Débarquer sur le quai quand le métro arrive. Démêler le fil de ses écouteurs du premier coup. Dans le taxi, tous les feux sont au vert. Entendre un musicien de rue qui joue vraiment bien. Finir un appel important avec 1 % de batterie. La barmaid de chez Jeannette qui me file son numéro. Dembélé Ballon d’Or. Réussir à faire cuire des œufs sans casser les jaunes. Trouver le mot que l’on avait sur le bout de la langue depuis des lustres. Ne pas faire la queue à la Poste. Avoir un dossier administratif complet, avec tous les numéros. Un mioche dans le resto qui cesse de pleurer. Sortir au moment où la pluie s’arrête. Dormir tranquille, sans le ramdam des ébats des voisins.
Oui, cette journée à Paris a été parfaite. Fluide. Elle a tracé comme une perle de champagne sur de la soie. Quand les coïncidences s’alignent tels des astres et se transforment en petites victoires du quotidien, on tutoie les cimes et la capitale prend des allures de paradis.
Parfaite. Oui, vraiment, une journée parfaite, surtout quand, dans mon rade de quartier, je tombe sur le dernier exemplaire du Bonbon, ce magazine gratuit qui connaît Paris comme sa poche et rappelle que, grâce à ses bons plans, aimer sa ville et ses habitants ne tient plus au hasard...
¤ Mikado
On va voir Les demoiselles de Rochefort au Lido « Nous sommes deux sœurs jumelles, nées sous le signe des gémeaux », chantaient Catherine Deneuve et Françoise Dorléac en 1972. 53 ans plus tard, la comédie musicale reprend vie sur les planches du Lido. On retrouvera avec plaisir Delphine et Solange, qui rêvent de rejoindre la capitale pour réaliser leurs rêves : devenir danseuse et compositrice.
Les Demoiselles de Rochefort au Théâtre du Lido 116, av des Champs-Élysées — 8e À partir du 2 octobre 2025
On écoute toutes les nuances de la couleur à la Philharmonie Jusqu’en février, à travers plus de 200 toiles et objets, l’œuvre de Vassily Kandinsky sonne, vibre et résonne à la Philharmonie grâce à un dispositif immersif et sonore inédit. Ici, les couleurs chantent, les lignes dansent et les formes retentissent, dressant un pont entre notes et formes, couleurs et nuances. De quoi en prendre plein les yeux – et les oreilles.
Kandinsky, la musique des couleurs à la Philharmonie de Paris 221, av Jean-Jaurès – 19e Du 15 octobre 2025 au 1er février 2026
On investit dans de belles fenêtres en bois
C’est l’automne, c’est le moment idéal pour préparer son nid douillet pour la saison hivernale qui arrive à grand pas. Et contre la descente drastique des températures, on a trouvé une solution : de bonnes fenêtres. Spécialisé dans celles en bois, 1001 fenêtres sera votre meilleur allié. Finitions parfaites, excellent rapport qualité-prix... N’hésitez plus !
1001 fenêtres
71, rue Condorcet – 9e
Tél. : 01 45 33 03 86
LE ROI DU KEBAB
À deux pas de Nation, un petit spot street food fait trembler la hiérarchie du kebab. Avec son Berliner juteux, ses sauces maison qui claquent et son ambiance hip-hop sous néons, Streaters s’est imposé comme une référence à Paris.
Sacré meilleur kebab d’Île-de-France en 2023, puis meilleur de l’Hexagone en 2024 et 2025, le QG gourmand du 20e joue désormais dans la cour des grands. On a goûté, on a adoré.
Derrière la porte, c’est tout un univers : néons flashy, planches de skate en déco, rap qui pulse et fauteuils moelleux façon diner américain. Ici, on ne se
contente pas de caler une dalle, on savoure une vraie pause street food, avec un accueil aux petits oignons et des portions généreuses.
Oubliez les clichés du pain pita flasque et la viande qui dégouline de gras. Chez Streaters, on sent tout de suite la différence de qualité. Commençons par le pain : crousti-moelleux. Les légumes (courgettes, aubergines...) : crispy et pleins de saveurs. La viande ? Parfaitement grillée. Et les frites maison ? Dorées à souhait. Résultat : chaque bouchée a ce petit goût de reviens-y, celui qui vous assure de revenir avant même d’avoir terminé votre assiette.
généreux en viande et légumes grillés, twisté par des sauces maison, avec une pluie de feta pour le côté fondant. Mention spéciale pour la blanche crémeuse et la chili sauce, une sauce piment maison 10 fois plus forte que la harissa, à manger seule pour les plus courageux ou à mélanger à la sauce blanche. À tester absolument avec les frites, au risque de tirer une sacrée grimace.
Streaters ne s’arrête pas au Berliner : on y trouve aussi des wraps bien garnis, des burgers, des salades fraîches pour un déjeuner plus léger, et des assiettes complètes avec viande, crudités, légumes grillés et frites.
place du classement Kebab-Frites, ce n’est pas un hasard. La hype est méritée : l’adresse transcende le sandwich de rue en plat culte. Entre ses prix d’ami, son service ultra chaleureux et son goût inimitable, Streaters s’impose comme un stop obligatoire pour tout Parisien en quête du kebab parfait. ¤ R.T.
Streaters 39, rue des Pyrénées – 20e Ouvert du lundi au samedi de 11h à 23h streaters.fr @streaters_caprice
PIGALLE EN EXTASE
Bonne nouvelle : en octobre, notre festival parisien préféré MaMA Music & Convention est de retour à Pigalle. Au programme ? Plus de 150 groupes et artistes, 9 salles et lieux emblématiques du quartier, des concerts en pagaille… De quoi vibrer en musique pendant trois jours de fête !
Ses rues étroites, ses néons lumineux et son trottoir humide… Pigalle fait sans aucun doute la renommée des nuits parisiennes, entre fêtes imprévues et concerts enivrants. Et comme chaque année à l’automne, notre quartier chéri accueille le MaMA Music & Convention, un événement qui réunit plus d’une centaine d’artistes d’ici et d’ailleurs, dans plusieurs lieux emblématiques, sur trois jours de teuf. Toujours avec une programmation pointue et éclectique – incontournable pour découvrir les talents de demain – le festival fait son retour en grandes pompes pour une 16e édition du 15 au 17 octobre.
Comme d’habitude, le MaMa réunit près de 7 000 professionnel·le·s, de la musique représentant 50 pays, ainsi qu’un public averti, et investit les meilleures salles du quartier. Au total, les festivalier·e·s pourront venir découvrir 150 artistes du monde entier dans une dizaine de lieux
à Pigalle, avec La Cigale, La Boule Noire, le FGO Barbara, Les Trois Baudets, les deux salles de la Machine du Moulin Rouge, le Backstage By The Mill, le Centre Culturel Jacques Bravo et le Royal Bar. Tous ces spots sont à deux pas les uns des autres et ultra accessibles, pour un vrai festoche grandeur nature dans le meilleur quartier de la capitale.
Côté programmation, MaMA a comme toujours vocation à représenter le paysage musical actuel, tous styles confondus, en propulsant talents cachés et étoiles montantes qui feront la musique de demain. Et encore une fois, pour cette 16e édition, le MaMA ne risque pas de nous décevoir. Camille Yembe, Sonny Rave, Treaks, Wax Head, Bonne Nuit, Senseï H, Okali, Puta Da Silva… Tous ces noms qui feront les plus belles salles de Paname dans peut-être 1 ou 2 ans. Mais vous, vous les aurez découverts entre copains en plein Pigalle, et ça c’est beau. ¤ M.S.
MaMA Music & Convention Du 15 au 17 octobre 2025 @mamamusicandconvention mama-musicandconvention.com
LA PART DES ANGES
Vous aviez peut-être manqué cet été l’ouverture d’Amarvi, nouvelle pépite italienne située dans le 5e, à deux pas du Panthéon. Heureusement, le Bonbon et ses papilles affûtées n’ont pas manqué de la noter, et on vous propose de découvrir ce mois-ci cet incroyable resto qui vous transporte directement dans le passé.
Quand on passe la porte d’Amarvi, entre le Panthéon et la Sorbonne, impossible de ne pas être dépaysé. En quelques secondes, nous voici transportés loin de l’agitation de la rue à l’ambiance intimiste et chaleureuse d’un palais vénitien du XVIIIe. Il faut dire que, des murs aux chaises, en passant par les immenses lustres de Murano et les angelots qui se cachent ici et là, toute la décoration datant du siècle des Lumières a été chinée avec soin. Une ambiance de boudoir italien, poussée à l’extrême dans le salon privé situé au sous-sol, privatisable pour une quinzaine de convives. C’est dans cette pièce presque secrète que l’on retrouve une magnifique fresque restaurée sur laquelle se trouvent des petits anges, devenus l’emblème de cette nouvelle pépite de quartier.
Le voyage en Italie se poursuit dans les assiettes conviviales, qui subliment les produits de la Botte. Charcuteries et fromages de qualité, pâtes fraîches réalisées sur place, ou encore bruschetta, tout est fait maison, avec des produits de saison. Mais la star ici, c’est la pinsa, spécialité romaine à mi-chemin entre la pizza et la focaccia, qui se décline même en version sucrée, servie avec chocolat fondu, et pistaches concassées,
un délice. Côté boissons, on se délecte de l’incroyable sélection de vins italiens, même si quelques références françaises viennent contenter les plus chauvins.
Et si vous ne buvez pas d’alcool, aucun souci, sodas italiens, virgin prosecco et spiritueux sauront vous ravir. Cerise sur le gâteau, tous les samedis et dimanches, en plus de sa carte habituelle, Amarvi (« vous aimer », pour les non-italophones) vous propose un brunch gourmand, pour déguster affogato, brioche perdue et autres délices.
Buon appetito ! ¤ C.V.
Amarvi
9, rue Cujas – 5e
Tél. : 01 42 02 00 02
Tous les jours de 12h à 15h et de 18h à 00h amarvi.fr
@amarvi_restaurant
CRÉATIVITÉ ORIGINALITÉET
Ochi Ochi, c’est la petite pépite du 18e en matière de lunettes. Ici, qualité, durabilité, excellence et singularité sont rassemblées pour proposer des lunettes élégantes et uniques.
Une boutique chaleureuse à l’esthétique épurée, des montures de marques internationales, une grande sensibilité… C’est en plein cœur du 18e, entre Pigalle et Montmartre, que Ochi Ochi réinvente l’expérience de la lunetterie. Plus qu’une simple boutique, c’est un lieu où l’élégance et la qualité des produits règnent en maîtres. On y trouve notamment une vaste sélection de montures fabriquées à la main,
au Japon, reconnues pour leur résistance et la richesse de leurs couleurs, mais également des modèles d’American Optical et de marques européennes.
Ici, les collections évoluent deux fois par an pour proposer des paires de lunettes allant du classique indémodable à l’excentrique affirmé. Des marques emblématiques telles que Julius Tart et Native Sons réinterprètent des formes intemporelles, tandis que les montures de Shady Character ont cette allure pétillante et vintage, caractéristiques des années 60. Mêlant l’esthétisme français et japonais, les modèles de T-Henri, Sauvage et Max Pitton promettent
Communiqué
quant à eux une alliance entre l’audace et la sophistication.
Forte de plus de 20 ans d’expérience dans la lunetterie haut de gamme et trilingue (français, anglais, italien), Janna Lapidus, fondatrice de la boutique, accueille une clientèle locale et internationale avec chaleur, expertise et une attention personnalisée. Elle veille notamment à prendre le temps nécessaire pour que chacun·e trouve la paire qui lui correspond.
Et parce que la durabilité fait partie des maîtres-mots de cette boutique, Ochi Ochi met un point d’honneur
à proposer des modèles conçus pour durer. Parce que chaque monture est pensée pour accompagner son propriétaire dans le temps, un atelier se trouve à l’arrière de la boutique pour réparer et donner une nouvelle vie aux lunettes. Raffinement, unicité et pérennité, Ochi Ochi a trouvé la recette parfaite pour ceux qui souhaitent conjuguer esthétique et engagement.
¤ L.G.
Ochi Ochi 16, rue Houdon — 18e Du mardi au samedi de 11h à 19h ochi-ochi.com · @ochiochi_store
TOUS FOUS DE MOMO
Il y a un an et demi, Crazy for Momo, qui propose de délicieux raviolis népalais, ouvrait sa première adresse dans le 9e. Face au succès irréfutable de cette cuisine traditionnelle, et pour notre plus grand plaisir, la maison nous propose désormais une nouvelle adresse tout aussi irrésistible. Direction le 17e, pour découvrir ce deuxième restaurant hyper gourmand.
De Paris au Népal, il n’y a qu’un pas. Et c’est celui que l’on fait pour franchir la porte de chez Crazy for Momo. Dans la décoration assez épurée, on retrouve ici et là des touches qui nous transportent directement de l’autre côté de la planète. Sculptures traditionnelles, photographies au mur, ou encore des livres pour en apprendre
plus sur ce pays. Mais attention, si ici, ce sont les momo, des raviolis typiques des rues de Katmandou, qui sont à l’honneur, Soni, propriétaire et styliste, nous propose un véritable tour du monde gastronomique. Car si le Toit du monde s’invite des entrées aux desserts, il mêle aussi ses épices aux saveurs de pays voisins, ou un peu plus lointains. Si les momo, tous faits maison, sont disponibles dans des formules « classiques », ils se déclinent aussi à la sauce butter chicken, tandoori, alfredo ou même pesto. L’idée est simple, rendre la cuisine népalaise accessible, et surtout rassembler les gens et les cultures du monde entier sous un seul et même toit. Un lieu de paix surpassant les frontières et les challenges du monde actuel.
Communiqué
En plus des momo, disponibles au bœuf, au poulet ou aux légumes, et dans des recettes plus ou moins pimentées en fonction de votre niveau de tolérance, vous pouvez découvrir le dal bhat, un autre plat typique du Népal à base de riz, de lentilles, de poulet aux épices et de légumes. Une assiette extrêmement réconfortante alors que les températures parisiennes commencent à baisser drastiquement. Pour compléter, on profite de délicieuses entrées typiques, chaudes ou froides, végétariennes ou à la viande, comme les pani puri ou les mustang aloo (des frites à la népalaise) mais aussi de desserts à tomber par terre, comme le cham cham pona, un mélange de gâteau de semoule
et de tiramisu. Un conseil, n’hésitez pas une seconde avant de le commander, c’est à tomber par terre. Sans oublier les boissons, elles aussi importées directement du pays de l’Himalaya. En bref, c’est un voyage parfumé, épicé et délicieux qui vous attend chez Crazy for Momo. ¤ C.V.
Crazy for Momo 27, rue Brochant – 17e
Tél. : 09 53 69 19 94 91, rue Marguerite-de-Rochechouart – 9e
Tél. : 01 48 00 06 00 Ouvert tous les jours de 12h à 22h30
Fermé le dimanche dans le 17e @crazyformomo_paris TikTok : crazyformomo
TEA TIME COUTURE
Cet automne 2025, l’hôtel Paris Marriott Champs Elysées apporte son lot de nouveautés à la plus célèbre avenue du monde avec l’ouverture du restaurant-bar Jenny, inspiré de la grande créatrice de mode Jenny Sacerdote. Un établissement unique, qui propose chaque week-end, un Tea Time couture, on ne peut plus gourmand.
Paris, capitale de la mode, Paris, capitale de la gastronomie. Avec l’ouverture de son nouveau restaurant-bar, Jenny, l’hôtel Paris Marriott Champs Elysées rassemble ce qui fait l’excellence de la capitale. Dans cet écrin tout juste rénové et baigné de lumière, c’est une alliance unique entre tradition et modernité, et entre gourmandise et sophistication qui opère.
En complément du restaurant proposant des plats français traditionnels réinventés avec une touche internationale, c’est avec un Tea Time élégamment pensé par le chef Valentin Langlais, et proposé chaque samedi et dimanche de 15h à 17h30, que Jenny accueillera le grand public.
Et le nom n’a pas été choisi au hasard. Une femme prénommée Jenny Sacerdote a joué un rôle clé dans l’évolution du luxe et de la couture au 20e siècle. C’est dans son ancien atelier, occupé jusqu’en 1940, que le restaurant-bar a posé ses valises. Des lignes précises, une effusion de couleurs, des drapés dignes des plus beaux tissus… Comme pour la création d’une pièce de haute couture, chaque élément du tea time vient apporter une singularité pour, à la fin, obtenir une véritable collection.
Succès pistache, pavlova, biscuit de Savoie, tartelette soufflée au chocolat, mais aussi gougère à l’ail noir et à l’oignon doux confit ou focaccia piquillos pour apporter quelques saveurs salées… Le Tea Time se décline en six pièces généreuses, gourmandes et de saison, exclusivement végétariennes. On accompagne le tout d’un thé de la maison Dammann Frères ou d’un chocolat chaud à l’ancienne onctueux à souhait, et le tour est joué. Vous reviendrez le week-end prochain ? ¤ L.G.
Tea Time Jenny Paris Marriott Champs Elysées 70, av des Champs-Élysées — 8e
Tél. : 01 53 93 55 42
Samedi & Dimanche 15h-17h30 39 € par personne / 59 € avec une coupe de champagne jenny-restaurant.com @jenny_restaurant_paris
CAP SUR L’ANGLAIS
Kaplan International Languages, c’est l’organisme de référence pour les séjours linguistiques dédiés à l’apprentissage de l’anglais. Situé dans le 9e, ses conseillers vous accueillent pour vous accompagner dans chacune des étapes de votre projet à l’international.
Que ce soit pour voyager, profiter pleinement de la richesse culturelle du monde (films, séries, rencontres…) ou encore évoluer sur le plan professionnel, une chose est indispensable : maîtriser l’anglais. Justement, Kaplan International s’impose comme le leader mondial en matière de séjour linguistique. Et bonne nouvelle : ses conseillers vous accueillent tout au long de la semaine à Paris, dans l’agence située boulevard Montmartre, afin de vous guider et vous aider à préparer le voyage linguistique qui vous ressemble, selon vos envies, vos objectifs et votre niveau.
New York, Chicago, Toronto, Londres, Cambridge, Édimbourg… Que ce soit aux États-Unis, au Canada ou au Royaume-Uni, Kaplan offre la possibilité d’apprendre l’anglais en immersion totale dans plus de 20 destinations aux quatre coins du globe. Accessibles à partir de 16 ans et sans limite d’âge, ces séjours visent à vous rendre bilingue tout en vous faisant vivre une expérience absolument unique à l’étranger.
Quelle durée choisir ? C’est vous qui décidez ! Kaplan propose aussi bien des séjours courts (d’une semaine à un mois) qu’un programme d’Année d’études à l’étranger, décliné en trois cursus : Langue & Culture, Préparation universitaire et Programme Professionnel consacré au monde du Business Médias & Technologie, ou Communication & Arts.
Une fois inscrit·e, libre à vous de choisir un programme avec ou sans hébergement : une famille d’accueil pour une immersion complète ou en résidence étudiante pour un peu plus d’autonomie. Quelle que soit la ville et l’école que vous choisissiez, un calendrier hebdomadaire d’activités gratuites ou à prix avantageux vous sera proposé : visites, sport, sorties culturelles… Et surtout, même à distance, votre conseiller parisien reste disponible pour vous accompagner. Alors, prêt·e à passer le cap d’apprendre l’anglais tout en découvrant le monde ?
¤ L.G.
Kaplan International Languages 14, bd Montmartre — 9e Tél. : 01 48 00 06 00
Du lundi au jeudi de 9h à 18h Vendredi de 9h à 17h Samedi de 10h à 17h kaplaninternational.com/fr
AU CŒUR DES CUISINES PARISIENNES
Avec ses coulisses brûlantes de la gastronomie parisienne, Bistronomia est l’une des séries phares de l’automne. Entre fiction haletante et regard social, elle met en scène une jeunesse qui rêve de réinventer la cuisine.
Neuf épisodes d’une trentaine de minutes pour une première saison qui nous plonge dans l’univers exigeant de la haute restauration parisienne au début des années 2000. Avec Bistronomia, on suit un trio de jeunes vingtenaires passionnés de cuisine, entre rêves de toques étoilées et désirs d’émancipation. Johanna, cheffe brillante mais confrontée au racisme ; Amandine, héritière d’un nom déjà respecté ; et Vivian, aspirant critique culinaire, cherchent chacun leur place. Ensemble, ils étouffent dans un milieu élitiste, et rêvent d’une révolution des fourneaux : une gastronomie plus libre, plus juste et accessible à tous·tes.
Entre casseroles qui claquent, vapeurs brûlantes et cris de brigade, la série – créée par Marie-Sophie Chambon, Judith Havas et Camille Pierrard –capte l’intensité d’une cuisine où tout s’enchaîne à un rythme effréné, avant de se figer dans le calme du dressage millimétré et d’un service impeccable.
Hors service, on retrouve les personnages dans des bars et boui-bouis de quartier, où la discussion se poursuit autour de la culture culinaire française, entre passion et désillusion.
Pensée avec un souci de précision, la série s’appuie sur une vingtaine d’interviews de chef·fe·s et des centaines d’heures de documentation. Sous la direction de Marine Bidaud et d’Alexandre Cammas, chaque détail a été travaillé pour coller au plus près de la réalité des cuisines de haut standing à Paris. La présence du chef Yves Camdeborde sur le tournage a renforcé cette quête d’authenticité, garantissant une immersion juste et crédible dans ce milieu bouillonnant.
Résultat ? Bistronomia mêle drame culinaire et sujets de société avec brio : racisme, sexisme, violence hiérarchique... Dans ce milieu où les abus se cachent derrière l’exigence, la série ose montrer les failles. Certain·e·s y verront peut-être un The Bear à la française, ancré dans les réalités parisiennes.
¤ M.S.
Bistronomia Disponible sur france.tv
WISTARIA MUSIC PRODUCTION PRÉSENTE
SUCCÈS REPRISE !
SPECTACLE MUSICAL MON HISTOIRE
ANNE SYLVESTRE
DOLLY PARTON
JOSEPHINE BAKER
NINA SIMONE
JOAN BAEZ
MERCEDES SOSA
BILLIE EILISH FAIROUZ
MIRIAM MAKEBA
« Beaucoup de talent et d’émotions ! » LE FIGARO
« Sensibilité et humour... » LE CANARD ENCHAINE
« Une voix magnifique ! » LE FIGARO MAGAZINE
« Notre coup de cœur Culture ! » RFI
« Un moment rare... » SUD RADIO
« Juste incroyable ! » TATOUVU
« Une performance ! » ELLE
« Pétillante ! » TELERAMA
Journal d’un libraire qui ne croyait plus aux histoires, Le Libraire se Cache Vivian arrive dans un petit village pour y ouvrir une librairie. Sauf qu’il déteste les livres. Pourquoi s’est-il installé ici ? Pour suivre son plan, infaillible bien sûr, à la lettre. Mais ne comptez pas sur lui pour s’expliquer, cet homme discret est bien difficile à percer à jour. En mêlant son présent, ses traumatismes d’enfance et une bonne dose d’humour, ce roman nous fait découvrir un personnage attachant qui s’inscrit dans un récit captivant.
Aux éditions J’ai Lu
En librairie le 1er octobre 2025
Le jour où Rose a disparu, Julien Sandrel Lorsque Rose se réveille du coma, elle a perdu toute notion de sa vie d’avant. Elle tombe sous le charme de Léo, son médecin, mais derrière les sentiments de cet homme, se cache un profil violent et manipulateur. En parallèle, Aïda fait ses premiers pas à la Maison des Femmes de Toulon où elle rencontre Romain, un bénévole attendrissant qui regorge de mystères... Avec ce nouveau roman, Julien Sandrel signe une intrigue parfaitement menée jusqu’à la dernière page, tout en mettant en lumière des thématiques poignantes et on ne peut plus actuelles.
Aux éditions Harpercollins
En librairie le 1er octobre 2025
Terre des hommes, Antoine de Saint-Exupéry, Riad Sattouf
En 1939, Antoine de Saint-Exupéry publie Terre des hommes, roman bouleversant dans lequel il traite avec une poésie infinie de la condition humaine. Près de 100 ans plus tard, Riad Sattouf s’approprie ce texte, fondamental dans sa construction artistique, en l’enrichissant de plus de 150 illustrations. Un livre qui nous fait voyager dans le silence apaisé des cieux, et dans le cœur mouvementé des hommes.
Aux Éditions Gallimard
En librairie le 2 octobre 2025
Il lit dans les regards comme dans un livre ouvert. À 24 ans, Charlie Haid a l’élégance discrète de ceux qui préfèrent observer plutôt que parler, et l’art singulier de deviner ce qui nous traverse l’esprit. Mentaliste qui explose sur les réseaux et comédien révélé dans Loups-Garous sur Canal+, il poursuit le même désir : provoquer un déclic, reconnecter des cerveaux saturés d’écrans à l’instant présent. Après avoir rempli le PointVirgule et écumé les salles de France, il s’apprête à monter sur la scène de la Cigale et publie en parallèle Arrête de scroller, un protocole pour reprendre le pouvoir sur nos écrans.
DANS LA TÊTE DE CHARLIE
Dans Arrête de scroller, tu promets une méthode en 48h. Tu peux me parler du processus ? Comment tu y as pensé ? C’est né de ma propre expérience. Il y a deux ou trois ans, je me suis rendu compte que j’étais totalement accro : huit heures de temps d’écran par jour, parfois plus. J’ai commencé à tester des choses pour m’en sortir, passer un weekend entier sans téléphone, le laisser dans ma boîte aux lettres pour m’obliger à descendre six étages si je voulais l’utiliser, essayer des bloqueurs d’applications ou même un minitéléphone tactile volontairement pénible. Petit à petit, j’ai compris que le secret c’était d’ajouter de la friction entre moi et mon appareil. J’ai fini par construire une méthode qui m’a permis de passer de huit heures à une heure par jour.
Tu expliques que tu as toi-même dû hacker ton cerveau pour te libérer. Ça a été quoi ton déclic ?
Le vrai déclic, ça a été un week-end sans téléphone. Là, j’ai pris conscience
du conditionnement. Chaque moment de la journée devenait un déclencheur : rentrer chez moi, attendre dans une file, ressentir un stress… Tout me ramenait à mon portable. J’ai alors distingué trois niveaux : l’utilisation, les pulsions et les déclencheurs. Si tu travailles uniquement sur l’utilisation, tu replonges dès que le téléphone revient dans ta main. Ma méthode, c’est de commencer par réduire l’utilisation, ensuite casser les pulsions automatiques, et enfin éliminer les déclencheurs en changeant son environnement. J’ai même créé un petit galet connecté qui bloque mes réseaux sociaux tant que je ne le scanne pas. C’est une manière d’ajouter une barrière physique.
Ça t’arrive encore de replonger ?
Bien sûr. Je le raconte d’ailleurs dans le livre. En travaillant dessus, je me suis permis de retomber dans mes travers pour analyser les déclencheurs. Je pensais
que ça durerait une semaine, ça en a duré trois… Mais ensuite j’ai refait mon protocole et c’est reparti. Je ne prétends pas qu’on s’en débarrasse définitivement, le téléphone est trop présent dans nos vies. La différence, c’est que maintenant je sais comment réagir. Aujourd’hui, je vise un quart d’heure de temps inutile sur Insta.
J’aimerais qu’on aborde ce qui m’impressionne le plus chez toi, qui est ta pratique du mentalisme. Comment on s’y prend pour « lire » quelqu’un ? C’est quoi les premières choses que tu observes ?
Le mentalisme, c’est un mélange. Il y a les neurosciences, la psychologie, le non-verbal, et ce qu’on appelle le cold reading. Je commence souvent par le macro : l’allure générale, la posture, les bijoux, une alliance… Puis je formule
des hypothèses et je les affine en observant les réactions. C’est une succession de petites observations qui, mises bout à bout, deviennent bluffantes. Et parfois c’est plus simple. Tu savais qu’en regardant marcher quelqu’un, tu peux savoir s’il est gaucher ou droitier ?
Ta première rencontre avec cette pratique, c’est un soir de Noël chez tes grands-parents. Qu’est-ce qui t’a fasciné ce soir-là ?
J’avais 12 ans. Avec mon cousin, on a découvert des vidéos de mentalisme et on a passé la nuit dessus. Ce qui m’a frappé, c’est qu’il n’y avait pas de trucage matériel, juste l’esprit. L’idée de pouvoir deviner quelque chose uniquement à partir de l’observation, sans accessoire, m’a totalement happé.
Tu as commencé le mentalisme pour vaincre ta timidité. Tu te considères encore comme timide ?
LA BONNE ÉTOILE
Ça va beaucoup mieux. J’ai encore des moments où je me sens réservé, selon le contexte ou la personne, mais j’ai appris à dépasser ça. Aujourd’hui je fais même des exercices pour m’« échauffer socialement » : parler à des inconnus dans la rue, faire des compliments. Je le fais avant une interview par exemple. Ça m’aide à être plus à l’aise.
Parmi tous les biais que tu manipules, tu as un petit préféré ?
L’effet projecteur. On surestime le regard des autres en moyenne dix fois plus qu’il ne l’est en réalité. Quand j’ai appris ça, ça m’a changé la vie. Et puis il y a le biais rétrospectif : notre cerveau réécrit l’histoire après coup en se persuadant qu’il « savait déjà ». C’est fascinant.
Dans ton spectacle, tu mélanges stand-up et mentalisme. Si tu devais le définir par une sensation physique plutôt qu’un pitch, ce serait quoi ?
Je dirais un déclic. Cette sensation que tu peux avoir en séance avec un psy, quand une phrase te fait comprendre quelque chose d’inattendu mais qui paraît tellement évident. Deux parties de ton cerveau qui semblaient éloignées se connectent d’un coup. Dans mon spectacle, j’essaie de provoquer ce même type de connexion. Je monte en intensité jusqu’au moment où, à la fin, un mot apparaît dans leur tête comme par magie.
Tu es né à Hyères mais tu vis maintenant à Paris. Comment s’est passé ce passage du Sud à la capitale ?
Doucement. J’ai commencé à venir régulièrement l’année dernière et j’y vis officiellement depuis le mois d’avril. Je redescends quasiment tous les mois, le Sud reste mon attache. Paris, c’est d’abord pour les opportunités, mais je commence à aimer la ville. C’est un terrain d’observation incroyable pour un mentaliste. Je peux m’asseoir en terrasse, regarder les passants, aller leur parler. Ce qui paraît anodin dans le Sud devient presque
surprenant à Paris, les gens ne s’attendent pas à ce qu’un inconnu leur adresse la parole ! C’est plus dur de créer un contact, mais du coup plus stimulant.
Tu passes ton temps à décoder les gens, et Paris, c’est une ville où les gens masquent beaucoup. Est-ce que c’est plus dur de lire les Parisiens que les autres publics ? Absolument. Les Parisiens se protègent, ils sont moins démonstratifs. Quand tu fais une expérience ici, ils vont rester plus mesurés dans leurs réactions, alors que dans le Sud les gens explosent tout de suite, ils se lèvent, ils crient… À Paris, le regard de l’autre est plus pesant, tout le monde a peur d’être jugé. C’est un des publics les plus difficiles, mais paradoxalement, c’est aussi ce qui rend l’expérience plus amusante pour moi. Si tu arrives à les surprendre, l’impact est décuplé. Paris est sans doute le terrain le plus dur, mais aussi le plus formateur.
¤ Sarah Sirel
Arrête de scroller / ed. Albin Michel / déjà disponible
« Intensément Mentaliste »
En spectacle à la Cigale le 22 février 2026 120 Bd Marguerite de Rochechouart — 18e
DANS LA JUNGLE URBAINE
SPECIAL HALLOWEEN
BÉLIER
21 mars au 19 avril
Alors vous c’est Misery, je vous vois sous l’emprise d’un ogre malade mental, vous êtes dans une sorte de prison et votre bourreau joue avec vos nerfs. Il faut à tout prix vous sortir de là. En gros ceux qui sont mal en couple doivent en sortir au plus vite, la vie est courte.
TAUREAU
20 avril au 21 mai
Joker. C’est la remise en question totale, vous pétez les plombs et finalement bah c’est vous le tueur psychopathe dans votre film d’horreur. Bon, dans la vraie vie vous n’irez pas si loin, mais prenez soin de vous et éviter d’engueuler les gens pour rien.
GÉMEAUX
21 mai au 21 juin
Vous, vous êtes dans Scream, un tueur rôde et personne ne sait qui c’est. Et vous vous trompez de suspect. Si je dois être clair vous avez un objectif dans la vie, ne vous trompez pas de cible, arrêtez de vous éparpiller.
CANCER
22 juin au 22 juillet
Destination finale, vous avez eu tellement de chance récemment que la mort veut vous rattrapez. Évitez de suivre les camions à rondins sur l’autoroute. En vrai, tout va bien, c’est un super mois d’octobre qui vous attend.
LION
23 juillet au 22 août
Massacre à la tronçonneuse, votre famille revêt des masques faits de peaux humaines et découpent les jeunes qui passent pour camper tranquille. Dans la vraie vie vous avez des petits problèmes de famille à régler, rien de grave…
VIERGE
23 août au 22 septembre
Terminator, votre conjoint est en réalité un cyborg envoyé du futur pour détruire tout espoir dans l’avenir de l’humanité, pas cool ! Dans la vraie vie, une petite explication et un gros câlin, et tout ira bien !
La situation était tellement catastrophique pour tout le monde que nous avons trouvé ce thème de circonstance : votre vie vue comme un film d’horreur ! Au tirage de cartes Perlouze, à la lecture de ma grosse boule de cristal Miss Raph.
¤ Miss Raph & Perlouze
BALANCE
23 septembre au 23 octobre
Vous allez passer un Halloween à la Gone Girl, vous faire passer pour morte et accuser votre mari/ femme pour vous recentrez, voir des exs, et réfléchir à votre vie. L’image est claire, prends du TPT (temps pour toi).
SCORPION
24 octobre au 22 novembre
Les oiseaux. Vous regardez tellement le ciel que des oiseaux vous attaquent ! Restez chez vous et évitez les excès, ces vilaines bêtes au gros bec qui pue finiront bien par partir. Attention au chiffre 7.
SAGITTAIRE
23 novembre au 22 décembre
Ambiance The Substance ici. Vous refusez de changer, d’accepter le fait d’évoluer, à tel point que vous allez vite devenir un monstre. À vous de vous en rendre compte avant de saouler tout le monde dans la vraie vie.
CAPRICORNE
23 décembre au 20 janvier
The Shining. Vous allez passer l’hiver dans un hôtel glauque perdu au milieu de la neige et faire peur à tout votre entourage. Un petit conseil pour la vraie vie : arrêtez de vous enfermer et open your heart !
VERSEAU
21 janvier au 18 février
Midsommar : attention à ne pas être naïf au point de vous faire embarquer dans une secte juste parce que vous n’êtes pas capable de voir que votre conjoint est toxique ! Dans la vraie vie tout va bien en revanche, mais vous devriez vous exprimer plus !
POISSONS
19 février au 20 mars
Les dents de ta mère. Il va falloir discuter avec ta mère très rapidement, vous avez un conflit à régler. Mais en regardant de plus près, ce n’était qu’une casquette aileron de votre maman toute mignonne.
RETOUR EN AUTOMNE
Écris-nous pour apparaître dans le hors-série festival ou monter un projet sur-mesure ! ines.f@lebonbon.fr
Belle1ère victoireduBonbonFC
Bravo Elmuth pour tes 31
Hâte du Japon
Merci pour tout et bonne route à vous
Maymouna, Capucine
Théau, sors ton poêlon fais griller des marrons !
Rdv le 4 pour lancer de la boulle et casser de la quille sur un rythm à la Gipsy King. Bapt’ prépare ta combi lycra pour tes mouv. à la Jesus !
Mamanayooo les vacaaances, la rentrééée, la fatiiigue Pfiouuuuuu Titi & Anne