Des serpents dans l’avion… — Performance 2010 Photo : Sébastien Bozon
Depuis début décembre, Benjamin Dufour est à Mulhouse dans le cadre des Résidences Grand Est, organisées conjointement par La Kunsthalle et les FRAC Lorraine, Franche Comté, Champagne Ardenne. En deux mois, l’artiste a rencontré la ville, ses habitants et développé quelques projets. Benjamin Dufour conduit des expériences. Il est comme un chercheur, pas fou du tout, plutôt très organisé mais qui aime laisser une part à l’inattendu au fil de ses recherches. Il écrit ses projets, les accumule et les développe, les expérimente au fil des occasions et des circonstances. J’ai l’impression en te voyant travailler que tu considères chacun de tes projets artistiques comme une expérience. Il y a quelque chose qui relève de l’exercice dans ta démarche. Comme si tes recherches, les unes après les autres te permettaient d’accéder à un niveau de connaissance, de compréhension qui sont les moteurs de ton travail actuellement. L’expérimentation comme finalité plus que comme moyen. J’attache beaucoup d’importance à l’expérience effectivement, et certaines de mes pièces sont des dispositifs incertains : le résultat n’est pas forcément défini et j’aime les surprises, voire même, les erreurs. Dans l’exécution d’un morceau de musique, le musicien peut parfois faire des fausses notes ; elles sont considérées indésirables, et pourtant, je leur trouve beaucoup de charme. Elles ouvrent sur de nouvelles perspectives. Thelonious Monk par exemple est un pianiste que je trouve très punk : il lance des notes de manière inattendue, pas forcément en rythme, il va chercher les dissonances, les frottements, etc., et ses mélodies ou ses improvisations sont d’autant plus belles. Il est aussi capable d’arrêter le concert au milieu d’un morceau pour s’engueuler avec ses musiciens. Pour ma part, j’essaie de laisser une place à la surprise, à l’expérience. L’œuvre a une certaine autonomie avec laquelle il faut jouer. Il me semble que la grande rigueur qui oriente ton travail permet assez facilement de faire un pas de côté et d’introduire une dose d’ironie dans tes projets, sans ternir la portée des propos. Au contraire cette ironie se présente comme un souffle indispensable, un nécessaire recul sur toi-même, le temps de réorganiser un projet suivant. Finalement, cet humour est une sorte de porte que tu laisses ouverte dans chacune de tes expériences et qui apparaît comme un moteur, une raison de chercher encore. J’ai l’impression d’être dans un apprentissage qui ne finira jamais. Chaque réalisation m’apporte des expériences et des connaissances ; et, plus j’apprends, plus je prends la mesure de mon ignorance. L’humour dont tu parles est pour moi une sorte d’auto-dérision. Lorsque je mets en place des dispositifs complexes, rigoureux, comme dans certaines de mes installations, je peux trouver ça facilement pompeux et ce qui sauve la pièce, c’est cette petite dose d’ironie. Un élément parfois insignifiant qui permet une échappatoire. Par exemple, lorsque j’ai mis au point l’installation Sanstitre (caisses claires), j’ai disposé des couples de haut-parleurs et de caisses claires dans un espace. Chaque haut-parleur diffusait des sons correspondant à la fréquence de résonance des caisses et celles-ci vibraient en conséquence, et produisaient ainsi de nouveaux sons. J’avais trop peur de tomber dans la fascination technique et pour contrebalancer le côté imposant du dispositif, j’ai réglé les volumes à des niveaux très faibles : la composition commençait sur des murmures abstraits, comme des petits dialogues, et j’ai très rapidement eu l’envie de faire jouer de la samba de carnaval à tous ces instruments. Le projet Des serpents dans l’avion... a ceci d’étonnant que l’inattendu et le risque sont au cœur du propos. Dans ce cas ta partition n’est pas écrite, elle est totalement aléatoire et finalement hors-contrôle. En termes de performance, on dépasse le cadre de l’improvisation. La dérision est extrême même si dans le protocole et la mise en scène de l’action, tu donnes encore l’illusion en te plaçant comme « chef d’orchestre ». Cette pièce est intrigante aux côtés d’autres projets que tu mènes simultanément et qui tendent vers davantage de sobriété et de maitrise. Je pense aux « partitions » et aux « papiers peints » qui font l’objet de grandes rigueur et précision. Les partitions sont précises car il s’agit de modéliser une expérience, un peu à la manière de Lawrence Weiner dont les expositions consistent à montrer des indices ; l’œuvre n’a pas nécessairement besoin d’être réalisée. Ainsi, les codes de représentation sont rigoureux, précis, car conceptuels ; alors que l’expérience, elle, se déroule dans les conditions du réel avec tous les risques que cela encourt. Des serpents dans l’avion... pousse ce constat à son paroxysme. Il existe une partition, ou plutôt un protocole, tout à fait sommaire, qui cette fois place l’exécutant au beau milieu d’un «gros bordel». Tenter de le maîtriser est un fantasme et la mise en place minutieuse du dispositif apparaît donc illusoire, burlesque, voire même désespérée R Benjamin Dufour / Sandrine Wymann
Performance le 27.01 à 19:30 Progression No 1, 2010 Impression sur papier, 50 x 60 cm
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Seit Anfang Dezember ist Benjamin Dufour im Rahmen der Résidences Grand Est in Mulhouse, welche zugleich von La Kunsthalle und von den FRAC (regionale Fonds zeitgenössischer Kunst) Lorraine, Franche Comté, Champagne Ardenne organisiert werden. Innerhalb von zwei Monaten ist der Künstler der Stadt und deren Einwohner begegnet und hat einige Projekte entwickelt. Benjamin Dufour macht Experimente. Er ist wie ein Forscher, gar nicht verrückt, eher sehr organisiert, aber mag es, beim Erforschen einen Teil dem Unerwarteten zu überlassen. Er schreibt seine Projekte, häuft sie an, entwickelt sie, experimentiert sie im Laufe der Gelegenheiten und Gegebenheiten. Wenn ich deine Projekte entdecke und dich arbeiten sehe, habe ich den Eindruck, dass du jedes deiner Kunstprojekte für ein Experiment hälst. In deiner Vorgehensweise gibt es etwas von einer Übung. Als ob dir deine Erforschungen, eine nach der anderen, erlauben würden, zu einem höheren Kenntnisniveau und zu einem Verständnis anlangen zu können, die zur Zeit der Antrieb deiner Arbeit wären. Das Experimentieren ist demnach vielmehr Zweck als Mittel. Ich halte in der Tat viel vom Experimentieren, und einige meiner Werke sind zweifelhafte installative Arbeiten : das Ergebnis ist nicht zwangsläufig bestimmt und ich mag Überraschungen, oder gar Fehler. In der Ausführung eines Musikstückes kann der Musiker manchmal Fehler machen ; sie werden als unerwünscht angesehen, doch reizen sie mich sehr. Sie öffnen neue Perspektiven. Thelonious Monk zum Beispiel ist ein Klavierspieler, den ich sehr punkartig finde : er stößt Noten auf sehr unerwarteten Weise aus, nicht unbedingt im Rhythmus, er sucht nach Dissonanzen, Reibungen, usw., und seine Melodien oder Improvisationen sind um so schöner. Er ist auch dazu fähig, das Konzert mitten in einem Stück aufzubrechen, um seine Musiker anzuschnauzen. Meinerseits versuche ich, einen Platz für Überraschung und Experiment zu lassen. Das Kunstwerk hat eine gewisse Selbstständigkeit, mit der man spielen muss. Mir scheint, dass die große Gründlichkeit, die deine Arbeit orientiert, dir ermöglicht, ziemlich leicht einen Schritt zur Seite zu gehen und einen Maß an Ironie in deine Projekte einzuführen, ohne die Weite deiner Absicht abzuschwächen. Im Gegenteil zeigt sich diese Ironie als ein unumgänglicher Hauch, ein notwendiger Abstand von dir selbst, die Zeit des Reorganisieren eines folgenden Projektes. Schließlich ist dieser Humor eine Art Tür, die du in deinen Experimenten offen lässt und die wie ein Motor erscheint, ein Grund, weiter zu suchen. Ich habe das Gefühl in einer Lehre zu sein, die niemals enden wird. Jede Gestaltung bringt mir Erfahrungen und Kenntnisse ; je mehr ich lerne, desto mehr werde ich mir meiner Unkenntnis bewusst. Der Humor, von dem du sprichst, ist für mich Selbstironie. Wenn ich komplexe, rigorose installative Arbeiten aufbaue, so wie in einigen meiner Rauminstallationen, kann ich das leicht pompös finden und was das Stück rettet, ist diese kleine Dosis an Ironie. Ein manchmal unbedeutendes Element, das eine Ausflucht ermöglicht. Zum Beispiel als ich die Rauminstallation Sans-titre (caisses claires) zustande gebracht habe, habe ich Lautsprecher- und kleine Trommelpaare in einen Raum gesetzt. Jeder Lautsprecher sendete Klänge, die der Resonanzfrequenz der Trommeln entsprachen, und diese konnten demnach vibrieren und erzeugten so neue Klänge. Ich hatte zu sehr Angst davor, mich in die Faszination für die Technik hineinzustürzen, also habe ich die Lautstärke sehr niedrig gestellt, um das Imponierende an der installativen Arbeit auszugleichen : Die Komposition fing mit abstraktem Gemurmel an, wie kleine Dialoge, und ich hatte schnell Lust dazu, all diese Instrumente Karnevalssamba spielen zu lassen. Das Projekt Des serpents dans l’avion... (Schlangen im Flugzeug) ist insofern erstaunlich, dass das Unerwartete und das Risiko im Herzen deiner Nachricht sind. In diesem Fall ist deine Partitur nicht geschrieben, sondern sie ist ganz zufallsbedingt und schließlich außer Kontrolle. Im Sinne von Performance gehen wir über die Improvisation hinaus. Die Ironie ist extrem, auch wenn du im Protokoll und in der Inszenierung der Handlung noch die Illusion gibst, indem du dich als « Dirigent » stellst. Dieses Werk ist fragwürdig, neben anderen Projekten, die du gleichzeitig machst und die nach mehr Schlichtheit und Beherrschung tendieren. Ich denke an die « partitions » (Partituren) und an die « papiers peints » (Tapeten), die Gegenstand einer großen Gründlichkeit und Genauigkeit bilden. Die Partituren sind genau, denn es handelt sich darum, einer Erfahrung Gestalt zu geben, ein wenig nach Art Lawrence Weiners, dessen Ausstellungen darin bestehen, Indizien zu zeigen ; das Werk muss nicht unbedingt verwirklicht werden. So sind Darstellungskodes rigoros, genau, denn konzeptuell ; während die Erfahrung unter reellen Bedingungen, mit passenden Risiken, verläuft. Des serpents dans l’avion... führt diese Feststellung zum Höhepunkt. Es gibt eine Partitur, oder vielmehr ein -kurz gefasstes- Protokoll, das diesmal den Ausführenden mitten in diesen « großen Wirrwarr » stellt. Diesen unter Kontrolle zu bringen ist Fantasie und die genaue Gestaltung der installativen Arbeit erscheint also trügerisch, burlesk, oder gar hoffnungslos.
Kunstlexique Définitions proposées par Latourex (www.latourex.com) R Abstraction Courant de l’art qui s’efforce de ne surtout jamais représenter la réalité telle qu’on peut la voir. Le contraire de ce qu’on appelle la « figuration ».
Entrée libre
R Cartel Petite notice descriptive accrochée près d’une œuvre et qui précise son titre, le nom de l’artiste, l’année de création, la ou les techniques utilisées, et l’appartenance de l’œuvre.
Heures d’ouverture Du mercredi au dimanche 12:00 — 18:00 Nocturne R Jeudis jusqu’à 20:00 Fermée R Lundis + mardis + jours fériés
R Catalogue raisonné Catalogue exhaustif ou en tout cas le plus complet possible des œuvres d’un artiste.
Visites guidées de l’exposition
R Commissaire d’exposition La personne qui choisit les artistes, les œuvres, l’accrochage. Eventuellement elle peut aussi assurer la direction du catalogue et les interviews avec les journalistes. On dit aussi parfois « curateur(e) ou -trice » ou , plus chic, « curator » à l’anglaise. (Prononcer « kioureilleteur »). R In situ Se dit d’une œuvre créée tout spécialement pour le lieu où elle est exposée. R Installation Œuvre unique constituée de différents éléments (dessins, peintures, photos, sculptures, vidéos, objets divers…) disposés dans l’espace d’exposition.
Gratuit les samedis et dimanches R 15:00 R sur rdv, réservation au 03 69 77 66 47 (2€/personne, 5 personnes minimum) Visites enfants Renseignements au 03 69 77 66 47
Direction_Sandrine Wymann Administration_Mélanie Kiry Public_Emilie George Régie_Brice Oziel Accueil_Danièle Ottenwaelter, Stéphanie Fischer Communication_Clarisse Schwarb Traduction_Julie Nimtz, Sabine Clochey
La Kunsthalle Mulhouse Centre d’art contemporain La Fonderie 16, rue de la Fonderie (F) 68093 Mulhouse Cedex Tél. +33 (0)3 69 77 66 47 kunsthalle@mulhouse.fr
Les sculptures meurent aussi
r www.kunsthallemulhouse.com
Accès AUTOROUTE r A35 et A36 Sortie Mulhouse centre, direction Université – Fonderie GARE r suivre le canal du Rhône au Rhin (Quai d’Isly) jusqu’au pont de la Fonderie, prendre la rue de la Fonderie TRAM r ligne 2, arrêt «Tour Nessel»
28.01 J 28.03.10
BUS r ligne 10, arrêt «Fonderie» Ligne 15, arrêt «Molkenrain» Ligne 20, arrêt «Manège»
R Performance Œuvre d’art éphémère qui implique en général la participation physique de l’artiste. / OTT imprimeur
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Kunstlexique von Latourex vorgeschlagene Definitionen (www.latourex.com)
Edito
R Abstraktion Kunstbewegung, die sich vor allem darum bemüht, die Realität gar nie so zu schildern, wie man sie sehen kann. Das Gegenteil von dem, was man « Gegenständlichkeit » nennt. R Bildlegende Kleine beschreibende Notize, die in die Nähe von einem Kunstwerk aufgehängt wird und den Titel, den Namen des Künstlers, das Jahr des Schaffens, die Technik/-en angibt, sowie den Eigentümer des Werkes. R Umfassende Monografie Katalog, der vollständig oder zumindest so komplett wie möglich die Werke eines Künstlers wiedergibt. R Ausstellungskurator Die Person, die die Künstler, die Werke, das Aufhängen wählt. Eventuell kann sie auch die Leitung des Katalogs und der Interviews mit den Journalisten übernehmen. R In situ Für ein Kunstwerk, das speziell für seinen Ausstellungsort beschaffen wurde. R Rauminstallation Einzelnes Kunstwerk, das aus verschiedenen Elementen -Zeichnungen, Gemälden, Fotos, Skulpturen, Videos, diversen Objekten…- besteht, die in dem Ausstellungsraum geordnet werden. R Performance Vergängliches Kunstwerk, das im allgemeinen die physische Teilnahme des Künstlers einschließt.
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Clore un cycle n’est jamais chose facile et c’est avec cet exercice que revient Lorenzo Benedetti. Les sculptures meurent aussi est la troisième exposition qu’il présente à La Kunsthalle, l’occasion pour lui d’interroger une dernière fois les oeuvres et leurs dimensions plastiques en regard de cet espace si particulier de la Fonderie. Ses trois expositions ont été un véritable éloge de la matière et de l’objet. Il nous a donné à voir des pièces représentatives de notre époque, il nous a permis de découvrir de grands artistes actuels. Ce sont de vifs remerciements qui lui sont adressés dans ces quelques lignes. Les sculptures meurent aussi se distingue comme dernier volet d’une trilogie et poursuit les questionnements qui ont jusque là guidé Lorenzo Benedetti. Il met à l’honneur une expression artistique traditionnelle qui nous est familière, la sculpture. Mais cette sculpture est celle des artistes de la scène contemporaine. Fidèle à son intérêt pour les arts à l’échelle européenne, il réunit Francesco Arena, Alex Cecchetti, Michael Dean, Ida Ekblad, Guillaume Leblon, Mandla Reuter, Oscar Tuazon, artistes norvégien, italien, allemand, français. A eux tous, ils dessinent une nouvelle génération qui tient l’art de la sculpture comme majeur et qui lui donne une acception contemporaine. Les œuvres exposées sont surprenantes, peut-être déroutantes, mais prendre le temps de les découvrir et de les comprendre, c’est ce que nous vous invitons à faire, seuls ou à l’occasion des nombreux rendez-vous fixés autour de l’exposition. Michel SAMUEL-WEIS Adjoint au maire délégué à la culture
Einen Zyklus schließen ist nie einfach, und eben mit dieser Übung kommt Lorenzo Benedetti zurück. Les sculptures meurent aussi (Die Skulpturen sterben auch) ist die dritte und letzte Ausstellung, die er in La Kunsthalle vorstellt, es ist für ihn die Gelegenheit, ein letztes Mal die Werke und ihre bildende Dimension in Bezug auf diesen so besonderen Raum der Fonderie zu hinterfragen. Diese drei Ausstellungen sind ein echtes Lob an die Materie und den Gegenstand gewesen. Er hat uns einen Einblick in representative Werke unserer Epoche gewährt und uns große aktuelle Künstler entdecken lassen. Mit diesen Linien richten wir ihm einen besonderen Dank. Les sculptures meurent aussi zeichnet sich als letzter Teil einer Trilogie aus und geht über die Fragestellungen hinaus, die Lorenzo Benedetti bisher geführt haben. Er betont hier eine traditionnelle bildende Ausdrucksweise, die uns vertraut ist : die Skulptur. Aber diese Skulptur ist die zeitgenössischer Künstler. Seinem Interesse für die Kunst auf europäischer Ebene treu, versammelt er Francesco Arena, Michael Dean, Alex Cecchetti, Ida Ekblad, Guillaume Leblon, Mandla Reuter, Oscar Tuazon, norwegische, italienische, deutsche, französische Künstler. Sie alle zeichnen eine neue Generation, die die Kunst der Skulptur für wesentlich halten und die ihr eine zeitgenössische Bedeutung geben. D i e a u s g e s t e l l t e n We r k e s i n d überraschend, vielleicht verwirrend, aber wir laden Sie ein, sich die Zeit zu nehmen, sie zu entdecken und verstehen; allein oder bei den zahlreichen Terminen, die um die Ausstellung stattfinden. Michel Samuel-Weis
ena, 2009 ancesco Ar Snow – Fr
RDV. j Vernissage
et Performance
Le 27.01 à partir de 18:30 j Exposition Du 28.01 au 28.03.2010 j Visites guidées Visites gratuites les samedis & dimanches à 15:00 Entrée libre sans inscription Autres visites sur RDV à partir de 5 personnes minimum Participation 2 € / personne, réservation au 03 69 77 66 47 j Kunstapéro En partenariat avec « Mulhouse Art Contemporain » Visite guidée, suivie d’une dégustation de vin Les 1ers jeudis du mois : Jeudi 4 février à 18:00 Jeudi 4 mars à 18:00 Participation 5€ / personne, inscription au 03 69 77 66 47 j Kunstdéjeuner Conversation à partir d’une œuvre suivie d’un déjeuner, repas tiré du sac Les 2èmes vendredis du mois : Vendredi 12 février à 12:15 Vendredi 12 mars à 12:15 Entrée libre, inscription au 03 69 77 66 47
j Kunstprojection en partenariat avec l’Espace Multimédia Gantner Une sélection de films expérimentaux issus de la collection de l’Espace Multimédia Gantner sera présentée en écho à l’exposition Jeudi 25 février à 18:30 Entrée libre sans inscription j Week-end art contemporain Samedi 20 Mars & Dimanche 21 Mars # Visites guidées gratuites le samedi & dimanche à 15:00 # Visite apéritive le dimanche à 11:00 Gratuit — inscription au 03 69 77 66 47 # Visite / atelier enfants Par les Ateliers Pédagogiques d’Arts Plastiques du service éducation de la ville Mulhouse Samedi & dimanche de 14:00 à 17:00, départ toutes les heures Entrée libre, inscription au 03 69 77 77 38 # Circuits gratuits en bus sur de nombreux lieux d’art contemporain en Alsace au départ de Mulhouse et de Strasbourg à 9:00 Renseignements et inscription : julie.morgen@culture-alsace.org
j Invitation inédite « La sculpture contemporaine » par Valérie Da Costa, historienne et critique d’art Conférence suivie d’un débat Jeudi 25 mars à 18:30 Entrée libre