULTURE ET BIEN-ÊTRE
L'ambition d'Élodie Rineau dépasse la simple location d'espaces. « Ce que l'on souhaite mettre en avant au domaine, c'est le renouveau de son histoire, accessible et ouvert à tous les publics. » Les premières Guinguettes de Meslay, organisées le 3 juillet dernier, ont accueilli 250 personnes, et ont donné le ton de cette nouvelle vie culturelle. Peu à peu, la programmation 2025 s'enrichit : des concerts d'artistes locaux, un salon du mariage prévu le 6 décembre, un projet d’événement autour de Noël en fin d'année... et pour 2026, « des dîners de quintessence alliant musique et gastronomie », des expositions, des salons... Mais ce n'est pas tout, car l'Abbaye de Meslay s'ouvre également au secteur du bien-être, surfant sur une tendance sociétale forte. « Retraites holistiques, journées bien-être ou séances de yoga dans le parc », le cadre apaisant et bucolique se prête naturellement à ces nouvelles pratiques. Finalement, au-delà de ses prestations, l'expérience unique que propose l'Abbaye de Meslay, c'est de participer à la renaissance d'un patrimoine ancré dans la mémoire Montacutainne. Élodie conclut, dans un sourire : « on a ici un lieu qui a déjà une histoire. Désormais, c'est à nous, mais aussi à vous, de continuer à l'écrire. Alors ayez la curiosité de venir, ne serait-ce que pour visiter. »
Abbaye de Meslay
Allée de Meslay La Guyonnière
Tél. 06 14 07 96 72 www.abbayedemeslay.fr
Dans le paysage rural vendéen, certaines initiatives traversent les décennies avec une constance remarquable. À la Guyonnière, le Comité des Fêtes a célébré cette année les 50 ans d'existence de son emblématique P'tit Bar, une institution portée par une philosophie simple mais efficace : fédérer les associations locales autour d'un projet commun. Rencontre avec Baptiste Gratius, à la tête de cette belle aventure humaine.
UN DEMI-SIÈCLE DE CONVIVIALITÉ
LE COMITÉ DES FÊTES :
UNE FÉDÉRATION AU SERVICE DU TERRITOIRE
À 28 ans, Baptiste Gratius incarne une nouvelle génération d'élus associatifs. « J'ai été président à 23 ans, juste après avoir rejoint l'association. C'est quelque chose qui m'a plu dès le début », confie ce responsable méthodes et projets logistiques qui consacre ses week-ends à faire vivre le tissu associatif local. Le Comité des Fêtes de la Guyonnière repose sur un modèle original : il fédère quatorze associations du territoire qui se relaient pour animer la vie locale. « Le but du Comité des Fêtes c'est ça. Cette approche collaborative permet de mutualiser les efforts », mais aussi de créer du lien entre des structures aux activités diverses, dont l'engagement bénévole est le pilier. Si Baptiste reconnaît avoir parfois « des difficultés à trouver des volontaires pour participer à l'organisation et au bon déroulement des diverses manifestations », il mise toutefois sur la motivation et le plaisir : « l'idée est de faire participer les bénévoles en fonction de leurs centres d'intérêt, de leurs compétences, et du temps dont ils disposent. Chez nous, chacun est libre d'aider comme il l'entend. »
LE P'TIT BAR :
CINQUANTE ANS DE TRADITION ASSOCIATIVE
Créé en 1975, le P'tit Bar constitue le cœur battant de cette dynamique territoriale. Son fonctionnement repose sur un principe simple : chaque association membre assure à tour de rôle les permanences du week-end, du 30 avril à la mi-septembre. Depuis 50 ans, « le P'tit Bar propose une carte très attractive » (comprendre : bien fournie et pas chère), au bord du Lac de la Chausselière. Un lieu ouvert à tous, sans chichi et hautement convivial, « tenu à 100% par les bénévoles des associations de la Guyonnière. » Les chiffres sont éloquents : avec 25 permanences par saison, assurées par 6 à 10 bénévoles chacune, ce sont près de 200 à 250 personnes qui se mobilisent chaque année. « Sur 50 ans, cela représente plusieurs milliers de bonnes âmes qui sont venues tenir le P'tit Bar, donner un coup de main à l'entretien, à la logistique, à l'approvisionnement... », calcule Baptiste Gratius avec une pointe de fierté. La pérennité de ce modèle s'explique par la transmission intergénérationnelle. « Dans beaucoup de cas, les générations se succèdent. Si le père a été bénévole au P'tit Bar, le fils prend souvent la relève. Ou alors c'est le grand frère qui passe le relai au petit... C'est beau ! » De même, le fait de venir aider au P'tit Bar est devenu une habitude ancrée dans les mœurs des différentes associations. Ainsi, cette continuité garantit le renouvellement des équipes et le succès, année après année, de cette institution locale.
“Si le père a été bénévole au P'tit Bar, le fils prend souvent la relève.”
Le Comité des Fêtes de la Guyonnière, c'est aussi
l'organisation de plusieurs événements chaque année, comme la traditionnelle pêche à la truite à l'étang du Passous en février, ainsi que d'autres manifestations liées au P'tit Bar durant la belle saison. Mais c'est aussi une aide logistique importante pour toutes les associations qu'il fédère, puisqu'il met gracieusement son équipement événementiel (matériel de scène, barnums, tables, bancs, stands...) à leur disposition. Du matériel que les particuliers peuvent d'ailleurs louer à un tarif accessible pour leurs événements privés, lors d'un mariage par exemple.
Chauss'Day :
L'ÉVÉNEMENT PHARE QUI RÉINVENTE LA TRADITION
Depuis trois ans, le comité des fêtes organise la Chauss'Day, un événement estival gratuit, « le plus important de l'année », qui se veut une journée de fête familiale et bon-enfant. Autour du P'tit Bar et de l'espace restauration se succèdent activités en plein air et concerts. Le concept se veut évolutif et chaque édition propose une thématique différente. « On a fait un cabaret la première année, puis les olympiades l'an passé. En 2025, on a fêté les 50 ans du P'tit Bar. L'idée était de représenter une année du P'tit Bar dans une seule journée » : concert d'ouverture à midi, animations l'après-midi, puis d'autres concerts en soirée, avant un grand feu d'artifice. La programmation musicale, orientée rock, reflète l'ADN du lieu, et propose des groupes Vendéens ou issus des départements limitrophes. Le but : « que cette manifestation soit accessible et plaise à tout le monde, et que les générations se mélangent et partagent un vrai moment de bonne humeur. » Mission amplement accomplie en 2025, même si le spectacle pyrotechnique qui clôt l'événement n'avait pu être tiré à cause de la sécheresse du moment. Le rendez-vous est d'ores et déjà donné en 2026, pour une Chauss'Day totalement inédite...
Comité des Fêtes de la Guyonnière 3 rue du Commerce
La Guyonnière
www.facebook.com/cdflaguyonniere
comitedesfetesguyon@gmail.com
6 AU 8 FÉVRIER
› Construction
› Rénovation
› Ameublement
› Décoration
SALON
DÉCO JARDIN
HABITAT DÉCO JARDIN HABITAT
ENTRÉE GRATUITE
› Espace
Art Déco
Extérieurs et Jardins
L’ESPRIT NATURE
L’ESPRIT NATURE
Espace Bien-être
PORTFOLIO
Cinq communes, une identité – Montaigu-Vendée
Dans l’objectif de Pierre Ollier
Depuis 2019, Montaigu-Vendée réunit cinq communes aux identités fortes : Montaigu, Boufféré, Saint-Hilaire-de-Loulay, Saint-Georges-de-Montaigu et La Guyonnière.
À travers l’objectif de Pierre Ollier, découvrez un territoire riche de contrastes, entre héritage patrimonial et nature préservée.
Remparts, châteaux, rivières, lac… chaque lieu raconte une histoire, chaque image célèbre un ancrage. Un hommage en lumière au bocage vendéen et à l’élégance d’une commune nouvelle qui conjugue passé et présent avec harmonie.
MONTAIGU
Montaigu est riche d’un patrimoine médiéval. L’ancienne caste fortifiée avec ses remparts, les pavillon des nourrices, la collégiale Saint Maurice, l’église Saint Jean-Baptiste, la Digue… Ce patrimoine remarquable fait de Montaigu à la fois le cœur historique, administratif et touristique de la commune nouvelle.
BOUFFÉRÉ
L'église Notre-Dame de l’Assomption de Boufféré a fait l'objet d'un ambitieux projet de rénovation afin de préserver et valoriser ce joyau du patrimoine architectural et religieux vendéen. Elle a réouvert ses portes fin 2024, après deux ans de travaux.
Le Château du Hallay (privé) propose aujourd’hui des chambres d’hôtes thématiques : médiévale, vénitienne… Le domaine abrite une chapelle (style byzantin) datant des années 1900. Elle n’est pas ouverte au public, mais elle témoigne du riche passé de la commune du Bocage Vendéen.
SAINT-GEORGES-DE-MONTAIGU
La Maison de la Rivière, située sur la Grande Maine à Saint-Georges-de-Montaigu est le départ de nombreuses balades en barque en autonomie ou guidées, y compris des apéros ou brunchs embarqués en été. C’est un lieu préservé qui mêle nature, culture et détente au fil de l’eau.
Le pont de Senard, enjambant la Maine, est un un lieu d’accueil charmant et emblématique de la commune. Construit en pierre, il daterait du Moyen Âge classique. Une légende locale raconte qu'à la suite de difficultés pour finir l'édifice, l’entrepreneur passa un marché avec le diable en échange de l'âme du premier passant. Pris de remords, la Sainte Vierge envoya un âne sur le pont. En représailles, le diable jura que le pont ne serait jamais fini. Ainsi, il manque toujours quelques pierres à ce pont.
SAINT-HILAIRE-DE-LOULAY
Saint-Hilaire-de-Loulay est aussi surnommée Saint-Hilaire-les-Sept-Châteaux. En effet, la commune compte sept petits châteaux privés, témoignages des seigneuries autrefois présentes sur le territoire. Le château de La Preuille (notre photo), le château de La Lande ou encore le château de La Peinerie, pour ne citer qu’eux, témoignent de l’occupation passée par de grands propriétaires terriens.
LA GUYONNIÈRE
Le Lac de la Chausselière est un incontournable de la commune de La Guyonnière. Sur 14 hectares environ, il propose randonnées autour de l’eau, pêche, loisirs nautiques (canoë, voile légère…) dans un cadre naturel très photogénique. L’itinéraire balisé autour du lac vous offre de belles promenades au cœur de la nature.
CULTURE & Art
Thalie 15 ans de Culture
Bon anniversaire Thalie !
Quinze ans déjà que le Théâtre de Thalie enchante les habitants de Terres de Montaigu. Depuis son ouverture en 2010, cette scène culturelle emblématique a tenu sa promesse : faire vibrer les émotions, créer du lien entre les spectateurs et rendre le spectacle vivant accessible à tous. Pour souffler sa quinzième bougie, Thalie voit les choses en grand : une saison anniversaire riche, festive, familiale… inoubliable.
Le coup d’envoi de cette saison exceptionnelle a été donné le samedi 20 septembre dernier avec une journée entière de festivités : visites des coulisses du théâtre, foodtrucks en musique et un final explosif avec Le Bal des Variétistes, un show burlesque assuré par 16 artistes.
Des spectacles à ne pas rater
Parmi les têtes d’affiche de cette saison anniversaire, voici quelques pépites à ne surtout pas manquer.
La comédie La valse des pingouins, nommée aux Molières 2025, promet deux représentations hilarantes les 7 et 8 octobre prochains. L’un des spectacles les plus attendus de l’année : Folia, création de Mourad Merzouki mêlant hip-hop et baroque, offrira un moment de grâce et de puissance chorégraphique. Et, le 29 janvier 2026, Laurent Voulzy enchantera le public avec ses chansons intemporelles.
La Valse des Pingouins
Laurent Voulzy
Des coups de cœur en cascade
Le Théâtre de Thalie ne serait pas ce qu’il est sans ses fameux coups de cœur. Parmi eux : Parler pointu de Benjamin Tholozan, une ode aux accents régionaux ; Frantz, qui mêle théâtre, bruitage et émotion pure ; Lisa, bouleversante chronique adolescente ; ou encore Le grand jour, pièce loufoque sur les dessous d’un enterrement familial. Et bien sûr, The Loop, comédie délirante sur une boucle temporelle infernale, primée aux Molières 2025.
15 ans de Culture
Une programmation familiale et sensible
Thalie n’oublie pas les plus jeunes et les familles avec dix spectacles à voir en tribu. Mention spéciale au concert d’ouverture les Fo’Plafonds, musiciens fous de récup’, et aux prestations poétiques comme Moya, Oiseau ou Le hasard merveilleux, qui abordent avec tendresse les grandes questions de la vie.
Depuis 2010, 432 spectacles ont été accueillis sur la scène de Thalie. Mais l’impact du théâtre dépasse les seules représentations.
« C’est un outil d’éducation artistique, un espace d’expression pour les jeunes de Terres de Montaigu avec, entre autres, le festival Mont’en scène. C’est aussi une politique culturelle forte, qui mise sur une tarification accessible, notamment pour les jeunes et les familles », souligne Antoine Chéreau, président de la communauté d’agglomération Terres de Montaigu.
Avec 30 représentations, 10 coups de cœur, 4 spectacles primés ou nommés aux Molières 2025, 10 spectacles familiaux, la saison 20252026 s’annonce éclectique et enthousiasmante. Alors, prêts à souffler les bougies avec Thalie ?
La billetterie est ouverte !
et billetterie : www.thalie.terresdemontaigu.fr
Trois questions à Marielle Guerber,
RESPONSABLE DES ARTS VIVANTS AU THÉÂTRE DE THALIE DEPUIS 10 ANS
Qu’est-ce qui rend cette saison anniversaire si spéciale à vos yeux ?
« Nous n’avions pas pu fêter les 10 ans du théâtre en 2020, à cause du Covid. Cette fois, nous avons souhaité marquer le coup et remercier nos spectateurs pour leur fidélité, en fêtant les 15 ans à la fois à l’extérieur du théâtre et à l’intérieur. À l’extérieur, avec un grand bal organisé le samedi 20 septembre dernier sur le parvis du théâtre, entièrement gratuit. Et à l’intérieur du théâtre tout au long de la saison. Cette saison anniversaire est l’occasion d’accueillir des spectacles plus prestigieux qu’auparavant, grâce à des moyens supplémentaires : Valérie Lemercier, Laurent Voulzy… C’est une grande chance pour nos spectateurs d’avoir l’occasion de découvrir ces artistes dans l’intimité du théâtre de Thalie. Nous retrouverons aussi dans la saison quelques artistes que nous avons déjà accueillis, et qui ont marqué l’histoire du théâtre : le chorégraphe Mourad Merzouki, les metteurs en scène Jean-Christophe Dollé, Ahmed Madani et Éric Bouvron, entre autres… Ce sont des clins d’œil à ceux qui ont contribué à installer le théâtre de Thalie dans le cœur des habitants du territoire. »
Quel est votre coup de cœur de la saison ?
« Il y en a beaucoup mais je dirais « Entrée des artistes », d’Ahmed Madani. Le spectacle parle de la vocation d’acteur par le biais de témoignages de jeunes comédiens, mais évoque surtout l’entrée dans l’âge adulte, cette période vertigineuse où l’on quitte le cocon de son domicile pour aller vers l’inconnu. C’est un spectacle absolument bouleversant. »
Quel artiste ou spectacle rêveriez-vous de programmer ?
« J’ai déjà essayé plusieurs fois de programmer Yaël Naïm, une artiste que j’aime beaucoup. Le premier concert a été annulé à cause du Covid, le 2e à l’initiative de l’artiste, qui annulait toute sa tournée. Mais je ne baisse pas les bras ! Le théâtre de Thalie est un écrin magnifique pour les concerts intimistes, où les plus belles voix prennent une dimension vraiment extraordinaire. Je rêve également de faire revenir Juliette Armanet, que nous avions accueillie en 2015 en première partie de Julien Doré, alors qu’elle était encore une jeune artiste totalement inconnue. » 1 2 3
Si les assurances aux particuliers représentaient encore récemment 70 % du chiffre d’affaires, la tendance s’est inversée pour l’agence CPM : les entreprises constituent aujourd’hui 60 % de l’activité. Cette transformation reflète bien sûr le dynamisme économique du territoire nord-vendéen, mais aussi l’expertise développée par Damien Cailteau et Arnaud Milet dans ce domaine.
Pour garantir un conseil de qualité, Damien Cailteau et Arnaud Milet ont investi dans la formation, notamment en techniques de construction, pour renforcer leurs connaissances sur les responsabilités civiles et décennales dans le secteur du bâtiment. Un choix éclairé, qui permet aujourd’hui à l’agence d’accompagner habilement les entreprises locales dans leurs problématiques les plus complexes.
CPM :
Face à l’automatisation progressive du secteur, l’agence nordvendéenne mise sur la relation humaine et le savoir-faire. Une stratégie gagnante qui séduit de plus en plus de particuliers et d’entreprises locales.
Après le départ de Franck Piveteau, c’est Marie Drapeau qui a rejoint l’équipe dirigeante en 2024 aux côtés de Damien Cailteau et Arnaud Milet, après une expérience de plus de vingt ans en tant que salariée. Chaque associé a développé ses domaines d’expertise : Marie Drapeau se concentre sur l’organisation, le management des équipes et les animations grand public, tout en gérant les assurances particuliers (auto, santé, prévoyance, habitation). Le portefeuille
PRÉVENTION ET PROXIMITÉ,
LES VALEURS FONDAMENTALES
Loin de s’arrêter à l’indemnisation en cas de sinistre, l’agence CPM place la prévention au cœur de sa démarche. Les agents se forment régulièrement pour sensibiliser leurs clients aux risques industriels, à la santé des salariés ou encore à la gestion de flotte automobile. L’objectif : réduire les sinistres grâce à cet accompagnement personnalisé.
Cette approche s’inscrit dans la philosophie générale de l’agence, résumée dans son acronyme CPM : Conseil, Proximité et Maîtrise. Chez Axa CPM, vous ne trouverez pas de centre d’appel automatisé, pas d’intelligence artificielle pour gérer le service client. Dans un contexte où de nombreux points de vente ferment, les trois associés font le pari inverse : former des conseillers qui connaissent le terrain, le quotidien et les activités de leur clientèle sur le bout des doigts, et proposer de véritables lieux d’accueil pour le public.
TROIS IMPLANTATIONS POUR UNE COUVERTURE OPTIMALE
La structure s’appuie sur trois agences stratégiquement réparties : Montaigu-Vendée (le site principal), La Bruffière et L’Herbergement, acquise en 2019. Si ce dernier point de vente reste de taille modeste, il dessert un bassin en plein développement et des portes ouvertes y sont prévues en 2026.
130 rue Paul Henri Goulet ZA Nord et Gare 85600 MONTAIGU-VENDÉE agence.cpmmontaigu@axa.fr 02 51 46 36 88
3 rue de la Petite Bretonnière 85530 LA BRUFFIÈRE agence.cpmlabruffiere@axa.fr 02 51 42 56 06
37 rue Mal de Lattre de Tassigny 85260 L’HERBERGEMENT agence.cpmlherbergement@axa.fr 02 51 42 82 02
Simon Boisliveau
SCULPTER L’ÂME DES CHEVAUX
Dans la campagne vendéenne, sous la verrière lumineuse de son atelier, Simon Boisliveau caresse du regard le squelette d’acier qui prend forme. Ce cheval arabe aux courbes féminines n’existe encore qu’en lignes pures mais, déjà, on devine sa noblesse. « Il est pourtant loin d’être fini », sourit l’artiste. Autour de lui, l’atelier raconte mille histoires : des moodboards où se côtoient références artistiques et photographies équestres, des dessins d’enfants épinglés entre les outils, et ces sculptures prêtes à s’élancer.
Simon Boisliveau n’est pas venu à la sculpture équestre par hasard. Originaire de Boufféré, véritable enfant du pays de Montaigu, il a grandi au sein de la compagnie familiale Les Cavaliers de l’aventure, fondée par son père, Bruno Boisliveau, après avoir monté l’école de cavalerie du Puy du Fou. vécu avec toute une ménagerie, des chevaux, des dromadaires… Tout petit, j’ai baigné dans cet univers incroyable », se souvient-il. Cavalier, voltigeur, comédien, plasticien, il a tout fait dans cette compagnie de théâtre équestre qui sillonnait la France et l’étranger.
LE GOÛT DE L’ACIER
Mais c’est le métal qui l’appelle « Je voyais les maréchaux-ferrants travailler l’acier, ça m’impressionnait. »
Il se forme très tôt à la métallerie-ferronnerie avant de rejoindre la compagnie familiale. Au sein de celle-ci, Simon est immergé dans un bouillonnement artistique : art contemporain, théâtre de rue, musique, cirque moderne… Des influences qui nourrissent sa créativité. Car les prémices du sculpteur qu’il est devenu sont déjà là. Pour preuves, un don Quichotte, clin d’œil au spectacle du paternel, et des chevaux articulés pour un manège façon Calder.
De cette vie auprès des chevaux est née une compréhension intime de ces animaux, qu’il retranscrit avec justesse dans ses sculptures. « Tous les chevaux qui naissent sous mes doigts sont inspirés de chevaux que j’ai bien connus. Je connais leurs lignes, leurs courbes et leurs mouvements dans les moindres détails. »
« Je voyais les maréchauxferrants travailler l’acier, ça m’impressionnait. »
Dans son atelier de Cugand, entouré de ses créations, de matériaux de récup et de ses souvenirs, Simon raconte sa technique dans une langue simple et sans détour. Le squelette d’abord, du rond plein d’acier qu’il cintre à la main et sur l’enclume. Puis l’entôlage, ces tôles découpées au plasma et le meulage, ces milliers de traits qui donnent vie à l’acier. Vient enfin le moment du brossage, un geste si symbolique sur ces animaux métalliques, qui donne cet éclat d’argent mat à ses œuvres. Un processus long, méticuleux, où chaque étape compte.
L’ALCHIMIE DU BRONZE
Il y a trois ans, Simon fait la rencontre de Michel Bassompierre. Ce sculpteur de renommée mondiale l’emmène découvrir les fonderies de Valence. « Quand je suis arrivé en fonderie, j’ai senti ces odeurs, j’ai vu ces gens travailler… J’ai tout de suite su que c’était pour moi. » Une révélation qui le mène de l’acier aux mystères du bronze. Son cheval « Doma », reproduction fidèle d’un pur-sang espagnol qu’il a bien connu, devient sa première pièce coulée en bronze. Une découverte fascinante qui lui ouvre de nouveaux horizons. « J’aime cette idée de travailler l’original d’acier en taille réelle, puis de la retranscrire en petits formats de bronze, comme des variations sur un thème. » Une déclinaison qui permettra aussi au public d’accéder à son oeuvre en galerie.
DE L’ATELIER
AU MONDE
Depuis, les commandes s’enchaînent, il signe un hippocampe monumental pour le restaurant Le Cayola aux Sables-d’Olonne — quatre mois de travail intense —, et les expositions qui se multiplient. En 2024, lors du festival « Arts sur Digue » à Montaigu, il remporte le prix du public. Un succès qui lui ouvre les portes d’une nouvelle exposition pour l’édition 2025 en novembre prochain, où il présentera cette fois ses bronzes inédits. Pendant la saison estivale et à l’automne, ses œuvres sont visibles au château de Rouillac dans le Pessac-Léognan et au Haras du Bois Roussel, en Normandie, pour la société Auctav spécialisée dans la vente aux enchères de chevaux de sports et d’œuvres d’art. Les œuvres de l’artiste ont de beaux jours devant elles.
Mathias PICHAUD PREND LA DIRECTION DE L’AGENCE AGTIM DE MONTAIGU
Aurélien FAUCHARD, président des agences Agtim présentes à Montaigu, La Roche-sur-Yon et Les Sablesd’Olonne, confie la direction de l’agence de Montaigu à Mathias Pichaud, fidèle collaborateur de l’entreprise, et présente sa nouvelle promotion, « La Source », un programme résidentiel d’exception au cœur de Montaigu-Vendée.
Mathias Pichaud, une trajectoire au service de l’immobilier local
Mathias Pichaud incarne parfaitement la philosophie de l’agence Agtim : privilégier la proximité et la connaissance du territoire. Arrivé il y a vingt-sept ans comme comptable de l’agence, ce professionnel de l’immobilier a gravi les échelons pour devenir aujourd’hui directeur de l’agence. Son parcours témoigne d’une évolution remarquable : de la comptabilité à la gestion de copropriété, puis directeur financier et administratif, supervisant la location et l’immobilier d’entreprise. Cette progression, Mathias Pichaud aime rappeler qu’il la doit tout d’abord à ses mentors, Benoit Fauchard et Pierre Durand, anciens dirigeants de l’agence, qui lui ont enseigné les ficelles du métier.
Aujourd’hui, sa polyvalence lui permet d’accompagner une équipe de huit professionnels maîtrisant les trois piliers de l’activité : transaction, gestion locative et syndic. Mais sa force réside aussi dans son ancrage territorial. Natif de Montaigu Vendée, formé localement, il connaît intimement le tissu économique et social de sa région : président du club de basket de Saint-Hilaire pendant sept ans, ancien conseiller municipal et intercommunal, il préside à présent l’association Les Hilairantes, festival d’humour de Saint-Hilaire-de-Loulay.
Mathias
Aurélien
La résidence « La Source », une nouvelle référence
Agtim Promotions
Sous l’impulsion de Benoit Fauchard et d’Aurélien Fauchard, Agtim Promotions dévoile son nouveau projet phare : la résidence « La Source ». Cette réalisation d’exception s’inscrit dans la continuité du succès du « 55 », précédente référence de l’agence.
Située au cœur de Montaigu, à proximité du parc Henri Joyau et de la gare, elle propose une quinzaine d’appartements du T2 au T3, complétés par quelques terrains constructibles. L’atout majeur ? Sa conception entièrement privatisée, préservée des nuisances urbaines, dans un environnement végétalisé et exclusif. Une résidence qui a tout pour séduire les investisseurs comme les futurs propriétaires-occupants.
La démarche d’Agtim Promotions reste fidèle aux valeurs défendues pour « Le 55 » : privilégier les matériaux de qualité et les finitions soignées, tout en s’appuyant sur un architecte et des artisans locaux pour garantir un suivi optimal des chantiers. Soucieuse de proposer des solutions intelligentes en matière de performance énergétique, l’agence propose aussi pour chaque logement de « La Source » un système de chauffage individualisé afin de maîtriser sa consommation.
L’atout d’Agtim Promotions réside enfin dans sa capacité à accompagner ses clients sur l’ensemble de la chaîne immobilière : conception, réalisation, commercialisation, gestion de copropriété et locative par la même équipe. Cette continuité de service représente un avantage considérable pour les acquéreurs, qui bénéficient d’un interlocuteur unique tout au long de la vie de leur bien.
LA MÊME ÉQUIPE VOUS ACCOMPAGNE
SUR L’ENSEMBLE DE LA CHAÎNE IMMOBILIÈRE : CONCEPTION, RÉALISATION, COMMERCIALISATION, GESTION DE COPROPRIÉTÉ ET LOCATIVE.
Résidence
« La Source » OUVERTURE DES RÉSERVATIONS fin 2025 pour une livraison entre fin 2026 et début 2027.
74 avenue Villebois Mareuil
85600 MONTAIGU-VENDÉE
02 51 94 01 84
www.agtim.immo
Horaires d’ouverture
Du lundi au vendredi : 9h - 12h et 14h - 18h30
Le samedi matin : 9h - 12h (en juillet et août : l’agence est fermée le samedi).
AGTIM MONTAIGU
Les Hilairantes
Le festival humoristique qui se fait un nom
Chaque année, l’espace Yprésis à Saint-Hilaire-de-Loulay devient le théâtre du rire avec le festival Les Hilairantes, organisé par l’association Heyoka. Depuis 2014, ce rendez-vous humoristique attire des artistes de la scène nationale, dans une ambiance conviviale et accessible. La 12e édition est d’ores et déjà prévue pour 2026.
Tout commence en 2009, lorsque quelques amis passionnés de culture créent l’association Heyoka, avec l’envie de faire connaître de jeunes talents sur le territoire de Montaigu-Vendée. Après quelques concerts, l’idée germe d’élargir l’offre culturelle. En 2013, l’humoriste Bérengère Krief se produit à Yprésis : c’est un vrai succès. L’année suivante, le festival Les Hilairantes est lancé, avec Baptiste Lecaplain comme premier invité.
Depuis, de nombreux noms connus se sont succédé : Arnaud Tsamere, Nora Hamzawi, Manu Payet, Nawell Madani, Kyan Khojandi, François-Xavier Demaison, pour ne citer qu’eux. « Une proposition culturelle digne des Zénith, dans notre petite commune et à des prix abordables », se réjouit Mathilde Martineau, bénévole chargée de la programmation et de la communication.
Les Hilairantes, c’est aussi une scène pour les jeunes talents. Chaque édition débute avec un comédie club qui met en lumière des humoristes prometteurs. « Sauf en 2026, car nous avons quatre artistes programmés d’entrée », précise Mathilde. Avec une salle de 500 places, le festival offre également une vraie proximité entre les artistes et le public. « C’est ce que les gens apprécient et les échanges avec les artistes sont toujours très sympa. » L’ambiance y est chaleureuse et familiale, grâce à une équipe de bénévoles soudée, présente depuis les débuts.
L’événement vit aussi grâce au soutien de nombreux partenaires, entreprises et collectivités locales, « près de 80 au total, sans qui l’aventure ne serait pas possible. Un grand merci à eux », ajoute le président de l'association, Mathias Pichaud.
En plus d’être un festival reconnu, Les Hilairantes est une belle aventure humaine. Plus de dix ans d’existence, des milliers de spectateurs et une envie intacte de faire rire et de faire vivre la culture, ici, à Saint-Hilaire-de-Loulay.
Les Hilairantes en quelques chiffres : 30 BÉNÉVOLES
10 000 SPECTATEURS
25 ARTISTES PRODUITS
11 ÉDITIONS
Les Hilairantes 2026
Le retour de Bérengère Krief
SPECTACLES
À 20 H
L’association Heyoka vient de dévoiler la programmation de sa 12e édition, avec le retour de Bérengère Krief, la première artiste à avoir fait confiance à l’association en 2013, mais aussi de Kévin Robin, vainqueur du premier tremplin « jeunes talents » du festival.
La programmation :
VENDREDI 27 FÉVRIER - JULIEN SANTINI : l’humoriste au style décalé et absurde est connu pour ses personnages maladroits et ses faux ego surdimensionnés. Il joue souvent avec l’autodérision et le non-sens, tout en gardant une sincérité touchante. Sur scène, il brouille volontairement les codes du stand-up classique avec un humour singulier, à la fois drôle et déroutant.
SAMEDI 28 FÉVRIER - BÉRENGÈRE KRIEF : l’humoriste et comédienne française a été révélée au grand public au début des années 2010 grâce à ses chroniques dans Bref sur Canal+ et ses spectacles de stand-up. Elle aborde avec humour et franchise des sujets de société, en particulier les relations amoureuses, le célibat, le féminisme ou encore les injonctions faites aux femmes. Elle séduit par son énergie sur scène, son humour à la fois accessible et engagé et sa capacité à faire rire, tout en touchant juste.
VENDREDI 6 MARS - PIERRE-EMMANUEL BARRÉ :
ESPACE YPRÉSIS
À SAINT-HILAIREDE-LOULAY
85600 MONTAIGUVENDÉE
INFOS ET RÉSERVATIONS
www.leshilairantes.fr
l’artiste est connu pour son ton acerbe, provocateur et politiquement incorrect. Ancien chroniqueur sur France Inter, il s’est fait remarquer avec ses billets d’humeur incisifs, souvent centrés sur l’actualité et les absurdités de notre société. Son humour noir, parfois grinçant, divise mais ne laisse jamais indifférent. Sur scène, il assume un personnage de « sale gosse » râleur et engagé, dénonçant les hypocrisies avec un style brut et une ironie mordante.
SAMEDI 7 MARS - KÉVIN ROBIN
: repéré à ses débuts sur YouTube avec des vidéos humoristiques décalées et des sketchs courts, souvent viraux, le jeune artiste s’est ensuite fait connaître sur scène avec un style très énergique, absurde et visuel, mêlant stand-up, personnages barrés et situations improbables. Il aime surprendre et casser les codes classiques du one-man-show. Son univers est à la fois fou, imprévisible et très accessible, avec une vraie générosité dans le jeu. Il parle de sujets du quotidien à sa manière, en poussant tout à l’extrême. Il propose une forme d’humour ultra-rhythmée, portée par une énergie communicative et un vrai sens de la scène.
Entreprise Amiaud
VOTRE PARTENAIRE EN ENERGIES POSITIVES
Depuis sa fondation en 1967 autour du métier de plombier-chauffagiste, l'entreprise Amiaud a constamment développé de nouvelles compétences en matière de génie climatique et d'énergies renouvelables. Acteur engagé, facilitateur de transitions, Amiaud œuvre à travers des gestes concrets pour offrir un avenir plus sobre, plus durable et plus responsable aux particuliers, professionnels et collectivités. À l'approche de son soixantième anniversaire, l'entreprise familiale est toujours animée par sa raison d’être : contribuer au bien-vivre de nos habitats et de leurs habitants.
65 collaborateurs, plus de 12 millions de chiffre d’affaires, 1800 m2 de bureaux et stockage, un bureau d’étude...
Dotée de solides moyens humains et techniques, Amiaud demeure une entreprise familiale, fondée par Jean Amiaud en 1967 aux Brouzils. Codirigeants actuels, ses fils Jean-Louis et Pascal perpétuent un savoir-faire historique : qualité des prestations, respect des engagements et accompagnement complet.
Particuliers :
Confort et qualité de vie dans votre habitat
Parce que chaque habitat mérite une attention sur-mesure et une expertise certifiée, Amiaud est labellisée RGE (Reconnu Garant de l’Environnement), gage de son engagement dans la réalisation de travaux énergétiques performants. Dans une logique d’accompagnement, Amiaud s'occupe également de monter votre dossier d’aide MaPrimeRénov’, et vous fait profiter d'aides financières en tant que partenaire « Économies d'énergie » d'EDF.
Des prestations pour tous les habitats
CHAUFFAGE, CLIMATISATION (Toutes énergies)
ÉLECTRICITÉ (Installation et rénovation, bornes recharge)
Afin d'enrichir son offre et ses compétences dans le domaine tertiaire, Amiaud a acquis l’entreprise Ouest Climatique, implantée à Montaigu-Vendée et spécialisée dans les fluides pour les secteurs de l’industrie et de l’agroalimentaire (tuyauterie inox).
En 2025, Amiaud, dévoile également sa nouvelle identité graphique, plus actuelle et impactante grâce à une signature forte, l'Énergie Positive, symbole de dynamisme, d’engagement durable et d’optimisme : une transformation incarnée par le nouveau site internet !
Amiaud est fière d’être membre de la coopérative d'artisans VST, qui favorise l’innovation et la collaboration. VST, c’est aussi trois showrooms pour faire les bons choix : La Ferrière, Vertou et Cholet.
Amiaud
3, La Colonne 1, 85260 Les Brouzils www.amiaud.fr
Tél. 02 51 42 91 36 contact@amiaud.fr
JEUNESSE Loisirs & SPORTS
PÉGASE
Des trophées qui font s’envoler les ambitions
À l’occasion de la toute première cérémonie des trophées Pégase, quinze jeunes de 15 à 25 ans ont été distingués en 2025 pour leur excellence, leur engagement ou leur audace entrepreneuriale.
Montaigu-Vendée célèbre celles et ceux qui incarnent l’élan et la vitalité d’une génération en mouvement. Trois catégories structurent ce palmarès : « talents et performances », « engagement » et « entrepreneuriat. » Cinq d’entre eux nous ouvrent les portes de leur univers et reviennent sur ce qui, en eux, a pris son envol.
Catégorie TALENTS ET PERFORMANCES :
Clara Douillard - SPORTIVE ACCOMPLIE
À seulement 17 ans, Clara Douillard impressionne par sa détermination et sa polyvalence. Elle vient de briller aux championnats de France Ugsel de natation en décrochant deux médailles d’or et une d’argent. Élève au lycée Jeanne d’Arc à Montaigu, Clara conjugue natation, athlétisme et réussite scolaire avec une énergie communicative.
Tu viens de remporter deux médailles d’or et une d’argent aux championnats de France Ugsel. Qu’estce que ces victoires représentent pour toi ?
« C’est une vraie reconnaissance du travail que je fournis depuis plusieurs années. C’est une grande fierté, mais aussi une source de motivation pour continuer à progresser. Ça me donne envie d’aller encore plus loin et d'en faire mon métier. J'effectue cette année un BPJEPS AAN (Activités Aquatiques et de la Natation) en alternance au sein de la piscine de Montaigu. Je sais que je suis à ma place dans le sport. »
Tu pratiques la natation depuis la 6e et tu t’es investie dans une option au lycée. Qu’est-ce qui t’a donné le goût de l’entraînement et de la compétition ?
« Mettre en lumière ces jeunes, c’est nourrir l’envie d’oser, de croire en soi, de se surpasser. Dans un monde parfois prompt au pessimisme, ils nous offrent une bouffée d’optimisme et d’énergie pour demain. »
Florent Limouzin, maire de Montaigu-Vendée.
« J’ai commencé la natation en 6e un peu par hasard, mais très vite, j’ai adoré le dépassement de soi, et la progression que je voyais après chaque séance. C'est une discipline exigeante, mais aussi très gratifiante. En intégrant l’option natation au lycée, j’ai découvert un cadre encore plus motivant, avec un vrai esprit de groupe et des objectifs clairs. La compétition s’est imposée naturellement. C’est un moyen de se mesurer à soi-même autant qu’aux autres. »
En plus de la natation, tu fais de l’athlétisme avec l’envie de viser les championnats de France. Comment arrives-tu à jongler entre ces deux disciplines, les études et tes ambitions ?
« Ce n’est pas toujours simple, mais quand on est passionnée, on trouve l’énergie. J’ai appris à bien m’organiser, à gérer mon temps entre les entraînements, les cours et les moments de récupération. J’ai aussi la chance d’être bien entourée, avec des coachs et des enseignants qui me soutiennent. Mon objectif, c’est de continuer à progresser dans les deux sports, tout en gardant mes études comme priorité. Viser les championnats de France, ça me pousse à donner le meilleur de moi-même chaque jour. »
À 20 ans, Gabriel-Tom Beauvais, passionné de saxophone, dirige depuis deux ans l’Orchestre d’harmonie du Pays de Montaigu. Entre son entrée au Pont Supérieur de Poitiers et sa formation de chef d’orchestre à Nantes, le jeune musicien ne perd pas de vue son objectif : partager, transmettre et faire vivre la musique dans toute sa dimension.
Tu diriges l’Orchestre d’harmonie du Pays de Montaigu depuis deux ans. Qu’est-ce que cette expérience t’apporte ?
« Face à un groupe composé de musiciens au niveau hétérogène, il faut trouver les bons mots et la bonne approche pour obtenir un résultat qui me satisfait. Ça m’aide à développer la pédagogie mais aussi une certaine autorité, qui n'est pas innée chez moi. Je me rend compte également de la quantité de travail que ça représente en amont (préparation des concerts, répétitions...). C’est une chose que je ne réalisais pas forcément quand j’étais à la place de musicien d'orchestre ! »
Tu viens d’intégrer le Pont Supérieur de Poitiers pour devenir professeur de saxophone. Qu’est-ce qui t’a donné envie de transmettre cette passion ?
« L'enseignant a un rôle important dans la formation de ses élèves, qui va même au-delà de son domaine d'action principale. J'ai toujours trouvé fascinant la responsabilité que l'on a dans ce métier. J'ai déjà eu l'occasion de donner des cours d'instruments. De voir l'évolution de l'élève, son intérêt pour ce que l'on peut dire et les moments de joie après la réussite d'une audition ou d'un concert, renforcent mon envie d'enseigner et de transmettre cette passion de la musique. »
Tu dis vouloir développer une direction musicale qui te ressemble. Quelles sont les valeurs ou les émotions que tu aimerais faire passer à travers ta musique ?
« J'aimerais seulement faire transparaitre à l'orchestre, mais aussi au public, que le succès d'une représentation ne passe pas seulement par la bonne réalisation des notes et des rythmes. C’est aussi par une compréhension globale et précise de ce que l'on joue. L'orchestre est un instrument à part entière où chaque musicien ou musicienne, ensemble, donne le résultat sonore et les émotions que l'on ressent. »
Catégorie ENGAGEMENT :
Louise Thibaud
JUGE ET GYMNASTE
À 17 ans, Louise Thibaud s’investit comme juge bénévole en gymnastique au sein de la Fédération sportive et culturelle française (FSCF) et de la Fédération française de gymnastique (FFG).
Licenciée à l’AJA Gym de Montaigu depuis l’âge de 3 ans, elle a participé, aux finales nationales des coupes 2025 en équipe.
Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir juge bénévole en gymnastique, en plus de ta pratique sportive ?
« Pour que le club puisse inscrire ses gymnastes en compétition, il faut des juges. En tant que gymnaste, j’ai toujours mesuré l’importance de cet engament bénévole. Lorsque j'ai eu l'âge, j'ai donc décidé de m'engager à mon tour. C'est un vrai plus dans ma pratique personnelle. Connaître les attentes techniques et artistiques m’aide à construire mes propres enchaînements. »
Comment arrives-tu à concilier ton rôle de juge, tes entraînements et les formations annuelles ?
« Les formations de juge se déroulent sur plusieurs dimanches en début de saison, les compétitions commencent fin décembre et les entraînements ont lieu la semaine, ça me permet de tout concilier. Là ou ça se complique, c'est quand il faut concourir et juger le même week-end. J’avoue que c'est fatigant. »
Comment envisages-tu l’avenir en tant que juge et en tant que gymnaste ? « Je vise le 3e niveau de juge pour officier sur toutes les compétitions nationales. En tant que gymnaste, l’objectif avec mon équipe est d'obtenir une 2e qualification aux finales des coupes nationales qui auront lieu à Montaigu-Vendée cette année, et d'accéder ensuite aux championnats de France FFG. À titre individuel, je souhaite atteindre des finales par agrès et continuer à progresser. »
Ils ont également été récompensés :
Yann Québaud, 24 ans, a parcouru 11 000 km à vélo à travers la France pour sensibiliser aux bienfaits de l’aventure sur la santé, en allant à la rencontre de personnes souffrant de douleurs chroniques. Son projet baptisé « Bédame » est à découvrir sur son site : bedame-aventure.com.
Chakib Baho a déjà publié son premier roman à seulement 18 ans, L’ascension des damnés, salué par la critique. Inspiré par les grands auteurs, ce passionné de littérature a remporté deux fois le Prix Ouest Jeunesse au Printemps du Livre de Montaigu en 2019 et 2020.
Manon Rabreau, 17 ans, pratique depuis 8 ans le tir à l’arc. Sa 9e place aux championnats de France lui a ouvert les portes du groupe régional Élite, une reconnaissance qui renforce encore son désir de viser toujours plus haut.
Batiste Mascarelle
CHEF DE FILE DE LA PROTECTION CIVILE
À 21 ans, Batiste Mascarelle est à la tête de l’antenne de la Protection civile de Montaigu. Entouré d’une équipe de 39 bénévoles, il jongle avec efficacité entre ses études d’infirmier et son engagement associatif.
Tu es responsable d’une antenne locale à seulement 21 ans. Comment as-tu pris confiance pour endosser un tel rôle à ton âge ?
« C'est le fruit d’un long parcours, commencé bien avant mon entrée à la Protection Civile. Au lycée Léonard de Vinci à Montaigu, mon engagement au Conseil de Vie Lycéenne m’a appris à défendre des idées, monter des projets et travailler en équipe. J’y ai découvert l’impact concret de l’action au service des autres, un goût qui s’est renforcé pendant la crise du Covid-19. En participant à un centre de vaccination, j’ai mesuré l’importance de la solidarité en période d’urgence. À la Protection Civile, j’ai gravi les échelons, du secrétariat aux postes de secours. Le soutien de mes prédécesseurs et des bénévoles m’a permis de trouver ma légitimité. »
Comment arrives-tu à concilier tes études d’infirmier avec tes responsabilités au sein de la Protection civile ?
« Ça demande beaucoup d’organisation et parfois des concessions. Je planifie chaque semaine en fonction des priorités et j’essaie de préserver du temps pour ma famille et mes passions, même si c’est le plus difficile. Le soutien de l’équipe est précieux : nous nous relayons et nous entraidons. Finalement, mes deux engagements se complètent. La Protection Civile renforce mes compétences d’infirmier, et ma formation nourrit mon rôle associatif. »
Qu’est-ce qui donne du sens à ton engagement bénévole au quotidien ?
« Mon engagement bénévole prend sens dans le fait d’être utile : aider sur le terrain, mais aussi accompagner les bénévoles. Je veille à ce que chacun se sente valorisé, écouté et respecté. Une équipe soudée et en confiance est essentielle pour affronter les défis avec efficacité.
Au-delà des actions ponctuelles, j’essaie d’inscrire notre travail dans la durée en améliorant nos pratiques. Ce désir d’innover et de progresser me pousse à me dépasser au quotidien. »
Catégorie ENTREPRENEURIAT :
Laura Pavageau
FUTURE CHEFFE D’ENTREPRISE
Étudiante en BTS Gestion des transports et logistique associés à l’ISLT de Montaigu, Laura, 19 ans, a récemment décroché la médaille d’or au prestigieux concours général des lycées et des métiers. Un prix qui récompense l’excellence technique, mais aussi des qualités humaines comme la rigueur et la gestion du stress. Déterminée et ambitieuse, la jeune femme envisage de diriger un jour sa propre entreprise.
Tu as obtenu la médaille d’or au concours général des lycées. Qu’est-ce que cette distinction représente pour toi ?
« C’est une grande fierté, une reconnaissance qui dépasse la simple performance scolaire, elle vient saluer des années de travail, de curiosité, et surtout une passion pour le transport. Ce concours a une histoire prestigieuse, et faire partie de ceux qui ont été distingués est un honneur. Avoir obtenu cette distinction en tant que femme dans un domaine majoritairement masculin, est aussi gratifiant. Les compétences et la rigueur n’ont pas de genre, et ça me donne envie d’encourager d’autres jeunes filles à oser s’engager dans des voies où nous sommes encore peu représentées. »
Ils ont également été récompensés :
Nicolas Gelineau, 17 ans, est portedrapeau de l’Union nationale des combattants de Saint-Hilaire-de-Loulay. Un engagement fort, qu’il partage avec son grand-père et qui traduit sa passion pour l’histoire de France et le devoir de mémoire.
Lila Seguin, 24 ans, est membre de l’association Djunbox qui organise des événements musicaux où la convivialité rime avec solidarité. Une partie des bénéfices est reversée à Cap pour la vie, une association engagée dans la lutte contre le cancer et le soutien aux malades.
Hugo Richard – 19 ans est coach de la section foot adapté du club de Montaigu. Il a participé l’Ironman des Sables-d’Olonne en juin 2025 pour financer une sortie au FC Nantes avec ses joueurs. Un défi sportif et solidaire porté par son profond attachement à l’inclusion.
Quentin Éveillé, 17 ans, jeune sapeur-pompier formé pendant 4 ans, a décroché son brevet national et s’investit activement à la caserne de Montaigu. Animé par l’envie d’aider et fidèle aux valeurs de solidarité et de discipline, il incarne l’engagement avec passion.
Ce concours met en avant des compétences techniques, mais aussi personnelles. Quelles qualités t’ont, selon toi, permis d’aller aussi loin ?
« La motivation et la rigueur ont été essentielles. Je suis revenue au lycée durant les vacances scolaires pour m'entraîner sur d'anciens sujets avec mon professeur afin de comprendre les différentes attentes du jury. La curiosité a aussi joué un rôle important. Quand un sujet me fait réfléchir, j’ai envie de mieux en saisir le sens et de l’approfondir encore plus. »
Tu envisages de devenir exploitante de transport, puis de gravir les échelons. Qu’est-ce qui te motive dans ce secteur ?
« C’est un secteur vivant, où chaque journée est différente. Il faut souvent gérer des imprévus, s’adapter rapidement, trouver des solutions, je trouve ça stimulant et très intéressant. On ne s’ennuie jamais, et il y a un vrai sens des responsabilités. C’est aussi un métier très humain. On est en contact constant avec les conducteurs, les clients... Il faut savoir écouter, communiquer, rester calme même quand tout ne se passe pas comme prévu. »
Ils ont également été récompensés :
Pierre Châtelier, 24 ans, est un jeune maraîcher engagé. Installé à Saint-Hilaire-de-Loulay, il s’est lancé dans le maraîchage aux côtés de son père, avec une spécialisation dans la culture de la tomate et du radis sous serre. Il accueille régulièrement des scolaires sur son exploitation dans le cadre des visites organisées par Terres de Montaigu.
Alexis Garrido, 19 ans, a été sacré Meilleur Apprenti de France 2024 dans la catégorie Jardins et espaces verts, grâce à une épreuve exigeante réalisée au parc de la Tête d’Or à Lyon. Une médaille d’or qui récompense sa passion, sa maîtrise technique et son goût du défi.
Quentin Rocher, 18 ans, a fondé ADPA85, une entreprise d’aide à la personne portée par des valeurs d’entraide et de solidarité. Deux ans plus tard, son engagement au service des autres incarne avec force l’esprit de proximité et de bienveillance qu’il défend.
MONTAIGU
L’aménagement intérieur réinventé, au service de l’humain
Chez Schmidt Montaigu, l’aménagement intérieur ne se résume pas à la cuisine. C’est tout un art de vivre que propose Alexandre Brunet, aux commandes de la boutique depuis 2020. Fort de 20 ans d’expérience dans le domaine, ce passionné a bâti un univers où qualité, bien-être au travail et ancrage local se conjuguent au service du client… et du territoire.
Plus qu’un cuisiniste, un expert de l’aménagement global
Oubliez les clichés : chez Schmidt Montaigu, l’univers ne se limite pas aux fourneaux. Meubles de salle de bain, dressings, rangements sur mesure… L’enseigne propose une offre complète pour repenser la maison dans ses moindres détails. Des solutions entièrement personnalisables, au millimètre près, portées par une fabrication française gage de durabilité. « Nous apportons de la sérénité au client grâce à un haut niveau de qualité et de garanties », explique Alexandre Brunet. La promesse d’un intérieur qui vous ressemble, jusque dans les finitions.
UNE RENTRÉE SOUS LE SIGNE DU RENOUVEAU
Et le magasin est monté d’un cran depuis la rentrée avec un tout nouvel agencement. Objectif ? Proposer des espaces immersifs et des ambiances inspirantes pour encore mieux projeter les visiteurs dans leur futur intérieur. Un virage stratégique qui confirme la vocation du magasin : « faire vivre une véritable expérience. Nous voulons que les clients se sentent bien, qu’ils s’approprient les lieux, qu’ils aient envie de s’inspirer », confie le dirigeant.
UNE MAISON, MAIS AUSSI UN LIEU DE VIE
Chez Schmidt Montaigu, l’aménagement intérieur est aussi synonyme de convivialité. La cuisine, véritable pièce à vivre, devient théâtre d’événements : démonstrations culinaires, animations autour du robot de cuisine, concours… « Nous voulons créer du lien, susciter de l’émotion, faire vivre la maison autrement. » Implanté à Boufféré, Alexandre Brunet revendique un ancrage local fort. Il collabore avec des artisans vendéens – granitier, électricien, carreleur, marbrier, poseur – tous basés à quelques kilomètres à la ronde. Une manière de soutenir l’économie locale tout en assurant un service de proximité irréprochable. Un second magasin a d’ailleurs vu le jour au sud de la Loire, du côté de Basse-Goulaine.
L’EXIGENCE AU SERVICE DU SENS
Chez Schmidt Montaigu, on aménage bien plus que des pièces : on façonne un quotidien harmonieux, chaleureux et durable. Une entreprise à taille humaine, portée par des valeurs fortes, qui réinvente l’aménagement intérieur en y insufflant sens, respect et passion. « Parce qu’un intérieur bien pensé, c’est un art de vivre. »
« Parce qu’un intérieur bien pensé, c’est un art de vivre. »
Ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 12h et de 14h à 19h.
Tout baigne pour eux
Chaque année, Saint-Georges-en-Fête revient avec son lot de surprises et d'animations insolites. Si son origine exacte est difficile à dater, l'événement du printemps est indéniablement inscrit dans l'ADN du territoire. « On le retrouve dans de vieux livres avec sa foire aux bœufs et sa fête foraine », explique Ludovic Jaud, président du Comité. Dans sa version actuelle, on retrouve forains et exposants, gastronomie et objets d'art ainsi que la X-Maine Race, une course d'obstacles ludique proposée depuis 2015.
!Les embarcations s’appelaient La Baignoire Du Glaude, Drakkar ou encore L'Abbé Noir. À l'origine de ces noms un peu barrés, trente barreurs avaient répondu à l'appel du Comité des Fêtes de Saint-Georges-de-Montaigu, le 27 avril dernier, pour un événement inédit : la première course de baignoires vendéenne en eau douce !
La première course de baignoires vendéenne
De 2022 à 2024, une nouvelle épreuve avait fait son apparition : la course de caisses à savon. « L'événement a fait un carton mais on voulait amener de la nouveauté », poursuit Ludovic. « Et comme on a la rivière à côté... » 2025 verra donc la naissance de la première course de baignoires vendéenne en eau douce. Car s'il existe un événement similaire à Paris ou encore à La Ciotat, la Vendée ne connaît qu'une version en eau de mer, à Fromentine.
Dénicher une baignoire, la retaper pour en assurer la flottabilité puis la décorer.
Pour les quinze binômes ayant répondu à l'appel de la rivière, les consignes étaient limpides : dénicher une baignoire, la retaper pour en assurer la flottabilité puis la décorer, tout en respectant d'indispensables critères de sécurité : casques, gilets, cordes pour récupérer une baignoire qui coulerait...
Certains finiront par ramener leur embarcation à la nage.
Objectif cloche
En ce dimanche de printemps, le soleil perce les arbres qui bordent la Petite Maine et enveloppe les spectateurs, présents par centaines lorsque le départ de la course est donné par l'arbitre, forcément affublé d'un haut rayé noir et blanc. Longueur du parcours : 100 mètres, émaillés de virages et d'obstacles. Objectif : être les premiers à sonner la cloche placée en bout de course. Dans un joyeux patchwork vestimentaire qui voit se côtoyer vrais camouflages et faux sponsors, vikings et abbés, cuistots et personnages de jeux vidéo, on pagaye, on esquive, on contourne et, même si certains finiront par ramener leur embarcation à la nage, on croise surtout les doigts pour éviter l'avarie !
Des participants pleinement engagés, une météo idéale, un public fasciné : le succès est total pour cette première édition. Et même si l'essentiel était ailleurs, c'est l'embarcation La Vegan qui est sortie vainqueur d'une course au règlement... flottant. « Disons qu'il y avait
C'est pour la bonne cause, mon canard
!
Dimanche 27 avril, toujours dans le cadre de SaintGeorges-en-Fête, 6 000 canards en plastique jaune ont glissé le long des eaux de la petite Maine dans une ambiance d'hippodrome en folie. Si l'opération a tout du délire XXL et donne lieu à la distribution de superbes lots aux participants, il est surtout question de solidarité : une partie des fonds viendra financer l'opération du cœur d'un enfant.
Qu'est-ce qui est jaune et qui n'attend pas ses poursuivants ? Réponse : le canard ayant terminé en tête de la Duck Maine Race, une course insolite de canards de bain dont la quatrième édition était à nouveau proposée par l’OGEC de l’école Saint-Martin Durivum en avril.
Pour cinq euros, les particuliers pouvaient se porter acquéreurs d'un canard en plastique jaune de trois centimètres, dans l'espoir de le voir franchir la ligne d'arrivée parmi les premiers et de remporter ainsi l'un des nombreux lots proposés, d'une valeur totale de 30 000 euros : une voiture, mise en jeu par le garage MJ Beleteau de Saint-Georges-de-Montaigu, des voyages, des places pour des concerts et événements sportifs... « Avec sept à huit mois de préparation, c'est un travail titanesque. On engage beaucoup de frais pour une école comme la nôtre », rapporte Cyrille Bossard, président de l'OGEC.
De nombreux lots proposés, d'une valeur totale de 30 000 euros.
Le long d'un parcours de 150 mètres, qu'ils mettront une vingtaine de minutes à traverser.
RÉSIDENCES SENIORS
Villas Ginkgos
DES RÉSIDENCES SENIORS
VENDÉENNES
PAS COMME LES AUTRES !
Havres d'autonomie et de joie de vivre pour les seniors, les Villas Ginkgos tiennent leur promesse depuis l'ouverture de leur première résidence vendéenne en 2013 : ne plus considérer la montée en âge comme une contrainte mais plutôt comme une réelle opportunité de s'offrir qualité de vie, plaisir et épanouissement social au quotidien.
« La plupart de nos habitants n'avaient jamais imaginé qu'à leur âge, ils vivraient dans un lieu avec une piscine » : c'est par cet heureux constat que débute le reportage vidéo présenté sur le site web des Villas Ginkgos. Des mots qui résument bien l'ambition des Vendéens Frank Jahan, gérontologue, et Matthieu Leclair lorsqu'ils ont créé leurs premières résidences seniors, voilà près de quinze ans en Vendée avant de s'étendre dans le sudouest, en Normandie et en Région Centre : garantir autonomie, sécurité, plaisir et lien social pour tous. Et dans cette optique, la fameuse piscine n'est qu'un élément parmi l'éventail de services et possibilités offerts par les résidences seniors Villas Ginkgos !
réservation ponctuelle, entre habitants ou en famille : pour le plaisir de chacun et la bonne santé de tous, les menus sont élaborés avec une nutritioniste, et des plats « fait maison » sont concoctés chaque jour par les chefs cuisiniers sur la base de produits frais et de saison. Des repas thématiques sont aussi organisés, lors desquels les habitants vont retrouver les grands classiques de la cuisine française, s'immerger dans les produits de la mer ou découvrir la gastronomie d'une région et même d’un pays du monde... Et pour un confort optimal, les repas peuvent également être emportés ou même livrés dans les appartements des habitants !
Le beau et l'agréable accessibles à tous
Destinées aux seniors de 60 ans et plus, les Villas Ginkgos comprennent des logements en location du T1 bis au T3, spacieux, faciles d'entretien, accessibles aux Personnes à Mobilité Réduite, implantées en centre-ville à proximité des commerces. Avec leur architecture moderne agrémentée de belles décorations, leurs matériaux chaleureux et couleurs stimulantes, leurs extérieurs végétalisés et aménagés avec goût, on pourrait penser que les résidences seniors seraient réservées à une certaine élite. Faux ! « Le luxe, c'est très cher. Pour autant, notre projet n'est pas luxueux », poursuit Frank Jahan. « On est parti sur l'idée du beau. Le beau, c'est ce qui donne envie de continuer à vivre. Et notre projet, c'est d'être financièrement accessible à tout le monde. »
Des services au choix selon les besoins de chacun
Les habitants payent en moyenne 1450 € par mois, hors repas et services optionnels. En fonction du niveau d'accompagnement désiré, les habitants peuvent bénéficier de services optionnels :
• le forfait « Harmonie » qui permet de profiter des déjeuners maison ou de prendre tous les repas à la carte.
• le forfait « Assistance » qui garantit une assistance 24h/24 par l’équipe qualifiée de la résidence.
• le forfait « Services à la personne », selon les besoins de chacun, éligible à la réduction ou au crédit d’impôt à 50 %.
Partager des moments de plaisir
En matière de services gratuits, le personnel s'attache à répondre aux enjeux pratiques du quotidien : commande et livraison de courses, transmissions des ordonnances et aide administrative, accompagnement à la mobilité... Ensuite, place aux plaisirs de la vie ! « Oui, il y a des pathologies, des souffrances, des fins de vie. Mais les personnes souhaitent un accompagnement humain qui va au-delà de ça », poursuit Frank Jahan. « Ce qui va rendre la vie croustillante et pétillante, c'est le petit grain de folie que l'on va apporter. Ici, chaque instant est prétexte à passer un bon moment ensemble. »
Au sein des résidences seniors Villas Ginkgos, le quotidien se construit autour de plaisirs simples, parfois oubliés par des seniors à qui l'on parle trop souvent des seuls risques, contraintes et règles d'hygiène. On va donc danser, participer à des ateliers culinaires et artistiques, se rendre à des vernissages et conférences, partager un verre au bar ou un repas au restaurant, se dégourdir les jambes en bord de mer, se dépenser en piscine, pratiquer de l’activité physique, partager des lectures à la bibliothèque ou participer à des jeux au salon...
FAMILLES, GRAND PUBLIC, ÉTUDIANTS...
« Ici, chaque instant est prétexte à passer un bon moment ensemble »
Cultiver les liens extérieurs
Au-delà des activités entre habitants, le projet des Villas Ginkgos vise à maintenir des liens forts avec l'extérieur. Cela commence par les familles, régulièrement invitées à partager des activités aux côtés de leurs aînés ou à profiter des espaces de rencontre mis à leur disposition. Le grand public peut également franchir les portes des résidences seniors, puisque le restaurant est accessible à tous. En 2025, un projet inédit a rassemblé les habitants et des étudiants en Bac Pro « Services à la personne », qui sont ainsi partis en vacances ensemble. Des rencontres interrésidences permettent enfin aux seniors de nouer de nouvelles amitiés lors de journées en bord de mer.
Une nouvelle résidence à La Roche-sur-Yon en 2027
Fortement attendue, la résidence Les Demeures Yonnaises, rue de la Marne en plein cœur de La Roche-sur-Yon, va enfin ouvrir courant 2027 avec 27 T1, 50 T2 et 39 T3 à louer.
Voyages, voyages...
L'autonomie selon les Villas Ginkgos, c'est aussi le droit de ne pas se satisfaire de la sédentarité et la possibilité de s'ouvrir à de nouveaux horizons à tout âge. Concrétisation de ce précepte, un grand voyage est proposé chaque année aux habitants. Après la Grèce, la Turquie ou encore la Crète ces dernières années, 34 habitants issus de huit résidences seniors Villas Ginkgos vont s’envoler vers la Sicile en septembre prochain.
En
journée ou à la
nuitée,
venez découvrir les Villas Ginkgos !
Pour une nuit, une journée ou une activité, tout le monde peut tester la vie en résidence seniors avant de s'engager.
Des portes ouvertes sont également organisées
2 jeudis par mois au sein des résidences seniors vendéennes.
Renseignez-vous, vous pouvez visiter la résidence seniors lors d’un rendez-vous personnalisé
Les Sables d’Olonne LES ALISIERS
53 avenue René Coty 02 51 20 19 20
St-Jean-de-Monts
LE CLOS SAINT-JEAN
6 rue de l’Avenir 02 51 58 11 00
Challans
BONNE FONTAINE
45 rue Bonne Fontaine 02 51 55 01 01
La Roche-sur-Yon
LES DEMEURES
YONNAISES
46 rue de la Marne 02 85 29 88 88
Rezé BELLES RIVES
OUVERTURE FIN 2027
1-5 rue Federico Garcia Lorca 02 40 05 00 00
Toulouse LES OLIVIERS
Quartier de la Roseraie
4 rue Ida Pfeiffer 05 32 74 82 00
Mont-de-Marsan
LES AMANDIERS
16 rue Henri Duparc 05 25 23 01 81
Rouen
LES DEMEURES
ROUENNAISES
3 rue Jacques Lelieur 02 79 49 20 75
Louviers
LES FIGUIERS
30 boulevard Jules Ferry 02 79 49 21 60
Bourges
LE BILOBA
Quartier Baudens
OUVERTURE SEPTEMBRE 2025
3A Boulevard du Maréchal Joffre 02 19 23 10 60
Bike Park MONTAIGU VENDÉE le vélo
Julien
On l'utilise pour des courses de vitesse ou pour exprimer sa créativité à travers des sauts et figures. Dans l'Hexagone, on n'a jamais autant parlé de lui que depuis le triplé français historique des JO de Paris. Lui, c'est le BMX, ce vélo à petites roues et guidon haut. Autour de ce deux-roues atypique et du VTT, le Bike Park Montaigu Vendée rassemble une cinquantaine d'adeptes de toutes générations. Portrait d'un club qui sent bon le partage et l'amour de
Pratiquant de BMX depuis ses plus jeunes années, en course de vitesse puis en freestyle (discipline consistant à effectuer sauts et figures), Julien Meyer fonde l'association Roule Ta Bosse en 2012 et encadre une quinzaine de débutants en BMX à Saint-Hilaire-de-Loulay. À Saint-Georges-de-Montaigu, des adultes plutôt experts s'adonnent au VTT au sein de la Foncky Agency. Pour faciliter les échanges entre experts et débutants, les deux structures se regroupent en 2019 et deviennent Bike Park Montaigu Vendée.
« On a désormais 55 enfants et 5 adultes : certains à l'année pour bénéficier d'un encadrement, d'autres en accès libre », confie Julien, qui prodigue lui-même les cours tandis que les parents se chargent parfois d'assurer la sécurité. « Même si on commence généralement l'apprentissage par le BMX pour sa souplesse, on peut rouler sur les mêmes terrains et effectuer les mêmes figures en VTT. »
Bike Park
''Quand on pratique le Vtt ou le BMX, il faut une bonne motricité, pour être en mesure de faire plusieurs choses en même temps. Pour le reste, c'est plutôt mental : ne pas avoir peur de tomber et ne pas avoir peur de vivre des émotions !''
Julien
Bon esprit et sens du partage
Le BMX à Montaigu, c'est aussi un spectacle annuel, en mai, « sans compétition ni catégories. On attribue des récompenses, mais plutôt pour saluer l'auteur du plus beau saut, le participant le plus âgé, celui qui a effectué le plus de route pour venir... » L'événement attire en effet des pratiquants de tout le Grand Ouest et génère ainsi des échanges riches d'enseignements pour les jeunes riders. Dans le sens inverse, ce sont parfois les membres du club qui vont voir ailleurs, pour assister à la compétition BMX Race de La Roche-sur-Yon, découvrir des Pump Tracks plus exigeants à Nantes ou Pouzauges...
Finalement, le Bike Park représente bien plus qu'un espace pratiqué simultanément par des individus ; il est un carrefour où se rencontrent les générations, les personnalités, les styles et les niveaux. À Montaigu, on peut ainsi croiser des champions et futurs champions, inscrits en sports-études à Nantes et avides de partager leur expérience auprès des plus jeunes.
Les espaces de pratique au sein du B
Le Pump Track
Paysagistes en herbe
Avant d'enfourcher leurs montures, vététistes et freestylers entretiennent leur terrain et la forêt environnante. Une sensibilisation à l'environnement local indissociable de la pratique, selon Julien : « on ne veut pas que les enfants soient de simples consommateurs de vélo. On balaye et on ratisse les pistes, on désherbe à la main... Sur la partie forêt, on a aussi planté des arbres, déplacé des cailloux pour faciliter le
Piste en terre et en graviers, utilisable toute l'année et constituée de bosses et de virages, sans obligation de saut.
L'espace Freestyle
Enchaînement de bosses, simples et doubles, permettant de décoller dans les airs.
L'espace VTT
Boucle constituée de montées et descentes, utilisée par le club et des pratiquants libres.
Bike Park
“Quand on s'envole, on se sent léger !”
Ewen avait six ans lorsqu'il a découvert le BMX freestyle. Six ans plus tard, il fait partie des jeunes pépites du club et consacre plusieurs heures par semaine à sa pratique aux côtés de son papa Emmanuel.
Ewen : Les figures qu'ils réalisaient, la hauteur qu'ils prenaient... ça m'a tout de suite plu. Quand on commence, il faut déjà réussir à se tenir debout sur le vélo, puis à passer de petites bosses avant de décoller progressivement. On apprend aussi à tomber, à faire des roulades et même à jeter le vélo sur le côté si on anticipe une chute. On a parfois envie de lâcher par peur de ne pas y arriver, mais on persévère, et quand ça passe, on est tellement fier !
Emmanuel : Au début, j'allais simplement voir les entraînements. Puis je suis devenu bénévole et membre du bureau. À force de voir les petits rouler, je m'y suis mis aussi, en VTT. En plus des entraînements, on y consacre jusqu'à cinq heures par week-end. Ewen : Quand on s'envole, on se sent léger, c'est comme un poids qui s'enlève. Je dirais même que ça détend !
Emmanuel : Il y a trois ans, on a acheté un camion pour partir en vacances du côté d’Évian et emmener les vélos. On y a trouvé un Pumptrack et depuis, pour les vacances d'été, on s'est fixé l'objectif de sillonner les routes de France pour en découvrir un maximum.
Des solutions pour s'équiper
Les parents peuvent s'appuyer sur le club pour s'équiper à moindre coût : en achetant un vélo d'occasion (pour 200 euros) ou en optant pour la location (50 euros à l'année). Le club se charge aussi d'enseigner les rudiments de l'entretien mécanique : changer un pneu, régler ses freins...
L’ART DE CONSTRUIRE DANS L’HISTOIRE
Deux maisons d’exception dans les douves de Montaigu !
Le défi semblait impossible : construire du neuf dans un écrin patrimonial, au cœur des douves historiques de Montaigu-Vendée, rue Neuve. Malgré un accès complexe par un bâtiment existant et un terrain contraint… C3P a relevé le pari.
PIERRE, TUILES, MENUISERIES NOBLES… CHAQUE DÉTAIL EST PENSÉ POUR SUBLIMER L’EXISTANT.
Construire malin dans l’ancien
Pas de place pour du neuf ? Détrompez-vous. Ces deux réalisations prouvent que les centres-bourgs historiques peuvent encore accueillir de belles constructions. L’astuce C3P : mener les deux chantiers de front, en optimisant le matériel, pour un minimum de nuisances pour les voisins. Résultat ? Des maisons qui semblent avoir toujours fait partie du paysage.
Du high-tech invisible
Le secret C3P ? Marier ces matériaux nobles avec une technologie de pointe. Par exemple, des planchers chauffants géothermiques et réversibles sous les pieds et une certification NF HQE. Ce label exigeant (peu de constructeurs l’obtiennent) passe au crible quatorze critères environnementaux : consommation d’énergie, gestion de l’eau, qualité de l’air… L’innovation se cache derrière l’authenticité.
Sur mesure, comme un costume
Mais la vraie force de C3P, c’est l’écoute. Chaque client arrive avec ses rêves, ses contraintes, son mode de vie. Cave intégrée ou hall d’entrée, vaste cuisine ouverte ou une cuisine close et intime… Loin des projets standardisés, ici, chaque maison raconte une histoire différente, celle de ses habitants.
L’expertise à tous les étages
Dirigée par Florent et Thierry Merlaud, l’entreprise familiale s’appuie sur son bureau d’études interne, ses équipes de maçons et couvreurs intégrés et un réseau sélectionné des meilleurs artisans de la région. Ferronnerie d’art pour la verrière d’atelier, menuiseries et charpentes traditionnelles… Cette alliance du savoir-faire local et de l’expertise technique fait toute la différence.
ZA Le Bordage II 49, rue Pierre Guilé - 85160 Cugand 02 51 42 12 32 www.c-3-p.fr
MONTAIGU-VENDÉE BOUFFÉRÉ VOLLEY-BALL
Jeunes, sets et match !
À l'approche de son soixantième anniversaire, le Montaigu-Vendée Boufféré Volley-Ball ne s'est jamais aussi bien porté : des équipes performantes, un encadrement de qualité pour tous les publics et une belle réputation depuis les Finales nationales organisées en mai. Retour sur l'histoire d'un club en plein boom avec Emmanuel Bonnard, président jusqu'en juin dernier.
Fondé en 1969, le club de volley de Boufféré entame une profonde transformation au début des années 2010, alors qu'il totalise une petite cinquantaine de licenciés et compte très peu de jeunes. Certains parents, joueurs pour la plupart, ambitionnent alors de le voir se développer.
« En 2016, le nombre de licenciés a doublé. Puis le Boufféré Hall Sport sort de terre : un outil de travail extraordinaire, parfaitement adapté au volley. C'est aussi l'année où
Une arrivée qui change tout
LE PREMIER ÉDUCATEUR SALARIÉ ARRIVE ALORS : HERVÉ HINCKEL, TOUJOURS PRÉSENT À CE JOUR.
« Son arrivée change tout. On a désormais la salle et un éducateur qui pratique depuis de longues années. On atteint alors notre jauge actuelle de 200 à 250 licenciés. On a aujourd'hui trois éducateurs salariés pour assurer deux entraînements par semaine pour tous les niveaux et une présence en bord de terrain lors des matches, avec l'appui des jeunes et parents bénévoles. »
EN 2019, LE CLUB DEVIENT MONTAIGU-VENDÉE BOUFFÉRÉ VOLLEY-BALL ET S'APPUIE DÉSORMAIS SUR UNE VINGTAINE DE PARTENAIRES PRIVÉS.
« Il faut également saluer le partenariat public avec la commune, qui investit beaucoup pour aider les clubs cherchant à se structurer. »
DEPUIS QUELQUES ANNÉES, LE CLUB S'ATTACHE ÉGALEMENT À TRANSMETTRE LA PASSION DU VOLLEY À TOUS LES PUBLICS.
« Un éducateur propose des sessions dans les écoles. Nous sommes aussi intervenus auprès de l'IME de Montaigu. Et depuis 2022, on propose du volley-entreprise pour une quinzaine d'employés, chaque jeudi midi. »
LA COUPE DE FRANCE, pour grandir et pour vibrer !
CHAQUE ANNÉE, LES ÉQUIPES DE JEUNES VONT UN PEU PLUS LOIN DANS LA COMPÉTITION QUI ATTISE LES PASSIONS ET DÉPLACE LES FOULES : LA COUPE DE FRANCE.
Jeunesse et mixité, L'ADN DU CLUB
En 2016, les équipes seniors masculine et féminine évoluent encore au niveau départemental. Dix ans plus tard, les filles évoluent en Pré-Nationale et les garçons en Nationale 3, soit le cinquième échelon national.
« Il y a trois ans, les seniors hommes deviennent parents et commencent à partir. On se retrouve avec une équipe très jeune. Autour du coach Khalid Satour, on va donc s'appuyer sur ces jeunes et viser le maintien chaque année. On a connu quelques frayeurs mais la saison dernière, on le décroche à quatre journées de la fin. C'est génial d'avoir vu ces jeunes gravir les échelons ensemble ! C'est devenu une vraie valeur du club, au même titre que la mixité : on compte autant de jeunes que de seniors, autant de filles que de garçons. »
Le club compte aussi deux équipes loisir ainsi qu’une équipe Garçons Région et une équipe Départementale Filles. Chez les jeunes, on peut commencer à pratiquer dès 6 ans... pour peut-être découvrir, quelques années plus tard, la ferveur de la Coupe de France.
« C'est un investissement, mais on y inscrit nos jeunes car ça tire tous les potentiels vers le haut. »
Lorsque le club se voit confier l'organisation des finales M18 Filles 2025, les joueuses du MVB sont invitées, en tant que club-hôte, à venir se frotter au gratin national.
« On a 200 personnes à loger et nourrir, des bénévoles et arbitres officiels à accueillir. Certaines joueuses sont déjà professionnelles, donc les exigences sont très élevées. Le résultat ? Un week-end génial, avec une finale d'anthologie disputée devant 1 000 spectateurs et une douzaine de caméras...
Nos filles ont été transcendées par l'ambiance, au point qu'elles ont pris un set à deux de leurs adversaires, malgré un gros écart de niveau initial. C'est une victoire pour tout le club, qui a travaillé d'arrache-pied autour d'une dizaine de bénévoles très impliqués. J'ai d'ailleurs reçu une centaine de messages d'autres clubs pour nous dire que ces finales furent les plus belles auxquelles ils ont participé ! »
Cette fin de saison 2024-2025 en apothéose vient donc mettre la touche finale à une année réussie à tous les étages du club. Quant à l'avenir proche, il prend forme dès maintenant : Emmanuelle Gandon et Eloïse Séchet ont été élues à la coprésidence en juin, tandis qu'un nouveau coach, Benjamin Ruelle, a notamment pris place sur le banc de l'équipe pré-Nationale féminine.
TÉMOIGNAGE
Nathan, 16 ans : “un des plus beaux clubs de Vendée”
Nathan Dubray, 16 ans et 1m96 sous la toise, est originaire de Montaigu et évolue dans l'équipe N3 du club. Il est aussi l'un des quatre joueurs du MVB actuellement en Pôle Espoirs Régional : à Dinard (Bretagne), il partage son temps entre études et volley dans l'espoir d'intégrer le Pôle National ou le centre de formation d'un club français.
« Le volley, c'est un sport où on est constamment dans le collectif, on doit toujours compter sur ses coéquipiers. Je suis chargé de la distribution du jeu au poste de passeur. Un poste complexe, où j'ai une fraction de seconde pour analyser les mouvements du bloc adverse et tenter de l'envoyer du mauvais côté par ma prise de décision. En 2023, j'intègre la N3, à 14 ans. J'ai trouvé ça incroyable : au début, je n'en revenais pas d'évoluer à un tel niveau, qui demande une grande maturité pour gérer son stress, ne pas tomber dans la colère et rester positif pour tirer son équipe vers le haut. Je travaille encore là-dessus. Jouer le maintien comme on l'a fait ces dernières années, parfois jusqu'à la dernière journée, c'est très formateur. Avoir tout un club qui compte sur nous pour se maintenir, c'est une pression qu'il faut savoir gérer. Quand je vois la progression de ce club que j'ai rejoint quand j'étais gamin et qui est devenu l'un des plus beaux clubs de Vendée, c'est impressionnant : peu de clubs deviennent aussi performants aussi vite ! »
MONTAIGU-VENDÉE BOUFFÉRÉ VOLLEY-BALL
22 rue du Sacré Cœur, 85600 Montaigu-Vendée www.bouffere-volleyball.fr volley.bouffere@gmail.com
BONNES Adresses LES
Habitat
Hase – Carré Dauphin
Poêles à bois & granulés
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2 rue des Cèdres
85600 Montaigu-Vendée
Tél. 02 51 48 28 38
Maisons d'en France Atlantique
Constructeur de maisons sur mesure
Depuis plus de 30 ans, Maisons d’en France Atlantique met son expertise au service de ses clients pour concevoir et construire des maisons de qualité sur mesure, adaptées à leur mode de vie, terrain et budget. Notre équipe de passionnés transforme vos envies en plans uniques, où chaque espace est pensé pour votre confort et style de vie. Pour construire en toute sérénité, nous avons imaginé le Paiement Confiance. Après un premier versement de 5 %, le solde est à régler à la livraison afin de limiter les frais pendant la construction et vous permettre de vous projeter en toute tranquillité (voir détail en agence). Pour vous sécuriser, nous allons au-delà des garanties classiques du Contrat de Construction de Maisons Individuelles. Exclusives, nos garanties complémentaires vous protègent en cas d’aléas de la vie : restitution de l’acompte, rachat, relogement…
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Montaigu-Vendée
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Tél. 02 51 09 46 06 montaigu@nestenn.com
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L’Herbergement - Cugand Les Landes-Genusson - Saint-Fulgent
Envie d’une escapade gourmande ? Poussez les portes de notre magasin de Montaigu-Vendée et laissez-vous séduire par notre large sélection de produits briochés, proposés à des prix attractifs. Notre gamme, issue de la pure tradition vendéenne, s’est enrichie au fil des années pour vous offrir des créations à la fois authentiques et pleines d’originalité. Nous vous accueillons tout au long de l’année, à l’exception des jours fériés, du lundi au mercredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 18h ; jeudi et vendredi de 8h30 à 18h ; samedi de 9h à 12h30. Fermé le dimanche.
La Bulle, c’est le spot idéal pour se retrouver au cœur de Montaigu-Vendée. Plongez dans une ambiance épicurienne où la tradition culinaire rencontre le plaisir. Un menu du midi, maison et copieux, vous est proposé, avec des produits frais pour faire le plein de saveurs. Le soir, appréciez nos planches tapas à partager inspirées des régions de France. Le tout accompagné d’une sélection de bières pression, d’une carte de vins soigneusement choisis ou de cocktails signatures.
Au restaurant La Bulle, voyagez à travers les saveurs françaises avec nos planches à partager disponibles uniquement le soir. Réservation par téléphone au 09 67 43 51 48 ou via le site internet.
La PAP, restaurant gastronomique situé à la Bernardière, allie le charme rustique d’une ancienne grange à l’élégance contemporaine d’une table bien pensée. Alexandre et Priscila Papin vous accueillent et partagent leur vision généreuse de la gastronomie, où chaque plat est une histoire de terroir et d’ailleurs. La carte, légère et inventive, puise dans les inspirations du monde, tout en rendant hommage aux produits locaux soigneusement sélectionnés.
En salle ou en terrasse aux beaux jours profitez d’une parenthèse gustative dans une atmosphère aussi conviviale que feutrée. Et pour prolonger l’expérience, un espace en mezzanine accueille séminaires et repas de groupe.
1 rue des Jardins
85610 La Bernardière
Tél. 02 51 07 47 66 www.lapaprestaurant.fr
Domaine de la Bretonnière
Restaurant Traiteur
Avec cinq salles de réception au cœur d’un parc arboré de quatre hectares, le domaine de la Bretonnière est le lieu idéal pour organiser vos évènements. Volumes, charme de la pierre, modernité des décors et environnement végétal sont autant d’atouts pour la réussite de vos mariages, banquets, repas de famille, séminaires… Toutes nos salles o rent une polyvalence pour recevoir les groupes de 10 à 300 personnes du lundi au samedi (+ quelques dimanches). Une formule « Menu du jour » est également proposée du lundi au vendredi (midi uniquement) et l’équipe traiteur organise vos réceptions d’entreprises ou privées à partir de 80 convives.
La Bretonnière
85600 Montaigu-Vendée – Bou éré
Tél. 02 51 38 01 37 contact@la-bretonniere.fr
Librairie les 3 Mondes Spécialiste de la Bande Dessinée
Située dans le centre-ville de Montaigu, la librairie propose un large choix de BD, mangas et comics pour tous les âges et tous les goûts. En panne d’une idée cadeau ? Jocelyn et Vincent vous aideront à choisir la BD qui vous convient pour faire plaisir et découvrir de nouveaux univers. Tintin, Mortelle Adèle, Batman ou Naruto, la librairie renferme un très large choix de bandes dessinées et albums jeunesse, vous y trouverez à coup sûr votre bonheur. Du conseil personnalisé, des coups de cœur chaque semaine, des animations régulières, une bonne adresse pour les amateurs du 9e art !
La Librairie vous accueille du mardi au samedi de 10h à 13h et de 14h30 à 19h. Ouverture en continu le vendredi.
Rendez-vous sur notre site et découvrez nos magazines :
• Les Herbiers
• Challans Mer & Marais
• Les Sables-d’Olonne
• Talmont-Saint-Hilaire
• Montaigu-Vendée
• La Roche-sur-Yon
Mode
Square
Mode et accessoires
La référence de l’accessoire de mode depuis presque 20 ans dans votre centreville. Square c’est l’incontournable en termes de bijoux fantaisies, maroquinerie, d’accessoires, mais également avec une gamme de prêt-à-porter. La boutique propose chaque jour à ses clients des produits de qualité et originaux, avec des gammes fortes telles que Satellite Paris, Mila Louise, Paul Marius, Cluse, Zag bijoux...
Square c’est aussi une attache particulière au service apporté à ses clients et à la sélection rigoureuse des produits proposés en boutique.
C’est l’endroit idéal pour se faire plaisir, et trouver le cadeau parfait, que ce soit au masculin comme au féminin.
Fabrik
Shopper et pause café
Depuis 15 ans, Fabrik vous propose une sélection multimarque pour femmes et hommes, à porter tous les jours, au travail, en sortie ou juste pour le plaisir. Plongez dans un univers brut et chaleureux : bar à jeans, vêtements tendance, chaussures et accessoires… avec des marques incontournables comme Benson & Cherry, Only, Morgan, Tiffosi, B-Young.
Besoin d’une pause entre deux looks ? Installez-vous au café et savourez l’instant.
35 rue Georges Clemenceau
85600 Montaigu-Vendée
Tél. 02 51 06 34 10
squareaccessoires@gmail.com
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L’Institut de Beauté Camélia c’est l’aboutissement d’une vocation pour Lisa esthéticienne depuis 2013, qui a ouvert son établissement en 2018 dans le centre de Treize-Septiers.
L’équipe (Lisa, Lucie, Dorine et Lilou apprentie depuis juillet), vous propose des prestations avec des produits bio et naturels, dans un lieu chaleureux où soins esthétiques riment avec bien-être et partage.
Chaque cabine de l’institut offre un équipement de qualité (soins experts LPG, épilation laser, Head Spa...) pour le plus grand soin de la clientèle. Des cartes cadeaux valables un an sont disponibles pour faire plaisir à vos proches.
17 rue de la Croix Rouge 85600 Treize-Septiers Tél. 02 28 19 00 75 www.institut-de-beaute-camelia.fr
Mea Scientia, centre de beauté d’excellence, propose des soins personnalisés et novateurs grâce à son approche alliant expertise, technologie et savoir-faire. Nos parcours haut de gamme mêlent la phytothérapie, l’accompagnement en nutrition et des appareils de pointe pour vous accompagner :
- en minceur : affiner, remodeler la silhouette, raffermir la peau et lutter contre la cellulite ;
- en kératopraxie : soins visage correctifs, pour les imperfections cutanées non pathologiques tels que rougeurs, points noirs, boutons, sécheresse, etc ;
- en protocoles anti-âge et bioluminescence offrant des résultats visibles et durables (visage et corps) ;
- en épilation définitive par lumière pulsée ou électrolyse, pour tous types de peaux et de poils quelque soit la zone visage ou corps (oreilles, menton, sourcils, etc.). Nous accueillons adolescents, hommes et femmes, du lundi au samedi, uniquement sur rendez-vous.
1 rue Jeanne d’Arc 85600 Montaigu-Vendée
Tél. 02 51 98 51 85 / Par sms au 06 49 54 96 24 centre@mea-scientia.fr www. mea-scientia.fr