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UN PRINTEMPS RICHE EN ÉVÉNEMENTS

‱ GASTRONOMIE MOBILE AVEC THE STREET FOOD COMPANY ‱ DB VIDEO : 25 ANS DE PASSION ET DE SAVOIR-FAIRE ‱ LANCEMENT DES BEA 2025 ‱ INTERVIEW JESSE DE BACKER, EVENT MANAGER CHEZ TELENET ‱ MARIAGE HAUT DE GAMME DANS LES HIGHLANDS ÉCOSSAIS ‱ EN ROUTE POUR LE COSTA RICA AVEC WAY2EVENTS

Bureau de dépÎt: Gand X Agrément: P904117

EDITO GUEST COLUMN

La pĂ©riode est compliquĂ©e pour le secteur Ă©vĂ©nementiel, ce n’est pas nouveau. Ces derniĂšres annĂ©es, les professionnels de l’évĂ©nementiel ont pu se rendre compte de la vulnĂ©rabilitĂ© de notre secteur, souvent depuis le premier rang. C’est ce qui a donnĂ© l’impulsion Ă  l’Event Confederation, créée en pleine crise du coronavirus pour dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts de tous les professionnels Ă©vĂ©nementiels de notre pays. Mais aussi pour informer, notamment des Ă©volutions du secteur.

Les rĂ©sultats de notre derniĂšre enquĂȘte, par exemple, rĂ©vĂšlent une baisse de confiance au cours du dernier trimestre. Et pas seulement parmi les visiteurs. Les trois quarts des organisateurs et fournisseurs Ă©vĂ©nementiels estiment que le climat Ă©conomique va certainement se dĂ©tĂ©riorer au cours de l’annĂ©e Ă  venir. Et cela a dĂ©jĂ  un impact significatif sur le secteur de l’évĂ©nementiel et sur notre comportement.

Mais plutĂŽt que d’entrer dans une dynamique d’économie et de lever le pied – en termes d’investissement et d’expansion, c’est justement pendant les « pĂ©riodes difficiles » qu’il est important de mettre les bouchĂ©es doubles et d’aller de l’avant, afin d’étendre votre rĂ©seau et votre champ d’action. D’oser sauter le pas. En effet, le maintien et la croissance de notre secteur Ă©vĂ©nementiel sont bien trop importants.

Les Ă©vĂ©nements jouent un rĂŽle majeur pour notre Ă©conomie et notre sociĂ©tĂ©. Ils ont le pouvoir de rassembler et de faire vivre des expĂ©riences. Ils apportent une bouffĂ©e d’oxygĂšne dans une sociĂ©tĂ© de plus en plus individualiste. Les Ă©vĂ©nements sont indispensables Ă  la cohĂ©sion et mĂȘme au bien-ĂȘtre mental de nos jeunes. Les Ă©vĂ©nements ont une pertinence sociale et un impact non nĂ©gligeable. Cela dĂ©jĂ  Ă©tĂ© maintes fois dĂ©montrĂ©.

ArrĂȘtons d’ĂȘtre (trop) modestes. Le secteur belge de l’évĂ©nementiel figure parmi le top mondial et est internationalement rĂ©putĂ© pour, entre autres, son expertise technique, son innovation, son design, ses festivals et mĂȘme ses Ă©vĂ©nements sportifs. Nous devons oser parler davantage des rĂ©alisations de notre secteur et de l’importance des Ă©vĂ©nements, en Belgique et Ă  l’étranger, surtout par les temps qui courent. Et nous devons le faire ensemble, tous unis, en y mettant la force et la conviction nĂ©cessaire.

CHRISTINE MERCKX - EVENT CONFEDERATION MANAGER

SOMMAIRE

«JE VEUX CONTINUER À APPRENDRE ET FAIRE TOUJOURS MIEUX»

D’ASSISTANT PERSONNEL À EVENT MANAGER

COMMENT ÊTES-VOUS ARRIVÉ DANS L’ÉVÉNEMENTIEL ?

Depuis 12 ans qu’il travaille au sein du groupe Telenet, la passion de Jesse De Backer pour les Ă©vĂ©nements n’a cessĂ© de grandir. Jusqu’à l’aboutissement il y a deux ans : la fonction de Corporate Event Manager, un rĂŽle qui lui va comme un gant. Avec l’évĂ©nement ONSTAGE – rĂ©alisĂ© par Sylvester – il a mĂȘme dĂ©crochĂ© un BEA Award en dĂ©cembre dernier. Experience Magazine s’est entretenu avec Jesse pour Ă©voquer sa carriĂšre, sa façon de travailler et sa vision de l’avenir de l’évĂ©nementiel. et c’est pourquoi, au bout de cinq ans, j’ai acceptĂ© un poste de Brand Activation Manager, avec, par exemple, des activations dans le cadre de festivals, ce qui est trĂšs proche de l’évĂ©nementiel. De plus, le volet brand activation et les Ă©vĂ©nements corporate Ă©taient regroupĂ©s au sein d’une mĂȘme Ă©quipe. Et il m’arrivait parfois de donner un coup de main sur un Ă©vĂ©nement. Chaque fois, c’était un plaisir. Lorsque l’opportunitĂ© de passer Corporate Event Manager s’est prĂ©sentĂ©e il y a deux ans, je l’ai saisie.»

Jesse De Backer : «Pour ĂȘtre honnĂȘte, je n’envisageais pas Ă  l’origine de faire carriĂšre dans l’évĂ©nementiel. J’ai Ă©tudiĂ© la gestion de bureau et j’ai effectuĂ© mon stage au sein du groupe Telenet. Le groupe Telenet (connu pour les marques Telenet, BASE et TADAAM) Ă©tant une entreprise qui offre des opportunitĂ©s, j’ai pu Ă©voluer aprĂšs mon stage. J’ai d’abord travaillĂ© pendant cinq ans comme assistant personnel du Senior VP Strategy, IR (investor relations) & Corporate Communications. C’est ainsi que j’ai eu l’occasion d’organiser des Ă©vĂ©nements Ă  petite Ă©chelle, tels que des afterwork drinks et des teambuildings. Ça m’a toujours beaucoup plu. D’autant plus que je pouvais y mettre Ă  profit ma crĂ©ativitĂ©. Mais je m’intĂ©ressais aussi beaucoup au marketing,

EN QUOI CONSISTE VOTRE FONCTION ?

«Je suis responsable des Ă©vĂ©nements corporate, avec les parties prenantes de l’entreprise. Les fĂȘtes du personnel, par exemple, ou les Ă©vĂ©nements internes annuels, tels que Mix and Mingle. Le nombre d’évĂ©nements peut varier considĂ©rablement d’une annĂ©e Ă  l’autre. Mais nous en avons une sĂ©rie qui reviennent tous

les ans ou mĂȘme tous les six mois. Nos Ă©vĂ©nements ont pour ambition de renforcer les relations entre les employĂ©s et le lien avec le groupe Telenet. Nous voulons Ă©galement renforcer les relations avec les partenaires externes. Enfin, nous utilisons aussi les Ă©vĂ©nements pour mettre en lumiĂšre et transmettre certains messages commerciaux.»

«En marge de cela, mon job implique une composante stratĂ©gique, qui consiste Ă  façonner l’orientation que le groupe Telenet souhaite donner aux Ă©vĂ©nements corporate. Je dois donc m’assurer que la vision soit bien claire, et se traduise par une politique concrĂšte. Je veille aussi Ă  ce que d’autres personnes chargĂ©es d’organiser les Ă©vĂ©nements internes de plus petite envergure aient tout le soutien nĂ©cessaire.»

COCRÉATION

CES ÉVÉNEMENTS SONT-ILS GÉRÉS EN INTERNE OU LES CONFIEZ-VOUS À UNE AGENCE ÉVÉNEMENTIELLE ?

«Nous travaillons actuellement avec trois agences Ă©vĂ©nementielles : Fast Forward Events, MediaMixer et Sylvester TV Video Events. Nous avons sĂ©lectionnĂ© ce groupe il y a trois ans. Nous travaillons sur base de pitches. En fonction du budget et de la nature de l’évĂ©nement, elles nous soumettent une proposition. Nous mettons ensuite en place une cocrĂ©ation avec l’agence sĂ©lectionnĂ©e. Si je devais tout faire moi-mĂȘme de A Ă  Z, ce serait trĂšs compliquĂ©.»

QUELLES QUALITÉS APPRÉCIEZ -VOUS CHEZ UNE AGENCE ?

«J’essaie toujours de rester fidĂšle au principe « le budget, c’est le budget ». J’ai toujours beaucoup d’admiration pour les personnes capables d’exploiter un budget avec crĂ©ativitĂ©. Vous pouvez partir sur l’idĂ©e d’un grand spectacle audiovisuel, bien sĂ»r, mais cela a un prix. Certains parviennent nĂ©anmoins Ă  Ă©laborer un concept solide en gĂ©rant astucieusement leur budget. En imaginant des idĂ©es sympas qui ne demandent pas un budget faramineux. Apprendre Ă  rentabiliser chaque

« J’AI TOUJOURS BEAUCOUP D’ADMIRATION POUR LES

PERSONNES CAPABLES D’EXPLOITER UN BUDGET AVEC CRÉATIVITÉ. EN IMAGINANT DES IDÉES SYMPAS QUI NE DEMANDENT PAS UN BUDGET FARAMINEUX. »

euro et voir si nous pouvons naviguer notre budget avec créativité pour aboutir à un événement efficace. Je trouve ça passionnant.»

TOUJOURS EN QUÊTE D’AMÉLIORATION

DE

QUEL ÉVÉNEMENT ÊTESVOUS LE PLUS SATISFAIT ET POURQUOI ?

«Je suis particuliĂšrement fier de l’évĂ©nement ONSTAGE, rĂ©alisĂ© l’annĂ©e derniĂšre, et qui nous a valu un BEA d’Or. C’était une belle rĂ©compense. C’était aussi la premiĂšre fois que je participais Ă  notre plus grand Ă©vĂ©nement. J’ai Ă©normĂ©ment appris. J’ai prĂ©sentĂ© mon approche et ma structure, mais chaque Ă©vĂ©nement a aussi sa particularitĂ© et nĂ©cessite une approche unique. Il a donc fallu explorer un peu toutes les possibilitĂ©s au sein d’une si grande organisation avec diffĂ©rentes entitĂ©s. Cela n’a pas Ă©tĂ© simple de concilier tout cela en une communication unifiĂ©e. Mais je pense que nous avons bien rĂ©ussi. Ça a Ă©tĂ© un baptĂȘme du feu, en quelque sorte. Complexe, mais trĂšs enrichissant. Le feedback interne de nos collaborateurs a Ă©tĂ© trĂšs chouette. Sans oublier la reconnaissance du jury des BEA, trĂšs apprĂ©ciable aussi.»

«Mais je pense aussi Ă  un autre Ă©vĂ©nement. Je suis quelqu’un qui aime s’amĂ©liorer constamment. La premiĂšre fois que j’organise un Ă©vĂ©nement, j’apprends principalement, mais dĂšs la seconde fois, j’ai envie de faire mieux. Le premier Ă©vĂ©nement que j’ai organisĂ© pour la deuxiĂšme fois, c’est la derniĂšre Ă©dition de la Féérie d’hiver. C’est un Ă©vĂ©nement de trois jours pour tous nos collaborateurs, un peu dans l’ambiance d’un marchĂ© de NoĂ«l : des chalets, de bonnes choses Ă  manger, Ă  boire... C’est un Ă©vĂ©nement important pour les collĂšgues Ă  cette pĂ©riode, et ils l’apprĂ©cient beaucoup. Ceci dit, ils savent aussi se faire clairement entendre s’ils n’aiment pas quelque chose. Cependant, nous n’avons reçu que des rĂ©actions posi-

tives lors de la derniĂšre Ă©dition. Beaucoup l’ont mĂȘme qualifiĂ©e de meilleure Ă©dition de tous les temps. C’est donc une grande satisfaction pour moi, et un excellent souvenir.»

ÉMERVEILLEMENT VISUEL

QUELS SONT SELON VOUS LES ATOUTS DE LA COMMUNICATION LIVE PAR RAPPORT À D’AUTRES OUTILS DE COMMUNICATION ?

«Tout d’abord, il y a l’interaction que vous pouvez gĂ©nĂ©rer. Avec un Ă©vĂ©nement hybride ou en ligne, il est plus difficile de maintenir l’attention. Quand vous avez quelqu’un en direct dans la salle, vous pouvez mieux jouer sur les Ă©motions. Je crois rĂ©ellement Ă  la force de l’émerveillement visuel pour impliquer un public dans le narratif d’un Ă©vĂ©nement. C’est beaucoup plus difficile Ă  accomplir via un Ă©cran. À cause de la distance physique.»

QUELLES SONT SELON VOUS LES QUALITÉS ESSENTIELLES D’UN

CORPORATE EVENT MANAGER ?

«Vous devez exceller dans la gestion de projet. Chaque Ă©vĂ©nement un puzzle organisationnel. Ce sont des projets sur lesquels vous travaillez souvent plusieurs mois, il est donc crucial de garder une bonne vue d’ensemble. Vous devez pouvoir prĂ©senter une histoire convaincante pour que les parties prenantes internes vous suivent. Et il est essentiel d’entretenir de bonnes relations avec les agences Ă©vĂ©nementielles, Ă©videmment. Il est bon d’avoir un regard pratique sur les choses, aussi. J’essaie toujours de me mettre Ă  la place des participants. Comment vont-ils rejoindre le parking ? Comment va se passer le check-in ? Un flux d’informations et de mouvements que nous utilisons pour amĂ©liorer constamment l’expĂ©rience.»

LE POTENTIEL DE L’IA

COMMENT VOYEZ-VOUS L’AVENIR DES ÉVÉNEMENTS ?

«Pendant la pandémie, les événements

« JE CROIS RÉELLEMENT À LA FORCE DE L’ÉMERVEILLEMENT VISUEL POUR IMPLIQUER UN PUBLIC DANS LE NARRATIF D’UN ÉVÉNEMENT. C’EST

BEAUCOUP PLUS DIFFICILE À ACCOMPLIR

VIA UN ÉCRAN. »

hybrides ont vraiment dĂ©collĂ©. Nous reprenons un peu nos distances par rapport Ă  cela maintenant. Cependant, le groupe Telenet croit rĂ©ellement Ă  la force de la technologie. Je pense que l’IA, notamment, pourrait jouer un rĂŽle considĂ©rable dans les Ă©vĂ©nements corporate. Je ne sais pas encore dans quel sens exactement mais il y a clairement du potentiel, et je suis curieux de voir quel rĂŽle l’IA jouera. Je pense par exemple Ă  la traduction live. Ce sont des aspects que nous explorons rĂ©solument. Et que nous appliquons dĂ©jĂ . L’annĂ©e derniĂšre, par exemple, nous avons rĂ©alisĂ© un Ă©vĂ©nement sans hĂŽte physique, remplacĂ© par une IA.»

«Comme je le disais, je crois vraiment en un concept fort soutenu par un Ă©merveillement visuel. Je pense par exemple aux concerts d’Anyma dans la SphĂšre Ă  Las Vegas. CrĂ©er un lien Ă©motionnel avec le public avec un concept visuel spectaculaire. Il faut Ă©videmment que cela soit plus qu’un simple spectacle visuel, sans rien derriĂšre. Mais si le visuel est Ă©tayĂ© par un concept solide, vous pouvez vraiment crĂ©er quelque chose de merveilleux.»

ET QUEL RÔLE JOUE LA DURABILITÉ AU SEIN DES ÉVÉNEMENTS DU GROUPE TELENET ?

«Un rĂŽle essentiel. Malheureusement, de nombreux Ă©vĂ©nements ne sont pas durables, c’est une rĂ©alitĂ©. Rien qu’à cause de la quantitĂ© de transports qu’ils impliquent. C’est vraiment un point sur lequel nous voulons nous concentrer, mais pour lequel

nous n’avons pas encore de solution toute prĂȘte. Lors de la derniĂšre Féérie d’hiver, nous avons fait un bilan carbone dĂ©taillĂ© et examinĂ© les points de diminution potentiels, par exemple en proposant des gaufres vĂ©ganes. Cela nous a permis d’éviter 40 Ă  50 kg d’émissions de CO2. Nous avons aussi fait le choix d’un gĂ©nĂ©rateur au biodiesel au lieu d’un gĂ©nĂ©rateur classique, et des arbres de NoĂ«l qui sont rĂ©utilisĂ©s sur d’autres Ă©vĂ©nements ou replantĂ©s. De petits ajustements que nous essayons de transposer en mesures permanentes et d’intĂ©grer dans une politique. Mais c’est un travail de longue haleine.»

NEW BALLS PLEASE EMMÈNE

ASICS

AUX STATES POUR UNE EXPÉRIENCE SOUS LE SIGNE DU TENNIS À INDIAN WELLS

Lorsqu’un partenaire Ă©vĂ©nementiel belge et une marque sportive internationale unissent leurs forces, cela peut faire des Ă©tincelles, surtout lorsque cette collaboration se dĂ©roule sous le soleil de Palm Springs. New Balls Please a organisĂ© un Ă©vĂ©nement pour ASICS sur le sol amĂ©ricain – une grande premiĂšre. Le rĂ©sultat ? Deux jours mĂ©morables sous le signe du tennis et de l’expĂ©rience de marque.

ASICS X NEW BALLS PLEASE : UN MATCH HISTORIQUE

Depuis quatre ans dĂ©jĂ , ASICS est un client fidĂšle de New Balls Please, avec de nombreux Ă©vĂ©nements conjoints au compteur. Pourtant, cette Ă©dition constituait une primeur : c’était la premiĂšre fois que les deux partenaires collaboraient sur une activation aux États-Unis. L’occasion ? Le prestigieux BNP Paribas Open d’Indian Wells, un incontournable du calendrier du tennis international.

L’objectif Ă©tait clair : rĂ©unir les mĂ©dias, les influenceurs et les comptes clĂ©s de la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine ASICS avant le tournoi, tout en mettant en avant la collection de tennis de la marque. «Nous Ă©tions trĂšs enthousiastes Ă  l’idĂ©e de partager notre savoir-faire avec un public amĂ©ricain, tout en contribuant au positionnement de la marque ASICS aux États-Unis», a dĂ©clarĂ© New Balls Please.

EXPÉRIENCE DE LA TÊTE AUX PIEDS

Les 3 et 4 mars, New Balls Please et ASICS ont accueilli une soixantaine d’invitĂ©s dans une villa dĂ©corĂ©e aux couleurs la marque ASICS. Au-delĂ  de l’hĂ©bergement, le lieu servait Ă©galement d’espace de dĂ©tente et de plateforme de contenu dans la lignĂ©e de la philosophie ASICS « Sound Mind, Sound Body ». Imaginez : des chaises longues baignĂ©es de soleil, une atmos-

phĂšre dĂ©tendue et de l’espace pour se connecter.

Le premier jour, les invitĂ©s ont Ă©tĂ© accueillis avec un dĂźner qui visait Ă  leur faire connaĂźtre la marque. Le jour suivant Ă©tait consacrĂ© Ă  l’expĂ©rience ASICS proprement dite : Ă©quipĂ©s d’un kit de bienvenue Ă©laborĂ© avec soin, les participants se sont rendus sur le court de tennis pour tester les toutes derniĂšres chaussures et tenues de la marque. AccompagnĂ©s par une Ă©quipe de contenu professionnelle et des mannequins, ils ont eu l’occasion de crĂ©er du contenu les aidant Ă  partager leur expĂ©rience dans une dĂ©marche authentique.

Cette activitĂ© a Ă©galement permis de s’arrĂȘter plus en dĂ©tail sur l’histoire derriĂšre la marque. Lors d’une session sĂ©parĂ©e, les participants ont pu se familiariser avec la

philosophie de la marque, qui considĂšre l’exercice comme bĂ©nĂ©fique Ă  la fois pour le corps et l’esprit. Pour conclure, tous les participants Ă©taient conviĂ©s au tournoi BNP Paribas Open, oĂč ils ont pu assister aux matchs des athlĂštes ASICS.

RASSEMBLER LES

CULTURES, PRÉSERVER

LA QUALITÉ

L’organisation d’un Ă©vĂ©nement Ă  l’autre bout du monde exige plus qu’une planification rigoureuse. «Nous connaissons ASICS sur le bout des doigts, mais chaque culture a sa propre dynamique. Le plus grand dĂ©fi Ă©tait d’adapter notre approche Ă  un public amĂ©ricain, sans sacrifier la qualitĂ© Ă  laquelle les gens sont habituĂ©s chez nous», explique Justine PĂŽtel, Senior Corporate & International Event Expert chez New Balls Please.

Pour mener Ă  bien le projet, l’agence a donc dĂ©cidĂ© de travailler avec des fournisseurs locaux. Une approche qui a permis de rĂ©duire l’empreinte Ă©cologique, mais aussi de faire la diffĂ©rence dans chaque contexte. Cependant, c’est une dĂ©marche qui exige aussi confiance et flexibilitĂ©, car il s’agit souvent d’une premiĂšre collaboration. Mais lĂ  encore, l’équipe a rĂ©ussi Ă  rester fidĂšle Ă  l’ADN typique de New Balls Please, mĂȘme Ă  l’autre bout du monde.

L’équipe s’est rendue en Californie une semaine Ă  l’avance et y est restĂ©e 10 jours au total. L’agence a optimisĂ© son temps sur place pour coordonner l’ensemble Ă  la perfection : du branding Ă  la dĂ©coration, en passant par le catering, les inscriptions et la logistique. Chaque dĂ©tail a ainsi pu ĂȘtre peaufinĂ© et contrĂŽlĂ© directement sur place.

DES GROSSES BALLES AUX GRANDS PROJETS

Cette nouvelle collaboration entre ASICS et New Balls Please a Ă©tĂ© une fois de plus couronnĂ©e de succĂšs. «Nous avons dĂ©montrĂ© que nous sommes capables de fournir une qualitĂ© internationale, mĂȘme sur un marchĂ© oĂč l’on ne dispose pas de tous nos outils habituels. C’est notre force.» Et les grosses balles ASICS ? C’était Ă©videmment un Ă©lĂ©ment visuel incontournable. «It’s all about balls», avance l’agence avec un clin d’Ɠil. «Et entre ASICS et New Balls Please, ça matche.»

La confiance Ă©tait telle qu’une suite au projet a directement Ă©tĂ© lancĂ©e : un concept ASICS pop-up sur le thĂšme « Move Her Mind » Ă  Washington D.C., destinĂ© aux femmes photographes et crĂ©atrices travaillant pour ASICS. LĂ  aussi, New Balls Please Ă©tait responsable du concept et du branding.

DITES-LE AVEC DES FLEURS : EUROVEILING FÊTE SON ANNIVERSAIRE

AVEC JADA EVENTS

En mars, Euroveiling, est la plus ancienne et importante criĂ©e aux fleurs et plantes de Belgique organisĂ©e en coopĂ©rative, a fĂȘtĂ© en grande pompe son 125Ăšme anniversaire lors d’un Ă©vĂ©nement mĂ©morable. 750 invitĂ©s se sont rassemblĂ©s dans la halle des criĂ©es de Vilvoorde pour cĂ©lĂ©brer le passĂ© de l’entreprise mais aussi pour regarder avec confiance vers l’avenir. Pour souligner ce cap important, JADA events avait mis sur pied une expĂ©rience complĂšte, mĂȘlant spectacle, crĂ©ativitĂ© et beautĂ© florale.

FLEURS ET ANIMATIONS – UNE TRANSFORMATION COMPLÈTE

Pour cette occasion festive, la halle familiĂšre avait Ă©tĂ© totalement mĂ©tamorphosĂ©e en un dĂ©cor Ă©lĂ©gant, presque féérique, oĂč l’identitĂ© d’Euroveiling Ă©manait de chaque dĂ©tail. DĂšs l’entrĂ©e, les invitĂ©s Ă©taient immergĂ©s dans un univers floral. À leur arrivĂ©e, ils Ă©taient accueillis par une impressionnante fontaine, richement dĂ©corĂ©e de compositions florales fournies par les fleuristes de la communautĂ© d’Euroveiling. Ensuite, ils traversaient un tunnel floral enchanteur, Ă©quipĂ© d’un sol interactif innovant – de nombreux visiteurs ont d’ailleurs sortis leur smartphone pour prendre des photos.

Une surprise de taille attendait ensuite les visiteurs dans la grande salle : une spectaculaire cascade de 5 mÚtres coulant sous un pont. Une décoration particuliÚrement soignée donc,

et pas seulement Ă  hauteur d’yeux : le plafond participait Ă©galement Ă  l’expĂ©rience. Des poutrelles habillĂ©es de dĂ©corations florales Ă©taient suspendues au-dessus du public telles des nuages vivants, renforçant encore le sentiment d’immersion totale. L’évĂ©nement Ă©tait clairement centrĂ© sur le ressenti, avec les fleurs en piĂšce maĂźtresse incontestĂ©e.

ODE AU PASSÉ

Au cƓur de l’évĂ©nement, une exposition minutieusement Ă©laborĂ©e mettait en valeur les prĂ©cieuses archives d’Euroveiling. Les visiteurs pouvaient parcourir 125 ans d’histoire, retracĂ©s Ă  travers des photos, des documents et des souvenirs et suscitant un sentiment d’appartenance, de nostalgie et surtout de fiertĂ© — bref, des Ă©motions parfaitement en phase avec cette occasion particuliĂšre.

GARDEN OF CELEBRATION : PARADIS GASTRONOMIQUE

JADA events avait Ă©galement créé un «Garden of Celebration», une magnifique oasis gustative, pour un moment de dĂ©tente agrĂ©able. Dans cet espace magnifiquement dĂ©corĂ©, les papilles des invitĂ©s Ă©taient mises Ă  l’honneur par J&M Catering, reprenant lui aussi le concept floral dans ses plats. Le buffet proposait une

sĂ©lection variĂ©e de plats et de desserts raffinĂ©s, avec en point d’orgue un imposant gĂąteau d’anniversaire. Chaque plat Ă©tait prĂ©sentĂ© comme une composition florale en soi — un rĂ©gal pour le palais et pour les yeux.

DIVERTISSEMENT ET AMBIANCE MUSICALE

Au-delĂ  du plaisir des yeux et des papilles, l’évĂ©nement proposait aussi un solide programme de divertissement et d’interaction. Deux dĂŽmes Ă©taient Ă  la disposition des invitĂ©s : l’un Ă©tait amĂ©nagĂ© en photomaton, dĂ©corĂ© d’une balançoire romantique entiĂšrement ornĂ©e de fleurs, et l’autre servait de bar Ă  cocktails et Ă  mocktails. Ces Ă©lĂ©ments accrocheurs invitaient Ă  l’exploration et renforçaient l’atmosphĂšre festive et dĂ©contractĂ©e.

L’encadrement musical de la soirĂ©e Ă©tait assurĂ© par Radio Tour, suivi d’une prestation Ă©nergique des Soulbrothers. DJ Sydney a repris le flambeau pour la fin de la soirĂ©e, rassemblant une foule enthousiaste sur la piste de danse jusqu’aux petites heures.

COLLABORATION ET SAVOIR-FAIRE

Pour la rĂ©alisation de cet Ă©vĂ©nement grandiose, JADA events a travaillĂ© en Ă©troite collaboration avec plusieurs partenaires. J&M Catering a pris en charge le volet culinaire. Les fleuristes d’Euroveiling ont collaborĂ© aux installations florales et Plantrent a Ă©galement participĂ© Ă  la dĂ©coration haute en couleur des lieux.

7theaven a fourni la cascade centrale et ASD Sound & Light Service a signĂ© un systĂšme d’éclairage et de sonorisation impeccable. CĂŽte Ă  cĂŽte, ces partenaires ont créé un ensemble harmonieux tĂ©moignant d’un mĂ©lange parfait de savoir-faire et de crĂ©ativitĂ©.

On peut donc vraiment dire qu’Euroveiling a cĂ©lĂ©brĂ© ses 125 ans avec style, et avec un Ă©vĂ©nement pertinent parfaitement rĂ©ussi. Comme lors du prĂ©cĂ©dent anniversaire il y a cinq ans, JADA events a su viser juste et susciter l’émotion. Le client s’est dit extrĂȘmement satisfait au terme du projet, ce qui confirme que l’expĂ©rience, l’expertise et les partenariats solides sont la clĂ© d’un Ă©vĂ©nement rĂ©ussi.

UN MARIAGE HAUT DE GAMME

En dĂ©cembre 2023, l’agence Ă©vĂ©nementielle meetmarcel a reçu une demande particuliĂšre : organiser exactement un an plus tard un mariage exclusif dans les Highlands en Écosse. Un dĂ©cor brut, romantique et complexe, oĂč il fallait allier authenticitĂ© et mode. Le rĂ©sultat ? Un exploit logistique, un exemple Ă©difiant de crĂ©ativitĂ© et une expĂ©rience que les 230 invitĂ©s ne sont pas prĂšs d’oublier.

Organiser un Ă©vĂ©nement au cƓur des Highlands Ă©cossais, loin de toutes commoditĂ©s, n’est pas Ă©vident. Pourtant, c’est un dĂ©fi que meetmarcel a relevĂ© avec enthousiasme, comme le raconte Marie-Laurence Opsommer, Senior Project Manager, qui a passĂ© un mois en Écosse. «Lorsqu’on nous a demandĂ© d’organiser un mariage en Écosse, nous n’avons pas hĂ©sitĂ© une seconde. Nous avons directement commencĂ© Ă  Ă©laborer les plans. Le mariage devait avoir lieu sous un chapiteau sur le domaine de Gairnshiel Lodge, prĂšs du chĂąteau de Balmoral. En avril 2024, nous sommes partis en reconnaissance et nous avons littĂ©ralement vĂ©cu les quatre saisons sur une journĂ©e. C’était d’ailleurs notre plus grande prĂ©occupation : la mĂ©tĂ©o. Nous avions prĂ©vu un lieu intĂ©rieur comme solution de secours, mais finale-

ment le temps s’est montrĂ© clĂ©ment et tout a pu se dĂ©rouler selon le plan initial.»

DE BRUXELLES À BALLATER : UN CASSE-TÊTE LOGISTIQUE

Cet Ă©vĂ©nement Ă©tait plus qu’un mariage, c’était une expĂ©rience complĂšte. «Nous avons transportĂ© tous les invitĂ©s en Écosse sur le mĂȘme vol, et nous les avons installĂ©s dans 15 hĂ©bergements Ă  Ballater et aux alentours. Le premier soir, nous avons organisĂ© une soirĂ©e dans un pub Ă©cossais typique au Balmoral Arms, avec le plat national en vedette : le haggis. Le lendemain, c’était le grand jour. Le mariage avait lieu Ă  Crathie Kirk, l’église rĂ©guliĂšrement frĂ©quentĂ©e par la famille royale britannique. Nous avons pu y accĂ©der grĂące Ă  des relations de la famille, ce qui est assez exceptionnel. De petits bus

Ă©taient affrĂ©tĂ©s pour emmener les invitĂ©s, et la suite nuptiale est arrivĂ©e en grande pompe avec une colonne de Defenders. AprĂšs la cĂ©rĂ©monie, tout le monde est retournĂ© Ă  Gairnshiel Lodge, oĂč les attendait un impressionnant chapiteau de 1 200 mÂČ. Ici, on sentait l’ADN de meetmarcel jusque dans les moindres dĂ©tails. L’ensemble du chapiteau, de l’esthĂ©tique et du design Ă©tait signĂ© Tim Van Peteghem, un des partenaires de meetmarcel. Tout Ă©tait dĂ©corĂ© d’un tartan de la famille rĂ©alisĂ© sur mesure, que l’on retrouvait Ă©galement dans une multitude de dĂ©tails, comme l’artwork, les abat-jours, le bar, les allumettes...»

LA RENCONTRE DE DEUX MONDES

Le fil conducteur de l’évĂ©nement Ă©tait

DANS LES HIGHLANDS ÉCOSSAIS

le clash subtil entre la tradition Ă©cossaise et le style londonien, incarnant Ă  la perfection les mariĂ©s. «Le mariĂ© est un amoureux de l’authenticitĂ© classique de l’Écosse, passionnĂ© de chasse, de Defenders et de vestes Barbour. La mariĂ©e, par contre, est plus « London fashion ». Nous avons incorporĂ© ces contrastes dans tous les aspects de l’évĂ©nement. Le chapiteau, par exemple, Ă©tait trĂšs branchĂ© et Ă©lĂ©gant, mais se dressait juste Ă  cĂŽtĂ© du lodge authentique au style typiquement Ă©cossais. Les invitĂ©s entraient dans le chapiteau via l’espace de rĂ©ception. Au fond se trouvait une bibliothĂšque sur mesure de 20 mĂštres de large, dotĂ©e de deux portes secrĂštes, derriĂšre lesquelles se cachaient la salle Ă  manger et la salle du club.»

S’IMPRÉGNER DES HIGHLANDS

Le lendemain du mariage, une fabuleuse balade Ă©tait prĂ©vue Ă  travers les Highlands. «Le mariage Ă©tait Ă©videmment la prioritĂ©, mais il Ă©tait aussi important de permettre Ă  chacun de s’imprĂ©gner des Highlands. C’est un endroit incroyable, qu’on connaĂźt

tous sur photos, mais dont on ne peut rĂ©ellement ressentir le charme et la grandeur que sur place. Les paysages et les sentiments qu’on ressent sont indescriptibles. Cette magnifique visite s’est clĂŽturĂ©e sur un « High Tea » anglais authentique. Cachette Catering avait prĂ©parĂ© un buffet de dĂ©licieux gĂąteaux, scones et autres sucreries, qui a ensuite laissĂ© place Ă  un barbecue convivial. Le lodge est situĂ© au bord d’une riviĂšre, oĂč le saumon a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© dans l’eau, tandis que les convives pouvait observer la prĂ©paration depuis le chapiteau. L’ambiance Ă©tait assurĂ©e par Whisky Kiss, un groupe de violonistes local qui a Ă©galement interprĂ©tĂ© de nombreuses titres contemporains. Nous pensions que la soirĂ©e se terminerait tĂŽt mais Ă  notre grande surprise, la piste de danse Ă©tait Ă  nouveau bien remplie. Et il y avait une trĂšs chouette ambiance.»

STORYTELLING DÉTAILLÉ

L’expĂ©rience de cette fĂȘte de mariage unique avait commencĂ© des semaines Ă  l’avance. Tout Ă©tait fait pour plonger les

invitĂ©s dans l’histoire du couple et de l’Écosse. «Trois semaines avant le mariage, chaque invitĂ© a reçu une boĂźte contenant un journal personnalisĂ© sur le couple, le lieu du mariage et des faits amusants sur la culture Ă©cossaise. La boĂźte contenait Ă©galement une bouteille de whisky personnalisĂ©e, des Ă©tiquettes de bagages en cuir et des biscuits sablĂ©s. Le message Ă©tait clair : ce n’est pas seulement un mariage qui vous attend, mais toute une expĂ©rience.»

TEAMWORK IN THE MIDDLE OF NOWHERE

Un tel Ă©vĂ©nement nĂ©cessite une Ă©quipe et des partenaires solides. «Nous Ă©tions vraiment au milieu de nulle part. Pas de magasins si on a besoin de quelque chose en vitesse, pas d’eau, d’électricitĂ© ou d’évacuation sur le site. Tout devait ĂȘtre Ă©laborĂ© Ă  partir de rien et prĂ©parĂ© minutieusement Heureusement, nous avons pu compter sur de nombreux partenaires belges qui ont tous fait un travail fantastique. L’équipe de John & Jane est venue avec deux camions d’équipements

«ON SENTAIT L’ADN DE MEETMARCEL JUSQUE DANS LES MOINDRES DÉTAILS.»

techniques, Jarno, David, Daan et Robbe ont littĂ©ralement dĂ©placĂ© des montagnes. Cachette Catering (Thijs, Chaelle et leur Ă©quipe) ont ƓuvrĂ© d’arrache-pied toute une semaine dans une cuisine roulante, avec des ingrĂ©dient locaux de fournisseurs Ă©cossais : the fish shop, cambus o may (une fromagerie locale), the butcher
 Hannes Desmedt de Wine Blend s’est occupĂ© des cocktails personnalisĂ©s avec son Ă©quipe. Alexis, Benjamin et l’équipe de De Halleux ont montĂ© le chapiteau dans des conditions mĂ©tĂ©o compliquĂ©es. Mr. Poppins de Damme a rĂ©alisĂ© pour nous tous les abat-jours, coussins et Ă©lĂ©ments de dĂ©coration sur mesure. Les musiciens – Janne Blommaert au chant, Daan Demeyer au piano et Lore Bamps au violoncelle – et les DJ Mathias Gillain et Vincent Cornelis Ă©taient Ă©galement belges. Le fleuriste, Olivier De Croock, Ă©tait lui aussi un compatriote. À leurs cĂŽtĂ©s, ils avaient aussi une foule de partenaires Ă©cossais, pour lesquels nous avons pu faire appel aux contacts locaux de Hilde, qui dirige Gairnshiel Lodge.»

TWO STORIES WHISPER AS ONE

Il ne s’agissait pas d’un mariage standard, mais d’un concept global portĂ© par une exĂ©cution artistique, reflĂ©tant l’histoire du couple. «Ce n’était pas un mariage comme il y en a treize Ă  la douzaine. Tout a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© sur mesure pour le couple, et nous nous sommes plongĂ©s dans leur histoire. Le thĂšme du mariage Ă©tait « Two stories whisper as one », basĂ© sur l’image des deux montagnes qui se rejoignent Ă  proximitĂ© du lodge. Lorsque

tout est calme, on peut entendre le vent siffler Ă  travers ces montagnes. Nous avons repris cette image tout au long de l’évĂ©nement : la fusion de deux styles, de deux mondes, de deux personnes.»

Lieu : Gairnshiel Lodge (https://gairnshiel.com/)

Photo: bringmesomewherenice

Video: AY video

UN INCENTIVE ENTRE VOLCANS, JUNGLE & RYTHMES CARIBÉENS

Alors que les entreprises recherchent une vĂ©ritable connexion entre les gens, way2events propose des incentives allant rĂ©solument au-delĂ  du cocktail classique au bord de la piscine. Un rĂ©cent voyage au Costa Rica a une fois de plus dĂ©montrĂ© que l’expĂ©rience, l’émerveillement et la collaboration constituent la vraie valeur d’un teambuilding durable.

DU CHAOS À LA CONNEXION : SAN JOSÉ ET TOUCAN RANCH

L’incentive a dĂ©butĂ© Ă  San JosĂ©, mĂ©tropole animĂ©e oĂč l’agitation est Ă  la fois Ă©crasante et dĂ©sarmante. Les participants y ont dĂ©couvert d’entrĂ©e de jeu l’un des nombreux visages du Costa Rica authentique : une circulation chaotique, des stands de rue aux mets parfumĂ©s et des façades colorĂ©es, vibrantes de vie. Changement de rythme radical : adieu le train-train du bureau, plongĂ©e directe dans l’instant prĂ©sent.

PremiĂšre halte hors du temps : le Toucan Rescue Ranch. Un lieu oĂč les paresseux dictent le passage du temps et oĂč les toucans ont fait sourire toute l’assemblĂ©e. LĂ , dans le silence de la nature, le sentiment de groupe a commencĂ© Ă  s’épanouir.

VOLCANS, CASCADES ET LÂCHER-PRISE

La rencontre avec le volcan PoĂĄs a Ă©tĂ© un vĂ©ritable bouleversement. Un cratĂšre fumant fendant le paysage tel une plaie ouverte et emplissant l’air de soufre, s’accrochant aux manteaux et aux sacs Ă  dos. Peut-ĂȘtre pas un panorama magnifique au sens traditionnel, mais une beautĂ© brute et surnaturelle. Que le groupe contemplait, muet, se sentant minuscule face Ă  une telle puissance primitive.

Plus tard dans la journĂ©e, le groupe a pris la direction du parc naturel La Paz Waterfall Gardens, oĂč les attendait une autre expĂ©rience inouĂŻe. Vraiment comme dans les brochures : la brume qui flotte Ă  travers la cime des arbres, le rugissement de l’eau, des grenouilles aux couleurs vives et (ça ne s’invente pas) un aperçu inattendu d’un jaguar – un environnement oĂč tout semblait fait pour vous tenir en Ă©veil.

Le soir, le groupe a vĂ©cu un moment hors du temps, oĂč le monde extĂ©rieur semblait avoir entiĂšrement disparu. En plein cƓur de la jungle, Ă  la lueur vacillante des lampes Ă  huile (et sous un ciel Ă©toilĂ© totalement indescriptible), le groupe s’est vĂ©ritablement retrouvĂ©. Du glamping, oui, mais sans fioritures. Pas de rĂ©seau, pas d’écrans, pas d’agenda. Rien que les rĂ©cits de la journĂ©e, que l’on avait enfin le loisir d’extĂ©rioriser et de partager. Un rare moment suspendu, loin de tout, au cours d’un voyage ultra stimulant. Et qui donnait Ă  la fois l’impression d’un commencement


SE DÉPASSER ENSEMBLE À MONTEVERDE

Le prochain point culminant du parcours se trouvait Ă  Monteverde – au sens propre comme au figurĂ©. Le trajet pour s’y rendre, une traversĂ©e en bateau du lac Arenal et une piste en 4x4 Ă  travers les montagnes, Ă©tait dĂ©jĂ  une aventure en soi.

Mais la tyrolienne Ă  travers la forĂȘt de nuages a vraiment Ă©tĂ© un grand moment ! Les ponts suspendus, le Sky Tram et les panoramas Ă©poustouflants sur la vĂ©gĂ©tation tropicale ont Ă©galement contribuĂ© Ă  l’émerveillement partagĂ© (et au genre d’histoires dont on reparle pendant des mois autour de la machine Ă  cafĂ©).

LE POINT FINAL FAÇON CARAÏBES : CAHUITA ET

L’IMPORTANCE DU REPOS

Le groupe a passĂ© les derniĂšres journĂ©es du voyage Ă  Cahuita, sur la cĂŽte des CaraĂŻbes. « L’ambiance Ă©tait dĂ©contractĂ©e, les gens chaleureux et la mer ondoyait dans toutes les nuances de bleu. » On enfile les tubas, on retire les chaussures... Et on en prend plein les sens.

Au parc national tout proche, le groupe a partagĂ© un dernier moment d’enchantement parmi les singes joueurs, le chant des oiseaux et le doux bruissement des palmiers. LĂ , tout s’est mis en place. Le groupe s’était dĂ©tachĂ© du quotidien, tissant des liens profonds avec les autres – sans se forcer.

LA PUISSANCE D’UNE EXPÉRIENCE PARTAGÉE

L’important dans un incentive comme celui-lĂ , ce n’est pas le prestige ou le luxe. Ce sont les expĂ©riences mĂ©ticuleusement prĂ©parĂ©es, qui semblent aller de soi, mais qui touchent profondĂ©ment et durablement les participants.

Et c’est prĂ©cisĂ©ment ce que fait way2events : pas un simple programme Ă  suivre mais crĂ©er de l’espace pour des moments Ă  vivre. Des moments qui restent. Des moments dont on se souvient plus tard comme le dĂ©but de quelque chose de neuf. Car ce que l’on vit ensemble change la maniĂšre dont on poursuit la route ensemble.

25 ANS D’EXPERIENCE MAGAZINE

Dans le 125Ăšme numĂ©ro d’Experience Magazine, nous avions donnĂ© la parole Ă  une sĂ©rie de professionnels Ă©vĂ©nementiels qui – Ă  l’occasion de notre 25Ăšme anniversaire – avaient partagĂ© avec nous leur regard sur le passĂ©, le prĂ©sent et l’avenir du secteur. Comme l’évĂ©nementiel compte encore une foule d’autres personnalitĂ©s captivantes, nous poursuivons cette sĂ©rie de mini-interviews pendant le reste de notre annĂ©e anniversaire


GEERT DEBUSSCHERE, ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ D’ECCO LA LUNA

COMMENT VOTRE SECTEUR A-T-IL ÉVOLUÉ CES DERNIÈRES ANNÉES ?

«L’essor de certaines plateformes de teambuilding a mis pas mal de pression sur notre agence, en termes de marges et de part de marchĂ©. Mais au final, nous avons appris Ă  gĂ©rer cela de maniĂšre constructive.»

«On voit aussi un changement dans les jours oĂč les entreprises programment une activitĂ©. Avec l’augmentation du tĂ©lĂ©travail et du 4/5Ăšme et le dĂ©calage des vacances scolaires entre les diffĂ©rentes parties du pays, les entreprises ne veulent plus attendre que tout le monde puisse absolument ĂȘtre prĂ©sent. On a ainsi une meilleure rĂ©partition sur les jours de la semaine et ce tout au long de l’annĂ©e.»

«Et pour terminer, je remarque aussi une forte internationalisation, multipliant les opportunitĂ©s de travailler Ă  l’étranger.»

QUELLE IMPORTANCE LA DURABILITÉ ET LA CONSCIENCE ÉCOLOGIQUE ONT-T-ELLES

PRIS AU SEIN DU SECTEUR ÉVÉNEMENTIEL

?

«La RSE gagne constamment en importance, et les entreprises privilĂ©gient de plus en plus les activitĂ©s qui ont un impact. Cela doit ĂȘtre fun, mais pas seulement. Bien sĂ»r, il y aura toujours des clients qui jouent la durabilitĂ© uniquement pour pouvoir cocher la case, mais nous constatons que beaucoup d’entreprises ont dĂ©jĂ  dĂ©veloppĂ© une vĂ©ritable conscience Ă©cologique et bĂątissent une politique autour de cela, y compris pour leurs Ă©vĂ©nements. Et Ecco La Luna est heureux de les appuyer dans cette dĂ©marche !»

«J’espĂšre que les entreprises vont rassembler les budgets consacrĂ©s au teambuilding, Ă  la formation et au coaching et examiner comment les combiner pour exploiter au mieux ces dĂ©penses dans un Ă©tat d’esprit plus durable. C’est aussi Ă  nous en tant qu’agence d’encourager les clients Ă  le faire.»

GAUTIER LECLERCQ, MANAGING PARTNER CHEZ THE FRIENDS

COMMENT LE RÔLE D’UNE AGENCE ÉVÉNEMENTIELLE A-T-IL ÉVOLUÉ AU COURS DES 25 DERNIÈRES ANNÉES ?

«AprĂšs plus de 15 ans dans l’évĂ©nementiel, ce qui me frappe, c’est Ă  quel point notre mĂ©tier est devenu complexe
 et passionnant. Être crĂ©atif ne suffit plus : il faut ĂȘtre crĂ©atif autrement. Les clients attendent des idĂ©es fortes, mais aussi responsables, respectueuses de l’impact social et environnemental. C’est un vrai virage de fond. Et puis la technologie et l’intelligence artificielle, nous oblige Ă  repenser nos formats, nos expĂ©riences, nos process. Finalement, notre mission est de faire briller chacun de nos clients tout en Ă©tant des acteurs du changement. Et ça, je trouve ça ultra stimulant !»

LE SECTEUR DE L’ÉVÉNEMENTIEL EST-IL AUJOURD’HUI PLUS SOLIDAIRE QUE JAMAIS ?

«Chez The Friends, ce mot ‘Friends’ n’a jamais eu autant de sens qu’aprĂšs le Covid. C’est littĂ©ralement en rassemblant des amis, des talents, des agences et des indĂ©pendants qu’on a rĂ©ussi Ă  repartir aprĂšs la crise. Aujourd’hui encore, cette logique de solidaritĂ© reste au cƓur de notre maniĂšre de travailler. On le voit aussi ailleurs : de plus en plus de gros projets se construisent en consortium, plusieurs agences qui unissent leurs forces pour aller plus loin ensemble. Cette solidaritĂ©, qui aurait peut-ĂȘtre semblĂ© naĂŻve avant, est devenue une vraie force du secteur. Et franchement
 ça fait du bien.»

QUELLE EST LA DIFFÉRENCE MAJEURE ENTRE LE SECTEUR ÉVÉNEMENTIEL AUJOURD’HUI ET IL Y A 25 ANS ?

«Le changement se manifeste sous divers angles. D’une part, le client bĂ©nĂ©ficie aujourd’hui d’une offre bien plus Ă©largie qu’il y a 25 ans, il peut donc avoir plus de mal Ă  choisir la direction pour lancer un Ă©vĂ©nement et dĂ©finir ce qu’il souhaite proposer aux visiteurs. Selon moi, trop d’offres tue l’offre.

D’autre part, les entreprises se montrent dĂ©sormais plus prudentes et rĂ©ticentes Ă  prendre des risques, au point de perdre, Ă  mon sens, cette crĂ©ativitĂ© audacieuse d’autrefois. Sans compter que l’intelligence artificielle, actuellement en plein essor, risque de bouleverser tout le secteur. »

COMMENT LES BESOINS ET LES ATTENTES DES CLIENTS ET DES VISITEURS ONT-ILS ÉVOLUÉ AU COURS DES 25 DERNIÈRES ANNÉES ?

«Aujourd’hui, le client a des attentes assez prĂ©cises : il recherche des spectacles qui puissent l’impressionner Ă  prix abordables, soit deux Ă©lĂ©ments qui sont parfois difficilement conciliables. De plus, les visiteurs aspirent Ă  vivre des expĂ©riences uniques, du « jamais vu », bien qu’avec les rĂ©seaux sociaux et la multitude d’évĂ©nements largement diffusĂ©s, ils semblent avoir l’impression d’avoir dĂ©jĂ  tout vu. Cependant, l’expĂ©rience de vivre un spectacle en direct demeure bien diffĂ©rente de la simple dĂ©couverte virtuelle. Surprendre et Ă©merveiller le client est un vĂ©ritable dĂ©fi que je m’efforce Ă  relever depuis plus de 40 ans.»

MATHIAS KERCKHOF, EVENT CREATOR, ADVISOR & EXPERT CHEZ FAST FORWARD EVENTS

QUELLE EST LA PLUS GRANDE DIFFÉRENCE ENTRE LE SECTEUR ÉVÉNEMENTIEL MAINTENANT ET IL Y A 25 ANS ?

«Il y a 25 ans, l’évĂ©nementiel tournait autour de l’organisation totale, de la logistique de l’évĂ©nement. Mais sans nĂ©gliger Ă©videmment cette petite touche en plus qui fait la diffĂ©rence. Les derniĂšres techniques (vidĂ©o mapping, les premiers Ă©crans LED), nous avons Ă©tĂ© parmi les premiers Ă  les utiliser lors de nos Ă©vĂ©nements. Avec mon background dans les festivals et les festivitĂ©s, j’avais aussi d’autres influences, que nous avons combinĂ©es dans les Ă©vĂ©nements d’entreprise. Et ça s’est avĂ©rĂ© payant. Une injection directe de crĂ©ativitĂ© dans nos projets. Aujourd’hui, nous le faisons encore, nous cherchons ce petit extra, l’originalitĂ©, la nouveautĂ©. Autre Ă©volution – qui est Ă  la fois un dĂ©fi : exploiter les nouvelles techniques et matĂ©riaux dans une dĂ©marche plus durable. C’est un progrĂšs intĂ©ressant que nous explorons avec enthousiasme pour continuer Ă  innover.»

QUELS

SONT LES PRINCIPAUX DÉFIS DU SECTEUR POUR LA DÉCENNIE À VENIR ?

«La rapiditĂ© des Ă©volutions et de la communication, l’essor de l’IA est passionnant mais c’est aussi un piĂšge, selon moi. Les gens sont surchargĂ©s par la communication, la technologie, les mĂ©dias sociaux et cela peut les plonger dans une certaine solitude. Il faut rassembler les gens, la connexion va devenir un enjeu majeur et pour cela, les Ă©vĂ©nements live, petits et grands, sont essentiels.»

QUELS SONT LES PRINCIPAUX DÉFIS DU SECTEUR POUR LA DÉCENNIE À VENIR ?

“PrĂ©server la pertinence humaine au cƓur de l’accĂ©lĂ©ration technologique. Les organisations ont besoin d’ancrage, de repĂšres au sein d’un monde de plus en plus complexe. Dans ce contexte, encourager les rencontres live est essentiel. Les gens ne peuvent vraiment dialoguer et se positionner par rapport Ă  d’autres opinions que lorsqu’ils se rencontrent physiquement. Les contacts en ligne ne sont pas vĂ©ritablement une alternative. Une bonne discussion dans la vraie vie aide Ă  nuancer les certitudes et forge l’empathie. Les Ă©vĂ©nements ne sont pas une fin en soi, mais un moyen puissant de convertir une stratĂ©gie en Ă©motion et en connexion. Le contenu reste crucial, tout comme la sĂ©curitĂ© – non pas comme un frein, mais pour renforcer la qualitĂ©. La communication sous forme d’évĂ©nements doit rassembler et protĂ©ger.”

COMMENT L’ORGANISATION INTERNE D’UNE AGENCE ÉVÉNEMENTIELLE

A-T-ELLE ÉVOLUÉ SUR LES 25 DERNIÈRES ANNÉES ?

“Aujourd’hui, une agence est bien plus qu’une caisse de rĂ©sonance crĂ©ative. Une agence solide est Ă  la fois gĂ©nĂ©raliste et spĂ©cialiste : elle aide Ă  dĂ©finir les lignes stratĂ©giques et excelle dans l’exĂ©cution. Chez MediaMixer, nous combinons cette approche senior avec des technologies comme l’IA pour rationaliser et simplifier les processus entourant un contenu com-

PETRA DE ROOS, CEO DE L’ACC

LE SECTEUR ÉVÉNEMENTIEL EST-IL AUJOURD’HUI PLUS UNI QUE JAMAIS ?

«Beaucoup de progrĂšs ont Ă©tĂ© faits ces derniĂšres annĂ©es. Dans une premiĂšre phase avec l’adhĂ©sion des agences Ă©vĂ©nementielles Ă  l’ACC et depuis – avec le coup de pouce d’un virus – avec la poursuite de la collaboration avec l’Event Confederation, rassemblant encore plus d’acteurs sectoriels. Cela permet au secteur de s’exprimer d’une voix claire et de mieux se faire entendre, mais il reste clairement encore de nombreuses diffĂ©rences. Le fonctionnement en clusters permet de travailler sur des sujets spĂ©cifiques pour, par exemple, les agences Ă©vĂ©nementielles. Nous concilions ainsi la force de l’ « unification » avec la spĂ©cificitĂ© du mĂ©tier.»

QUELS

SONT LES PRINCIPAUX DÉFIS DU SECTEUR POUR LA DÉCENNIE À VENIR

?

«Comme de nombreux secteurs, l’évĂ©nementiel conjugue aussi des enjeux budgĂ©taires et des attentes Ă©levĂ©es. Nous avons des possibilitĂ©s sans prĂ©cĂ©dent – surtout d’une point de vue technologique – et cela a des effets positifs tant sur l’expĂ©rience que sur la simplification de certains processus. Il y a Ă©galement des enjeux en matiĂšre de durabilitĂ©, mais lĂ  aussi les pos-

SANDER HEYNS, ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ D’ADAMANT EVENTS

QUELLES SONT LES PRINCIPALES TENDANCES MONTANTES DANS LE SECTEUR ÉVÉNEMENTIEL POUR LES PROCHAINES ANNÉES ?

«Pour moi, l’une des principales tendances dans le secteur Ă©vĂ©nementiel, c’est la concentration Ă  100 % sur l’expĂ©rience, le ressenti. Avant, le volet culinaire Ă©tait le point d’orgue absolu, avec des Ă©mulsions, des crĂšmes des mousses... aujourd’hui, c’est toujours important - il faut que ça soit bon - mais moins. Tant que le facteur d’expĂ©rience est suffisamment Ă©levĂ© pour le reste de l’évĂ©nement.»

QUEL EST L’ÉVÉNEMENT LE PLUS MÉMORABLE SUR LEQUEL VOUS AVEZ TRAVAILLÉ ET POURQUOI ?

«Chez ADAMANT, c’est le huitiĂšme anniversaire de LOOP EARPLUGS qui me vient Ă  l’esprit, pour lequel nous avons Ă©laborĂ© une expĂ©rience extraterrestre sur le thĂšme ‘TO INFINITY AND BEYOND’. Les invitĂ©s accĂ©daient au site via des rideaux-laser, les cocktails provenaient de comĂštes, les amuse-gueules Ă©taient en forme d’aliens, les repas Ă©taient imprimĂ©s en 3D et

plexe. GrĂące Ă  notre certification ISO 45001, nos efforts en matiĂšre de sĂ©curitĂ© sont tangibles et mesurables. Nous gardons dĂ©libĂ©rĂ©ment la rĂ©gie de nos tĂąches de base en interne, notamment via notre propre studio et notre propre rĂ©daction, mais aussi grĂące Ă  la fusion avec The Fat Lady pour former North by Northwest. Nous constituons dĂ©sormais un groupe de contenu indĂ©pendant et intĂ©grĂ© qui inspire et montre la voie dans un monde en Ă©volution rapide.”

sibilitĂ©s sont Ă©normes, avec un impact potentiel proportionnel. Les investissements permanents qui seront nĂ©cessaires pour maintenir le cap Ă  ce niveau pourront, espĂ©rons-le, ĂȘtre transformĂ©s en Ă©nergie positive par beaucoup grĂące aux opportunitĂ©s que cela apporte.»

c’est un bras robotique qui prĂ©parait les cocktails. Et en cerise sur le gĂąteau, nous avions les seuls et uniques ‘Daft Punk’ sur scĂšne.»

FOODBIKES VOOR JOUW EVENT

NĂ©e d’une idĂ©e audacieuse de deux frĂšres, notre entreprise est devenue un acteur incontournable des Ă©vĂ©nements culinaires, riches en saveurs et en crĂ©ativitĂ©. Depuis dix ans, nous apportons goĂ»t et convivialitĂ© Ă  votre Ă©quipe, entreprise ou organisation.

Qu’il s’agisse de 30 ou 3.000 invitĂ©s, nous servons des plats originaux.

SĂ©minaire, fĂȘte du personnel ou soirĂ©e de rĂ©seautage : The Street Food Company propose une offre complĂšte avec cuisine, boissons, mobilier et ambiance assurĂ©e. Pour un moment inoubliable

THE STREET FOOD COMPANY

ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ DE BEVAS EVENTS

COMMENT LE RÔLE DE L’AGENCE ÉVÉNEMENTIELLE A-T-IL ÉVOLUÉ

«Il a Ă©normĂ©ment changĂ©. Avant, nous devions assembler un puzzle de 20 piĂšces, aujourd’hui, les agences sont devenues de vĂ©ritables managers professionnels. Notre approche est passĂ©e d’une « joyeuse libertĂ© » Ă  un focus clair sur le retour sur investissement. Ce qui Ă©tait autrefois une assemblĂ©e d’amateurs enthousiastes est dĂ©sormais dominĂ©e par des professionnels expĂ©rimentĂ©s. L’organisation, aujourd’hui, c’est bien plus que simplement exĂ©cuter un projet. C’est de l’écoute, de la coordination et de la gestion. Le joyeux chaos d’autrefois a fait place Ă  des agendas stricts, les projets Ă©laborĂ©s autour d’un verre et notĂ©s sur un sous-verre ont Ă©tĂ© remplacĂ©s par des contrats dĂ©taillĂ©s et un planning rigoureux.»

QUELS SONT LES PRINCIPAUX DÉFIS DU SECTEUR POUR LA DÉCENNIE À VENIR ?

«Ce sont des dĂ©fis divers et complexes qui attendent le secteur pour les dix prochaines annĂ©es. RĂ©agir rapidement et faire preuve de flexibilitĂ© face Ă  l’inattendu devient crucial, de mĂȘme que de bonnes compĂ©tences en people management. Il faut aussi un nouveau modĂšle financier et une rĂ©partition claire des rĂŽles au sein du secteur : qui fait quoi, et qui assume les responsabilitĂ©s et agit en consĂ©quence ? Sans oublier la sĂ©curitĂ©, qui va prendre encore plus d’importance, potentiellement mĂȘme plus que la durabilitĂ©. Enfin, il devient essentiel de combiner les nouveaux outils numĂ©riques avec la mise en Ɠuvre pratique sur le terrain. Tout doit converger Ă  la perfection et au bon moment – ça reste l’essence d’un Ă©vĂ©nement rĂ©ussi.»

STEVEN MARTIN, ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ DE THE CINTAMANI

STONE & ARCHITECTOFEMOTION

QUELLE EST LA PLUS GRANDE DIFFÉRENCE ENTRE LE SECTEUR ÉVÉNEMENTIEL MAINTENANT ET IL Y A 25 ANS ?

«Le changement majeur que je note, outre tout ce qui a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© citĂ©, ce sont les gens. J’ai vu des stagiaires devenir administrateurs dĂ©lĂ©guĂ©s, directeurs, freelances... Et ça me remplit de fiertĂ©. Le nombre de talents que j’ai pu inspirer Ă  leurs dĂ©buts et qui sont maintenant de grands noms est impressionnant. Lorsque ma gĂ©nĂ©ration a commencĂ© –la deuxiĂšme en Belgique – nous apprenions le mĂ©tier sur le terrain : charger, dĂ©charger, assembler, peindre les dĂ©cors... Il n’y avait que trĂšs peu de formations, et elles n’étaient pas vraiment en adĂ©quation avec la pratique. Plus tard, les formations sont arrivĂ©es, mais souvent trop thĂ©oriques et dĂ©connectĂ©s de la rĂ©alitĂ©. Depuis, le secteur a Ă©voluĂ©, avec une kyrielle de spĂ©cialisations et une jeune gĂ©nĂ©ration qui nous forme – nous, les « vieux routiers » – aux Ă©vĂ©nements pop-up, aux mĂ©dias sociaux et aux applications. Ils amĂšnent de nouvelles perspectives, nous l’expĂ©rience pratique. Cette association d’anciens et de nouveaux talents enthousiastes : je suis convaincu qu’elle peut faire la diffĂ©rence. So guys and girls, call me !»

QUELS SONT LES PRINCIPAUX DÉFIS DU SECTEUR POUR LA DÉCENNIE À VENIR ?

“L’enjeu reste le mĂȘme : rester pertinent en continuant Ă  apprendre, Ă  se spĂ©cialiser et ne pas reculer devant l’inconnu et les nouvelles innovations. Les clients comptent sur cet Ă©tat d’esprit. D’autre part, la Covid nous a appris avec quelle rapiditĂ© on peut nous pousser Ă  l’arriĂšre-plan. D’un coup, nous Ă©tions superflus, des profiteurs, mĂȘme,

selon certains. Ça a Ă©tĂ© le plus brutal : mal connus, mal aimĂ©s et vite cataloguĂ©s. Le grand public apprĂ©cie notre travail, mais nous, les dames et messieurs en noir, faisons si bien notre travail qu’ils ne nous voient pas. Regagner ce respect, obtenir cette valorisation et cette identitĂ©, reprĂ©sente, je pense, un enjeu majeur pour nous tous.”

JEUNES LOUPS

«CE

QUI EST CHOUETTE DANS CE SECTEUR, C’EST QUE VOUS ÊTES CONSTAMMENT STIMULÉ»

NOM : Jelle Claeys

ÂGE : 23 ans

LIEU DE RÉSIDENCE : Ertvelde

Entreprise : John & Jane

FONCTION : Junior Production Manager

Un vent de jeunesse souffle sur le secteur événementiel. Les jeunes talents arrivent en masse et les agences et fournisseurs événementiels se font un plaisir de les laisser faire leurs preuves. Dans cette rubrique, ils nous livrent leurs impressions sur leur formation et leurs premiÚres expériences professionnelles. Dans ce numéro, nous donnons la parole à Jelle Claeys, un des jeunes talents de John & Jane.

QUELLE EST VOTRE FONCTION ACTUELLE ET QUELLES SONT VOS TÂCHES ?

Jelle Claeys : «J’ai commencĂ© chez John & Jane en octobre 2023, en tant que Technical Assistant. Je travaillais sur le montage et le dĂ©montage de nos productions. Depuis peu, je suis Junior Production Manager. Dans cette fonction, je suis responsable de certaines productions, qui me sont confiĂ©es par nos account managers. Je suis en contact avec le client, je trans-

pose ses demandes dans un Ă©vĂ©nement qui marque les esprits et j’encadre mon Ă©quipe pendant le montage et le dĂ©montage.»

POURQUOI AVEZ-VOUS CHOISI LE SECTEUR ÉVÉNEMENTIEL ?

«Ma passion pour l’évĂ©nementiel a commencĂ© dans les mouvements de jeunesse. Nous organisions chaque annĂ©e un weekend festif, avec l’ambition de toujours faire mieux que la fois prĂ©cĂ©dente.

L’aspect son et lumiĂšre me parlait tout particuliĂšrement. C’est lĂ  que j’ai rĂ©alisĂ© que c’était un secteur qui m’intĂ©ressait vraiment et que j’avais envie d’y travailler.»

QUELLE(S) FORMATION(S) AVEZVOUS SUIVIE ?

«J’ai d’abord fait trois ans en Sport Management Ă  la haute Ă©cole VIVES Ă  Bruges, mais je ne me voyais pas travailler dans ce domaine. Comme ma vraie passion, c’était

« À CHAQUE PRODUCTION, ON S’EFFORCE D’ÊTRE PLUS CRÉATIF, DE FAIRE CE PETIT EFFORT EN PLUS QUI FAIT LA DIFFÉRENCE. »

les Ă©vĂ©nements, j’ai dĂ©cidĂ© de suivre un parcours raccourci en Event & Project Management Ă  la haute Ă©cole Artevelde de Gand, au lieu de la formation complĂšte de trois ans. Et si c’était Ă  refaire, je partirais directement sur l’Event & Project Management.»

QU’EST-CE QUI VOUS A PLU DANS VOTRE FORMATION ? ET AVEC L’EXPÉRIENCE QUE VOUS AVEZ AUJOURD’HUI, QU’EST-CE QUI POURRAIT ÊTRE AMÉLIORÉ ?

«Étant donnĂ© que j’ai suivi un parcours raccourci, je ne peux pas juger la formation complĂšte. Ce que j’ai trouvĂ© le plus chouette et le plus intĂ©ressant, c’est qu’on nous fasse organiser nous-mĂȘmes un Ă©vĂ©nement. C’est la meilleure façon d’apprendre comment ça se passe dans le monde rĂ©el. Nous Ă©tions Ă©videmment accompagnĂ©s par des professionnels du secteur. C’est comme ça que j’ai rencontrĂ© Katrien Vermeire et, par son intermĂ©diaire, John & Jane.»

QU’EST-CE QUI VOUS A LE PLUS SURPRIS APRÈS VOS ÉTUDES QUAND VOUS AVEZ COMMENCÉ À TRAVAILLER DANS LE SECTEUR ?

«Tout ce qu’on peut accomplir avec une Ă©quipe. Vous commencez le matin sur un site vide et Ă  la fin de la journĂ©e, il a une allure totalement diffĂ©rente. J’ai aussi Ă©tĂ© impressionnĂ© par le degrĂ© de prĂ©paration des productions de John & Jane. Tout est expliquĂ© noir sur blanc lors du briefing le matin, on vous donne les bons plans et vous pouvez commencer immĂ©diatement. Cela m’a permis de m’intĂ©grer facilement Ă  l’équipe durant les premiers temps, car j’avais toujours quelque chose sur quoi me reposer.»

«Ce qui est chouette dans le secteur Ă©vĂ©nementiel, c’est que vous ĂȘtes constamment stimulĂ©. À chaque production, on s’efforce d’ĂȘtre plus crĂ©atif, de faire ce petit effort en plus qui fait la diffĂ©rence. Le secteur Ă©volue tellement rapidement qu’on dĂ©couvre constamment de nouvelles techniques et solutions, c’est passionnant.»

DE QUI

AVEZ-VOUS APPRIS LE PLUS PROFESSIONNELLEMENT PARLANT ?

«La grande force de John & Jane, c’est que vous pouvez solliciter tout le monde. Si vous avez des questions sur la prĂ©paration d’une production, les autres Production Managers (PM) vous aident volontiers. Si vous rencontrez un problĂšme d’éclairage, de son ou de vidĂ©o sur un projet, vous savez exactement qui appeler et le souci est vite rĂ©solu. C’est

formidable de travailler au sein d’une telle Ă©quipe, c’est apprĂ©ciable au quotidien comme Ă  long terme.»

DE QUOI ÊTES-VOUS LE PLUS FIER JUSQU’À PRÉSENT ?

«Difficile de choisir un moment spĂ©cifique dont je suis le plus fier. Avec John & Jane, nous travaillons sur tellement de productions fabuleuses que j’aurais bien du mal Ă  en sĂ©lectionner une en particulier. Sur le plan personnel, je suis fier de tout ce que j’ai appris en un an et demi. D’un «profane» dans le domaine, je suis devenu un Junior Production Manager avec de solides bases techniques.»

QUELS SONT VOS AMBITIONS POUR L’AVENIR ?

«Au niveau personnel, je prĂ©vois de renforcer encore mes compĂ©tences techniques. Mon ambition n’est pas de devenir le meilleur technicien/opĂ©rateur lumiĂšre ou audio, mais je veux avoir les connaissances suffisantes pour me dĂ©brouiller dans le secteur audiovisuel. Au niveau professionnel, j’espĂšre rester encore quelques annĂ©es chez John & Jane et Ă©ventuellement passer Production Manager. Mon objectif est de continuer Ă  faire progresser l’entreprise aux cĂŽtĂ©s de l’équipe, et de toujours aller chercher ce petit truc en plus Ă  chaque production.»

25 ANS DE PASSION ET DE SAVOIR-FAIRE

À l’origine, un petit projet dans un garage modeste. Aujourd’hui, un acteur majeur du secteur audiovisuel, avec un palmarĂšs impressionnant. En 25 ans, DB Video, fondĂ© par Dimitri Beyaert, s’est imposĂ© comme un partenaire fiable pour la captation live d’évĂ©nements, l’enregistrement de concerts, les productions tĂ©lĂ©visĂ©es et le streaming live. Mue par la passion et l’innovation technologique, l’entreprise s’est forgĂ©e une solide rĂ©putation grĂące Ă  sa flexibilitĂ© dans un secteur qui Ă©volue ultra rapidement.

Pendant ses Ă©tudes, Dimitri Beyaert travaillait comme DJ et il a investi les revenus de ses prestations dans l’achat d’équipement vidĂ©o alors qu’il avait une vingtaine d’annĂ©es. «J’ai dĂ©butĂ© ma carriĂšre comme camĂ©raman et monteur vidĂ©o indĂ©pendant. LittĂ©ralement dans mon garage Ă  la maison. J’ai rencontrĂ© Ă  l’époque des clients avec qui nous travaillons encore actuellement. C’était une pĂ©riode oĂč je travaillais nuit et jour, je me donnais Ă  fond. L’entreprise a commencĂ© sans vĂ©ritable vision, mais avec des tonnes de passion. J’avais simplement envie de faire ce qui me plaisait.»

DES CONTACTS PRÉCIEUX LORS

D’UN MARIAGE

À l’époque, les vidĂ©os de mariage Ă©taient une source de revenus importante. «Tout le monde se moquait de moi parce que je filmais des mariages, alors que j’avais fait des Ă©tudes dans la tĂ©lĂ©vision et la vidĂ©o. Mais pour moi, ce n’était pas se rabaisser. Parce que ça m’a appris Ă©normĂ©ment : filmer, monter, le mixage audio... Ça a Ă©tĂ© mon terrain d’apprentissage. En plus, ces

«L’ENTREPRISE A COMMENCÉ SANS VÉRITABLE VISION, MAIS AVEC DES TONNES DE PASSION.»

fĂȘtes de mariage ont abouti Ă  une importante percĂ©e pour nous. On m’a sollicitĂ© en derniĂšre minute pour filmer le mariage de la fille d’un important entrepreneur, oĂč se produisaient Kylie Minogue et Janet Jackson. J’ai Ă©tĂ© mis en contact avec les managers des deux stars, et ça m’a ouvert la porte de l’univers de la musique. GrĂące Ă  ces contacts, nous avons rĂ©alisĂ© la captation de nombreux concerts. Nos premiers gros clients provenaient donc du secteur musical. C’est aussi Ă  cette Ă©poque que TMF a dĂ©butĂ©, pour qui nous avons aussi pu rĂ©aliser de trĂšs chouettes choses. Et c’est Ă  ce moment-lĂ  que nous avons amĂ©nagĂ© notre premier vĂ©hicule de captation.»

POLYVALENCE ET FLEXIBILITÉ

DB Video s’est trĂšs rapidement dĂ©veloppĂ©. «Au dĂ©but, nous tĂątonnions un peu : la passion Ă©tait lĂ  mais nous ne savions

pas vers quoi aller prĂ©cisĂ©ment. Progressivement, une vision s’est dessinĂ©e et nous avons commencĂ© Ă  nous focaliser sur le marchĂ© des Ă©quipements vidĂ©o et audio pour les Ă©vĂ©nements. Nous avons alors investi massivement dans des camĂ©ras et un poste de rĂ©gie mobile, permettant de mixer les images en direct et de les afficher sur des Ă©crans. L’équipe jouait dĂ©jĂ  un rĂŽle majeur, je pense par exemple Ă  Kim Cools, qui est lĂ  depuis le dĂ©but, Ă  Ben Rouffa, pour la partie commerciale, et aux nombreux techniciens fantastiques qui Ă©taient dĂ©jĂ  lĂ  Ă  l’époque. Il y avait une chouette ambiance, et tout le monde allait toujours au-delĂ  de ce qu’on attendait d’eux. Nous avions dans nos rangs une polyvalence et une flexibilitĂ© Ă©normes. Et c’est comme ça que nous avons commencĂ© Ă  nous dĂ©velopper sĂ©rieusement. Passant de 2 Ă  5 collaborateurs, puis Ă  9 et ensuite Ă  15. Aujourd’hui, nous avons

43 personnes en contrat fixe et 120 freelances qui travaillent pour nous. Les équipes que nous envoyons parlent en outre couramment néerlandais, français, anglais et allemand.»

TÉLÉVISION

DeuxiĂšme cap important pour DB Video : la percĂ©e dans le monde de la tĂ©lĂ©vision. «Pour la VRT, nous avons eu l’honneur de lancer la captation de Villa Politica. Cela nous a permis d’illustrer notre flexibilitĂ©, mais cette fois pour la tĂ©lĂ©vision. C’était un projet complexe mais passionnant, tout se faisant encore avec de grands vĂ©hicules de captation Ă  l’époque. Nous, nous avons utilisĂ© de petites unitĂ©s de rĂ©gie mobiles. On nous a regardĂ©s avec de grands yeux, beaucoup n’y croyait pas. C’est lĂ  que nous avons vraiment fait nos preuves. Avec beaucoup de consĂ©quences positives. Directement dans la foulĂ©e, les projets pour la VRT se sont multipliĂ©s. Et nous avons aussi grimpĂ© dans l’intĂ©rĂȘt des agences Ă©vĂ©nementielles. En effet, grĂące Ă  nos investissements pour nos missions tĂ©lĂ©visĂ©es, nous avons pu offrir une qualitĂ© digne de la tĂ©lĂ©vision Ă  nos Ă©vĂ©nements d’entreprise et nos concerts.»

STABILITÉ

L’expĂ©rience de Villa Politica a Ă©galement ouvert un autre marchĂ© Ă  DB Video. «Nous avons commencĂ© Ă  nous concentrer davantage sur les appels d’offres publics. Nous avons par exemple rĂ©alisĂ© les premiĂšres captations des sommets du Conseil europĂ©en Ă  Bruxelles. Cela a Ă©tĂ© une Ă©tape importante pour nous. Il a encore fallu monter d’un cran au niveau de la qualitĂ© et des ressources. Mais nous avons su nous adapter instantanĂ©ment. Certains de ces contrats nous ont permis de dĂ©velopper notre passion pour les nouvelles technologies et les solutions crĂ©atives de maniĂšre stable. Cela nous permet d’offrir d’excellentes solutions qui augmentent l’impact des Ă©vĂ©nements et l’engagement du public.»

ÉLARGISSEMENT DE L’EXPERTISE

DB Video a dĂ©butĂ© comme partenaire vidĂ©o pur mais offre aujourd’hui un large bouquet de services techniques, adaptĂ© aux besoins du client. «Avant, nous faisions uniquement du multicamĂ©ra, du montage et des after movies. Aujourd’hui, les clients attendent de nous davantage d’expertise, et nous participons Ă  la rĂ©flexion globale du projet, voire mĂȘme Ă  la conception de scĂšne. La frontiĂšre entre technique et crĂ©ativitĂ© s’est donc estompĂ©e. Le volet en ligne a lui aussi Ă©normĂ©ment gagnĂ© en importance. Il y a 20 ans, nous faisions nos premiers web streams, mais depuis lors, c’est presque devenu un Ă©lĂ©ment de base d’un Ă©vĂ©nement. Notre offre s’est donc Ă©largie au fil des ans. Prenez par exemple la course Red Bull Caisses Ă  Savon. Au dĂ©part, cet Ă©vĂ©nement devait simplement ĂȘtre filmĂ© pour le grand Ă©cran LED. Aujourd’hui DB Video se charge Ă©galement du montage, une plateforme en ligne a Ă©tĂ© ajoutĂ©e et nous mettons les vidĂ©os Ă  la disposition des participants immĂ©diatement aprĂšs leur course afin qu’ils puissent la partager directement sur les mĂ©dias sociaux.»

TROIS DÉPARTEMENTS

La force de DB Video réside dans la collaboration unique entre ses trois dépar-

tements : DB Video pour le volet technique, MOTCHA pour le volet crĂ©atif et Webble-Up pour le volet numĂ©rique. Ensemble, ils forment un Ă©cosystĂšme complet, accompagnant les clients de A Ă  Z. «Nous avons dĂ©butĂ© en tant que pur prestataire technique mais au fil du temps, nous avons remarquĂ© que les clients cherchaient de plus en plus une solution globale. MOTCHA est nĂ© de ce besoin : une cellule crĂ©ative qui ne se contente pas d’exĂ©cuter, mais s’implique dans la crĂ©ation de contenu et le storytelling. Webble-Up en est le prolongement numĂ©rique. Nous avons mis sur pied cette plateforme nous-mĂȘmes pour hĂ©berger les streamings live et ajouter des fonctions interactives telles que les questions-rĂ©ponses, le vote et le sous-titrage simultanĂ©. Ces trois entitĂ©s se complĂštent parfaitement.»

FOCUS SUR LES PROJETS À PETITE ET MOYENNE ÉCHELLE

DB Video a dĂ©libĂ©rĂ©ment choisi de rester une PME. «Nous n’avons pas envie de devenir un mastodonte. Notre force, c’est notre adaptabilitĂ©, nos lignes de communication courtes et notre proximitĂ© avec nos clients. Bien sĂ»r, c’est toujours agrĂ©able de dire que nous travaillons sur les Jeux olympiques, mais ce n’est qu’une partie d’un ensemble plus vaste. Nous restons concentrĂ©s sur les projets Ă  petite et moyenne Ă©chelle, oĂč nous pouvons faire une rĂ©elle diffĂ©rence. Nous voulons pouvoir rĂ©agir rapidement, bĂątir une relation solide avec les clients et nous adapter rapidement Ă  leurs besoins. C’est aussi la raison pour laquelle nous investissons dans la polyvalence : nos collaborateurs peuvent endosser plusieurs rĂŽles, ce qui renforce encore cette flexibilitĂ©.»

ÉVOLUTION ULTRARAPIDE

Le progrĂšs technologique dans le secteur audiovisuel s’est accĂ©lĂ©rĂ© de maniĂšre exponentielle, ce qui incite DB Video Ă  renouveler et Ă  Ă©largir constamment son offre. «Actuellement, notre matĂ©riel doit ĂȘtre renouvelĂ© tous les deux ans et demi pour rester Ă  jour. Tout va tellement vite. Nous faisons dĂ©jĂ  de la rĂ©gie Ă  distance, par exemple. Nous avons notamment rĂ©alisĂ© la captation du Forum Ă©conomique mondial en Suisse depuis nos bureaux. Un autre domaine oĂč nous investissons massivement, c’est le sous-titrage speech-to-text instantanĂ© avec l’IA via notre application Webble-up. Pour prĂ©parer le travail, nous y ajoutons le jargon spĂ©cifique, les noms et les fonctions, pour garantir la pertinence au niveau technique mais aussi au niveau du contenu.»

BESOIN CROISSANT DE COMPÉTENCES IT

Cette accĂ©lĂ©ration technologique exige Ă©galement de nouvelles compĂ©tences de la part des collaborateurs. «Notre secteur est en train de passer d’un travail manuel Ă  un rĂŽle centrĂ© sur les technologies de l’information, exigeant une bonne comprĂ©hension de systĂšmes complexes et de l’automatisation. Prenons l’exemple d’un camĂ©raman. Avant, il se dĂ©plaçait avec une seule camĂ©ra, Ă  l’avenir, il pilotera plusieurs camĂ©ras entiĂšrement au-

Notamment la liste impressionnante d’artistes que nous avons pu filmer : U2, Alicia Keys, Madonna, Norah Jones, Rammstein
 Nous avons rĂ©alisĂ© 14 dĂ©filĂ©s de mode Ă  Paris en une semaine, assis dans le mĂ©tro avec nos unitĂ©s de rĂ©gie mobiles. CĂŽtoyer Naomi Campbell, ça ne s’oublie pas. Ou le prĂ©sident Chirac, qui a gardĂ© le sourire malgrĂ© nos cĂąbles Ă  enjamber, et qui a serrĂ© la main de nos collaborateurs. Nous avons Ă©galement filmĂ© tous les prĂ©sidents amĂ©ricains en visite en Belgique, de Clinton Ă  Trump. Nous avons vraiment fait nos preuves lors de l’émission sur les Ă©lections europĂ©ennes de 2014. Un savoir-faire que nous avons pu Ă  nouveau dĂ©montrer lors des Ă©missions Ă©lectorales de 2019 et 2024, plaçant Ă  chaque fois la barre plus haut au niveau technique et crĂ©atif. Des projets dont on peut vĂ©ritablement ĂȘtre fier.»

«NOTRE SECTEUR EST EN TRAIN DE PASSER D’UN TRAVAIL MANUEL À UN RÔLE CENTRÉ SUR LES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION.»

tomatisĂ©es. Les compĂ©tences IT deviennent donc cruciales. Mais cela reste une profession crĂ©ative. Le dĂ©fi majeur consiste donc Ă  continuer Ă  cultiver cette crĂ©ativitĂ© dans un monde de zĂ©ros et de uns. Les informaticiens savent construire des systĂšmes, mais manquent parfois du flair artistique dont les Ă©vĂ©nements ont besoin. À l’inverse, le staff crĂ©atif a parfois du mal avec le volet IT. Nous devons donc jeter un pont entre les deux, et le consolider. C’est pourquoi nous essayons de faire suivre Ă  chacun une formation aussi large que possible, mĂȘme si cela devient plus complexe avec la composante IT.»

BEAU PALMARÈS

En 25 ans, DB Video a rĂ©alisĂ© pas mal de projets impressionnants. «Notre 25Ăšme anniversaire est l’occasion de faire le bilan de ce que nous avons accompli. Et dans tout cela, il y a Ă©normĂ©ment de choses dont nous n’aurions jamais osĂ© rĂȘver.

GARDER LE CONTACT AVEC LE TERRAIN

Le fondateur Dimitri Beyaert est encore Ă©troitement impliquĂ© dans les activitĂ©s quotidiennes de DB Video – mĂȘme si son rĂŽle Ă  Ă©voluĂ©. «Je ne suis plus dans la rĂ©alisation pratique comme avant, mais je garde un Ɠil sur tout. Je lis chaque rapport qui arrive – mĂȘme au milieu de la nuit. Et la technologie a Ă©voluĂ© tellement rapidement. Niveau comprĂ©hension, je suis encore en phase, mais je ne serais plus capable de la mettre en Ɠuvre moi-mĂȘme. Pourtant, parfois ça me dĂ©mange de me remettre aux commandes. Quand il y a un souci de derniĂšre minute et qu’il faut quelqu’un pour conduire un camion, je me propose sans hĂ©siter. J’aime rester proche du terrain. Il est important de s’impliquer, cela permet garder le contact avec l’entreprise, les clients et l’équipe. J’essaie surtout de garder une vue d’ensemble, la vision hĂ©licoptĂšre, comme on dit, tout en gardant les pieds sur terre. Mais je tiens encore une fois Ă  souligner que rien de tout cela n’aurait Ă©tĂ© possible sans notre dream team de passionnĂ©s. Ce sont eux qui ont menĂ© DB Video oĂč nous en sommes aujourd’hui. D’oĂč notre slogan: « our team, (y)our spirit «. Car les Ă©vĂ©nements, ça se crĂ©e ensemble, avec une passion partagĂ©e et en Ă©troite collaboration avec les clients», conclut Dimitri Beyaert.

DIX ANS D’EXPÉRIENCE CULINAIRE MOBILE

En octobre de cette annĂ©e, The Street Food Company fĂȘtera ses dix ans. L’aventure qui a dĂ©marrĂ© avec un unique food bike dans un garage est aujourd’hui une entreprise de catering Ă  part entiĂšre, offrant des mets crĂ©atifs prĂ©parĂ©s directement sur place pour les Ă©vĂ©nements, les entreprises et les clients privĂ©s. L’administrateur dĂ©lĂ©guĂ© Hendrik Ardenois explique comment lui et son frĂšre Laurent, avec leur sens aigu des tendances, de la qualitĂ© et de l’expĂ©rience, apportent une bouffĂ©e d’air frais sur le marchĂ© belge du catering.

«THE STREET FOOD COMPANY ASSURE LE CATERING POUR 30 À 3 000 PERSONNES PARTOUT EN BELGIQUE.»

Il y a dix ans, Hendrik et Laurent Ardenois Ă©taient tous deux en quĂȘte d’un nouveau dĂ©fi professionnel. «Mon frĂšre et moi avions un background totalement diffĂ©rent – je travaillais dans la construction, lui comme technicien dentaire», raconte Hendrik Ardenois. «En cherchant une idĂ©e faisable, nous avons commencĂ© Ă  explorer le monde de l’Horeca. C’est Ă  ce moment qu’on a commencĂ© Ă  voir apparaĂźtre les festivals de food trucks en Belgique, et nous avons constatĂ© que la street food gagnait en popularitĂ©. C’est un crĂ©neau qui nous a directement enthousiasmĂ© mais nous voulions faire les choses autrement. C’est ainsi que nous est venue l’idĂ©e d’utiliser non pas des food trucks mais des food bikes : des cuisines mobiles plus petites, mallĂ©ables et accessibles, y compris lĂ  oĂč il n’est pas possible de faire venir un camion, comme les jardins ou Ă  l’intĂ©rieur des salles.»

DU HOTDOG AU CONCEPT COMPLET

L’impulsion ultime est venue d’une expĂ©rience Ă  petite Ă©chelle lors des Gentse Feesten. «Laurent avait imaginĂ© un concept de hotdogs de luxe : des saucisses artisanales avec des garnitures fraĂźches dans de magnifiques petits pains. L’engouement a Ă©tĂ© immĂ©diat. Les gens sont rĂ©ceptifs Ă  la street food Ă  condition qu’elle soit bien prĂ©sentĂ©e. Cette expĂ©rience a boostĂ© notre confiance. Nous avons dĂ©cidĂ© de nous lancer et d’investir dans notre premier triporteur, une vĂ©ritable cuisine mobile. DĂšs le dĂ©part, l’ambition n’était pas de nous limiter aux festivals. Nous voyions du potentiel dans trois domaines : les Ă©vĂ©nements, les ventes itinĂ©rantes dans les centres-villes et le catering sur mesure. Pour nous, c’était surtout ce dernier qui avait le plus d’avenir car l’offre sous forme de street food Ă©tait assez limi-

tĂ©e Ă  l’époque. Et effectivement : au bout d’un moment, nous avons constatĂ© une nette progression du catering, qui est finalement devenu l’activitĂ© principale de notre entreprise.»

AVEC LA QUALITÉ VIENT LA CROISSANCE

L’essor de la street food a influencĂ© les attentes du public. «Les gens veulent de la qualitĂ© – pas des snacks rapides gras mais des produits frais, originaux et bien prĂ©parĂ©s. Et si vous pouvez proposer ça en prĂ©paration live sur un Ă©vĂ©nement, vous offrez directement une valeur ajoutĂ©e. Nous avons toujours Ă©tĂ© Ă  l’écoute de nos clients. Si quelqu’un Ă©met une demande, nous rĂ©flĂ©chissons directement Ă  comment la combler. Du coup, les demandes ont commencĂ© Ă  affluer plus massivement, sous l’impulsion du bouche-Ă oreille. Un projet privĂ© pour une garden-party chez quelqu’un dĂ©bouchant sur un projet pour son entreprise, par exemple. Et c’est comme ça que les choses ont commencĂ© Ă  bouger sĂ©rieusement. Les Ă©vĂ©nements prenant constamment de l’ampleur, notre garage a fini par ne plus suffire. C’est pourquoi aprĂšs deux ans, nous avons investi dans un quartier gĂ©nĂ©ral professionnel, dans une ancienne usine textile Ă  Gand. Nous y avons amĂ©nagĂ© une cuisine complĂšte, avec des chambres de rĂ©frigĂ©ration et de congĂ©lation. Cela a Ă©tĂ© d’une grande d’aide d’un point de vue logistique. Aujourd’hui, nous avons douze food bikes et nous pouvons prendre en charge le catering pour toutes sortes d’évĂ©nements de 30 Ă  3 000 personnes partout en Belgique.»

FOOD BIKES FLEXIBLES

Les food bikes sont Ă©videmment la marque de fabrique de The Street Food Company. «Nos vĂ©los repose sur une conception technique astucieuse. Ils sont entiĂšrement opĂ©rationnels, avec un systĂšme de refroidissement intĂ©grĂ©, des plans de travail en inox, une alimentation au gaz et, en fonction du concept, des Ă©quipements supplĂ©mentaires tels qu’un grill ou un cuiseur de pĂątes. Cela nous permet littĂ©ralement de nous installer au milieu d’une salle, sans devoir recourir Ă  l’infrastructure des lieux. Ce qui nous confĂšre une flexibilitĂ© Ă©norme. De plus, nos vĂ©los ont une esthĂ©tique visuelle soignĂ©e : lumiĂšres, dĂ©corations et un cachet vraiment personnel. Ils suscitent la curiositĂ© et deviennent souvent spontanĂ©ment un sujet de conversation sur l’évĂ©nement. Ils apportent aussi un « incentive olfactif », les gens sentent qu’il se trame quelque chose de sympa. Cela ajoute Ă  l’expĂ©rience. Pendant l’évĂ©nement, le vĂ©lo gĂ©nĂšre en outre un flux naturel : circulant avec un verre Ă  la main, les gens passent quand ils en ont envie. Cela cadre parfaitement dans la dynamique informelle que nous voulons crĂ©er.»

DES AMUSE-GUEULES AU DESSERT

Avec son offre, The Street Food Company entend se dĂ©marquer du traiteur traditionnel. «Lui aussi travaille avec des produits de qualitĂ©, mais servis dans une assiette en porcelaine. Nous utilisons des emballages jetables Ă©cologiques, qui permettent de manger tout en marchant. Comme un traiteur classique, nous commençons par les amuse-gueules, qui circulent parmi l’assemblĂ©e. Ils sont un peu moins raffinĂ©s, mais n’ont rien Ă  leur envier en termes de qualitĂ© et de saveur. Pour le plat principal, il y a plusieurs vĂ©los, en fonction de l’ampleur de l’évĂ©nement. Ils ont chacun leur propre concept. Par concept, il y a deux ou trois variantes plus une alternative vĂ©gĂ©tarienne. Les mets sont prĂ©parĂ©s en

direct sur le triporteur. Ce qui veut dire que nous cuisons la viande, les pĂątes et assemblons les plats sur place – cela crĂ©e de l’animation. Et comme nous ajoutons les garnitures sur place, nous pouvons facilement tenir compte des allergĂšnes ou des prĂ©fĂ©rences des invitĂ©s. Une fois le plat principal servi, les triporteurs sont entiĂšrement dĂ©barrassĂ©s et transformĂ©s pour le dessert. LĂ  encore, le client a le choix entre une quinzaines de propositions, Ă  nouveau avec plusieurs variantes.»

INTERACTION SPONTANÉE

L’expĂ©rience offerte par The Street Food Company ne rĂ©side pas uniquement dans la nourriture, mais aussi dans la prĂ©sentation. «Chez nous, le plat compte Ă©videmment, mais aussi le concept autour. Nos collaborateurs portent des jeans tendance, des tabliers en cuir et des sneakers. Informel mais professionnel. Et surtout : ils savent ce qu’ils servent. Ils ont tout goĂ»tĂ© et ils connaissent l’histoire. Cela dĂ©clenche souvent une interaction spontanĂ©e. Les gens posent des questions et ils reçoivent une rĂ©ponse enthousiaste. Chaque plat doit ĂȘtre servi comme vous aimeriez qu’on vous le serve. PrĂ©parĂ© avec amour, prĂ©sentĂ© avec soin. Nos fournisseurs ont souvent une chouette histoire aussi, et nous la partageons volontiers avec les clients. Nous considĂ©rons chaque plat comme un Ă©lĂ©ment d’un rĂ©cit, une part de l’expĂ©rience. C’est pourquoi nous prenons grand soin de briefer notre Ă©quipe. Tout le monde doit comprendre pourquoi nous faisons les choses, afin de le transmettre avec conviction.»

STREET FOOD CRÉATIVE AVEC UNE TOUCHE ORIGINALE

L’innovation est essentielle pour rester pertinent dans le secteur Ă©vĂ©nementiel. «Nous suivons de prĂšs les tendances

plus saine Ă  la pita classique – branchĂ©e, lĂ©gĂšre et surtout savoureuse. Notre Bao Bun est aussi dĂ©sormais un des chouchous du public. Chaque concept se dĂ©cline avec diffĂ©rentes garnitures et sauces, offrant une expĂ©rience variĂ©e au public. MĂȘme avec un seul vĂ©lo et un seul concept, nous pouvons servir tout un groupe sans que cela soit monotone. Pareil pour les desserts. Rien qu’un food bike, c’est l’assurance d’un choix variĂ© et de diffĂ©rentes options.»

FIDÈLE À SON ADN

C’est grĂące Ă  cette recette que The Street Food Company est devenu en dix ans un nom respectĂ© sur le marchĂ©

«NOUS VOULONS CONTINUER À INNOVER ET INSPIRER TOUT EN RESTANT FIDÈLES À NOTRE ADN.»

culinaires internationales, surtout aux États-Unis, en Asie et au Royaume Uni. On y voit souvent Ă©merger de nouveaux concepts encore inconnus ici. Nous rĂ©flĂ©chissons alors si nous pouvons les adapter Ă  notre public et notre format avec les triporteurs. Prenez par exemple notre Bao Bun, un petit pain vapeur asiatique avec de la poitrine de porc et des garnitures originales. Nous l’avons Ă©laborĂ© nousmĂȘmes, avec la participation de toute l’équipe. Tout le monde goĂ»te, partage son avis et ensemble, nous aboutissons au concept fini. Ensuite, nous lui donnons un nom, un logo et son propre style. Chaque annĂ©e, nous essayons de lancer deux Ă  trois nouveautĂ©s. Toujours parfaitement Ă©quilibrĂ©es : accessibles Ă  un large public mais avec une touche crĂ©ative. Nos plats doivent ĂȘtre surprenants, sans ĂȘtre trop

exotiques. Tout commence par un bon produit de base. Pour notre cheeseburger par exemple, nous travaillons avec une viande de qualité, du cheddar authentique, des cornichons frais, du ketchup et de la moutarde.»

DU « CHIEN CHAUD » À WHAT A PITA

Les formules les plus populaires de The Street Food Company reposent sur un Ă©lĂ©ment familier, rehaussĂ© d’une touche surprenante. “Nous avons plusieurs produits phares qui marchent toujours trĂšs bien. Le Warme Hond (chien chaud, ndt.), par exemple : une saucisse pur porc cuite lentement, servie dans un petit pain de qualitĂ© et accompagnĂ©e de garnitures fraĂźches. Ou What A Pita, un sandwich mĂ©diterranĂ©en offrant une alternative

PROPOSER LE MÊME NIVEAU D’HOSPITALITÉ VIA MEETING LAB

Outre The Street Food Company, les frĂšres Ardenois ont une autre entreprise : Meeting Lab. «Lorsque nous sommes arrivĂ©s Ă  Gand (Zwijnaarde) avec The Street Food Company, il y avait un ancien laboratoire dans notre bĂątiment. Et comme on nous demandait souvent des recommandations pour de chouettes lieux Ă  Gand, nous avons dĂ©cidĂ© de reconvertir ce labo en site Ă©vĂ©nementiel, que nous avons baptisĂ© The Lab. C’est un espace Ă©vĂ©nementiel pouvant accueillir 500 personnes, juste en dehors du centre, facilement accessible via le R4, et avec un spacieux parking. The Street Food Company peut Ă©videmment se charger du catering, mais pas obligatoirement. Vous pouvez choisir de faire appel Ă  un collĂšgue avec un service Ă  table.»

belge. «Nous avons commencĂ© Ă  deux mais nous sommes aujourd’hui toute une Ă©quipe», explique Hendrik. «Nous avons une dizaine de collaborateurs fixes en cuisine, au bureau, pour la vente, dans l’entrepĂŽt. En marge de cela, nous avons une rĂ©serve de 30 Ă  40 flexi-jobbers et d’indĂ©pendants. Lors des pics, nous engageons des Ă©tudiants via des agences spĂ©cialisĂ©es. Notre ambition pour l’avenir est claire. Nous voulons devenir la rĂ©fĂ©rence belge en matiĂšre de catering street food. Nous voulons continuer Ă  innover et inspirer tout en restant fidĂšles Ă  notre ADN. Nous sommes convaincus du concept de manger Ă  la main des mets prĂ©parĂ©s sur place et servis avec le sourire. Cela fonctionne et c’est lĂ -dessus que nous basons notre dĂ©veloppement futur», conclut Hendrik Ardenois.

The Lab a Ă©tĂ© le prĂ©curseur de Meeting Lab, un groupe de centres de rĂ©union et d'espaces Ă©vĂ©nementiels. «Car depuis, nous assurons aussi l’exploitation de Meeting Lab Brugge, dans le complexe de bureaux O-Forty Ă  Oostkamp. Encore plus tard, un nouveau bĂątiment abritant un centre de rĂ©union a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© sur le site de The Lab : la Polytoren Ă  l’Alinso Business Park, dont on nous a Ă©galement confiĂ© l’exploitation. À Gand comme Ă  Bruges, nous proposons des espaces haut de gamme pour les Ă©vĂ©nements, les rĂ©unions et les formations, oĂč nous visons toujours une expĂ©rience unique. Un service ultra complet soignĂ© dans les moindres dĂ©tails, offrant une hospitalitĂ© impeccable et un confort suprĂȘme. Tout comme pour The Street Food Company, l’ambition est d'offrir aux gens un accueil chaleureux et une expĂ©rience hors du commun. Pour qu’ils se disent : lĂ , ça me plairait bien d’y retourner.»

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EVENTS IN THE MIX : MIXING BUSINESS & PLEASURE

Avec son Grand Hall majestueux, son auditorium full Ă©quipĂ©, ses trois salles spacieuses et ses dix salles de rĂ©union, Mix est l’endroit idĂ©al pour les Ă©vĂ©nements et les sĂ©minaires rĂ©sidentiels Ă  Bruxelles. C’est tout sauf un lieu Ă©vĂ©nementiel traditionnel. Vous pouvez y loger avec style et faire du sport ou vous dĂ©tendre dans l’espace bien-ĂȘtre. DĂ©couvrez avec nous ce lieu Ă  l’énergie contagieuse. «Depuis la pandĂ©mie, renforcer les relations est plus important que jamais. Et c’est prĂ©cisĂ©ment ce que permet ce lieu. Nous voyons arriver des individus, et repartir des Ă©quipes», raconte le directeur Ă©vĂ©nementiel, William Boillot.

BÂTIMENT EMBLÉMATIQUE ET PRIMÉ À L’INTERNATIONAL

Mix est situĂ© dans la banlieue verdoyante de Bruxelles, dans l’ancien bĂątiment de la Royale Belge Ă  Watermael-Boitsfort. La tour cruciforme en acier Corten avec ses vitres miroirs orange est une icĂŽne architecturale conçue dans les annĂ©es 1970 par les architectes RenĂ© Stapels et Pierre Dufau Ă  la demande de l’assureur. Mix s’y est installĂ© aprĂšs un rĂ©amĂ©nagement complet. Transformer un immeuble de bureaux au design aussi caractĂ©ristique que clinquant en un lieu de rencontre multifonctionnel branchĂ© et dynamique n’est pas donnĂ© Ă  tout le monde, mais l’architecte d’intĂ©rieur Lionel Jadot y est parvenu avec brio.

Cet ambitieux projet innovant bruxellois suscite Ă©galement l’inÂŹtĂ©rĂȘt Ă  l’étranger. En 2024, Mix a remportĂ© deux MIPIM Awards. Lors du plus grand Ă©vĂ©nement international de l’immobilier, il a Ă©tĂ© couronnĂ© meilleur projet de rĂ©novation et meilleur projet Ă  usage mixte. Mix brise les frontiĂšres traditionnelles entre le travail, les loisirs et l’hĂ©bergement, et qui en plus est au coeur d’une des rĂ©fĂ©rences du patrimoine bruxellois. Cela crĂ©e un contexte unique oĂč les personnes de tous Ăąges et de tous horizons se sentent immĂ©diatement chez elles.

DÉCOR UNIQUE

Mix occupe les cinq premiers Ă©tages du bĂątiment. Le rez-dechaussĂ©e et le premier sont entiĂšrement dĂ©diĂ©s aux Ă©vĂ©neÂŹments et aux sĂ©minaires. Vous entrez via le Grand Hall, qui vous mĂšne jusqu’à l’auditorium, et aux salles de rĂ©union. Les restaurants se trouvent un Ă©tage au-dessus, et du troisiĂšme au cinquiĂšme Ă©tage, vous avez les chambres d’hĂŽÂŹtel.

Ce n’est pas tous les jours que l’on a l’occasion d’organiser un Ă©vĂ©nement dans un lieu protĂ©gĂ© du patrimoine bruxellois. L’intĂ©rieur de Mix est tout Ă  fait unique. Au sens propre, car Lio-

nel Jadot a fait faire de nombreux objets intĂ©rieurs sur mesure spĂ©cialement pour cet endroit. Ils ont Ă©tĂ© produits localement, signĂ©s et numĂ©rotĂ©s. Les matĂ©riaux rĂ©cupĂ©rĂ©s lors de la rĂ©novation ont retrouvĂ© une seconde vie dans les lampes, les Ɠuvres d’art et mĂȘme le bar.

«Jadot gĂšre l’espace avec beaucoup de crĂ©ativité», raconte WilÂŹliam. «Le bas-relief entourant certaines salles de rĂ©union, par exemple, a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en papier mĂąchĂ© Ă  partir de carton de rĂ©cupĂ©ration. Et des modules flexibles permettent de diviser le Grand Hall en zones plus petites.» Ce Grand Hall – avec ses plafonds Ă  7 mĂštres, ses colonnes en marbre et une imposante oeuvre d’art des annĂ©es 70 de Pierre Sabatier – peut accueillir 500 personnes et donne sur l’étang. »

ÉVÉNEMENTS SUR MESURE

Doter un bĂątiment protĂ©gĂ© de technologies modernes n’est pas une sinĂ©cure, mais Mix est parvenu Ă  Ă©quiper son auditorium de techniques audiovisuelles avancĂ©es. Avec une rĂ©gie, des cabines de traduction et une Ă©quipe expĂ©rimentĂ©e pour l’encadrement technique. Les Ă©vĂ©nements hybrides font Ă©galement partie des possibilitĂ©s. «Chez Mix, tout est lĂ  pour un Ă©vĂ©nement parfait, du dĂ©but Ă  la fin. Pour les demandes nĂ©cessitant une technologie de pointe, nous pouvons en outre compter sur notre partenaire Auvicom, qui a des Ă©quipements audiovisuels haut de gamme dans son assortiment.»

CĂŽtĂ© espace, Mix peut rĂ©pondre avec aisance aux besoins les plus variĂ©s grĂące aux trois salles spacieuses et aux dix salles de rĂ©union du site. Que vous ayez prĂ©vu une rĂ©union de conseil d’administration en petit comitĂ© ou une grande fĂȘte d’anniversaire avec hĂ©bergement et activitĂ©s annexes, ce lieu polyvalent se prĂȘte aux deux.

CONCEPT TOUT-EN-UN

Si vous ĂȘtes Ă  la recherche d’une expĂ©rience totale, vous ĂȘtes Ă  la bonne adresse : 180 chambres, trois restaurants, un bar avec cabine DJ et un food market interne. Sans oublier un espace de coworking, une salle de sport en duplex de 5 000 mÂČ et un spa avec cryocabines, hammams, saunas, jacuzzis et deux piscines de 25 mĂštres - l’une Ă  l’intĂ©rieur et l’autre Ă  l’extĂ©rieur. Aucun risque de vous ennuyer, donc.

«Nous remarquons que de plus en plus d’entreprises recherchent un concept global. Les entreprises internationales y voient aussi un cĂŽtĂ© pratique car leurs collĂšgues Ă©trangers peuvent passer la nuit sur place. Et le secteur sportif apprĂ©cie la variĂ©tĂ© de nos installations et activitĂ©s sportives. Le « bleisure » (mĂ©lange des mots business et leisure, alliant travail et dĂ©tente) est en plein essor. Les clients aiment combiner le sĂ©rieux du travail avec des activitĂ©s informelles pour renforcer l’esprit d’équipe. Cela n’a pas forcĂ©ment besoin d’ĂȘtre de grandes choses. Une promenade Ă  pied ou Ă  vĂ©lo dans la forĂȘt de Soignes fait dĂ©jĂ  des merveilles.»

Mix n’est pas un site Ă©vĂ©nementiel classique, mais un lieu vivant. Un jour ordinaire, vous y croiserez un mĂ©lange fascinant de rĂ©sidents locaux, de touristes, de professionnels et d’amateurs d’art et d’architecture. «Dans la cage d’escalier, les gens en costume cĂŽtoient les sportifs en short et legging. Ceux qui vont faire du sport aprĂšs le travail peuvent rencontrer dans la salle des habitants du quartier qui veulent garder la forme, ou des personnes ĂągĂ©es qui viennent faire leur sĂ©ance de gym hebdomadaire. Cela peut sembler Ă©trange mais ça fonctionne bien. Cela crĂ©e une ambiance agrĂ©able et dĂ©contractĂ©e», affirme William.

UN ÉCRIN DE VERDURE

Le bĂątiment est entourĂ© d’un grand jardin avec Ă©tang et se trouve juste Ă  cĂŽtĂ© de la forĂȘt de Soignes. La nature joue ici un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant et ça se ressent Ă  chaque dĂ©tail. Les stores des chambres, par exemple, se baissent automatiquement Ă  une heure donnĂ©e pour protĂ©ger les chauves-souris de la lumiĂšre excessive. Un crapauduc aide les batraciens Ă  traverser en toute sĂ©curitĂ©.

«C’est un peu diffĂ©rent des lieux Ă©vĂ©nementiels typiques en ville, mais gĂ©nĂ©ralement, les visiteurs sont sĂ©duits dĂšs l’entrĂ©e. Nous avons un public fidĂšle qui revient rĂ©guliĂšrement. Ils sont notam-

ment sensibles Ă  l’effet positif qu’exerce la nature sur leurs collaborateurs. Cela booste la crĂ©ativitĂ© et l’inspiration. Un esprit sain dans un corps sain. Tout le monde connaĂźt l’adage, mais les entreprises sont de plus en plus nombreuses Ă  rĂ©aliser l’intĂ©rĂȘt de faire une pause rĂ©guliĂšrement. La nature, le sport, la dĂ©tente et des repas sains sont une façon parfaite d’y rĂ©pondre.»

DURABILITÉ, UN MOT AUX MULTIPLES FACETTES

Ici, la santé des visiteurs est donc une priorité mais celle de la planÚte aussi. «Nous sommes certifiés BREEAM et B Corp. Pour nous, les labels ne sont pas une fin en soi, mais ils nous aident à démontrer objectivement les mesures que nous prenons pour un avenir plus durable.»

«Depuis la rĂ©novation, le bĂątiment est beaucoup plus Ă©conome en Ă©nergie. Les collaborateurs et les visiteurs sont encouragĂ©s Ă  utiliser le vĂ©lo ou les transports publics. Nous gĂ©rons l’eau avec parcimonie, nous Ă©vitons le gaspillage, nous limitons les dĂ©chets et nous privilĂ©gions les produits et fournisseurs locaux. C’est un travail de longue haleine et nous maintenons nos efforts afin de rĂ©duire notre empreinte Ă©cologique.»

ATTACHEMENT PROFOND AU SECTEUR

AprĂšs plus de 15 ans dans le secteur et un an chez Mix, la passion de William pour l’évĂ©nementiel est intacte. «J’adore mon job. Aucun Ă©vĂ©nement ne se ressemble. Surtout ici, dans ce cadre particulier. Tout est encore nouveau et Ă  la pointe des tendances. Nous voyons arriver des gens stressĂ©s, pliant sous la pression, et nous les voyons repartir le dos bien droit, les Ă©paules dĂ©tendues. L’offre de Mix vĂ©hicule clairement un dynamisme palpable, qui redonne de l’énergie. C’est formidable d’en faire partie.»

L’HISTORIQUE PALAIS SUR LE MEIR

SE MUE EN SITE ÉVÉNEMENTIEL

Le Palais sur le Meir, joyau rococo du 18Ăšme siĂšcle nichĂ© au cƓur d’Anvers, s’ouvre Ă  l’organisation d’évĂ©nements. Ce bĂątiment historique, qui a jadis appartenu Ă  NapolĂ©on Bonaparte et Ă  diffĂ©rents monarques, offre un cadre unique pour les Ă©vĂ©nements haut de gamme. RĂ©union professionnelle, dĂźner exclusif ou rĂ©ception sophistiquĂ©e, ce lieu emblĂ©matique offre une expĂ©rience inoubliable Ă  chaque invitĂ©.

Le Palais sur le Meir est un concentrĂ© d’histoire et d’élĂ©gance. DĂšs leur arrivĂ©e, les invitĂ©s sont immergĂ©s dans la riche histoire des lieux et peuvent explorer la partie musĂ©e un verre Ă  la main. Pour le reste de l’évĂ©nement, le bĂątiment dispose de plusieurs salles, chacune avec sa propre ambiance.

ESPACES IMPRESSIONNANTS

La piĂšce maĂźtresse est la majestueuse Salle des miroirs, avec ses lustres Ă©tincelants et ses dĂ©corations Ă  la feuille d’or. Au fil des annĂ©es, le palais royal belge a reçu ici diverses sommitĂ©s nationales et Ă©trangĂšres. Marchez sur les traces de ces dignitaires et vivez un Ă©vĂ©nement de networking inoubliable, un dĂźner VIP exclusif, une prĂ©sentation inspirante ou une rĂ©ception Ă©lĂ©gante dans ce dĂ©cor princier. Cette salle convient Ă  la perfection aux dĂźners assis jusqu’à 80 personnes, aux rĂ©ceptions jusqu’à 100 personnes ou aux prĂ©sentations en configuration théùtre.

Le Salon des portraits et le Salon de musique forment ensemble un espace polyvalent tout en Ă©lĂ©gance au rez-de-chaussĂ©e. Le Salon des portraits est parfait pour les rĂ©unions d’affaires, les dĂźners en petit comitĂ© et les concepts pop-up inspirants. En duo avec le Salon de musique, il offre un cadre dynamique idĂ©al pour les dĂźners jusqu’à 100 convives et les rĂ©ceptions jusqu’à 150 invitĂ©s. Pour les occasions plus modestes et/ou exclusives, le bĂątiment propose le Salon de l’impĂ©ratrice, situĂ© au premier Ă©tage, oĂč l’on trouve un dĂ©cor Ă©lĂ©gant et intimiste parfait pour les rĂ©unions de conseil d’administration ou les dĂźners assis jusqu’à 24 personnes. Le palais dispose en outre d’un magnifique espace extĂ©rieur pour les rĂ©ceptions estivales, concerts intimes ou Ă©lĂ©gants dĂźners en plein air.

ÉVÉNEMENTS SUR MESURE

AVEC UNE TOUCHE GASTRONOMIQUE

Le Palais sur le Meir ne se distingue pas uniquement par ses espaces Ă©poustouflants mais aussi par son service et son accueil haut de gamme. Son Ă©quipe Ă©vĂ©nementielle expĂ©rimentĂ©e offre une approche entiĂšrement personnalisĂ©e, oĂč chaque dĂ©tail est harmonisĂ© avec soin aux souhaits du client. De l’élaboration du concept Ă  la rĂ©alisation : chaque aspect est minutieusement pris en charge, quel que soit l’évĂ©nement.

Le Palais sur le Meir a encore d’autres cordes Ă  son arc, comme son expĂ©rience gastronomique. Le catering est entiĂšrement pris en charge en interne, et s’apparente Ă  un rĂ©cit gastronomique plus qu’à un simple volet culinaire. On y trouve des plats inspirĂ©s des menus retrouvĂ©s dans les archives du bĂątiment, Ă©laborĂ©s, entre autres, pour des dĂźners de gala en l’honneur de nos anciens souverains, ou encore le menu Le GoĂ»t de l’Empereur, qui reprend les plats prĂ©fĂ©rĂ©s de NapolĂ©on.

EN PLEIN CƒUR D’ANVERS

L’emplacement du Palais sur le Meir ajoute encore un atout supplĂ©mentaire : au centre d’Anvers, Ă  distance pĂ©destre de la Boerentoren et de la Maison de Rubens. Parfait pour un public local mais aussi international. Le Palais sur le Meir offre donc un cadre incomparable pour les entreprises et organisations Ă  la recherche d’un site Ă©vĂ©nementiel avec du caractĂšre et du prestige. Que ce soit pour une rĂ©union d’affaires, un lancement de produit, une rĂ©ception chic ou un dĂźner exclusif, le lieu confĂšre Ă  chaque Ă©vĂ©nement une touche royale.

ANVERS ACCUEILLE UN NOUVEAU ROOFTOP

Un nouveau rooftop va voir le jour au printemps en bordure du port d’Anvers. SituĂ© au-dessus de l'espace Ă©vĂ©nementiel DOCK3, Brisa offre un dĂ©cor extĂ©rieur unique avec une vue panoramique sur l'emblĂ©matique Capitainerie et les navires qui passent. C’est un nouvel horizon qui s’ouvre pour vos Ă©vĂ©nements !

Brisa est conçu pour toutes sortes d’occasions. Accueillant jusqu'Ă  250 personnes dans un concept ouvert, ce rooftop est idĂ©al pour les dĂźners au coucher du soleil, les afterworks, les silent discos et les fĂȘtes privĂ©es. Brisa se distingue par son charme industriel et son amĂ©nagement Ă©lĂ©gant. Le site est Ă©quipĂ© d’un container pour le bar, d'un container « food » et d'un container pour le DJ, astucieusement placĂ©s sur les cĂŽtĂ©s pour exploiter au maximum l’espace ouvert. L’élĂ©gant Ă©clairage LED et la dĂ©coration moderne crĂ©ent une ambiance unique.

La toiture-terrasse rayonne d’une atmosphĂšre exclusive par beau temps, mais elle s'accompagne aussi de deux tentes Ă  montage rapide qui permettent de s'abriter lorsque les conditions mĂ©tĂ©o sont moins favorables. De plus, les invitĂ©s peuvent facilement se replier vers la salle +1 de DOCK3, pour poursuivre la fĂȘte jusqu'au petit matin sans aucun problĂšme.

Brisa propose également un volet culinaire concocté avec soin. Vous avez le choix entre plusieurs formules, allant des barbecues de luxe aux menus d'inspiration Ibiza, en passant par une street food raffinée proposant, entre autres, haute dogs et burgers. Ces options gastronomiques ajoutent une dimension supplémentaire à chaque événement. Grùce au vaste parking de Kinepolis Antwerpen, le site est en outre facilement accessible.

EVENT WALLONIA : LE NOUVEAU RENDEZ-VOUS DES PROS DE L’ÉVÉNEMENTIEL

C’est une premiĂšre en Wallonie : les 25 et 26 novembre prochains, le WEX de Marche-en-Famenne accueillera Event Wallonia, le tout premier salon entiĂšrement dĂ©diĂ© aux professionnels de l’évĂ©nementiel. Un Ă©vĂ©nement pensĂ© comme une rĂ©ponse Ă  un besoin criant : offrir une vitrine locale aux talents et prestataires wallons du secteur.

À l’initiative du projet, AdĂ©laĂŻde Blondiaux souligne le constat de dĂ©part : « Beaucoup d’organisateurs professionnels cherchent encore leurs prestataires sur Google. Il leur manque encore un vĂ©ritable QG, une plateforme physique pour crĂ©er du lien et booster la visibilitĂ© de notre Ă©cosystĂšme. » Forts du succĂšs inattendu des Rencontres de l’évĂ©nementiel qu’elle avait organisĂ©es Ă  Namur en janvier dernier – un « simple » drink qui a attirĂ© plus de 250 participants –, les organisateurs d’Event Wallonia ont dĂ©cidĂ© d’ĂȘtre plus ambitieux afin de mieux rĂ©pondre aux besoins de l’industrie.

Avec une ambition affichĂ©e : 70 Ă  100 exposants rĂ©partis sur plusieurs villages thĂ©matiques (animation, logistique, communication, IT, MICE, etc.). Le salon suscite un grand intĂ©rĂȘt et ce n’est pas moins de la moitiĂ© des stands qui ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© rĂ©servĂ©s. Le programme, riche et variĂ©, prĂ©voit des confĂ©rences sur l’intelligence artificielle, le dĂ©veloppement durable, le marketing d’influence ou encore l’évĂ©nementiel comme levier d’attractivitĂ© territoriale. Un plateau TV permettra aussi aux entreprises de produire et diffuser leur propre contenu, et un gala festif viendra clĂŽturer la premiĂšre journĂ©e avec la remise de l’«Event Leader Award».

EXPÉRIENCE TOTALE

Mais Event Wallonia ne sera pas qu’un salon. ConfĂ©rences inspirantes, ateliers pratiques, sessions de networking
 ses organisateurs entendent bien en faire une expĂ©rience totale, oĂč mĂȘme les artistes auront leur scĂšne pour faire dĂ©couvrir leurs talents en live.

«Nous voulons que notre Ă©vĂ©nement soit une vraie boĂźte Ă  outils pour les organisateurs d’évĂ©nements», rĂ©sume AdĂ©laĂŻde Blondiaux. De la consultance Ă  la captation, en passant

par les DJ, les food trucks, les technologies, la logistique, les animations,
 on pourra retrouver tous les services nĂ©cessaires Ă  l’organisation d’évĂ©nements..

Objectif visiteurs ? 2.000 professionnels du secteur sur deux jours. Un dĂ©fi ambi tieux, mais rĂ©aliste au vu de la dynamique dĂ©jĂ  enclenchĂ©e. Plus qu’un simple salon, Event Wallonia se veut ĂȘtre le chaĂźnon manquant entre les nombreux acteurs d’un secteur crĂ©atif, dynamique mais encore trop peu visible au sud du pays. Une opportunitĂ© Ă  saisir.

EVENT WALLONIA

25 & 26 novembre 2025

Wex (Palais 3), Marche-en-Famenne www.event-wallonia.be

TUESDAY

C’EST PARTI POUR LES BEA AWARDS 2025 !

La bataille pour le tant convoitĂ© BEA d'Or est Ă  nouveau lancĂ©e : les inscriptions pour nos rĂ©compenses sectorielles annuelles sont ouvertes. Le concours des BEA met en lumiĂšre les projets les plus remarquables – des expĂ©riences live immersives aux concepts stratĂ©giques savamment orchestrĂ©s – et rĂ©compense le top du top du secteur Ă©vĂ©nementiel belge. Le dĂ©nouement aura lieu le 26 novembre, lors de la cĂ©rĂ©monie de remise des prix qui se dĂ©roulera dans un dĂ©cor surprenant Ă  l’Asiat Park.

Le mercredi 26 novembre 2025, les principaux acteurs du monde de l'Ă©vĂ©nementiel belge se retrouveront Ă  l'Asiat Park pour une nouvelle Ă©dition de cette prestigieuse remise des prix. Cette annĂ©e, l’organisation des Belgian Event Awards est aux mains de VO Event, membre de VO Group, qui a choisi de ramener la cĂ©rĂ©monie Ă  Bruxelles. Ce choix souligne non seulement le caractĂšre central de la capitale, mais aussi le bilinguisme du concours. L’évĂ©nement bĂ©nĂ©ficie en outre du soutien de visit. brussels et de ses partenaires : Brussels Booking Desk, Brussels Special Venues, Eurostar, Cardo Brussels, Thon Hotels, The Egg, Event Lounge, Mix Brussels et Jeux d'Hiver.

RENDEZ-VOUS DANS UN DÉCOR D’EXCEPTION

Cette annĂ©e, l’organisation des BEA a choisi un lieu particulier. L'Asiat Park, situĂ© juste Ă  l'extĂ©rieur du Ring de Bruxelles, est une nouvelle rĂ©fĂ©rence dans le paysage Ă©vĂ©nementiel belge, qui ne manque pas d’enflammer l’imagination. Cet ancien site mi-

litaire de 22 000 mÂČ, entourĂ© d'une nature luxuriante, allie un charme industriel brut Ă  un flair crĂ©atif original. Outre ses atouts esthĂ©tiques et fonctionnels, le caractĂšre Ă©cologique et social distinctif du site a Ă©galement jouĂ© un rĂŽle important dans le choix de VO Event. L’Asiat Park est un modĂšle de rĂ©amĂ©nagement durable, mettant l’accent sur la circularitĂ©, la participation locale et la crĂ©ation d’espace pour les projets communautaires. Le parc est amĂ©nagĂ© en diffĂ©rentes zones, chacune avec sa propre ambiance, ce qui en fait un terrain de jeu parfait pour n’importe quel organisateur. L’endroit idĂ©al pour une remise de prix qui place la barre trĂšs haut, par exemple. Les BEA Awards se dĂ©rouleront dans le Bazaar, le Pond Hall et le Club de l'Asiat Park.

COMPÉTITION DANS CINQ CATÉGORIES

Les BEA Awards sont bien plus qu’une simple cĂ©rĂ©monie festive. C’est un baromĂštre annuel de la crĂ©ativitĂ©, de l'impact et de la finesse stratĂ©gique de l’industrie Ă©vĂ©nementielle en Belgique.

Les organisateurs peuvent inscrire leurs projets rĂ©alisĂ©s n'importe oĂč dans le monde entre le 1er juillet 2024 et le 30 juin 2025, pour autant qu'ils rĂ©pondent aux conditions de participation dĂ©taillĂ©es dans le rĂšglement.

Les projets inscrits sont rĂ©partis en cinq catĂ©gories, reprĂ©sentant un segment spĂ©cifique du paysage Ă©vĂ©nementiel. Les Ă©vĂ©nements B2B s'adressent Ă  un public professionnel : clients, partenaires ou relations d'affaires, par exemple. Les Ă©vĂ©nements B2C ciblent les utilisateurs finaux ou les consommateurs et se distinguent souvent par le ressenti et l'expĂ©rience de marque qu’ils proposent. La catĂ©gorie B2E comprend les Ă©vĂ©nements professionnels internes, tels que les fĂȘtes du personnel et les anniversaires, qui mettent l'accent sur la culture d'entreprise. Les Ă©vĂ©nements institutionnels sont organisĂ©s par des organismes publics ou gouvernementaux et ont souvent une dimension sociale. Et les teambuildings, pour terminer, misent sur la coopĂ©ration et la dynamique de groupe.

DE LA PRÉSÉLECTION À LA FINALE : SEULS LES MEILLEURS ATTEIGNENT LE PODIUM

Le premier tour de sélection se déroule en ligne et permet d'évaluer si les dossiers ont le niveau suffisant pour accéder à la finale. Les sessions finales proprement dites sont prévues le 25 novembre. Les projets nommés seront alors présentés en live devant le jury d'experts. Ces présentations seront une fois encore accessibles gratuitement au public. Le lieu exact sera communiqué plus tard. Au cours de cette phase finale, le jury décernera un BEA d'Or, un BEA d'Argent et un BEA de Bronze dans chaque catégorie.

LES INSCRIPTIONS SONT OUVERTES !

Pour tenter de remporter un prix, vous pouvez inscrire vos projets dĂšs Ă  prĂ©sent et ce jusqu’au 15 juillet 2025. Les frais de participation s’élĂšvent Ă  750 euros (hors TVA) pour le premier projet et 600 euros pour chaque projet supplĂ©mentaire. On a aussi pensĂ© aux jeunes agences. Les agences fondĂ©es aprĂšs le 1er janvier 2022 ne paient que 210 euros (hors TVA) au premier tour. Elles ne devront payer les frais d’inscription complets que si leur projet passe en finale. L'inscription se fait trĂšs facilement via le formulaire sur www.bea-awards.eu. Vous y retrouvez Ă©galement le rĂšglement complet.

VOTRE ENTREPRISE PARTENAIRE DES BEA ?

Chaque annĂ©e, les BEA Awards reposent sur une collaboration unique entre des dizaines de partenaires heureux d’apporter leur contribution Ă  cette fĂȘte sectorielle. Vous souhaitez participer Ă  l’édition de cette annĂ©e en tant que traiteur ou fournisseur ? N'hĂ©sitez pas Ă  nous faire signe via cdc@eventbox.be

EVENTNEWS

© Messe Frankfurt - Jean-Luc Valentin

D-DREAM SOUFFLE SES 30 BOUGIES : TRENTE ANS DE DÉCIBELS,

DE TRAVAIL MINUTIEUX ET D’AUDACE

À l’origine il y avait la passion de l’électricien indĂ©pendant Carlos Scheirs, passion qui a grandi jusqu’à devenir un des grands noms du secteur audiovisuel. Aujourd’hui, c’est son fils Bram et sa fille Elke qui sont Ă  la tĂȘte de D-Dream : une entreprise familiale soudĂ©e, qui offre un soutien audiovisuel haut de gamme aux Ă©vĂ©nements d’entreprise. En l’honneur du 30Ăšme anniversaire de D-Dream, la famille revient sur les derniĂšres annĂ©es — sans perdre de vue l’avenir, avec un tout nouveau bĂątiment et une vision ambitieuse pour le futur.

DES FÊTES DE JEUNES AUX ÉVÉNEMENTS D’ENTREPRISE

La premiĂšre Ă©tincelle de cette entreprise professionnelle aujourd’hui florissante remonte aux annĂ©es ‘70, avec un bar disco fait maison pour la fĂȘte de la maison des jeunes. «Avec le salaire de mon premier job Ă©tudiant, je me suis offert une platine», se remĂ©more en riant le fondateur, Carlos Scheirs.

Et il poursuit, en toute honnĂȘtetĂ© : «Jamais je n’aurais pensĂ© que cela prendrait une telle ampleur. Mais quand vous ĂȘtes bon dans quelque chose et que vous continuez Ă  investir dans la qualitĂ©, la progression vient d’elle-mĂȘme.» À l’époque, la philosophie Ă©tait dĂ©jĂ  claire : «Quand vous faites quelque chose, il faut le faire bien. Une installation parfaitement rĂ©glĂ©e et une expĂ©rience optimale pour le public, telle Ă©tait et telle est toujours la prioritĂ©.»

LA NOUVELLE GÉNÉRATION À LA BARRE

Il y a 15 ans, Carlos a passĂ© le flambeau Ă  ses enfants. Bram a grandi parmi les cĂąbles et les flight cases. «Je suis Ă©bĂ©niste de formation, mais l’éclairage et la sonorisation ont toujours fait partie de ma vie», raconte-t-il. «C’est une vocation.»

Elke a Ă©tudiĂ© l’économie et est montĂ©e Ă  bord avec une mission claire : rationaliser les structures, affiner les processus et dĂ©finir la stratĂ©gie. «Je savais que je serais entrepreneure un jour mais je n’avais pas imaginĂ© entrer directement entrer dans l’entreprise familiale», explique-t-elle.

Bram et Elke forment une Ă©quipe complĂ©mentaire. Bram s’occupe Ă  la perfection du volet technique et de l’exĂ©cution opĂ©rationnelle et Elke supervise la stratĂ©gie et la politique Ă  long terme. «Nous nous complĂ©tons parfaitement», poursuit-elle. «C’est ce qui fait de D-Dream une entreprise solide mais aussi prĂȘte pour l’avenir.»

30 ANS DE D-DREAM

En septembre 2024, D-Dream a fĂȘtĂ© ses 30 ans. Et bien que le secteur ait Ă©normĂ©ment Ă©voluĂ© depuis les premiers pas de Carlos, une chose n’a pas changĂ© : la volontĂ© indĂ©fectible de D-Dream de crĂ©er de l’expĂ©rience — qui va de pair avec une attention mĂ©ticuleuse pour chaque dĂ©tail. «Dans notre secteur,

vous n’avez qu’une seule chance», souligne Bram. «SI quelqu’un n’est pas satisfait ou si quelque chose se passe mal pendant un Ă©vĂ©nement, vous n’avez pas l’occasion de recommencer. Ces 30 derniĂšres annĂ©es, nous avons appris Ă  ne rien laisser au hasard et cela ne changera pas.»

«Chez nous, «bien», ce n’est pas assez. Chaque cĂąble doit ĂȘtre Ă  sa place, chaque dĂ©tail parfaitement pensĂ© et exĂ©cutĂ©. Nous ne crĂ©ons pas seulement des installations son et lumiĂšre, nous crĂ©ons des expĂ©riences dont les gens continuent de parler longtemps.» —

Et c’est ce qu’il faut : car ce qui Ă©tait au dĂ©part une petite entreprise de location locale est aujourd’hui un grand nom de l’audiovisuel avec des gros Ă©vĂ©nements Ă  son actif. Il faut donc continuer Ă  cultiver ce perfectionnisme. Pour ce faire, D-Dream dispose d’un noyau permanent de collaborateurs et d’un vaste rĂ©seau de freelances. «Nous avons bĂąti une communautĂ© solide autour de notre entreprise», ajoute Elke. «Nos collaborateurs sont notre plus grand capital. Nous accordons une grande importance Ă  la crĂ©ation d’une ambiance de travail chaleureuse, familiale et nos clients le ressentent Ă©galement.»

ET LES 30 PROCHAINES ANNÉES ?

D-Dream est aujourd’hui solidement implantĂ© sur le marchĂ©, mais pas question de stagner. Bram et Elke sont des entrepreneurs, et les entrepreneurs ont toujours des projets. AprĂšs une multitude de dĂ©mĂ©nagements, D-Dream possĂšde aujourd’hui son propre site de 3 000 mÂČ, conçu sur mesure. «C’est bien plus qu’un nouveau bĂątiment», rayonne Carlos. «Cela nous permet de travailler plus facilement, plus efficacement et d’offrir un service encore meilleur.» Plus d’espace, des quais de dĂ©chargement et un grand monte-charge : la logistique est plus fluide que jamais. Les nouveaux bureaux sont spacieux, lumineux et agrĂ©ablement agencĂ©s ; parfait pour les brainstormings et les collaborations crĂ©atives. «Un cadre oĂč les idĂ©es peuvent circuler librement et oĂč nous Ă©crirons ensemble le nouveau chapitre de D-Dream», se rĂ©jouit Elke.

«Le secteur Ă©volue Ă  toute vitesse», avance Bram. «Nous ne voulons pas ĂȘtre des suiveurs, mais des meneurs.» La mission : des projets internationaux, une croissance continue et des Ă©vĂ©nements d’entreprise qui marquent les esprits. Non pas parce qu’ils veulent devenir les plus grands, mais parce qu’ils veulent continuer Ă  exceller dans ce qu’ils font. «Nous voulons progresser Ă  notre maniĂšre : en privilĂ©giant la qualitĂ© et les bonnes personnes», souligne Elke.

Et avec la mĂȘme passion que Carlos lorsqu’il a achetĂ© sa premiĂšre platine il y a tant d’annĂ©es.

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ANN VAN DEN BORNE (CHECKMATE) ÉLUE MEILLEURE ENTREPRENEURE DE CAMPINE

La remise du titre de Meilleure Entrepreneure de Campine a eu lieu lors de la JournĂ©e internationale des droits de la femme. Et en 2025, cet honneur est allĂ© Ă  Ann Van den Borne, directrice de l’agence Ă©vĂ©nementielle Checkmate Ă  Oud-Turnhout.

Avec 17 ans d’expĂ©rience dans le secteur Ă©vĂ©nementiel et une spĂ©cialisation dans les Ă©vĂ©nements pour les marques fĂ©minines, Ann a rĂ©ussi Ă  se dĂ©marquer des autres finalistes. GrĂące Ă  sa vision audacieuse, son approche crĂ©ative et sa mentalitĂ© pragmatique, elle a rassemblĂ© le plus grand nombre de votes et portera donc le titre de Meilleure Entrepreneure de Campine pendant un an.

«C’est vraiment une marque de reconnaissance incroyable. J’ai toujours aimĂ© entreprendre. C’est une vĂ©ritable aventure, avec ses hauts et ses bas, ses dĂ©fis et ses victoires et cela demande une solide dose d’ « enthousiasme ». Mais s’il y a une chose que j’ai apprise au cours de ma carriĂšre, c’est que c’est ensemble qu’on va le plus loin, quand on s’entraide et qu’on se soutient. Ce titre est l’aboutissement de 17 annĂ©es de travail acharnĂ©.”

DU RÊVE À LA RÉALITÉ, LA VOIE DE LA CRÉATIVITÉ

Ann a fondé Checkmate en 2008 avec une mission claire : aider les entreprises à donner une nouvelle dimension à leur expérience de marque grùce à des événements. Son agence est progressivement devenue une valeur sûre en Campine et bien au-delà, avec des clients comme LolaLiza, Roularta, Waasland Shopping, DPG et Wijnegem Shop-EatEnjoy.

Colophon: Experience Magazine est une publication trimestrielle de LEO BV

Couverture: JADA events

Tirage: 7.000 exemplaires

Distribution: Belgique, France, Luxembourg et Pays-Bas (Nederlandse versie op vraag verkrijgbaar)

Maison d’édition: LEO BVBA - Rue du Thier 8, 4122 NeuprĂ© - 0032 (0)486 13 13 08

ENTREPRENDRE, C’EST AUSSI SE SERRER LES COUDES

Checkmate a quitté Anvers pour la Campine il y a 6 ans et comme son réseau professionnel y était trop restreint, Ann a créé il y a 2 ans Het Kempen Kollektief, un réseau local pour les entrepreneures ambitieuses.

«Recevoir ce titre lors de la JournĂ©e internationale des droits de la femme y ajoute encore plus de signification. Car entreprendre, ça ne se fait pas seul(e). Je suis incroyablement reconnaissante envers mon Ă©quipe, mes clients et mon rĂ©seau. C’est une victoire que nous allons cĂ©lĂ©brer ensemble.»

www.check-mate.be

Éditeur responsable & rĂ©dacteur en chef: Jean-Paul Talbot, Rue du Thier 8, B-4122 NeuprĂ© - jp@eventbox.be

Impression: Imprimerie Hendrix, Peer Rédaction: Jeroen Coteur, Jacques Legros, Amandine Demal

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PROLIGHT + SOUND 2025 – VISION, CONNEXION ET CRÉATIVITÉ

Du 11 au 14 avril 2025, le Messe Frankfurt a de nouveau accueilli Prolight + Sound, le salon international des technologies de l’évĂ©nementiel et du divertissement. Lors de cette 30Ăšme Ă©dition festive, pas moins de 23 031 visiteurs professionnels de 108 pays se sont dĂ©placĂ©s pour dĂ©couvrir l’avenir de l’industrie. Avec 491 exposants et un programme riche, le salon s’est muĂ© un centre dynamique dĂ©diĂ© Ă  l’innovation, Ă  l’inspiration et au networking.

Le salon mettait l’accent sur trois thĂšmes centraux : la durabilitĂ© (« ProGreen »), l’intelligence artificielle et les technologies immersives (« FutureScapes »), et les solutions flexibles et intelligentes (« MultiTech »). Les visiteurs ont pu dĂ©couvrir des produits rĂ©volutionnaires tels que des systĂšmes d’éclairage et de sonorisation Ă  faible consommation d’énergie, des applications pilotĂ©es par l’intelligence artificielle et des technologies mĂ©dia modulaires.

Par ailleurs, Prolight + Sound 2025 s’est une fois de plus profilĂ© comme une plateforme de connaissances. Plus de 200 intervenants ont partagĂ© leur expertise dans le cadre de divers panels, confĂ©rences et ateliers. Parmi les nouveautĂ©s, il y avait notamment le programme spĂ©cial destinĂ© Ă  la communautĂ© du théùtre, avec des formats tels que le « Theatre Talk » et le « Theatre College ». L’industrie musicale Ă©tait Ă©galement au cƓur de l’attention, avec des sections interactives telles que MusicOneX et MixLab, ainsi que la DJ & Producer Conference.

L’évĂ©nement a attirĂ© un public international nombreux, avec 36 % de visiteurs hors Allemagne, originaires notamment des PaysBas, de France, du BrĂ©sil, du Japon et du Moyen-Orient. Plus de la moitiĂ© des participants Ă©taient des dĂ©cideurs, ce qui souligne la pertinence du salon pour les entreprises.

Parmi les temps forts, on citera la soirĂ©e festive « 30 Years of PLS » avec Wolfgang FlĂŒr (ex-Kraftwerk) et les prix Opus et Sinus Awards nouvelle formule, teintĂ©s cette annĂ©e d’un caractĂšre international.

«Avec plus de 580 Ă©vĂ©nements rĂ©partis sur quatre jours, Prolight + Sound 2025 a fait une dĂ©monstration impressionnante du pouvoir d’innovation de l’industrie. ÉvĂ©nements durables, technologies basĂ©es sur l’IA ou solutions techniques flexibles, les exposants ont illustrĂ© comment l’industrie de l’évĂ©nementiel et du divertissement rĂ©agit aux difficultĂ©s Ă©conomiques actuelles», rĂ©sume Wolfgang Marzin, prĂ©sident et directeur gĂ©nĂ©ral (CEO) du Messe Frankfurt. «L’Allemagne est l’un des marchĂ©s les plus importants du secteur et Francfort, avec sa situation centrale et ses excellentes infrastructures, offre des conditions idĂ©ales pour les Ă©changes mondiaux au sein de l’industrie.»

La prochaine Ă©dition de Prolight + Sound est programmĂ©e du 24 au 27 mars 2026 – toujours Ă  Francfort, qui donnera Ă  nouveau vie au futur des Ă©vĂ©nements.

www.prolight-sound.com

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