Spécial
Hommes de vision
Voyage
Vols directs à partir de Québec
Road-trip en Afrique du Sud
Les avantages de l’éducation au privé
STEEVE MORIN
Propriétaire des restaurants
La Fenouillère et Le Galopin
En page couverture :
Steeve Morin, propriétaire des restaurants La Fenouillière et Le Galopin.
NOS SECTIONS
Deux bien tristes nouvelles ont assombri le printemps de cette année. D’abord, le départ de Pierre Champagne, puis celui de Michel L’Hébreux, deux anciens collaborateurs du Magazine Prestige
Journaliste au quotidien Le Soleil durant 50 ans, celui que ses proches surnommaient affectueusement « Pedro » fut aussi aux premières loges lors de la création du magazine Prestige en 1996. C’est lui qui donna l’idée à Denys et Pierre Paul-Hus, les cofondateurs, de créer un cité-magazine haut de gamme qui mettrait en valeur les gens, les entreprises et les institutions de Québec. De la création du magazine jusqu’en 2013, il fut l’auteur d’un nombre incalculable d’excellents reportages. Et bien qu’il profitait d’une retraite bien méritée, il continuait de lire religieusement le magazine qu’il recevait chez lui, et ne manquait jamais de m’envoyer ses commentaires ou ses félicitations.
Quant à M. L’Hébreux, il était notre ardent défenseur du pont de Québec, auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet. En 2020, Prestige avait d’ailleurs publié l’un de ses passionnants articles sur le sujet : Anecdotes et curiosités sur le pont de Québec . L’année précédente, il m’avait écrit personnellement pour me demander la permission d’inclure dans son prochain ouvrage (Curieuses histoires du Pont de Québec , publié aux éditions du Septentrion) l’un de mes éditoriaux intitulé Lorsqu’un pont est plus qu’un pont… (édition spéciale Lévis, juin 2015). Vous dire à quel point je fus flattée par sa demande que je m’empressai d’accepter ! Lorsque son livre sortit en librairie, il me contacta pour m’offrir une copie dédicacée de son ouvrage que j’allai chercher chez lui avec une fierté non dissimulée.
Nous eûmes alors la chance de discuter longuement sur plusieurs sujets. M. L’Hébreux était un grand érudit, sans aucune prétention et d’une extrême gentillesse. Son départ, comme celui de Pierre Champagne, m’attriste énormément. Ces deux hommes représentaient à mes yeux des gardiens du trésor. Alors que « Pedro » continuait de veiller sur Prestige à distance, M. L’Hébreux, lui, veillait sur le pont de Québec.
Depuis la vente de Prestige à L’Antidote Médias, le magazine s’est trouvé de nouveaux gardiens du trésor. Je vous invite d’ailleurs à en apprendre davantage sur les hommes de vision qui se trouvent derrière cette entreprise dynamique (à lire en page 16). Mais je suis un peu plus inquiète pour le sort du pont de Québec devenu orphelin… Qui veillera désormais sur lui ?
Parce que la vie continue malgré les vides qu’elle provoque, je vous souhaite un très bel été ! Profitez du beau temps ! On se retrouve en septembre prochain !
Marie-Josée
Turcotte Rédactrice en chef
JUIN 2023
Vol. 28, no 2, 235e parution
Publié par :
L'Antidote Médias
RÉDACTRICE EN CHEF
Marie-Josée Turcotte
DIRECTION DES VENTES
France Bélanger
RÉDACTION
Ariane Arpin-Delorme
Jean-Pierre Bouchard
Cendrine Chénel
Nathalie Clark
Réal Demers
Mélanie Larouche
Jean-Marie Lebel
Gilles Levasseur
Johanne Martin
Marie-Claude Savoie
CORRECTION ET RÉVISION
Gilles Levasseur
PRODUCTION, GRAPHISME
Atelier 480
PHOTO PAGE COUVERTURE
Marjorie Roy, Optique Photo
PHOTOGRAPHIES
Marc-Éric Baillargeon
Marjorie Roy
IMPRESSION
Solisco
DISTRIBUTION RÉSIDENTIELLE ET COMMERCIALE
Postes Canada
Dépôt légal Bibliothèque nationale du Canada ISSN-1205-6707
Dépôt légal Bibliothèque nationale du Québec
Magazine Prestige 6500, boul. Pierre-Bertrand, bureau 200 Québec (Québec) G2J 1R4
Téléphone : 418 683-5333 www.magazineprestige.com
Rédaction et production : info@magazineprestige.com
Publicité : france.belanger@lantidote.com 418 998-1333
Cette édition est distribuée à 20 000 exemplaires.
Les opinions émises dans les articles publiés par le magazine Prestige n’engagent que leur auteur.
Une publication de
Mercedes-Benz change l’avenir avec l’innovant Mercedes-Benz EQE. Visitez notre concessionnaire pour plus de détails.
Le 25 avril dernier marquait l’ouverture de La Galerie de la Passerelle du Capitole Hôtel, avec le vernissage d’une première exposition organisée en collaboration avec les Galeries d’Art Beauchamp. Intitulée Entre Ciel et Terre , l’exposition met en vedette l’artiste émergente Marjorie Roy, qui est également photographe pour le magazine Prestige Ouverte au grand public et accessible gratuitement, la galerie se trouve au 7e étage du Capitole, dans la passerelle qui relie le bâtiment d’époque à la nouvelle portion. Une visite s’impose au cours de l’été !
Le 6 mai dernier avait lieu la Soirée des prix Construire de l’ACQ au Fairmont Le Manoir Richelieu de Charlevoix. À cette occasion, Revenco a remporté le prestigieux prix Construire pour la région de Québec. Reconnue pour sa rigueur et sa passion, l’entreprise, qui compte 350 employés, s’est distinguée non seulement par la qualité de ses réalisations et sa contribution à l’essor de l’économie québécoise, mais aussi par son engagement social.
En effet, Revenco s’implique activement dans plusieurs causes. À titre d’exemple, l’entreprise a organisé un défi de spinning le 22 avril dernier au Club Avantage MultiSports au profit d’Adaptavie. L’activité a permis de récolter 43 796 $. Les fonds serviront à la Randonnée Jimmy Pelletier… à laquelle participera Alain Lemieux, président de Revenco. Dans le cadre de ce défi, les cyclistes participants devront franchir 500 km en 4 jours, entre le 28 juin et le 1er juillet 2023.
Jean-Marie Lebel (à droite) reçoit sa médaille des mains du lieutenant-gouverneur du Québec, l’honorable J. Michel Doyon
LA MÉDAILLE DU LIEUTENANT-GOUVERNEUR POUR JEAN-MARIE LEBEL
Notre chroniqueur historien Jean-Marie Lebel s'est vu décerner la médaille du lieutenant-gouverneur pour les aînés en reconnaissance de sa longue implication bénévole dans la mise en valeur de l'histoire et du patrimoine de Québec. Entre autres contributions, M. Lebel est membre du conseil d'administration de la Société historique de Québec depuis 25 ans. Il est aussi l’auteur de plusieurs ouvrages d’histoire, en plus de signer une chronique dans le magazine Prestige depuis 1996.
© Audet Photo
Le 17 mai dernier, le magasin Roche Bobois a invité les designers d’intérieur, architectes, prestigieux clients et partenaires à venir célébrer le 50e anniversaire de la marque à Québec. À cette occasion, les invités ont pu admirer la nouvelle collection printemps-été ainsi que les œuvres de l’artiste Tania Girard-Savoie de la Galerie AMF, qui exposait lors de l’événement. Si ce n'est déjà fait, nous vous invitons à lire le reportage publié dans l'édition Mai 2023, qui retrace la riche histoire de Roche Bobois dans la capitale.
New York, et Charles Matharan, directeur des opérations de Roche Bobois Montréal.
Plus de 200 invités ont assisté le 18 mai dernier au gala des Grands Québécois 2023, qui a eu lieu dans la Salle des promotions du Séminaire de Québec. La soirée festive organisée par la Chambre de commerce et d’industrie de Québec a permis de souligner le parcours admirable de quatre personnalités qui se sont démarquées dans leur secteur respectif.
Pr Jacques Simard, chercheur au Centre de recherche du CHU de QuébecUniversité Laval, vice-doyen à la recherche et à l’innovation à la Faculté de médecine de l’Université Laval (secteur sciences); Yves Jacques, comédien (secteur culturel); Dre Christine Houde, cardiologue pédiatre du CHU-CME (secteur social); et Jean St-Gelais, président du conseil d’administration de Beneva et de la Caisse de dépôt et placement du Québec (secteur économique).
Bienvenue à B ord ! vous allez décoller pour faire le « Tour du Monde ». au prograMMe : visiTes des villes eT siTes My Thiques sur Tous les conTinenTs, renconTres inou B lia B les, soirées de gala, M o M en Ts enchan T eurs, éMoTions rares. on diT de ce voyage sans pareil qu’il esT celui d’une vie !
Pour ce grand « Tour du Monde », qui se déroulera du 24 octobre au 14 novembre cet automne, au départ de Paris, la compagnie française de voyages de luxe Safrans du Monde propose une croisière aérienne qui fait rêver ! Cette expérience unique coûte entre 75 000 $ et 115 000 $ par personne selon le forfait choisi.
Dans le confort de votre bel avion privé, le ciel se fait chic. Votre siège est attitré. Apéritifs, canapés et repas sont préparés, puis servis avec tout l’Art de Vivre à la française, sur une nappe et une vaisselle dignes des plus beaux jets privés.
Séjour en Australie, au pays des koalas et des kangourous. Une croisière dans la baie de Sydney est notamment au programme.
Escale à Rio de Janeiro, au Brésil.
Spécialement aménagé pour accueillir 100 passagers au lieu de 300, cet Airbus A340 offre un confort absolu alors que les larges fauteuils se transforment en lits parfaitement horizontaux.
Ce voyage d’une vie se veut un véritable festival d’émerveillements tous les jours ! Le premier arrêt est Rio de Janeiro, au Brésil, où les voyageurs visiteront les célèbres plages d'Ipanema et de Copacabana, ainsi que le Pain de Sucre. Par la suite, cap sur le Pérou, à Cusco, la porte d'entrée du Machu Picchu, suivi de l'île de Pâques, au Chili, sur laquelle veillent des géants de pierre.
Le voyage se poursuit à travers le Pacifique avec une escale en Polynésie française pour un séjour exotique de quatre nuits, avant de se rendre à Sydney, où les invités feront une visite privée de l'Opéra. Ensuite, ils sont transportés au nord-ouest vers Hanoi pour admirer l’une des merveilles naturelles les plus incroyables et l’un des trésors les plus prisés du Vietnam : la baie d'Halong.
Les dernières merveilles visitées seront, par la suite, le Taj Mahal, à Agra en Inde, et enfin, ce sera l’apothéose en Jordanie, au pied des temples roses de Pétra et dans le désert du Wadi Rum.
Ce tour du monde se fait dans le confort d’un Airbus A340 spécialement aménagé pour faire vivre aux voyageurs une expérience unique, raffinée et luxueuse. L’appareil initialement conçu pour près de 300 passagers n’est équipé que de 100 fauteuils larges et très confortables qui se transforment tous en lits parfaitement horizontaux. La séparation de deux mètres entre chaque rangée et la configuration en duos assurent calme et intimité. Pour des moments de convivialité, vous pourrez socialiser et prendre un verre à l’espace salon, confortablement assis dans de grands sofas en cuir. Le forfait comprend des escales terrestres dans des hôtels 5 étoiles incluant les repas, les soirées et les spectacles.
C’est le luxe absolu et la quintessence du voyage à chaque destination pour faire vivre aux privilégiés voyageurs des moments uniques, précieux et inoubliables !
La nature grandiose de la baie d’Halong.
Dossier spécial
ils n’onT pas froid aux yeux, aiMenT relever des défis de Taille eT se réinvenTer Tous les jours. après noTre spécial « feMMes d’audace » puBlié en Mai dernier, place aux hoMMes de vision !
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Micaël Minguy-Bédard, Maxime Godbout L’Hébreux et Sébastien Comeau
Associés
L’ANTIDOTE MÉDIAS
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Propriétaire
RESTAURANTS LA FENOUILLIÈRE ET LE GALOPIN
Consultez également notre contenu consacré aux hommes :
72 À CHAQUE HOMME SON LOOK ET SA MONTURE !
73 SOINS ESTHÉTIQUES AU MASCULIN
74 SALON OMERTA : POUR LES HOMMES QUI PRENNENT SOIN D’EUX
Copropriétaires ESCALIERS DE LA CHAUDIÈRE
Président et chef de la direction
AÉROPORT INTERNATIONAL
JEAN-LESAGE DE QUÉBEC
Michel Fortin et Jonatan Bérubé
Copropriétaires
SALON
Président-directeur général PORT DE QUÉBEC
Chef du restaurant Champlain
FAIRMONT LE CHÂTEAU FRONTENAC
/ Jean-Pierre Bouchard
la fenouillière eT le galopin. deux resTauranTs don T la répu TaT ion n’es T plus à faire, qui se déMarquenT par leur TaBle, leur personnaliTé eT leur expérience clienT unique signée sTeeve Morin eT son équipe.
C’est par la sommellerie que les portes de la restauration se sont ouvertes pour Steeve Morin, qui cumule aujourd’hui près de 35 ans d’expérience. Après sa formation, il effectue un stage au Manoir Montmorency. Impressionné par son talent, le maître d’hôtel du restaurant, qui ne peut alors lui offrir un poste, le recommande aux propriétaires de La Fenouillière, Martin Gosselin et Yvon Godbout. Un seul appel suffit : le lendemain, il entame une prometteuse carrière dans ce réputé restaurant de fine cuisine gastronomique, qui possède quatre diamants et qui a remporté de très nombreux prix d’excellence au fil des années.
Le propriétaire du restaurant La Fenouillière, Steeve Morin, entouré de ses deux cheffes d’expérience, Valérie Gagnon et Anne-Marie Caron-Boissonneault, de Kathleen Lepire, Service et aide administrative, ainsi que de sa maître d’hôtel, Luce Tanguay
Seize ans plus tard, en 2017, Steeve Morin saisit l’occasion qui se présente d’acheter l’établissement du chemin Saint-Louis. Depuis, il continue d’être le gardien de son enviable réputation bâtie depuis l’ouverture, au milieu des années 1980, par deux passionnés de cuisine. « Cette signature, c’est ce qui nous a permis de nous faire connaître. Et on doit l’honorer. Pour nous, il est très important de maintenir cette distinction qui fait notre renommée » , explique le restaurateur, qui collabore étroitement avec la maître d’hôtel Luce
Tanguay pour faire bénéficier la clientèle d’une expérience en salle à manger réussie.
Afin de maintenir son statut, le restaurant doit respecter diverses normes qui vont de l’espacement entre les tables à la qualité du rembourrage des chaises en passant par l’habillage des tables, l’argenterie et la verrerie. Il a d’ailleurs profité de la pause forcée de la pandémie pour renouveler la plupart de ces éléments, en plus du système d’éclairage, des accessoires de décoration et du recouvrement des lampes. Des détails qui comptent et font partie de l’expérience de La Fenouillière.
APPROCHE CULINAIRE ARTISANALE
En mettant en valeur les produits du terroir, le restaurant propose une table pleine de saveurs. « Nous travaillons l’assiette, la présentation, les assaisonnements. Tout est bien apprêté », affirme Steeve Morin. Pour la préparation des produits, La Fenouillière adopte une approche artisanale. « On n’achète pas grand-chose » , ajoute-t-il. À l’exception du pain, l’équipe en cuisine prépare les beurres et les sauces. Elle vieillit les viandes, pare les filets de poisson et de bœuf. Cette manière de procéder fait partie intégrante de la vocation de départ, et c’est ce que l’équipe de M. Morin essaie de maintenir le plus possible au quotidien.
La Fenouillière figure sur la liste des restaurants servant l’un des meilleurs boudins au Québec. Spécialité développée initialement par Yvon Godbout, l’un des fondateurs de l’établissement, la recette a été peaufinée avec le temps. Servi à l’occasion d’événements spéciaux, en
bouchées ou en entrée du soir, le mets connaît toujours un franc succès. En particulier le midi. « C’est la folie », lance le restaurateur. D’autres plats sont également appréciés par la clientèle : les grillades, les abats et les ris de veau, moutardés ou avec champignons sauvages, ainsi que le filet de saumon, cuit selon une méthode développée pour conserver toutes les saveurs du poisson. « Le résultat est vraiment heureux. C’est un grand classique et le plat le plus vendu », indique-t-il.
C’est à ses deux cheffes que Steeve Morin confie la composition des menus : Anne-Marie Caron-Boissonneault et Valérie Gagnon. Deux femmes à la tête de la cuisine du restaurant depuis plus de 20 ans. Ce sont elles qui ont pérennisé le travail des fondateurs de La Fenouillière.
« ceTTe signaTure, c’esT ce qui nous a perMis de nous faire connaî T re. eT on doi T l’honorer. p our nous, il es T T rès iMporTanT de MainTenir ce TT e dis T inc T ion qui faiT noTre renoMMée. »
– Steeve Morin, propriétaire.
« Je les laisse très libres. Elles sont à l’affût des nouvelles tendances et des nouvelles saveurs » , souligne-t-il. Aux valeurs sûres du menu s’entremêlent souvent des plats plus osés. Tantôt sucrés salés, tantôt épicés, ils traduisent leur créativité et leur savoir-faire. « L’innovation dans l’assiette prend aussi beaucoup forme dans les accompagnements et les sauces », ajoute M. Morin.
Stratégiquement situé aux abords des ponts, le restaurant accueille dans un environnement contemporain et confortable une clientèle locale et d’affaires ainsi que des voyageurs qui séjournent dans les hôtels à proximité. À La Fenouillière, Steeve Morin compte sur une équipe d’une trentaine de personnes qui s’affairent, en salle à manger comme dans l’ombre, à offrir à chaque personne une expérience culinaire positive. Et il se considère comme privilégié. Pour lui, le nom de l’établissement, la qualité de sa clientèle et de sa table ont fait en sorte de faciliter le recrutement et la rétention du personnel. Certains employés y travaillent d’ailleurs depuis presque l’ouverture, et de nombreux autres, depuis le début des années 2000.
En 2022, M. Morin acquiert Le Galopin des mains de son fondateur-propriétaire, Sylvain Boudreau. L’établissement, qui a ouvert ses portes en 1991, jouit d’une réputation établie sur le chemin Saint-Louis, à quelques pas de La Fenouillière. C’est un endroit qu’il qualifie cette fois de « bistronomique ». Concocté par le chef Mathieu Guérard, qui a plus de 20 ans d’expérience derrière les fourneaux et qui s’avère le nouvel associé de Steeve Morin dans Le Galopin depuis ce printemps, le menu plus épuré n’en demeure pas moins composé de plats cuisinés selon la philosophie du restaurateur : le ris de veau, le boudin, les planches de dégustation et les tartares, la spécialité de la maison, séduisent le palais d’une clientèle à la recherche d’une ambiance plus animée, plus festive. « Le grand bar central amène des énergies très différentes de La Fenouillière » , souligne M. Morin. Au Galopin, une vingtaine de personnes professionnelles veillent à la bonne marche de l’établissement, dont Caroline Baldit, directrice des ressources humaines.
Optimiste face à l’avenir, Steeve Morin reste à l'affût du domaine de la restauration et des tendances à venir. Autant pour La Fenouillière que pour Le Galopin, il veut continuer à innover en apportant de nouvelles idées.
Du restaurant Le Galopin : le chef Mathieu Guérard et Steeve Morin, associés, ainsi que Caroline Baldit, directrice des ressources humaines.
Pour ce restaurateur discipliné, toujours en avance sur sa journée du lendemain, la réussite repose sur deux clés essentielles : la constance dans la qualité des plats et du service, ainsi qu’un bon rapport qualité-prix. L’expérience à la table, le souci du détail, le temps consacré à peaufiner artisanalement les sauces ou les présentations font également partie des éléments qui contribuent à la réussite des deux établissements.
Mais la véritable force de La Fenouillière et du Galopin réside également dans l’assemblage des personnes professionnelles qu’il a réussi à convaincre de le suivre dans ses projets, et qui lui sont fidèles, pour la plupart, depuis les tout débuts.
forfaits à découvrir
La Fenouillière et Le Galopin proposent différents forfaits tout inclus, soit le menu complet table d’hôte et, selon la formule choisie, une bouteille de vin sélectionnée par le maître d’hôtel. Les deux restaurants offrent également des forfaits pour les déjeuners; ceux-ci demeurent très populaires auprès de la clientèle. Ces forfaits sont vendus par l’entremise de La Forfaiterie et de outgo.com
Pour réserver ou commander en ligne :
La Fenouillière
3100, chemin Saint-Louis, Québec
418 653-3886 | fenouilliere.com
Le Galopin
3135, chemin Saint-Louis, Québec
418 652-0991 | restaurantgalopin.com
Les cheffes de La Fenouillière à l’œuvre, Valérie Gagnon et Anne-Marie Caron-Boissonneault (en haut).
Les
Micaël Minguy-Bédard
Directeur général
Maxime Godbout L’Hébreux
Directeur des ventes
Sébastien Comeau
Directeur de comptes
« nous soMMes un propulseur pour les enTreprises de la région. plus de 1 200 d’enTre elles profiTenT ac T uelle M en T de la synergie résul T an T de la coMBinaison enTre le MarkeTing TradiTionnel eT son Miroir nuMérique, ainsi que du large specTre couverT par nos produi T s e T services », résu M e Maxi M e g od B ou T l ’ h é B reux, ac T ionnaire de la relève e T direcTeur des venTes. que de cheMin parcouru depuis Trois décennies ! le fondaTeur, sTéphane chaMpagne, Toujours présidenT, avaiT alors eu l’idée d’uTiliser un peTiT livreT Bourré d’offres de coMMerçanTs. avec les années, il a su s'enTourer, si Bien que l'enTreprise a évolué, e T une succession d’acquisi T ions plus Tard, l ’ a n T idoT e Médias propose aujourd’hui une offre gloBale en MarkeTing eT une douzaine d’ouTils de co MM unicaT ion sur M esure e T perfor M an T s. réceMMenT inTégré, le Magazine que vous lisez en éTaiT, en quelque sorTe, le chaînon ManquanT.
Un antidote représente une solution à une problématique. Voilà ce que Stéphane Champagne avait en tête en baptisant ainsi son désormais célèbre petit livret devenu grand. « Notre dernière acquisition, Prestige, s’inscrit dans cette logique, explique l’associé et directeur général, Micaël Minguy-Bédard, car ce magazine, en soulignant depuis ses débuts en 1996 les succès d’affaires, a lui aussi servi d’antidote à une actualité entrepreneuriale souvent présentée négativement dans les médias. De plus, sur le plan stratégique, la revue nous permet de rejoindre les entrepreneurs alors que nos autres produits ciblent surtout le consommateur. Avec toutes ces cordes à notre arc, notre offre ratisse large, à 360 degrés, afin d’honorer notre mission première : être près de nos clients et répondre le mieux possible à leurs besoins en marketing afin de les faire rayonner. » M. Godbout L’Hébreux abonde dans le même sens : « L’Antidote Médias, c’est aujourd’hui une soixantaine d’experts en marketing, soit le triple d’il y a six ans, des gens passionnés qui s’expriment — plus qu’ils ne travaillent — en haute synergie en utilisant une grande variété d’outils (voir encadré), car la plus grande valeur de cette équipe, c’est d’avoir du plaisir à exercer son talent et s’apprécier mutuellement. La confiance et le respect règnent, chaque maillon de la chaîne rame de la bonne manière, selon son talent particulier, pour permettre au navire d’avancer dans la bonne direction. Voilà pourquoi, en marketing à Québec, notre organisation est celle qui connaît actuellement la plus forte croissance, en se distinguant par le fait qu’elle diffuse au moyen de ses propres médias pour la grande majorité de ses campagnes. Pour beaucoup de nos clients,
L’Antidote Médias sert de guichet unique, car nous concevons des stratégies marketing complètes, selon les besoins de chaque entreprise, qu’il s’agisse d’imprimé, de numérique ou de contenu Internet. La complémentarité est un mot clé, tant sur le plan des ressources humaines que du côté de nos produits et services. »
Contrairement à ce qu’on pourrait penser de prime abord à l’heure de l’omniprésence du Web, l’imprimé est loin d’avoir perdu de son efficacité, au contraire même. En effet, le monde numérique vit actuellement une saturation dont profitent les offensives publicitaires papier. « On parle souvent de mix média dans les campagnes publicitaires, une expression qui définit la variété des médias utilisés pour promouvoir une entreprise, indique Sébastien Comeau, troisième associé de la relève et directeur de comptes, qui a toujours eu la vente dans le sang. Chez nous, ce mélange est unique, car il représente le meilleur des deux mondes, le traditionnel venant en appui au numérique, et vice-versa. L’imprimé crée le besoin, et ce besoin conduit au Web. Nous possédons des statistiques révélatrices démontrant que la synergie ainsi créée génère un niveau supérieur d’efficacité, dont une étude de cas réalisée auprès d’un client afin de mesurer la répercussion de l’imprimé sur sa performance. Pendant un mois, poursuit-il, les envois papier ont été suspendus, avec comme résultat que le nombre de soumissions en ligne sur son site Internet a chuté de près d’un tiers ! De plus, nous nous assurons toujours de coordonner les deux façons d’acheminer le message. »
Pour sa part, Micaël Minguy-Bédard se dit d’avis que la banalisation de l’accès au Web redonne de la valeur à l’imprimé. « Nous constatons en effet que les gens se sentent privilégiés de recevoir personnellement des envois postaux, le magazine Prestige par exemple, un médium qu’ils peuvent toucher. Un sondage maison a démontré que la moitié des gens conservent précieusement L’Antidote + pendant tout le mois que les rabais qu’il renferme sont en vigueur. Le paradoxe, c’est que Maxime, Sébastien et moi appartenons à cette génération qui a été la première à bouder le papier; mais nous avons dû admettre que les résultats sont au rendez-vous, et encore plus dans le contexte inflationniste que nous connaissons. » L’Antidote + est distribué mensuellement depuis 12 ans dans quelque 340 000 foyers de la région de Québec.
Cette croissance rapide des dernières années, L’Antidote Médias la doit à son modèle fondé sur les acquisitions. Étant très à l’écoute de ses clients, l’entreprise a non seulement tour à tour intégré dans sa grande famille les éléments qui lui manquaient pour répondre efficacement à leurs besoins, mais également les médias offrant des produits et services similaires. « Entre autres exemples, énumère M. Godbout L’Hébreux, notons l’acquisition de Québec Scope — devenu Quoi faire Québec auquel nous avons fusionné un concurrent — ainsi que Le Passe-Partout Services & Bonne Chère, ce dernier ayant affiché 25 % d’augmentation des ventes l’an dernier, un résultat attribuable à l’enrichissement de son contenu. Quant au magazine Quoi faire Québec, il est présentement en refonte complète. C’est dans l’ADN de notre équipe d’y aller à fond quand nous réévaluons un outil de promotion. Le magazine Prestige l’illustre fort bien, son contenu ayant plus que doublé cette année. Cet ajout nous a ouvert des portes incroyables, en nous permettant de recruter une clientèle qui ne trouvait pas auparavant chaussure à son pied parmi notre éventail de produits. »
L’actuel directeur général est lui-même issu de l’acquisition — il y a sept ans — de son entreprise, l’agence Option, spécialisée dans le marketing numérique. Cette intégration a été le coup d’envoi du volet Web et a mis en lumière les avantages du fructueux mariage avec l’imprimé. « Sébastien, qui était responsable du compte de ma compagnie chez mon imprimeur concurrent, m’a rejoint un an plus tard, suivi de Maxime, à la fin de 2018 » , précise Micaël. Des trois, seul ce dernier avait des antécédents en tant qu’entrepreneur, ses deux partenaires en étant à leurs toutes premières armes à ce titre quand ils sont devenus actionnaires en septembre 2020. « Nous arrivions en pleine pandémie, raconte Maxime, nous avons vécu comme néophytes des situations que bien des entrepreneurs n’avaient jamais connues en plusieurs décennies. Nous nous sommes alors découvert des capacités à nous réinventer, à être proactifs. Le repreneuriat est quelque chose d’hyper important pour les entreprises québécoises, car pour beaucoup d’entre elles, la relève est inexistante. Voilà pourquoi nous sommes extrêmement fiers de participer à l’évolution d’un projet qui était déjà très porteur, et qui fait rayonner plein de PME dans leur marché respectif. Notre équipe ressent une fierté collective de faire progresser encore davantage cette belle organisation, voilà notre plus grande motivation. De plus, le fait d’être cinq associés permet de mieux répartir les responsabilités, ce qui favorise la croissance de l’entreprise. Le président, Stéphane Champagne, s’occupe de vision stratégique tandis que Martin Gaudet, vice-président aux finances, voit à la bonne santé budgétaire de l’organisation. »
« nous apparTenons à ceTTe généraTion qui a é T é la pre M ière à B ouder le papier; Mais nous avons dû adMeTTre que les résulTaT s son T au rendezvous, eT encore plus dans le conTexTe inflaTionnisTe que nous connaissons. »
– Micaël Minguy-Bédard, directeur général et associé.
Longtemps concentrée dans la région immédiate de Québec, L’Antidote Médias étend progressivement ses ramifications bien au-delà de la capitale. « Ce sont souvent des clients qui nous amènent à distribuer nos produits et offrir nos services dans d’autres secteurs, précise Sébastien Comeau. C’est ainsi que le vaste territoire que nous desservons comprend maintenant Saguenay, les régions de Lotbinière, Bellechasse et la Mauricie, Sainte-Marie-de-Beauce, Laval, Gatineau et bientôt Victoriaville. Forts d’une équipe aussi compétente, efficace, dynamique et soudée, nous entrevoyons l’avenir avec beaucoup d’optimisme ! »
Services
/ Conception graphique
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« pour Beaucoup de nos clienTs, l’anTidoTe Médias ser T de guiche T unique, car nous concevons des sTraTégies MarkeTing coMplèTes, selon les Besoins de chaque en T reprise, qu’il s’agisse d’i M pri M é, de nuMérique ou de conTenu inTerneT. »
– Maxime Godbout L’Hébreux, directeur des ventes et associé.
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Hommes de vision
AÉROPORT INTERNATIONAL
JEAN-LESAGE DE QUÉBEC
Président et chef de la direction de l’Aéroport international Jean-Lesage de Québec
r asse MB leur. l e qualifica T if sied parfai T e M en T au présiden T e T chef de la direc T ion de l’ a éropor T inTernaTional jean-lesage de quéBec, sTéphane poirier. « nul ne peuT TouT faire en soli T aire, seule la force d’une équipe coMpéTenTe, MoTivée eT dédiée à la cause de l’organisaT ion per M e T d’o BT enir des résul T a T s », assure- T -il. c ’es T aussi vrai pour l’adMinisTraTion aéroporTuaire, donT l’efficaci T é dépend de sa capaci T é à i M pliquer la région qu’elle desser T dans l’op T i M isa T ion de la perfor M ance de ses ins TallaT ions. force esT d’adMeTTre que ceTTe vision rasseMBleuse porTe déjà ses fruiTs.
En poste depuis 2019 comme président et chef de la direction de YQB, Stéphane Poirier, qui a grandi à Cap-Rouge, est depuis l’enfance un véritable passionné d’aviation. Il faut voir dans son bureau les nombreux avions miniatures de tous types reçus au cours de sa carrière pour s’en convaincre. « J’avais environ sept ans quand j’ai vu pour la première fois un DC-9 à l’aéroport d’Ottawa, où mon père, fonctionnaire fédéral, m’avait emmené, raconte-t-il. Ce fut le coup de foudre. Je savais que ma vie était désormais liée à ce domaine. » Études en mécanique moto à la polyvalente de L’AncienneLorette, séjour de trois ans à Miami pour apprendre l’anglais, poursuite de ses études en commerce international à l’Université Concordia pendant quatre ans, puis aux universités d’Innsbruck et Vienne, en Autriche. Revenu au Québec au milieu des années 1990, il accepte un poste de directeur du développement logistique cargo pour Aéroports de Montréal après avoir travaillé pendant quatre ans pour une compagnie aérienne cargo à l’aéroport
« a ujourd’hui, 1 , 17 M illion de passagers u T ilisen T l’aérogare, soiT 800 000 de plus que l’an dernier. »
- Stéphane Poirier, président et chef de la direction.
de Dorval. « C’était un monde fascinant pour moi, nous avions d’importants clients dans le monde entier. » On le retrouve ensuite à la Société générale de financement, où il acquerra pendant deux ans des compétences financières avant que l’aéroport de Calgary le recrute comme directeur développement passagers et cargo. « Ce qui devait durer quelques années s’est finalement étalé sur deux décennies ! J’étais le second responsable de l’exploitation, le premier pour la commercialisation de la plateforme aéroportuaire, qui fait 10 fois celle de Québec avec 18 millions de passagers en 2018. » Cette année-là, il est embauché par Honeywell Aerospace et déménage à Phoenix, en Arizona. À travers ce parcours, il complète une maîtrise en administration des affaires en Angleterre à la prestigieuse University of Oxford, « j’y tenais absolument ». Depuis qu’il a commencé à prendre l’avion, plus de deux millions de milles aériens se sont accumulés au compteur sur quatre continents. Passionné, disions-nous ?
Stéphane Poirier en compagnie des pompiers et employés dans le garage de l’aéroport.
Depuis son départ de Québec, Stéphane Poirier n’avait jamais cessé d’y visiter régulièrement ses parents. Il était donc bien au fait de l’évolution de l’aéroport depuis la privatisation de sa gestion en 2000. Lorsque le poste a été affiché, il s’est dit qu’il pourrait mettre ses compétences au service de la capitale qu’il aime d’un amour profond. « J’étais attiré pour plusieurs raisons, d’abord personnelles, car il s’agit de ma ville natale, qui représentait en outre une occasion en or d’offrir à mes enfants — nés dans l’Ouest canadien — une immersion francophone, eux qui n’avaient jusqu’à ce moment parlé qu’anglais et l’espagnol, la langue maternelle de leur mère. Le fait d’avoir perdu mon père en 2014 m’a aussi fait réfléchir sur les priorités de la vie. Sur le plan professionnel, l’aéroport vivait des controverses dans l’opinion publique, et améliorer ce qui fonctionne moins bien me passionne autant que l’aviation ! J’avais le goût de relever le défi de mieux positionner YQB afin que Québec prenne davantage sa place et obtienne plus de destinations et de vols commerciaux. Depuis quatre ans, nous avons bâti de très belles choses, notre conseil d’administration est engagé, notre équipe de direction et nos employés sont extraordinaires, et une ville entière est maintenant partie prenante du développement de son aéroport. C’est très prometteur pour l’avenir. Aujourd’hui, 1,17 million de passagers utilisent l’aérogare, soit 800 000 de plus que l’an dernier. Quand nous dépasserons le cap des deux millions d’usagers, l’aéroport retrouvera sa santé financière après les impacts de la pandémie. »
Selon Stéphane Poirier, un bon leader attribue le mérite à son équipe lorsque tout va bien, et s’arroge la responsabilité des contre-performances. Plus rien de cela ne tenait quand tout a été mis sur pause en mars 2020, car c’est l’industrie tout entière qui se voyait soudain paralysée. « Un vrai film d’horreur, d’autant plus qu’en tant que service essentiel, nous ne pouvions pas fermer, se souvient le PDG. Cela dit, exploiter un aéroport pour un ou 250 vols par jour représente à peu près les mêmes dépenses. Nous avons dû
couper partout où c’était imaginable, mais à défaut de revenus, essuyant des pertes de plusieurs millions chaque mois, la situation ne pouvait durer indéfiniment. Nous prévoyions un déficit d’environ 100 M $, mais l’hémorragie a été stoppée à près de 80 millions en raison de l’efficacité de notre rigueur budgétaire, la détermination de nos employés et du retour rapide des voyageurs en 2022, surtout que nous nous y étions préparés depuis 2020 pour être en mesure de redémarrer de façon agile. Malgré cela, en tant que gestionnaire, la réduction des effectifs a été terrible à mes yeux. C’était malheureusement le prix à payer pour ressortir encore plus forts de la crise. Toutefois, sur le strict plan du défi à relever, l’exercice a été très stimulant. Mieux encore, l’épreuve a soudé les membres de l’équipe, ils ont développé un sens plus aigu du devoir, générant un fort sentiment d’appartenance et de fierté. Ce qui m’anime le plus désormais, c’est constater que nos gens ont mis l’épaule à la roue, qu’ils se sentent appréciés, écoutés, respectés. Ensemble, nous sommes capables de faire progresser l’organisation au bénéfice des gens de la grande région de Québec. »
RASSEMBLER POUR MIEUX RÉPONDRE AUX BESOINS
Au-delà de toutes ses conséquences négatives, cette pause a permis aux équipes de l’aéroport d’adapter plus que jamais les services aux besoins exprimés par la population de Québec. « Nous avons consulté la communauté, et trois récriminations principales sont ressorties, résume Stéphane Poirier. Nos frais de stationnement étaient jugés trop élevés, notre offre alimentaire décevait, et il manquait de vols sans escale. Nous avons d’abord corrigé ce que nous pouvions contrôler, en revoyant notamment à la baisse notre grille tarifaire de stationnement et en créant l’hiver dernier près de 40 % d’espaces supplémentaires. Résultat ? Nos revenus ont augmenté sans compter qu’aucun client n’a été refusé faute de place. Voilà un bel exemple de travail d’équipe. » Par ailleurs, pendant longtemps décriée, l’offre alimentaire a été améliorée l’année dernière avec l’ouverture du Blaxton Aéroport de Québec et de la Brûlerie Rousseau par Nourcy, en plus d’une zone événementielle.
C’est sur le plan des zones d’influence que la participation des intervenants régionaux a été sollicitée. La présence d’Air France à Québec l’illustre de belle façon. Devant le souhait de la clientèle de disposer d’un plus grand nombre de vols directs, le transporteur français a été approché. « En raison de son volume réduit, YQB ne peut à lui seul convaincre une compagnie aérienne, explique M. Poirier. Nous avons donc fait le tour de l’ensemble des parties prenantes : les maires de Québec et Lévis, la ministre du Tourisme, Destination Québec cité et le Centre des congrès de Québec. Toutes les ressources collectives ont été rassemblées autour d’un objectif commun. Ce n’était plus un aéroport, mais une ville entière qui courtisait un transporteur. Et ça a fonctionné ! Toute la région en bénéficie, car ce moteur de développement économique a généré en 2019 des retombées de 1,14 milliard de dollars et 100 millions en taxation en plus de ses 5 000 emplois. » Outre Paris, Londres est desservi par Air Transat, les Anglais ayant un faible notoire pour Québec. À cela s’ajoutent des vols directs vers Vancouver et Calgary, très appréciés par les gens d’affaires, en plus
de liaisons avec Halifax et Edmonton à compter de l’été 2023, sans oublier le retour des vols sur Ottawa, Montréal et Toronto. L’offre de destinations comprend même l’Amérique centrale et l’ensemble des Caraïbes. « Bref, à l’été 2023, notre desserte sera sans précédent dans l’histoire de l’aéroport. Bien sûr, la clientèle doit être au rendez-vous pour que les liaisons perdurent et se multiplient. Actuellement, les voyageurs de Québec répondent bien ! » , se réjouit le PDG.
Dans ce marché modeste, YQB a l’avantage de permettre aux voyageurs de s’épargner les fastidieuses attentes (maximum de 15 minutes pour passer le point de contrôle préembarquement), et les changements de cap sont plus rapides. Son talon d’Achille réside toutefois dans ses revenus limités, qui requièrent une gestion financière chirurgicale. « Par exemple, il y a longtemps qu’on parle d’un centre de prédédouanement, précise M. Poirier, mais en vertu de nouvelles règles, la masse salariale des douaniers — 10 M $ par année — nous incombe. Avec un volume plus substantiel, la facture refilée aux passagers serait négligeable, ce qui n’est pas le cas ici. Les avancées technologiques pourraient être une solution. Cela dit, ce qui importe avant tout, pour l’équipe qui m’entoure et moi, conclut-il, c’est que notre aéroport demeure pour Québec une installation de choix… à échelle humaine ! »
Pour en savoir davantage et pour planifier votre vol :
aeroportdequebec.com
/ Marie-Josée Turcotte
voyager en europe sans escale : le rêve ! après avoir Traversé une « zone de TurBulences » causée par la pandéMie, air TransaT reprend plus que jaMais son envol en proposanT des vols direcTs vers paris eT londres à parTir de l’aéroporT de quéBec. à ceTTe offre unique eT parfaiTe pour l’éTé s’ajouTenT aussi des vols direcTs vers des desTinaTions soleil prisées. préparez-vous, l’eMBarqueMenT coMMence !
La capitale de la royauté britannique vous interpelle ?
Sachez que du 24 juin au 16 septembre prochain, Air Transat propose un vol direct par semaine à partir de l’Aéroport international Jean-Lesage. Il s’agit d’un vol de nuit qui décolle à 23 h 30 et qui atterrit à 10 h 50, heure locale de Londres.
Les amoureux de la Ville Lumière seront heureux d’apprendre qu’Air Transat propose trois vols directs par semaine (lundi, mercredi et vendredi), et ce, jusqu’au 8 octobre prochain.
L’avion décolle à 20 h 30 de l’Aéroport international JeanLesage de Québec et arrive à 9 h (heure locale) à Paris.
Quant au vol de retour, il décolle à 10 h 55 et atterrit à Québec à 12 h 25 (heure locale).
Soyons honnêtes : impossible ici de dresser la liste complète de tous les lieux mythiques à visiter et de tous les événements incontournables auxquels participer à Paris et à Londres. Nous vous suggérons donc de consulter parisinfo.com et visitlondon.com pour planifier votre séjour selon vos intérêts. Néanmoins, si vous souhaitez vivre un moment fort, il semble que la Fête nationale du 14 juillet à Paris vous laissera un souvenir impérissable. Enfin, il est bon de savoir que le Buckingham Palace sera ouvert aux visites uniquement du 14 juillet au 24 septembre.
Vous avez besoin d’une dose massive de soleil et d’un repos bien mérité en bordure de plage ? Air Transat offre cet été un vol direct par semaine en partance de Québec vers ces trois destinations soleil : Fort Lauderdale, Punta Cana et Cancun
Saviez-vous qu’Air Transat a été élue meilleure compagnie aérienne loisirs en Amérique du Nord en 2022 ? Avec une soixantaine de destinations internationales dans plus de 25 pays en Amérique et en Europe, ainsi que des vols intérieurs et de correspondance au Canada chaque année, la compagnie aérienne transporte quelque 5 millions de passagers.
« p our le p orT de q ué B ec, noT re vision es T aMBiTieuse eT Très innovanTe. pour élaBorer noTre nouvelle planificaTion sTraTégique, nous nous so MM es vrai M en T inspirés de TouT ce qui se faiT de Mieux sur la planèTe pour êTre parMi les Meilleurs. les défis sonT là, M ais nous voyons grand ! », lance son présidenT-direcTeur général, Mario girard.
Président-directeur général du Port de Québec, également vice-président de l’Association internationale villes et ports.
Être un port reconnu par les citoyens pour sa gestion responsable du territoire, le respect de l’environnement et la protection de la biodiversité, tout en se positionnant comme un chef de file mondial dans la concrétisation de chaînes d’approvisionnement durables au service d’une économie plus résiliente : telle est la Vision 2035 du Port de Québec. Résultat d’une réflexion poussée, l’ordre dans lequel apparaissent les éléments n’est pas le fruit du hasard.
« Nous avons travaillé pendant plus d’un an sur la préparation de la planification stratégique, commente le pdg. Des groupes de discussion avec des représentants de la communauté ont été animés et il y a également eu des rencontres avec différents acteurs du milieu économique. Bref, après 13 mois de travail, nous proposons une planification stratégique comportant six grandes orientations, 20 objectifs généraux et 87 objectifs opérationnels intégrant une vision renouvelée pour notre organisation. Nous communiquons maintenant cette vision à travers nos quatre mondes. »
Le tout premier axe, être proche du monde, consiste à devenir une référence en matière d’engagement communautaire. Pilier central de la planification stratégique, il vise une plus grande participation citoyenne dans les projets du Port de Québec. Tables de bon voisinage et amélioration de l’accès au fleuve figurent au nombre des initiatives. L’Oasis, premier bain portuaire en Amérique du Nord, et La Cale, un nouvel espace familial, en sont des exemples.
« Au port de Québec, une série d’initiatives seront déployées. Celles-ci vont nous permettre de nous démarquer d’une manière importante dans notre façon d’aborder la relation ville-port. Le défi est de faire connaître notre rôle crucial et de faire participer les gens. Nous sommes déjà en action avec une équipe formidable et aspirons à devenir une référence mondiale, rien de moins ! », note M. Girard, qui agit aussi comme vice-président de l’Association internationale villes et ports.
Le Port de Québec souhaite en outre s’engager pour un monde plus durable. À cet égard, il entend s’afficher comme un leader dans la lutte aux changements climatiques et favoriser la transition énergétique. L’accélération de la décarbonation des installations et des activités portuaires est clairement dans sa mire. Pour y arriver, une implication des paliers gouvernementaux est essentielle; cela doit définitivement devenir une priorité collective. Uniquement pour l’électrification des trois quais de croisière – ce qu’il faudra faire –, le coût s’élève à quelque 60 millions de dollars.
« Un autre défi, c’est de voir le Saint-Laurent comme un corridor qui sillonne l’est du Canada jusqu’aux Grands Lacs, corridor qui constitue un tout cohérent en amenant l’ensemble des ports à coopérer plutôt qu’à se concurrencer, évoque le pdg du Port de Québec. Nous avons ainsi annoncé une collaboration avec les ports de Montréal et de TroisRivières. Pour avoir moins de GES et une meilleure chaîne logistique, on doit utiliser les avantages de chacun. »
Dans sa Vision 2035, le Port de Québec désire innover et rayonner dans le monde en devenant un port à l’avantgarde qui se démarque sur la scène internationale. « Le territoire portuaire représente un incroyable potentiel d’occasions pour les entreprises innovantes de la région et nous entendons le propulser comme laboratoire afin de mettre au point des technologies propres, pour ensuite propulser ces solutions à travers notre réseau planétaire et les commercialiser », imagine le dirigeant.
/ Johanne Martin
« Enfin, en nous dotant d’une marque employeur forte et attractive, nous voulons aller plus loin avec notre monde, être une organisation de choix et humainement engagée envers notre personnel, fait valoir Mario Girard. Ici aussi, nous sommes résolus à offrir un environnement de travail qui stimule l’innovation et la collaboration, soutenu par des outils technologiques performants dans un environnement dynamique. »
En trame de fond de cette vision et de ces initiatives, des occasions se dessineront. Parmi celles-ci, l’enjeu des chaînes logistiques fragilisées. « Nos infrastructures actuelles pourraient-elles être mises à profit pour améliorer l’efficacité de cette chaîne pour nos entreprises de l’est et du centre du Québec qui utilisent le conteneur dans l’import et l’export de marchandises ?, questionne le pdg. La conteneurisation est une tendance mondiale. Il faudra, tôt ou tard, engager un dialogue social sur les conditions à réunir afin que le Port de Québec puisse s’inscrire dans les créneaux d’avenir en participant au rétablissement des chaînes d’approvisionnement, au défi d’améliorer la logistique intermodale et à la nécessité de mettre à profit le transport maritime. »
Enfin, seul port en Amérique du Nord à avoir obtenu pendant cinq années consécutives la note maximale attribuée par l’Alliance Verte pour son excellente performance environnementale, le Port de Québec vise encore et toujours plus haut. « On ne manque vraiment pas d’ambition, et ce, dans le respect de nos quatre mondes… tout le monde ensemble ! », conclut Mario Girard.
Pour en savoir davantage : portquebec.ca
Copropriétaires d’Escaliers de la Chaudière
Bâ T isseurs de rêves. c réa T eurs d’a MB iance. s culp T eurs de passion. a u T an T de qualifica T ifs qui s’appliquenT parfaiTeMenT à david eT p ierre- l uc d uclos, coproprié Taires de l’enTreprise faMiliale Escaliers de la Chaudière si T uée à s ain T - i sidore, en Beauce. Misan T sans cesse sur l’innovaTion en MaTière de concepTion, de fa B rica T ion e T d’ins T alla T ion d’escaliers e T de garde-corps, les deux frères carBurenT aux défis que leur lancenT quoTidienneMenT leurs clienTs issus des secTeurs résidenTiel, co MM ercial e T ins T i T u T ionnel. eT ça Marche !
« Le mot "impossible" ne fait pas partie de notre vocabulaire, lance d’entrée de jeu David Duclos, gestionnaire en affaires et responsable des ventes. Un projet d’escalier qui semble impossible à réaliser constitue plutôt une source d’inspiration qui nous incite à trouver des solutions appropriées et personnalisées au bénéfice du client. »
Fondée par leur père, Clermont Duclos, sous le nom d’Ébénisterie de la Chaudière, la compagnie démarre ses activités à SainteMarie, en Beauce, durant les années 1990. « Notre père a toujours travaillé le bois et fabriqué des escaliers, explique PierreLuc Duclos, dont l’expertise première est l’ébénisterie. Nous avons grandi dans cet environnement, ce qui nous a permis de bien connaître les différentes facettes du métier et l’importance du travail bien fait. La fabrication d’un escalier est un processus très complexe qui demande expertise et minutie. » Au fil du temps, David et Pierre-Luc prennent part à l’aventure et mettent en valeur leur savoir-faire et leur sens de l’innovation. L’entreprise est en pleine ascension. En 2019, ils prennent officiellement la relève de leur père et décident de poursuivre leurs activités sous le nom Escaliers de la Chaudière, une appellation qui résume leur mission première.
Résolument orientée vers la croissance et l’innovation, l’entreprise beauceronne a agrandi sa superficie, en plus d’acquérir de la machinerie à la fine pointe de la technologie.
Pour la vingtaine d’employés en activité à Saint-Isidore, un escalier est bien plus qu’une simple suite de marches pour passer d’un étage à l’autre. En plus des armoires et des planchers, l’escalier représente un élément central de la maison, qui conjugue harmonie, style et sécurité. Grâce à l’esprit créatif et à la vision d’affaires des frères Duclos, l’escalier se décline en une variété de formes, de styles et de teintes. Il y en a aussi de tous les prix ! « En raison des nombreuses essences de bois utilisées, d’une vaste sélection de barreaux, de poteaux et de rampes, sans oublier l’emploi de matériaux comme l’acier inoxydable, le verre, la pierre et le fer forgé, les possibilités sont pratiquement infinies » , affirme David Duclos. Outre son côté pratique et fonctionnel, l’escalier devient un objet de décoration prestigieux, voire une œuvre d’art, qui rehausse d’autant plus une propriété haut de gamme.
DES PRODUITS SUR MESURE
Véritable référence dans la grande région de Québec, de Lévis et de la Beauce, Escaliers de la Chaudière offre des produits clés en main. De la conception des composantes jusqu’à l’installation, en passant par l’assemblage, la teinture et le vernissage, tout le processus de fabrication est réalisé en usine. « Cette méthode permet de bien contrôler la qualité et de livrer des escaliers sur mesure », précise Pierre-Luc.
AGRANDISSEMENT ET NOUVELLE SALLE D’EXPOSITION
Résolument orientée vers la croissance, l’entreprise beauceronne, située à quinze minutes des ponts, possède une superficie de 15 000 pieds carrés, dont 7000 pieds carrés ajoutés à la suite d’un important projet d’agrandissement. « Nous avons notamment installé de la machinerie à la fine pointe de la technologie, tout en aménageant une salle de repos et une pergola extérieure à l’intention de nos employés », souligne David Duclos. La salle d’exposition a pour sa part été complètement rénovée, ce qui en fait un centre d’attraction de plus en plus populaire à l’échelle de la région.
À titre d’entreprise écoresponsable, Escaliers de la Chaudière utilise sa propre biomasse issue du bois afin de chauffer l’ensemble de ses locaux. Soucieux de l’environnement, les propriétaires ont par ailleurs pris un virage vert en optant pour l’utilisation de produits à base d’eau. « Nous voulons toujours optimiser nos façons de faire et trouver de nouvelles solutions pour nos clients. L’innovation est un élément essentiel quand il s’agit de bâtir des rêves », conclut Pierre-Luc Duclos.
d epuis long T e M ps, il y a quelque chose de plus grand chez MaxiMe que le salon lui-MêMe ou son personnel coMpéTenT, dévoué eT TricoTé serré, don T l’expérience T o Tale décoiffe : quelque 400 ans !
« Une énergie difficilement identifiable, mais tout à fait palpable, on y ressent beaucoup d’amour ! » , lance avec émotion Jonatan Bérubé, président directeur général depuis 2019, associé avec son compagnon de vie qui est coiffeur au salon depuis 26 ans, Michel Fortin. Il ne tarit pas d’éloges quant à l’âme de cette entreprise. « C’est la plus grande valeur de cette institution à Québec, qui souffle 65 bougies. S’aimer d’abord, aimer ce que l’on fait, et aimer notre clientèle, qui nous le rend bien ! » Éloquente illustration de la primauté de l’équipe, une mosaïque de photos des coiffeuses et coiffeurs trône à la réception. Et leurs sourires annoncent la chaleureuse et joviale ambiance qui règne à l’intérieur.
Jonatan Bérubé est issu du monde du marketing, ayant été, dans sa précédente vie professionnelle, propriétaire de la boîte Connexion marketing et communications. « Salon Maxime faisait partie de ma clientèle, rappelle-t-il. Un jour, l’expropriétaire, Roger Tremblay, m’a confié qu’il songeait à vendre son commerce. Qu’il m’ait pressenti comme successeur éventuel était juste, car mes valeurs et mon bagage correspondent à la suite qu’il souhaitait pour ce qu’il considérait comme son joyau. Il était donc primordial à ses yeux que la mission de Maxime se perpétue.
Copropriétaire du Salon Maxime
Pourquoi ai-je accepté ? Parce que l’univers du service est mon élément, et que j’aime les relations humaines et les gens. J’ai rapidement compris que ma décision était la bonne, que j’étais sur mon X. Mon objectif est de donner un nouveau souffle à cette magnifique entreprise. C’est ce que nous faisons chaque jour, en équipe, dans le respect de sa longue tradition. Michel et moi sommes honorés de personnifier la quatrième génération de propriétaires de ce salon, probablement le premier à avoir vu le jour à Québec en 1958, en même temps que Place Ste-Foy, à l’instigation de Maxime Lemenu, un Français d’origine qui possédait déjà plusieurs commerces du genre en province, dont un dans la métropole. »
COLLABORATION INTERGÉNÉRATIONNELLE
Le parcours des deux hommes comporte une savoureuse anecdote. Lorsqu’il a débuté au salon en 1997, Michel Fortin a dû se rebaptiser afin d’éviter toute ambiguïté avec un homonyme. Il a donc adopté le prénom Jonathan, qui l’a toujours suivi depuis, sans se douter à l’époque que ce choix était prémonitoire. Le personnel compte 26 employés s’occupant d’une clientèle majoritairement féminine, et une atmosphère cosmopolite flotte dans la salle, toujours très animée, car près d’une dizaine d’entre eux sont de nationalité étrangère, provenant de pays tels que la France, l’Égypte, l’Ukraine, les Philippines, la Colombie et le Mexique. Il y en a de tous les âges, depuis le doyen, Yvan Tremblay, qui, l’œil encore vif, y travaille depuis 52 ans, 46 pour Héléna, 31 pour Karine, et la liste s’allonge. Les plus expérimentés peuvent donc transmettre leur savoir aux plus jeunes. En observant une coiffeuse donner un shampooing à une cliente, Jonatan confie : « Regardez comme elle lui donne de l’amour… »
À peine les nouveaux propriétaires étaient-ils en poste que tout a été mis sur pause. Cette période difficile a néanmoins permis d’illustrer leur capacité à réagir positivement à une crise ainsi que toute l’importance qu’ils accordent à la qualité du contact humain. « Dès le 1er avril 2020, nous étions prêts, l’équipement de protection était en place, raconte Jonatan Bérubé.
Nous en avons aussi profité pour informatiser la gestion de A à Z alors que tout se conjuguait au papier auparavant. On a même préparé des petits nécessaires de coloration que les clientes pouvaient appliquer chez elles à défaut de venir nous voir. Cela dit, nous ne voulions pas délaisser notre clientèle. Même pendant nos fermetures forcées, une réceptionniste répondait aux appels, nous trouvions essentiel d’assurer une présence pour informer, échanger, écouter, rassurer. Nous avons d’ailleurs en tout temps une ou deux personnes qui répondent aux coups de fil. Durant la pandémie, des clientes nous ont même avoué qu’elles avaient augmenté la fréquence de leurs rendez-vous en ajoutant que le salon était le seul endroit où quelqu’un les touchait en ces temps d’isolement… »
La quatrième génération de propriétaires : Michel Fortin , qui travaille au Salon Maxime depuis 26 ans, et Jonatan Bérubé
Loin de s’arrêter là, le souci de la clientèle s’exprime aussi par la présence d’une sociocoiffeuse, qui prodigue notamment ses conseils aux clientes atteintes du cancer qui vivent une perte capillaire. Le Salon Maxime entretient aussi des prothèses en vertu d’une association avec la Société québécoise du cancer. L’entreprise possède en outre la certification Green Circle, une organisation qui récupère les résidus des salons de coiffure. Très engagés dans la communauté, les propriétaires s’impliquent auprès de plusieurs organismes caritatifs, tels que YWCA, Lauberivière, Portage, l’OSQ et la Fondation du CHU de Québec. « Puisque l’important, c’est notre monde, on contribue aussi au monde qui nous entoure, choisissant des organismes qui redonnent directement aux bénéficiaires », insiste Jonatan Bérubé.
La qualité du service à la clientèle étant le nerf de la guerre, les propriétaires du Salon Maxime songent à proposer leur modèle d’affaires à d’autres commerces du domaine de la coiffure. « Beaucoup de propriétaires sont aussi coiffeurs et coiffeuses, explique M. Bérubé. Comment gérer une entreprise dans ces conditions, alors qu’ici, nous recevons jusqu’à 150 appels par jour ? Nous sommes donc en train de mettre en place une équipe de gestion qui s’occuperait de la bonne marche d’autres salons afin de laisser au personnel toute la liberté voulue pour exprimer son talent, soit à titre de propriétaire ou dans le cadre d’une association. »
L’automne prochain, Salon Maxime tiendra un événement-retrouvailles pour lequel seront invitées toutes les personnes qui y ont travaillé au fil des décennies. « Nous tenons vraiment à les remercier d’avoir contribué à ce que nous sommes aujourd’hui », conclut le dynamique homme d’affaires.
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2450, boulevard Laurier, Québec (Place Ste-Foy)
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o riginaire de c harles B ourg e T ayan T grandi auprès d’un père ai M an T cuisiner e T recevoir, le nouveau chef du res T auran T c ha M plain, du f air M on T l e c hâ T eau f ron T enac, g a B riel Molleur-langevin, revienT dans sa ville naTale pour y poursuivre sa progression, riche d’une expérience inTernaTionale qu’il esT iMpaTienT de MeTTre au service de ce hauT lieu gasTronoMique à propos duquel il M ulT iplie les superlaTifs. « ceT endroiT n’esT-il pas incroyaBleMenT Magnifique ? c e T rès B eau défi M ’e MB alle au plus hau T poin T , s’excla M e- Til, j’ai envie de par T iciper à ce M o M en T u M gas T rono M ique que je consTaTe ici eT de conTriBuer, é T an T donné la richesse du T erroir e T la proxi M i T é des produc T eurs, à faire de q ué B ec la prochaine capi T ale gasTronoMique au pays ! »
Le nouveau chef du restaurant Champlain du Fairmont Le Château Frontenac
Adolescent, Gabriel ressentait un intérêt marqué pour la musique, particulièrement la batterie. Pour s’en payer une, il est embauché au Portofino comme plongeur. Au cœur de l’action et de l’ambiance d’une cuisine, c’est la révélation ! Il s’inscrira rapidement par la suite au Collège Mérici.
Malgré son jeune âge, le dynamique chef a à son actif un parcours de 15 années dans des restaurants étoilés Michelin et au sein d’établissements d’exception affiliés à Relais & Châteaux et Grandes Tables du Monde, en France, au Danemark et en Suède, les cinq dernières années comme chef exécutif au Mousso, à Montréal. Des voyages dans plusieurs régions du monde ont aussi façonné sa signature. « Je considère cette étape comme la nouvelle destination de ce grand périple culinaire qu’est ma vie, explique Gabriel. Je suis honoré de faire partie de cette belle équipe, si fière de travailler au Château, et d’y apporter ma vision en toute complicité. » Le Champlain est pour lui une belle consécration, ayant été nommé, en 2022, meilleur restaurant gastronomique pour la région de l’Amérique du Nord et Centrale par les prestigieux World Luxury Awards, et dont la cave à vin est saluée depuis plusieurs années par le magazine américain Wine Spectator. « Habitué aux petites cuisines, poursuit-il, je trouve fascinant de me retrouver dans l’ambiance d’un grand hôtel de renommée internationale, ses banquets, ses événements. Ma contribution sera donc assortie d’un enrichissement personnel. »
Une immersion toute québécoise, voilà ce que souhaitent les convives du Champlain. « Le cachet local authentique fait partie de l’ADN de l’établissement hôtelier, les archives révélant que dès les années 1920, les aliments québécois y étaient à l’honneur », précise pour sa part le responsable du marketing, Maxime Aubin. L’entrée en scène du nouveau chef réjouit le directeur culinaire du Château, Frédéric Cyr, qui supervise les cinq équipes culinaires de l’hôtel, dont celle du Champlain. « Nous l’avons choisi pour son parcours singulier, sa personnalité affirmée, sa vision actuelle et sa passion permettant de créer des expériences uniques en salle. Gabriel maîtrise notamment la fermentation, il connaît les particularités de la saisonnalité des produits de façon à privilégier les meilleures saveurs tout au long de l’année. Ça promet ! »
Gabriel Molleur-Langevin l’avoue sans détour : la carte n’est qu’un élément parmi tant d’autres, tels que la qualité de l’accueil et du service, l’énergie en cuisine, les aliments qu’on retrouve dans l’assiette et l’esprit permettant aux visiteurs de vivre un moment à saveur très québécoise. « Empreint d’élégance aussi, en hommage à l’incroyable beauté de cet établissement. En arrivant dans des lieux autant chargés d’histoire, les gens sont émerveillés et
leur regard s’illumine ! C’est cette étincelle que je souhaite transposer jusque dans l’assiette ! » Développée à partir d’ingrédients locaux, une nouvelle offre culinaire sera dévoilée le 21 juin en menu découverte 5 ou 8 services. Le cellier sera particulièrement mis en valeur, le client étant invité à participer à d’inoubliables dégustations de caviar, charcuteries, fromages et champagne de grands crus. Notre cave à vin est exceptionnelle, car notre sommelier, Zsombor Mesey, a le secret de perles qu’il va chercher partout dans le monde. »
Le nouveau chef dit avoir été accueilli par une merveilleuse équipe, dont l’expérience l’a impressionné. « Derrière chaque plat, le travail d’équipe est primordial. Quand les préparations s’inspirent d’une cohésion et d’une réflexion collective, ça se voit et se ressent jusqu’en salle. Voilà, conclut-il, l’aspect convivial, le partage et la passion de la cuisine que je souhaite traduire dans mes menus. »
La brigade du restaurant Champlain : Lory Dilo, Josée Guérin, le chef Gabriel Molleur-Langevin, Éric Chassé et Jean-Sébastien Fleury.
Pour en savoir davantage ou pour réserver : 1, rue des Carrières, Québec 418 692-3861
chateaufrontenac@fairmont.com
restaurantchamplain.com
Stratégies d'affaires / Johanne Martin
SERVICES CLÉS EN MAIN DE MALLETTE
r are T é de la M ain-d’ Œ uvre, évolu T ion du Marché du Travail : il fauT désorMais ê T re en M esure de se dis T inguer en T an T qu’organisa T ion pour susci T er l’engage M en T auprès de son personnel eT inTéresser des candidaTs poTenTiels. dans ce conTexTe, la Marque eMployeur esT un ouTil Très puissanT pour se déMarquer, aTTirer eT fidéliser les TalenTs.
« Chez Mallette, nous accompagnons nos clients dans l’élaboration et la mise en œuvre de leur marque employeur, émet Daphné ChatelleLambert, spécialiste en gestion stratégique des ressources humaines. L’une de nos forces, c’est que nous effectuons la démarche en partenariat. Dans ce genre de mandat, je collabore avec notre équipe de Marketing, études et stratégies, ainsi qu’avec une firme externe partenaire qui se spécialise en création, visuel et communication. »
D’emblée, Mme Chatelle-Lambert tient à préciser que l’expression « marque employeur » a été surutilisée et même galvaudée au cours des dernières années. Elle mentionne que dans les faits, il s’agit d’un véhicule qu’on va employer afin de promouvoir son positionnement et faire rayonner sa proposition de valeurs en tant qu’employeur. Sur le plan du marketing, on réfère à l’ensemble des actions permettant à une entreprise de projeter une image positive.
« On vise vraiment à exposer au grand jour ses attributs, ses stratégies, ses initiatives, en sélectionnant celles qui nous mettent en valeur et nous distinguent comme organisation, révèle la spécialiste. Du point de vue de la gestion des ressources humaines, il est primordial de soigner ses pratiques internes pour faire vivre au candidat ou à l’employé une expérience exceptionnelle. En ce qui concerne la création, on va élaborer des logos et des slogans, choisir des images et des couleurs qui sont à la fois percutantes et qui reflètent ce qu’on veut projeter. »
L’approche intégrée et globale qui résulte des trois composantes – ressources humaines, marketing et création/communication –forme une combinaison gagnante. « L’élaboration et le déploiement d’une marque employeur représentent un chantier d’envergure et c’est pour cela qu’il peut être intéressant de se faire accompagner par des experts à l’externe qui nous aident à poser un regard neuf. Une marque employeur forte favorise la conversion de nos employés clés en réels ambassadeurs ! », fait valoir Daphné Chatelle-Lambert.
La marque employeur inclut, propulse, mais met également en marché une proposition de valeur employeur. Les facteurs d’attraction d’une entreprise sont intégrés au processus, tout comme l’expérience candidat et employé. On aborde l’identité et la culture de l’organisation, l’environnement de travail, les perspectives d’avancement, le développement de carrière, la rémunération, les conditions d’emploi, de même que les avantages sociaux qui sont offerts.
En marque employeur, le positionnement d’une organisation est composé de cinq éléments clés :
/ son ADN : les caractéristiques immuables qui décrivent le mieux l’organisation (qui elle est);
/ sa personnalité : si l’organisation était une personne, elle serait…;
/ son avantage distinctif : ce qui différencie avantageusement l’organisation;
/ son positionnement : ce que l’on souhaite que son public cible dise de l’entreprise;
/ sa promesse : une proposition, ce que l’on offre en retour.
« Dans la démarche, il faut enfin déterminer son persona RH, c’està-dire son employé idéal, et ne pas hésiter à segmenter selon les différents types de postes, termine Mme Chatelle-Lambert. Qu’est-ce que notre persona RH détient comme expérience antérieure, qu’estce qui l’attire dans une organisation, quelles sont ses aspirations professionnelles et ses motivations dans la vie, quels médias consomme-t-il, quel style de gestion lui convient le mieux et quels traits de personnalité lui attribue-t-on… »
Quatre pièges à éviter
« l’élaBoraTion eT le déploieMenT d’une Marque eMployeur représenT enT un chan T ier d’envergure e T c’es T pour cela qu’il peuT êTre inTéressanT de se faire accoMpagner par des experTs à l’exTerne qui nous aidenT à poser un regard neuf. »
– Daphné Chatelle-Lambert, spécialiste en gestion stratégique des ressources humaines chez Mallette.
Pour en savoir davantage :
3075, chemin des Quatre-Bourgeois, bureau 200, Québec
418 653-4431 | mallette.ca
/ Baser la réflexion sur quelques individus seulement (par exemple : uniquement la direction).
/ Compter sur la bonne volonté de chacun pour faire vivre la marque employeur (la marque employeur est un projet organisationnel qui peut naître dans le bureau des ressources humaines ou des communications, mais qui doit être porté par l’ensemble de l’organisation et propulsé avec rigueur).
/ Faire comme l’organisation ou le concurrent d’à côté, parce qu’on a une réalité similaire.
/ Vendre du rêve.
Relève d'entreprise / Profil
La troisième génération d’Epsylon Concept prend la relève : Tania Lefrançois, directrice stratégie d’entreprise, et Philippe Lefrançois, directeur de projets et responsable de l’amélioration continue.
à quéBec, la faMille lefrançois esT Bien connue dans le doMaine de la consTrucTion. elle illusTre à Merveille le concep T de l’en T reprise fa M iliale, car son savoirfaire plonge ses racines jusqu’à quaTre généraTions ! l es frères a lain e T j ean l efrançois, qui dirigen T respecTiveMenT epsylon concepT depuis 2008 eT sa filiale epsylon usa, coMpTenT déjà sur la nouvelle vision des enfanTs d’alain, Tania eT philippe, qui connaissenT déjà Tous les rouages de l’enTreprise du secTeur BeauporT eT qui sonT en voie de réaliser le TransferT de la direcTion. forTs de l’appui de Trois acTionnaires d’expérience eT d’auTres piliers d’une relève dynaMique, ils onT l’aMBiTion de propulser le fa B rican T de M urs-rideaux vers de nouveaux soMMeTs en aMérique du nord. Bref, la relève à son Meilleur !
C’est l’enveloppe — non porteuse d’une charge structurelle — d’un édifice constituée de modules et offrant une fenestration maximale. Chez Epsylon, ceux-ci sont préfabriqués et prêts à être installés à la sortie de l’usine, scellant inclus. Ils sont habituellement composés d’aluminium et de verre, et emboîtables, un procédé qui accélère considérablement l’assemblage sur les chantiers. Le Complexe Jules-Dallaire, le Centre Vidéotron et le nouveau siège social de la BNC à Montréal — trois réalisations phares de l’entreprise — en sont de convaincants exemples. Cette technologie, Alain Lefrançois et son équipe en maîtrisent l’art après 40 années passées à la perfectionner. « La conception de murs-rideaux obéit à des exigences très pointues sur le plan technique, assure M. Lefrançois. La conception de façades architecturales d’envergure est un savoir-faire qui ne s’enseigne dans aucune école, et qui s’apprend seulement par la pratique. La taille des édifices que nous recouvrons et l’importance des investissements ne laissent aucune place à l’erreur. Voilà pourquoi nous appliquons les normes les plus élevées qui soient, ce qui nous a valu au fil du temps, en plus de notre respect serré des échéanciers, une excellente réputation. » Les modules sont fabriqués dans la vaste usine de la rue Nordique, d’une superficie de 90 000 pi2, où s’affaire une équipe très expérimentée, dont certains travailleurs de la première heure, il y a 40 ans !
« Mon grand-père était surintendant, raconte Alain Lefrançois. Tout jeune, mon père aimait le suivre partout, comme je l’ai moi-même fait avec le mien, qui, à 16 ans, savait déjà comment construire une maison ! Je suis très heureux que mes enfants aient finalement choisi d’assurer la relève après avoir mis l’épaule à la roue dès l’adolescence même si, pour eux, rien n’était tracé d’avance. Leur décision ne m’a pas étonné puisque la construction et le sens des affaires font partie de l’ADN de notre famille. Tania s’occupe de stratégie d’entreprise et chapeaute le marketing tandis que Philippe est directeur de projets et responsable de l’amélioration continue. Ils représentent la quatrième génération des Lefrançois et notre avenir, surtout que la relève est déjà bien installée partout dans l’entreprise. »
Si, au Québec, le marché principal d’Epsylon se situe dans le grand Montréal, le potentiel de développement le plus prometteur provient du sud de la frontière, particulièrement en sol floridien, où l’équipe derrière Epsylon accumule les
Tania et Philippe
réalisations depuis les années 1990, son siège social et son entrepôt ayant pignon sur rue à Pompano Beach. À la différence du Québec, où les projets concernent davantage les immeubles de bureaux et commerciaux haut de gamme, le marché américain est caractérisé par une majorité de tours résidentielles de condominiums. Dirigée par Jean Lefrançois, Epsylon USA doit se soumettre à des exigences climatiques plus rigoureuses. « Nos modules doivent recevoir le sceau Hurricane Proof, qui comporte des normes très sévères en matière de résistance au vent et aux infiltrations d’eau, détaille-t-il. À titre d’exemple, nos surfaces vitrées sont testées à l’air et à l’eau après avoir été impactées avec un madrier de 2 x 4 po à 60 km/h, une performance que nombre d’ouragans ont permis de valider. Nous offrons une trentaine de produits divers, et les pièces d’aluminium sont fabriquées à Québec puis expédiées ici pour l’assemblage et l’installation, tandis que le verre provient des USA et du Mexique. »
En Floride, la notoriété d’Epsylon USA permet à l’entreprise de négocier directement avec les promoteurs immobiliers, ce qui permet de réduire d’autant les délais de construction. « Nos partenaires, qui pilotent des projets d’envergure aux États-Unis, ont visité nos installations à la fine pointe de la technologie, à Québec, ce qui les a beaucoup mis en confiance. Depuis le temps, notre réputation est bien établie, de sorte que les contrats affluent, ce qui pallie le ralentissement que nous observons sur le marché québécois. Toutefois, nous privilégions une croissance réfléchie, à la mesure de notre capacité de production et d’installation, afin de préserver cette fiabilité qui nous caractérise. Présentement, d’importants booms immobiliers sont observés à West Palm Beach et Tampa, ville où nous venons d’ailleurs d’ouvrir un entrepôt. Voilà qui augure bien, et ce, pour la prochaine décennie ! »
Le type de relève qui se met graduellement en place — le transfert sera effectif dans les prochaines années — s’écarte des sentiers battus, car il déborde largement de la sphère familiale pour englober l’ensemble de l’équipe. Tania et Philippe Lefrançois apportent certes un souffle de renouveau aux destinées d’Epsylon, mais ils peuvent compter sur une équipe très compétente et des piliers prêts à prendre le relais dans les différents services, et dont les rôles respectifs seront essentiels à la progression de l’entreprise. Le nouveau directeur de l’usine de Beauport et futur directeur général, Daniel Labbé, en fait partie. Il a été remplacé au service de dessin technique par Frédéric Lessard. M. Labbé figure d’ailleurs parmi les actionnaires de la compagnie, au même titre que Karl Moreau, responsable du service d’ingénierie, et Danny Tremblay, directeur de l'estimation, dont la relève est personnifiée par Élise St-Hilaire.
La relève se dessine également du côté de la métropole, où une équipe est en place sur les chantiers pour assurer leur bonne marche. C’est Simon Manucci qui y supervise toutes les activités. Quant à Maude Garneau-Larose, elle agit en tant que coordonnatrice logistique, véritable interface entre l’acquisition de la matière première, la production et la livraison. « Elle est pressentie pour jouer le rôle de planificatrice d’usine, du début des achats jusqu’à la livraison », explique M. Labbé. Les tâches de tous seront, à terme, facilitées par la mise en place d’un logiciel ERP ( Enterprise Resource Planning ) de gestion des activités quotidiennes, qui centralise tout au sein d’une même plateforme. « Il s’agit de maximiser le retour d’information sur les données, précise Philippe Lefrançois. L’implantation s’effectue
de façon progressive, service par service, dans un travail collaboratif de l’équipe de relève. Ce logiciel permet de garder le savoir dans l’entreprise et de fluidifier le transfert d’information. L’objectif est de faire plus avec moins, ce qui représente un atout de premier ordre dans notre contexte général de rareté de main-d’œuvre. »
C’est ici qu’intervient l’innovation dans le processus de modélisation 3D. La pièce de résistance de cette refonte globale est la mise en place d’un super logiciel de modélisation 3D conçu par une firme française et déjà utilisé en aéronautique. « Notre équipe de dessin technique est déjà en formation à ce sujet, sous la supervision de Frédéric Lessard, révèle Tania Lefrançois. Unique pour l’instant au Québec dans notre secteur d’activité, cet outil hyper performant solutionnera le problème majeur rencontré avec les logiciels manufacturiers actuels, qui se trouvent vite sursaturés lorsqu’on applique une modélisation détaillée à l’ensemble d’un bâtiment. Mieux encore, il conservera en mémoire tous les projets et générera des solutions. L’intelligence artificielle intégrée, nous en sommes là
dans notre cheminement d’entreprise. Risque d’erreurs réduit, et surtout, temps de conception considérablement raccourci. Pour vous donner une idée, nous pourrons passer de plusieurs mois de travail à… quelques semaines ! Je pense que ce sera effectif dans environ un an. C’est très encourageant pour l’avenir ! »
Le mot de la fin revient au fondateur : « Ce vent de renouveau et cette ouverture aux avancées technologiques, voilà toute la différence entre nous, vieux dinosaures habitués aux bouts de crayon et de papier, et la nouvelle génération. Et c’est tant mieux ! Quand je vois toute la force de la relève déjà bien en place, comment ne pas être rassuré ? C’est donc l’esprit tranquille que je vais leur passer le flambeau le moment venu ! »
Pour en savoir davantage :
Siège social : 1010, avenue Nordique, Québec
Autres succursales : Montréal et Floride 418 661-6262 | epsylon.ca
L'équipe de direction et la relève d'Epsylon Concept : Simon Manucci, directeur Montréal; Daniel Labbé, directeur de l'usine et futur directeur général; Karl Moreau, directeur de l'ingénierie; Tania Lefrançois, directrice stratégie d'entreprise; Alain Lefrançois, président-directeur général; Philippe Lefrançois, directeur projets et amélioration continue; Élise St-Hilaire, estimatrice; Maude Garneau-Larose, coordonnatrice logistique; Frédéric Lessard, directeur du service de dessin technique; et Danny Tremblay, directeur de l'estimation. Absent sur la photo : Jean Lefrançois, président Epsylon USA.
Tan T à l’égard du revenu fixe que des ac T ions, l’année 2022 a é T é difficile sur les Marchés financiers. elle a déMonTré ce que plusieurs professionnels de l’inves T isse M en T prêchen T depuis long T e M ps : l’i M por T ance, pour les inves T isseurs par T iculiers, de ne plus li M i T er leur por T efeuille à ces deux caTégories d’acTifs eT d’y ajouTer celle des invesTisseMenTs alTernaTifs.
Au cours des dernières années, des changements réglementaires ont permis une certaine démocratisation de ces investissements. Auparavant réservée aux investisseurs institutionnels et fortunés, cette catégorie encore méconnue du grand public est donc apparue dans les portefeuilles des Canadiens. Mais que sont-ils exactement ? Il n’y a pas de réponse directe à cette question, mais il s’agit d’investissements qui ne sont ni des obligations ou des actions de sociétés cotées en bourse, ni des stratégies qui se contentent de détenir celles-ci.
On peut penser notamment aux :
/ Actifs alternatifs : métaux précieux et marchandises, terres agricoles et forestières, propriété intellectuelle, objets de collection, et cryptoactifs;
/ Actifs privés : actions de sociétés privées, dette privée, immobilier privé et infrastructures;
/ Stratégies alternatives : fonds de couverture et stratégies événementielles, stratégies Global Macro et contrats à terme gérés, et produits structurés.
Le principal rôle qu’on peut leur attribuer est celui d’ajouter de la diversification au portefeuille, grâce à des rendements non corrélés avec ceux des actifs traditionnels. En effet, ils ne varient pas de façon parfaitement synchronisée avec les deux autres catégories, et peuvent ainsi permettre de réduire la volatilité du portefeuille dans son ensemble sans diminuer d’autant les rendements. Sur un graphique, on cherche en somme à ce que ces derniers ressemblent davantage à une ligne droite ascendante, et moins à des montagnes russes.
Le second rôle consiste à amplifier les rendements des actifs traditionnels qu’ils remplacent. Ces investissements peuvent aussi générer des bénéfices de diversification, mais habituellement dans une moindre mesure que ceux ciblés pour le premier rôle. Pour les utiliser à cette fin, on doit présumer que les gestionnaires de ces actifs ou de ces stratégies disposent d’un avantage par rapport aux actifs traditionnels.
Olivier B . Ampleman
CFA, CAIA, M. Fisc., Pl. Fin., conseiller en gestion de patrimoine et gestionnaire de portefeuille
Équipe Ampleman
Financière Banque Nationale Gestion de patrimoine
ALTERNATIFS…
Dans la construction de portefeuilles, cette catégorie représente donc un outil intéressant, particulièrement dans un environnement économique où on a pu constater l’augmentation des corrélations entre le revenu fixe et les actions, et conséquemment la réduction de la diversification des portefeuilles traditionnels. Toutefois, il faut prendre garde de ne pas y investir aveuglément, car ces investissements sont loin d’être tous identiques. Ils peuvent réagir différemment les uns des autres selon les circonstances, et comporter des risques et des niveaux de volatilité variés.
Des éléments qui ont contribué à soutenir leur performance dans le passé pourraient également ne plus être présents; par exemple le déclin des taux d’intérêt long terme de 1981 à 2020 ou une frénésie créée par la spéculation.
En outre, les bénéfices de diversification de certains d’entre eux sont parfois exagérés. Il suffit notamment de penser aux actifs privés, qui ont des équivalents sur les marchés publics et qui devraient réagir de manière assez semblable aux changements macroéconomiques. Pourtant, ces fonds enregistrent souvent des performances fortement supérieures à celles de leurs homologues traditionnels en périodes de marchés baissiers.
À titre d’exemple, beaucoup de fonds immobiliers privés ont affiché des rendements positifs en 2022, alors que les secteurs immobiliers des indices S&P/TSX et S&P 500 ont quant à eux dégagé des rendements de -21,5 % et -26,1 % respectivement, en devises locales. S’agit-il de la surperformance extraordinaire de gestionnaires chevronnés, ou ces fonds ont-ils simplement bénéficié de l’absence de valorisations de marchés quotidiennes et d’évaluations comptables qui leur permettent de lisser leurs rendements sur plusieurs trimestres et de paraître moins volatils ? On peut certainement se poser la question, ce qui est problématique puisqu’on veut des rendements décorrélés pendant les périodes de reculs des marchés, bien plus que pendant les périodes de hausses, et puisque ces fonds ont généralement des contraintes de liquidité et des restrictions plus élevées pour retirer du capital.
Cela ne signifie pas que les investissements mentionnés soient inintéressants, mais illustre seulement le fait qu’on doit être prudent lorsqu’on les évalue, et s’assurer de bien comprendre leurs caractéristiques et leurs vecteurs de performance. Dans un rapport récent, l’Association CAIA, spécialisée en investissements alternatifs, suggérait d’ailleurs que les professionnels devraient revoir leur approche afin de ne pas simplement construire des portefeuilles génériques en remplissant des quotas, mais de s’assurer plutôt de comprendre l’impact de chaque investissement sur les facteurs de risque des portefeuilles dans leur ensemble.
SAVOIR BIEN S’ENTOURER
Malgré leur démocratisation, tous les investissements alternatifs ne sont pas accessibles à l’ensemble des investisseurs, ni par l’entremise de tous les conseillers. En règle générale, ceux qui travaillent pour un courtier de plein exercice sont ceux qui ont accès au plus grand éventail de stratégies. Cela, particulièrement s’ils sont également gestionnaires de portefeuille puisqu’ils sont alors en mesure de proposer à leurs clients signataires d’une entente de gestion discrétionnaire certains investissements normalement accessibles uniquement aux investisseurs qualifiés.
On doit cependant se rappeler que ces investissements demeurent des stratégies plus sophistiquées que les investissements traditionnels. Si vous souhaitez en ajouter à votre portefeuille, il est important de faire affaire avec un conseiller expérimenté, qui comprend bien les caractéristiques, la logique économique et les risques associés à chaque investissement, et qui est à même de s’assurer que ceux-ci soient bien adaptés à votre situation personnelle.
Pour en savoir davantage : fbngp.ca | equipeampleman.ca
revoici les Beaux jours eT le TeMps de vacances Bien MériTées. un MoMenT propice pour décrocher de la rouTine professionnelle, pour se créer un espace Bien à soi. l’éTé, c’esT faiT pour relaxer, se reposer, enTaMer des projeTs qui nous TiennenT à cŒur… eT pourquoi pas en profiTer pour invesTir en soi ?
Ce qui n'est pas aussi simple qu’il y paraît. Peu de gens se le permettent réellement, parce que ce faisant, en allant à la rencontre de qui on est vraiment, des choses dérangeantes se révèlent. Qu’on ne veut pas nécessairement regarder en face. En ce qui me concerne, pendant l’été, je vais travailler trois jours par semaine, du mardi au jeudi, ce qui me donnera la possibilité de vivre de nouvelles expériences. Il est vrai que les vacances sont courtes pour beaucoup de personnes, il convient donc à chacun de trouver ce qui convient le mieux.
Si la notion de vacances implique souvent la possibilité de se reposer, saviez-vous que pour vraiment se « mettre à off », notre cerveau n’a pas besoin que de sommeil et de repos conventionnel, mais également d’être sollicité différemment ? En effet, combien de gens constatent qu’en dépit du sommeil et du repos, leurs batteries ne semblent pas complètement rechargées ? À ce sujet, des études révèlent que les personnes qui décrochent le mieux et qui se sentent revigorées sont celles qui sortent des
sentiers battus de leurs habitudes. Un défi à notre portée même si on n’est pas en vacances ou en été, quoique la période estivale s’y prête plutôt bien. Au cours de la belle saison, pourquoi ne pas oser faire quelque chose de tout à fait nouveau, juste deux heures par semaine ? C’est pour cette raison que ceux et celles qui jardinent, cuisinent, jouent d’un instrument de musique, pratiquent un sport ou encore découvrent de nouveaux pays et hobbies se sentent encore plus ressourcés après leurs vacances même si leur emploi du temps les a tenus occupés. Les stimuli différents reposent et améliorent notre bien-être cérébral.
J’ai lu récemment un article des plus intéressants concernant le repos. Pour la plupart d’entre nous, celui-ci est synonyme de sommeil et de pause physique. En réalité, le repos physique est le premier d’une série de sept ! Il y a aussi le repos mental, qui consiste à se permettre des pauses fréquentes plutôt que de se concentrer pendant de longs moments sur une seule et même chose. Ou libérer de son esprit des pensées importunes. Notons aussi le repos sensoriel, par lequel on réduit au minimum les stimuli dont nous sommes constamment bombardés dans notre monde numérique rempli d’écrans pour s’apprivoiser au silence, ainsi que le repos créatif, qui s’exerce en stimulant notre créativité. Quant au repos émotionnel, il consiste à être authentique plutôt que de vouloir se conformer à autrui, en exprimant ses sentiments et limites. Il est aussi question de repos social, en choisissant notamment des relations qui énergisent au lieu d’épuiser, et de repos spirituel, soit l’habileté à se brancher à plus grand que soi, qu’on exprime par la méditation ou l’engagement dans la communauté par exemple.
Comme vous le constatez, l’expérience humaine est remplie d’occasions d’exprimer qui on est, une identité qui jaillit essentiellement de l’intérieur. Être sur son « X » , comme le dit l’expression, soit s’accomplir dans ce qui nous fait le plus vibrer, est le plus grand générateur d’énergie.
Je vous souhaite un bel été, à la fois reposant et énergisant !
Accompagnement comptable
Finance corporative
Évaluation d’entreprises
Marketing, études et stratégies
Gestion stratégique des ressources humaines
Acquisition et intégration de talents
Redressement d’entreprise
Réseau Mallette
Immigration
Juricomptabilité
Gestion des risques, processus financiers, systèmes d’information et contrôle interne
raMer Tous enseMBle dans la MêMe direcTion sera Toujours plus perforManT que si chacun n’en faiT qu’à sa TêTe. cela s’applique dans la vie en général, eT c’esT aussi le cas dans une enTreprise. parTager une MêMe vision d’affaires esT priMordial, Mais il fau T aussi parTager les o B jec T ifs à aTT eindre e T les sTraTégies pour y arriver. l’aligneMenT enTre Tous ces axes de développeMenT doiT êTre cohérenT, Mais surTouT Bien coMpris eT assiMilé par TouTes les équipes. de ce faiT, le gesTionnaire des venTes a le devoir de Bien diriger les MeMBres de son équipe dans la direcTion voulue, de les MoTiver eT de faire le suivi rigoureux de leurs efforTs en ce sens.
Vos stratégies de vente sont-elles bien alignées sur les objectifs à atteindre ? Et ces objectifs répondent-ils bien à la vision d’affaires de l’entreprise ? Cette cohérence est la prémisse du succès; elle est essentielle pour assurer une saine croissance à votre organisation.
Il n’est pas rare que l’on voie plusieurs méthodes de travail différentes s’appliquer au sein d’une même équipe des ventes. Si tous poursuivent néanmoins les mêmes objectifs, c’est déjà ça de gagné ! Cependant, si tout le monde respecte les mêmes stratégies préalablement identifiées par le gestionnaire comme étant celles à privilégier, il y a fort à parier que les objectifs seront atteints beaucoup plus rapidement et efficacement. Au cours de mes dix années d’expérience chez Celsius, j’ai pu maintes fois valider cette affirmation.
Si chacun a sa propre vision et travaille seul dans son coin, il ne bénéficie pas du support et de l’efficience de l’équipe mobilisée. Un bon vendeur, même s’il choisit de travailler en silo, atteindra sa cible. Mais collectivement, ses efforts ne seront pas optimaux. Travailler en équipe est une force qu’il faut exploiter à son plein potentiel. Le gestionnaire des ventes doit bien guider son équipe dans cette direction, mettre en place un plan de match unique et motivant, et assurer des suivis conséquents.
Rodolphe Maynier
Président
Celsius Performance Ventes
Une division de Halifax
Amérique du Nord
Par exemple, si vous cherchez à avoir une croissance de 12 % avec une augmentation de 1 % de la marge, plusieurs stratégies permettent d’y parvenir. Mais il faut que l’équipe soit alignée sur les bonnes stratégies pour s’assurer d’être la plus performante possible.
Voici plusieurs stratégies possibles pour atteindre les objectifs : vendre plus aux clients existants et en développer de nouveaux, augmenter notre taux de succès, recruter des représentants, mieux cibler les clients, développer de nouveaux marchés, optimiser le portfolio clients, etc. Un bon gestionnaire saura identifier les stratégies qui permettront d’atteindre les objectifs dans les délais prescrits.
Il est aussi important que les clients reconnaissent chez tous les vendeurs de l’équipe la même approche, celle qui fait sa marque de commerce, sa signature distinctive. C’est cette approche, en lien direct avec ses valeurs et sa culture, qui assurera le succès d’une entreprise. Aussi, tous les services doivent s’aligner sur la stratégie mise en place, les ventes comme la direction, le marketing comme l’opérationnel. Sans cette cohésion, tous devront travailler individuellement beaucoup plus fort pour atteindre les mêmes objectifs d’affaires, ce qui représente une perte de productivité. Et ce n’est surtout pas ce qu’on recherche !
Pour en savoir davantage : celsiussolutions.com
Utilisation facile et spécialisée pour les PME
Sauvegarde de données et hébergement d’applications infonuagiques
Gestion et optimisation de réseaux Wi-Fi
Câblage de réseaux structurés et installation de cabinets réseau
Équipement haut de gamme à la fine pointe de la technologie
Éducation / Marie-Claude Savoie
l a grande région de q ué B ec co M p T e sur son T erri Toire une offre vas T e d’écoles privées aux progra MM es T rès diversifiés. Mais pourquoi choisir ceT environneMenT éducaTif ? pour TouT savoir sur les avanTages de l’éducaT ion au privé, nous avons in T errogé les direc T ions de l’école v ision q ué B ec n ord, du c ollège d’enseigne M en T secondaire d inaBélanger eT du collège Mérici.
UN ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISÉ
D’entrée de jeu, les responsables des écoles et collèges sont unanimes quant à l’aspect le plus important pour chacun de leur établissement : accompagner de façon personnalisée chaque enfant ou jeune adulte qui étudie sous leur toit. L’encadrement est ainsi au cœur de toutes les décisions afin de favoriser le succès de chaque élève.
Le programme ParCours du Collège Mérici allie la pédagogie et l’acquisition de saines habitudes de vie par l’entremise d’une activité sportive.
Outre les enseignants, des techniciens en éducation spécialisée ou en loisirs, des orthopédagogues, des conseillers en orientation et des animateurs en engagement communautaire font partie des ressources offertes dans le secteur privé. Tout est mis en œuvre pour que la réussite scolaire soit au rendez-vous. Autre avantage du secteur privé : le nombre souvent plus restreint d’élèves admis chaque année, ce qui permet un meilleur encadrement.
Chaque école a aussi ses propres stratégies pour accompagner l’élève qui a besoin d’un petit coup de pouce supplémentaire. Par exemple, au Collège Mérici , l’équipe propose un programme nommé ParCours , qui permet aux étudiants d’obtenir du soutien afin de maintenir leur motivation et de persévérer dans des moments plus difficiles. « Cette structure d'encadrement allie ainsi la pédagogie et l’acquisition de saines habitudes de vie par l’entremise d’une activité sportive telle que la course, la boxe ou le yoga, résume Mélanie Lanouette, directrice générale. Nous offrons aussi un programme de pédagogie aux étudiants de première année. Nous leur enseignons des méthodes de travail, les aidons à préparer leurs examens et leur offrons du soutien aux études. » Pour en savoir davantage sur le Collège Mérici, nous vous invitons à lire le reportage en pages 52 et 53.
Du côté du Collège Dina-Bélanger, on va bien au-delà du suivi des notes. Pour la directrice générale Josée Therrien, il est primordial de développer chaque personne dans le but d’en faire de futurs citoyens épanouis à tous points de vue. « Chez nous, chaque jeune est un trésor sacré et nous avons comme mission, en tant que professionnels de l’éducation, de développer ces trésors », confie-t-elle.
Autre avantage majeur : en étant autonomes, les écoles privées peuvent facilement bonifier leur offre de programmes ou d’activités. Ainsi, grâce à la flexibilité, à l'engagement inébranlable et à la créativité débordante de leur personnel, ces écoles sont des pionnières dans le domaine de l'éducation. Elles ont ainsi pleine latitude pour innover et ne craignent pas les décisions audacieuses pour s'adapter en temps réel aux nouveaux besoins et aux nouvelles réalités qui émergent. Les établissements privés vont encore plus loin en encourageant et en réalisant les projets ambitieux initiés par leurs élèves. Dans cette atmosphère d'autonomie éducative, aucune limite ne peut entraver la réussite.
24 SEPTEMBRE 2023
Restez à l’affût pour voir l’évolution de notre IMAGE DE MARQUE.
Une PETITE école, une GRANDE famille à dimension humaine… depuis 1865 !
Le Collège appartient au RÉSEAU DES ÉCOLES ET COLLÈGES JÉSUS-MARIE présents dans 28 pays.
PROGRAMME D’EXCEPTION
ÉTUDE–SPORT VOLLEYBALL
NOUVEAUTÉS
2024-2025
PARCOURS 2/3
ÉTUDE-MUSIQUE
LEADERSHIP ENTREPRENEURIAL
NOUVEAU PAVILLON
LE COLLÈGE S’AGRANDIT ET POURSUIT SON DÉVELOPPEMENT !
À 20 MINUTES DE LÉVIS 1, rue Saint-Georges, Saint-Michel-de-Bellechasse 418 884-2360 | COLLEGEDINA-BELANGER.QC.CA
La région regorge de très bonnes écoles, et ce, à tous les niveaux d’enseignement privé. Le choix d’un établissement plutôt qu’un autre se fait alors souvent en fonction des programmes offerts par chaque établissement.
Du côté de Vision Québec Nord , une école préscolaire et primaire, c’est le programme trilingue et d’immersion anglaise qui attire les parents qui souhaitent que leurs enfants soient en mesure de parler la langue de Shakespeare et l’espagnol, en plus du français. Située dans la couronne nord à Québec, l’école se distingue aussi par son offre d’activités physiques 100 % extérieures durant toute l’année.
L’éducation au privé offre souvent des programmes exclusifs. Au Collège Mérici, on propose une technique en orthèses et prothèses ainsi qu’en soins orthopédiques.
L’école Vision se distingue par son offre d’activités physiques 100 % extérieures durant toute l’année.
Le Collège Dina-Bélanger propose un environnement sécurisant qui plait aux parents et aux élèves.
Au niveau secondaire, c’est l’encadrement de proximité et l’environnement sécurisant qui plait le plus aux parents et aux élèves qui choisissent le Collège Dina-Bélanger. Cette école, qui accueille un maximum de 300 élèves, offre à ses élèves de se dépasser et d'atteindre un niveau scolaire élevé. Quant à ceux qui rencontrent des défis d'apprentissage, le collège offre le « Parcours 2/3 », qui permet aux jeunes de réaliser leur secondaire 1 et 2 en trois ans. De plus, étant membre du grand réseau des écoles Jésus-Marie, le Collège Dina-Bélanger propose des échanges scolaires avec d’autres institutions sœurs présentes dans 28 pays. D'ailleurs, au moment de publier ce reportage, la directrice générale revenait d’un séjour en Irlande avec un groupe d’élèves.
Finalement, au niveau collégial, l’éducation au privé offre souvent des programmes exclusifs à certaines régions. C’est le cas du Collège Mérici, qui propose une technique en éducation spécialisée pouvant aussi se suivre la fin de semaine ou à distance, différents programmes de pilotage d’avion, une technique en orthèses et prothèses ainsi qu’en soins orthopédiques, et enfin, un programme en tourisme et en gestion hôtelière. Bref, au privé, il y en a pour tous les goûts et tous les besoins !
Éducation
Mérici s’es T B â T i une répu TaT ion d’excellence à quéBec dans le secTeur collégial. siTué à proxiMiTé des p laines d’ aB raha M , dans un B â T i M en T re M pli d’hisToire, ce collège privé propose à sa clienTèle non seuleMenT une carTe de prograMMes exclusifs, Mais aussi une expérience de vie unique.
« Je veux que les jeunes qui entrent à Mérici disent : "C’est tripant de venir ici !" » , lance Mélanie Lanouette, directrice générale du collège. Femme de terrain dynamique, soucieuse du bien-être de ses étudiants, et à l’affût des plus récentes tendances en matière de formation, elle travaille avec son équipe pour faire non seulement une différence dans leur quotidien, mais aussi du collège un établissement de haut calibre.
Afin de permettre à tous les étudiants-athlètes de développer leur plein potentiel en utilisant le sport comme tremplin vers la réussite scolaire, les Panthères sont de retour. Dès cet automne, des passionnés de football en porteront fièrement les couleurs; une cinquantaine d’athlètes évolueront dans la division 3 collégiale de la discipline. « Mérici devient le seul collège de la région de Québec à offrir ce programme », précise Mme Lanouette. Les jeunes n’auront alors plus à quitter la ville pour réaliser leur rêve. Ils bénéficieront également d’un programme de qualité
POUR UNE EXPÉRIENCE DE VIE UNIQUE
chapeauté par Christopher Auger, qui jouit d’une solide réputation comme entraîneur de football. L’an prochain, les Panthères auront également deux équipes de basketball (masculine et féminine), une équipe de volleyball féminin ainsi qu’une équipe mixte de cross-country.
Mérici poursuit par ailleurs des travaux d’amélioration de son complexe sportif, qui devraient être terminés en septembre 2024. Déjà, le nouveau plancher s’attire des commentaires positifs de la part des joueurs de basketball.
/ Jean-Pierre Bouchard
Mérici a également instauré un autre programme unique et gratuit, complémentaire aux programmes d’études. Nommé ParCours, il encourage les étudiants à maintenir leur motivation et à persévérer dans des moments plus difficiles grâce à une structure d'encadrement qui allie la pédagogie et l’acquisition de saines habitudes de vie. « Le but de ce programme est de permettre aux jeunes de prendre soin de leur santé physique et mentale par l’entremise d’une activité sportive telle que la course, la boxe ou le ski de fond », explique Mélanie Lanouette. Il combine l’action et la réflexion sur l’action dans un espace d'échange.
Encore peu connue, la technique en orthèses, prothèses et soins orthopédiques (OPSO) permet notamment aux étudiants d’occuper un emploi dans les milieux hospitaliers. Pour M me Lanouette, il s’agit de l’un des plus beaux métiers dans le domaine de la santé. Mérici dispose également d’un centre de recherche nommé Topmed, qui permet aux personnes inscrites dans ce programme de demeurer à l’affût des plus récentes avancées dans ce domaine et de profiter du savoir d’enseignants impliqués dans plusieurs projets de recherche.
Travailler pendant ses études, c’est possible dans les programmes en gestion hôtelière et en gestion d’un établissement de restauration, qui intègrent l’apprentissage en milieu de travail et comportent des stages rémunérés dans des restaurants ou des hôtels de Québec. Mérici possède également son propre restaurant pédagogique : le Réfectoire. Un ou deux midis par semaine, on y accueille de vrais clients. Les gestionnaires en formation peuvent alors mettre en application leurs connaissances dans un environnement réel et explorer toutes les facettes du domaine.
Assurément le programme le plus populaire du collège, la technique en éducation spécialisée accueille quelque 200 étudiants dont l’obtention d’un emploi dans leur domaine est presque assurée. Cette formation ouvre des portes non seulement dans le domaine des interventions auprès des enfants, mais également des aînés. Le programme inclut notamment des notions de zoothérapie ainsi que la possibilité de travailler avec la technologie, la réalité virtuelle et les robots du centre de recherche Topmed, en plus de permettre aux inscrits de demander l’une des bourses Perspective Québec.
La couleur de Mérici, c’est la proximité que la clientèle entretient avec le personnel de l’établissement. « Une fois entrée, elle devient notre priorité. Nous voulons lui donner les meilleurs cours et le meilleur soutien possible tout au long de sa formation, y compris durant les moments plus difficiles » , souligne Mme Lanouette. Son équipe composée de spécialistes en relation d’aide veille à intervenir rapidement auprès des personnes qui la sollicitent.
Mélanie Lanouette, directrice générale du Collège Mérici.
Contrairement à ce que bon nombre de personnes pourraient croire, Mérici se veut un collège privé accessible, notamment en raison de la possibilité de bénéficier de crédits d’impôt pour les frais de scolarité. Par ailleurs, le collège met à la disposition des élèves provenant de l’extérieur des résidences totalisant 90 chambres et un environnement riche en activités culturelles, sociales et sportives. « Peu de collèges terminent l’année par un barbecue. Mérici, ce n’est pas simplement un collège, c’est un milieu de vie », conclut Mme Lanouette.
Pour en savoir davantage :
755, Grande Allée Ouest, Québec
418 683-1591
merici.ca
Mélanie Bergeron, gestionnaire et copropriétaire de l’école de pilotage, et Roger Samson, président et copropriétaire d’Orizon Aviation.
l e sec T eur de l’aviaT ion connaî T un grand essor. d es coMpagnies aériennes ou des enTreprises spécialisées de parTouT au quéBec eT d’ailleurs recherchenT des piloTes qualifiés. afin de préparer la relève, orizon aviaTion eT le collège Mérici onT coMBiné leurs forces pour offrir des prograMMes de forMaTion spécialisés.
C’est en 2014 que Roger Samson acquiert Orizon Aviation, une école pour laquelle il travaille alors depuis dix ans. Pour ce passionné d’aviation et d’enseignement, c’est la concrétisation d’un rêve.
TROIS PROGRAMMES DE FORMATION COLLÉGIALE
Fort d’une vaste expérience en tant que pilote et instructeur, M. Samson a voulu créer des formations à la hauteur des exigences de l’industrie. « Quand j’ai commencé dans le domaine, j’ai remarqué les lacunes de ma formation. C’est ce qui m’a amené à développer une formation plus complète », affirme-t-il. Car les passagers s’attendent à la perfection de la part des pilotes, rien de moins.
Afin de concrétiser son projet, Roger Samson a fait appel à Mérici. L’établissement collégial privé, qui jouit d’une excellente réputation, était tout désigné. Situé dans un magnifique environnement, Mérici possède également des résidences pour accueillir des élèves internationaux, qui choisissent la ville de Québec pour s’engager dans leurs études et qui proviennent de la France, de Madagascar, de la Guadeloupe ou de l’île de La Réunion, par exemple. « Nous avons également quelques élèves du Brésil et du Mexique », ajoute Mélanie Bergeron, gestionnaire et copropriétaire de l’école, précisant que tous les cours sont donnés en français et en anglais.
Pour la clientèle étrangère, les avantages de suivre la formation à Québec sont nombreux. En plus de profiter d’un environnement convivial et sécuritaire, elle peut bénéficier d’une formation dont les coûts sont moins élevés qu’en Europe. « Les pilotes canadiens ont une excellente réputation dans le monde. Ils sont formés pour voler dans n’importe quelles conditions : hivernales, estivales, pistes de gazon ou de gravier, pistes internationales asphaltées, sur l’eau ou à travers les montagnes », explique M. Samson.
De concert, Orizon Aviation et Mérici ont développé trois programmes. Pilotage d’aéronefs professionnel et Pilotage d’aéronefs – Programme intégré mènent tous les deux à une attestation d’études collégiales (AEC). Quant au programme Pilote de ligne intégré, il conduit à l’obtention d’un diplôme d’études collégiales (DEC). Dans ce cas, les pilotes combinent une formation générale composée notamment de cours de français, de philosophie et d’anglais assurés par le personnel enseignant de Mérici, ainsi que les cours spécifiques au pilotage, qui sont donnés par l’équipe des 24 instructeurs d’Orizon Aviation.
Les admissions aux programmes d’AEC ont lieu deux fois par année, soit en août et en mars, alors que l’admission au DEC n’a lieu qu’à l’automne.
En parallèle, l’école de pilotage située dans le secteur de l’aéroport de Québec continue d’offrir à sa clientèle des formations permettant d’obtenir une licence de pilote loisir, privé ou professionnel, ou une qualification multimoteur ou de vol aux instruments. L’école propose aussi la qualification d’instructeur de vol.
Orizon Aviation s’est doté d’un nouveau dispositif d’entraînement de vol sur un Boeing 737. Installé à Mérici, cet outil de formation de pointe devrait être disponible dans un avenir rapproché à la suite de l’homologation de Transports Canada. « Nous aurons ainsi un meilleur contrôle sur nos formations, ainsi que davantage de latitude en ce qui concerne les horaires. Nos élèves n’auront plus besoin de se déplacer à Montréal pour suivre leur formation », se réjouit M. Samson.
Lors du processus de sélection, l’école recherche des personnes passionnées par l’aviation. Pour Roger Samson, devenir pilote, c’est une question d’attitude, de tempérament, de comportement. « C’est plus facile de travailler avec des personnes qui ont un réel intérêt pour l’aviation », observe-t-il.
Les valeurs de l’école sont très familiales. « J’aime connaître le nom de tous mes élèves. Étant moi-même un pilote, je suis toujours disponible pour répondre à leurs questions », explique M. Samson. L’équipe de l’école fournit également un encadrement soutenu aux élèves, tout comme le fait Mérici. Les pilotes en formation bénéficient alors du meilleur des deux mondes. « Nous voulons leur donner les conditions d’apprentissage les plus propices possible à leur réussite », conclut Roger Samson.
Ce simulateur de vol est la réplique d’un B737-MAX qui servira à la formation de pilote de ligne.
Pour en savoir davantage :
820, 8e Avenue de l'Aéroport, Québec
418 877-2699 | orizonaviationqc.com
Programmes offerts au Collège Mérici : merici.ca
Chef de file dans le domaine immobilier à Québec, Groupe Martin Dostie, courtier chez Sotheby’s International Realty Québec propose, par l’entremise d’un partenariat avec Sotheby’s Conciergerie Auctions, une toute nouvelle approche pour la vente d’une propriété. C’est en juillet qu’aura lieu la première vente aux enchères en ligne dans la Capitale-Nationale.
Implantée au Québec depuis plusieurs années, l’agence immobilière Sotheby’s International Realty Québec est reconnue principalement dans le secteur de la vente
de maisons de prestige. Sotheby’s s’est également forgé une solide réputation à travers le Canada et à l’échelle internationale en matière de vente aux enchères de produits d’exception, tels que des toiles de grands maîtres, des pièces de joaillerie uniques ou des voitures rares. Des propriétés prestigieuses sont également mises en vente par son service Conciergerie Auctions
Fondé en 2008, Sotheby’s Conciergerie Auctions a exploré le marché québécois en vendant aux enchères deux propriétés de prestige, dont une à Mont-Tremblant. « Nous travaillons en étroite collaboration avec des courtiers immobiliers comme Martin Dostie pour développer notamment le marché à Québec », explique Laura Brady, présidente-directrice générale de Sotheby’s Conciergerie Auctions
Afin de bénéficier de ce service au Québec, les vendeurs doivent collaborer avec un courtier immobilier de Sotheby’s International Realty Québec, comme c’est le cas avec Groupe Martin Dostie. « Nous sommes en étroite collaboration pour la vente aux enchères
en ligne et accompagnons le client durant le processus de vente en collaboration avec Sotheby’s Conciergerie Auctions », mentionne le courtier immobilier Martin Dostie. D’abord, mise en valeur durant quelques semaines par Sotheby’s, la résidence est ensuite offerte aux enchères durant une période limitée.
« Nous déployons beaucoup d’efforts pour promouvoir la propriété », précise pour sa part Mme Brady.
Le service permet aux personnes qui veulent vendre leur propriété d’utiliser la vente aux enchères, non seulement pour en obtenir un meilleur prix, mais également pour améliorer leurs chances de trouver plus rapidement un acquéreur. Pour Martin Dostie, ce service ouvre la porte à des acheteurs de partout dans le monde.
« Des personnes qui aimeraient revenir à Québec ou d’autres qui n’auraient peut-être jamais pensé venir vivre ici », souligne-t-il. Les acheteurs peuvent miser sur la propriété convoitée et renchérir. Le processus de mise à l’enchère est transparent. « Ils apprécient le fait de voir toutes les autres offres présentées au vendeur et de ne pas passer à côté de la propriété qui les intéresse, et ce, en payant un juste prix », conclut Mme Brady.
*Résidentiel | **Résidentiel et commercial
bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)
Cette propriété de prestige est un véritable paradis terrestre pour quiconque souhaite vivre en contact étroit avec une nature généreuse. Située dans la vallée de Tewkesbury, aux abords de la rivière Jacques-Cartier, elle possède même sa petite plage privée ainsi que quatre kilomètres de sentiers pédestres. Et que dire de son aménagement paysager et de son immense piscine creusée bordée de magnifiques terrasses en béton estampé et de jardins surélevés ! Cet espace de vie, qui regorge aussi d’arbres fruitiers, est littéralement à couper le souffle !
« C’est ma conjointe et moi qui avons fait construire ce petit domaine pour y élever notre famille, raconte l’actuel propriétaire. Nous avons choisi ce secteur pour son cachet unique et sa nature magnifique, à la fois ressourçante et étrangement dynamique aussi. Les paysages qui nous entourent sont exceptionnels, et ce, en toutes saisons. Les habitants de la vallée ont profondément à cœur sa protection. »
bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy) 418 956-8687 | mdostie@sothebysrealty. ca martindostie. ca
À l’instar de l’aménagement extérieur, le design intérieur, à la fois riche et sobre, est tout aussi époustouflant ! Le bois, la pierre et les somptueuses tapisseries procurent une chaleur indéniable à cette demeure, qui possède également une fenestration abondante permettant d'admirer le paysage extérieur, quel que soit l’endroit où l’on se trouve.
« La cuisine de chef tout équipée, de même que le foyer en pierre dans le salon, font partie de nos coups de cœur, confie le propriétaire. Une sensation de lâcher-prise et de bien-être s’installe d’ailleurs dès que nous franchissons la barrière extérieure de notre domaine. »
bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy) 418 956-8687 | mdostie@sothebysrealty. ca martindostie. ca
La résidence possède 3 chambres, 3 salles de bain luxueuses, un bureau, une salle d’entraînement ainsi qu’un cinéma maison. Détail intéressant : le domaine est très autonome sur le plan énergétique. En plus de la géothermie et de la génératrice, une fournaise extérieure au bois permet de chauffer la piscine et la propriété située à seulement 30 kilomètres au nord de la capitale nationale et à 10 minutes du village de Stoneham. Un trajet qui vaut son pesant d’or !
« J’ai choisi Martin Dostie comme courtier immobilier, car il est franc et extrêmement respectueux, créatif et très professionnel. Il sait nous guider avec doigté en étant à notre écoute. C’est un personnage en soi ! », conclut le propriétaire avec une pointe d’humour, confiant au passage que son épouse et lui vendent cette propriété de rêve, car leurs enfants sont devenus grands. « Ce domaine que nous avons tant aimé doit désormais rendre heureux d’autres propriétaires. »
bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)
743, JACQUES-CARTIER NORD, STONEHAM-ET-TEWKESBURY
Prix : 2 500 000 $
*Certaines conditions s'appliquent.
bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)
418 956-8687 | mdostie@sothebysrealty. ca martindostie. ca
bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)
418 956-8687 | mdostie@sothebysrealty. ca martindostie. ca
Située à quelques pas seulement de l’avenue Maguire dans le secteur de Sillery, cette propriété au cachet extérieur unique offre de la luminosité en abondance à l’intérieur. Le luxe et le bon goût de style classique sont aussi au rendezvous, et ce, dans les moindres détails. Prenez le temps de remarquer les magnifiques moulures qui ornent les pièces et leur donnent leur allure raffinée. La maison comprend une cuisine conviviale et un salon avec un foyer au bois. Les plafonds du rez-de-chaussée sont situés à une hauteur de 9 pieds. À l’étage, on trouve 4 chambres et 2 salles de bain. Quant à la cour arrière, elle est intime et permet de se prélasser tout près d’une invitante piscine creusée.
2015, RUE DU BOIS-JOLI, SAINTE-FOY-SILLERY
Prix : 1 469 000 $
bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)
Vous êtes attiré par la nature avec un grand N ? Voici une rare occasion sur le marché pour quiconque souhaite développer un projet à caractère unique sur un site enchanteur d’une superficie de près de 1 400 hectares. Situé en grande partie en bordure de l’eau dans la municipalité de Dolbeau-Mistassini, le vaste espace regroupe plusieurs vocations : forestière, agricole, zone humide, tourbière boisée et bleuetière. Le site comprend également un majestueux monastère. Excluant la section résidentielle dédiée aux pères, le bâtiment principal abrite une section hôtelière comprenant actuellement 14 chambres avec salles de bain complètes; il y aurait possibilité d'en ajouter. Plusieurs aires communes se greffent au bâtiment : chapelle, cuisine de type commercial, grande salle à manger, buanderie, bibliothèque, salon de coiffure, boudoir, salles de réunion, salle de réception… Bref, votre projet n’attend que vous !
SAGUENAY–LAC-SAINT-JEAN
Prix : 5 000 000 $
bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)
956-8687 | mdostie@sothebysrealty. ca martindostie. ca
Avec son style champêtre et son joli aménagement extérieur en devanture, cette propriété située sur la rive sud de Québec se distingue au premier coup d’œil. L’intérieur est tout aussi chaleureux et comprend une aire de vie principale spacieuse et ouverte, 4 chambres (dont 3 à l'étage), 2 salles de bain, une salle d'eau, un soussol aménagé ainsi que 2 garages (attaché et détaché). Deux foyers (au propane dans le salon et au bois dans la salle familiale au sous-sol) réchauffent par ailleurs l’atmosphère. Enfin, la demeure est stratégiquement située à proximité de tous les services, d’une école primaire et d’un parc. Parfait pour une jeune famille !
164, RUE RADISSON, SAINT-LAMBERT-DE-LAUZON
Nouveau prix : 484 900 $
Voici une belle occasion d’affaires pour quiconque souhaite acquérir un immeuble commercial dans un secteur dynamique et stratégiquement situé. Il se trouve tout près des autoroutes, de l’hôpital de l’Enfant-Jésus, du magnifique Domaine Maizerets et de nombreux autres commerces. À voir absolument !
bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)
2006, CHEMIN DE LA CANARDIÈRE, QUÉBEC
Prix : 999 000 $ + taxes
Vous aimeriez vous imprégner de l’énergie du Vieux-Québec ?
Ce magnifique condo situé à quelques pas des restaurants, des boutiques, du Vieux-Port et de la promenade Dufferin vous permettra de le faire. Rénové avec goût, tout en conservant son cachet antique qui remonte à la construction du bâtiment en 1780, cet espace de vie s’étale sur deux étages. Il comprend 2 chambres et 2 salles de bain, de même qu’un espace de stationnement et de rangement. Ses murs de pierre et ses planchers de bois lui donnent toute sa personnalité ! Coup de cœur assuré !
5, RUE HÉBERT, VIEUX-QUÉBEC
Prix : 549 000 $
bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy) 418 956-8687 | mdostie@sothebysrealty. ca martindostie. ca
Habitation
DES ŒUVRES D’ART ITALIENNES
DANS NOS CUISINES
e n M a T ière de design e T de quali T é de fa B ricaT ion, les iTaliens se dis T inguen T dans plusieurs doMaines, donT celui des appareils élec T ro M énagers. d epuis six généra T ions, la fa M ille Ber Tazzoni le confirMe d’auTanT plus avec ses appareils de cuisson, qui BénéficienT d’une ingénierie de poinTe reMarquaBle en plus de séduire au preMier regard.
Le design unique des appareils de cuisson Bertazzoni de la série Héritage s’intègre parfaitement dans les cuisines de tendance Farm House
Avez-vous remarqué ? Certaines cuisinières de la marque, comme celle-ci, possèdent deux fours : un principal et un auxiliaire. D’une dimension de 2,4 pieds cubes, le four auxiliaire est très pratique, notamment pour réchauffer des plats.
Difficile de ne pas tomber sous le charme de cette superbe cuisinière au gaz d’un rouge intense de la série Professionnelle, dont la couleur vive, les lignes et le lustre rappellent la splendeur d’une rutilante Ferrari. D’ailleurs, Bertazzoni a travaillé en partenariat avec des fabricants de voitures sport de luxe du nord de l’Italie afin de développer des techniques pour appliquer à la main les couleurs sur le métal. Résultat : la finition brillante résiste aux températures et aux acides. Le rouge n’est pas votre couleur préférée ? Osez alors l’orange ou le jaune; pourquoi pas ?
Appareil de cuisson au gaz ou à induction ?
Si vous aimez la sensation d’être au volant d’une voiture de luxe, qui réagit en un clin d’œil à vos commandes, vous devriez opter pour une cuisinière au gaz. Celle-ci est plus performante, atteignant la bonne température en un clin d’œil. Qui plus est, les plaques de cuisson au gaz sont devenues plus faciles à utiliser et plus sûres ces dernières années. La cuisson par induction est de son côté une excellente solution de rechange pour ceux qui n’ont pas accès à une conduite de gaz. Il faut cependant savoir que l’appareil requiert une batterie de cuisine adaptée à la technologie à induction. Une fois ce détail réglé, la performance est au rendez-vous. Qui plus est, la cuisson par induction est plus sécuritaire, puisque la chaleur se concentre dans les zones d’induction uniquement. De plus, la surface de cuisson est facile à nettoyer, car elle ne retient pas la chaleur.
Issue de la série Master , cette cuisinière biénergie possède une surface de cuisson dotée de cinq brûleurs, incluant un brûleur superposé de haute efficacité avec un contrôle séparé des flammes. Et que dire du réglage de la température du four; il s’agit de la plus précise de l'industrie. Encore une fois, le raffinement est au rendez-vous et ce, jusque dans les moindres détails comme en témoignent les élégants boutons de commande. Par ailleurs, les appareils de cuisson Bertazzoni sont faits d’acier poli, brossé et traité, ce qui leur procure une solidité et une durabilité exceptionnelles.
L’utilisation d’une plaque chauffante en fonte Bertazzoni, posée sur deux brûleurs, permet une cuisson rapide et uniforme.
Lévesque Électroménagers vous invite à visiter la CASA BERTAZZONI, la toute première en Amérique du Nord à exposer une cinquantaine d’électroménagers de la marque italienne de luxe.
c’esT une TradiTion chaque année ! nancy r icard e T sa fille c harlie, dorénavan T copropriéTaire de la BouTique un fauTeuil pour deux, déBarquenT au salone del MoBile de Milan, vériTaBle capiTale du design, afin de dénicher ces coups de c Œ ur qui vous feronT égaleMenT viBrer.
Grâce aux moulures travaillées à la perfection et au mobilier raffiné de la marque Paolo Castelli, ce décor propose un mariage parfait entre Paris et Milan, entre les styles classique et contemporain. Propice aux discussions, le canapé en demicercle, avec ses douces rondeurs, permet de voir l’ensemble de vos convives. Plusieurs sources d’éclairage contribuent par ailleurs à l’ambiance feutrée et optimale. Il ne manque plus que quelques hors-d’œuvre et un bon verre de vin blanc pour créer le moment parfait !
Le mobilier extérieur était partout au Salone del Mobile. Une vraie thérapie pour l’âme ! Nancy et Charlie ont vécu un réel coup de cœur pour la marque Varaschin, qui offre du mobilier haut de gamme fabriqué dans le nord de l’Italie depuis plus de 50 ans. La philosophie et le savoir-faire de cette grande marque rejoignent d’ailleurs les valeurs d’Un Fauteuil Pour Deux, qui présentera ces produits en boutique dès janvier 2024, juste à temps pour recevoir vos commandes au printemps prochain.
« En apercevant cette table, j’en ai eu le souffle coupé ! nous confie Nancy Ricard. J’avais sous les yeux la plus pure beauté offerte par la nature ! » Et pour cause : ce joyau en marbre de Jade, une pièce unique créée par des artistes de talent, provoque littéralement des frissons ! « Lorsque j’admire une telle œuvre d’art, j’ai le sentiment que l’humain est en symbiose avec la nature et ça me rassure quant au futur », conclut la designer d’intérieur.
Quelle est la différence entre un encastrable, un foyer et un poêle ?
vous souhaiTez opTiMiser le conforT dans voTre deMeure en uTilisanT le Bois coMMe coMBusTiBle ? il esT Bon de savoir que différenTs T ypes d’équipeMenT exisTenT eT qu’ils diffèrenT considéraBleMenT d’où l’iMporTance de faire affaire avec des professionnels qui sauronT Bien vous conseiller dans la réalisaTion de voTre projeT
Plus communément appelé « foyer à dégagement zéro » ou « foyer d’ambiance », le foyer préfabriqué peut être ajouté dans une maison existante et à presque n’importe quel endroit, car il ne nécessite aucune fondation. Toutefois, gardez à l’esprit que certaines précautions doivent être prises pendant l’installation. Un dégagement réglementaire doit être respecté entre la source de chaleur et les matériaux combustibles. Qui plus est, une finition extérieure sera nécessaire pour donner le style voulu à votre foyer.
Un poêle à bois est un caisson de fonte, d’acier ou de pierres stéatites. Il représente un système de chauffage très efficace, la combustion du bois produisant beaucoup d’énergie, son rendement étant très élevé. De plus, cet appareil performant respecte les normes environnementales. Offert dans plusieurs styles, le poêle à bois s’intègre très bien dans un décor moderne, contemporain ou plus rustique.
Célina Fontaine
Copropriétaire
Les Cheminées Gamelin
L’encastrable au bois est conçu pour être placé à l’intérieur d’un foyer de maçonnerie existant, ouvert aux courants d’air. Il permet ainsi d’augmenter considérablement sa capacité de chauffage et son rendement, offrant une chaleur et une ambiance que l’on obtient seulement avec un foyer au bois. Avec un encastrable au bois, vous donnez une seconde vie à un vieux foyer ainsi qu’une valeur ajoutée à votre maison.
Tous les produits présentés ainsi que plusieurs autres sont offerts chez Les Cheminées Gamelin. Il suffit de passer voir !
Pour en savoir davantage : 275, av. Saint-Sacrement, local 120 418 527-8906 info@leschemineesgamelin.com leschemineesgamelin.com
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• Entrées d’autos
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• Réparation d’anciens aménagements
• Excavation et transport
Look urBain, audacieux ou sporTif… Look unique eT inspiré… eye aM soins oculaires propose une vasTe gaMMe de Marques eT de collecTions uniques qui sauronT plaire à l’hoMMe qui aiMe Bien se disTinguer.
POUR UN LOOK URBAIN
Dessinée et fabriquée à Agordo dans les Alpes italiennes, la collection Blackfin est entièrement faite de titanium et a été créée dans le plus grand respect de son territoire et de ses origines.
POUR UN LOOK INSPIRÉ
Fabriquées en Italie, les montures de la marque suisse Massada se laissent bercer par une multitude d’identités, dans un foisonnement de cultures et d’inspirations du bout du monde.
POUR UN LOOK SPORTIF
La marque Julbo propose des lunettes de sport qui conviennent à tous les climats et à toutes les intensités lumineuses, grâce à l’efficacité de ses traitements antibuée et photochromique.
POUR UN LOOK AUDACIEUX
Les créateurs de la marque française La petite lunette rouge s’inspirent des années 1980 et flirtent avec l’esprit provocateur de l’art contemporain pour signer des créations uniques avec une charnière faite… d’une petite lunette rouge.
POUR UN LOOK UNIQUE
La marque française Clément Lunetier compte sur des créatifs éthiquement engagés, qui produisent chaque monture à l’unité et de manière entièrement personnalisable.
ne cherchons pas de genre à l’expression « prendre soin de soi », elle se conjugue au yin eT au yang. les soins esThéTiques eT de BeauTé, pendanT longTeMps l’apanage des feMMes, se déMocraTisenT progressiveMenT auprès de la genT Masculine à Mesure que les TaBous se dissipenT eT que les percepTions évoluenT. Tour d’horizon des soins les plus populaires ceTTe année ainsi que de ceux qui MériTeraienT que ces Messieurs s’y inTéressenT
Pour nous guider dans ce portrait, nous avons fait appel aux esthéticiennes
Martine Fiset et Stéphanie Richard, copropriétaires du salon Omerta, de Lac-Beauport, un centre de soins esthétiques exclusivement réservé aux hommes. La tendance semble irrésistible, observent-elles chez leur clientèle, les hommes faisant de plus en plus preuve d’ouverture en matière de soins corporels.
L’ÉPILATION… SOUS TOUTES SES COUTURES
« L’épilation au sucre ou à la cire trône au sommet du palmarès, fait remarquer Stéphanie Richard. Le torse, le dos, le nez, les sourcils et les oreilles principalement. La fréquence varie d’une fois par mois aux changements de saison. Plus malléable, la pâte de sucre convient bien pour les zones difficilement accessibles, comme l’intérieur des narines ou des oreilles, c’est un soin très populaire, qui doit être répété mensuellement, mais qui finit par affiner les poils. »
Pour une élimination définitive de la pilosité dans ces zones, l’électrolyse demeure la solution idéale. Beaucoup y ont recours pour la barbe en haut des joues ou pour épiler l’inter sourcils. L’épilation intégrale par laser est aussi populaire pour les zones plus étendues, telles que le torse ou d’autres endroits du corps, que nombre d’hommes souhaitent sans poil.
LES SOINS DU VISAGE
Selon Martine Fiset, les soins du visage font leur chemin. « Tout homme devrait, au moins une fois ou deux par année, s’accorder le bienfait
d’un nettoyage en profondeur de la peau du visage, incluant l’enlèvement des comédons et une exfoliation de l’épiderme, assure-t-elle. Même chose pour le dos, un soin que nos clients apprécient de plus en plus. » Un nombre croissant d’hommes ont recours aux technologies de laser, lumière pulsée et radiofréquences pour estomper le passage des ans et s’offrir une apparence plus jeune en repulpant, retendant et restructurant la peau par la stimulation de la production du collagène, et en faisant notamment disparaître les taches pigmentaires.
FAIRE DES PIEDS ET DES MAINS POUR SE SENTIR MIEUX
Pour une majorité d’hommes, le soin des pieds se limite à la coupe des ongles, et dans une moindre mesure, l’enlèvement de la corne. « Cela dit, nous en voyons régulièrement qui ne savent pas trop quoi faire avec ces rugosités, explique Stéphanie Richard. Chose certaine, nos clients qui expérimentent un soin des pieds en redemandent ! Quant aux ongles, on ne se contente pas de les couper, on les lime également pour une douceur inégalée. Le traitement comprend le trempage des pieds dans de l’eau additionnée de sel, le soin des cuticules, l’exfoliation de la peau et un massage jusqu’aux genoux, ce qui réactive la circulation sanguine et lymphatique dans les jambes. » La même procédure s’applique aux mains, un soin auquel les messieurs ne sont pas vraiment habitués ! Et c’est tellement plus qu’une manucure… « N’oublions pas que les pieds et les mains sont reliés à l’ensemble du corps, explique Martine Fiset, de sorte que le massage a des avantages qui ne sont pas qu’épidermiques. C’est vraiment cette année, conclut-elle, LE soin à découvrir pour les hommes. »
Si beaucoup d’hommes accordent du temps à l’entretien de leur véhicule automobile, pourquoi ne pas en réserver autant à son véhicule humain, que nous conduisons 24 heures par jour ?
d ’en T rée de jeu, on M ’invi T e à prendre place conforTaBleMenT dans un fauTeuil donT les prograMMes de Massage Me fonT déjà le plus grand Bien. plus Tard en cours d’enTreTien, pour une iMMersion plus coMplèTe, les proprié Taires — les insépara B les Mar T ine f ise T e T sT éphanie r ichard — M e graT ifien T d’un soin pour les Mains en guise de déMonsTraTion. WoW, on y prend rapideMenT goûT ! si la journée avaiT éTé plus avancée, j’aurais M ê M e pu siro T er une B ière spéciale M en T B rassée pour le salon par MalTco. s ur le B oulevard du lac, l’endroiT, qui propose une vasTe gaMMe de soins corporels eT Médico-esThéTiques, esT exclusiveMenT dédié aux hoMMes soucieux de leur apparence eT de leur BienêTre, dans un univers convivial eT privé. un « secreT » Bien gardé, unique en son genre dans la région, d’où la raison sociale : oMerTa. quand on y pense, Malgré les s T éréoT ypes, prendre soin de soi n’a rien à voir avec le genre.
Martine Fiset et Stéphanie Richard appartiennent aux personnes qui ont depuis longtemps les affaires dans le sang, ressentant ce désir de voler de leurs propres ailes. Leurs destins ont été réunis lorsque Stéphanie a effectué un stage au salon de Martine. Certificat de pédagogie en poche, elle a eu le choix entre enseigner l’esthétique ou devenir associée dans la création de Concept Beauté Signature, au tournant du nouveau millénaire. Elle a opté pour le second scénario avant qu’une profonde amitié les rapproche encore davantage. « Déjà 23 ans que nous démontrons notre savoirfaire en esthétique et notre capacité à gérer un commerce, et ce dans l’harmonie qui nous caractérise, explique Martine. Quand la pandémie nous a paralysées, nous avons dû réduire de cinq à trois le nombre de nos succursales tandis que notre personnel compte maintenant 40 employées. »
Pour sa part, Stéphanie avoue que la crise a eu du bon : « Nous avions enfin le temps de penser à notre vieux rêve de permettre aux hommes, comme les femmes, de prendre soin d’eux dans un lieu qui leur est réservé. C’est ainsi qu’Omerta a vu le jour il y a environ un an, à LacBeauport. Cela dit, en matière de soins corporels et médico-esthétiques, la gent masculine a tout à apprendre et à découvrir, et surtout à apprécier ! La sensibilisation est donc de mise, d’autant plus que nos clients sont de plus en plus ouverts à s’apprivoiser à cet univers même si nombre d’entre eux nous disent souvent, au début, qu’ils n’en ont pas tellement besoin. Nos soins médico-esthétiques s’apparentent à ceux dont profitent les femmes, mais nous les avons assaisonnés de touches résolument masculines, avec des fragrances, textures et ambiance appropriées auxquelles les hommes s’identifient. Omerta propose aussi des services connexes de coiffure et d’entretien de la barbe, qui servent souvent d’introduction au reste de notre offre, qui comprend les soins du visage, des mains et des pieds, les technologies d’épilation, de traitement de la peau et de rajeunissement au laser, la massothérapie, etc. Même l’intégrale, que les femmes connaissent bien, est au menu. »
/ Gilles Levasseur
Ce n’est pas d’hier que M mes Fiset et Richard innovent en esthétique. « Nous avions été les premières à Québec à utiliser à l’époque les nouvelles technologies, rappelle Stéphanie. C’était un défi d’ouvrir un centre d’esthétique dédié aux hommes, mais par expérience, nous savions que ça fonctionnerait. Et le succès que nous connaissons nous incite à permettre à ce nouveau concept de se multiplier, soit par l’ouverture d’autres succursales, soit en mettant sur pied un réseau de franchises. » Histoire à suivre…
Les soins esthétiques prodigués par les esthéticiennes à une clientèle masculine obéissent à une dynamique singulière. « En effet, explique Martine, il s’agit d’un art lorsqu’une proximité s’établit entre un homme et une femme, il faut constamment garder un équilibre entre le professionnalisme et la capacité d’amadouer le client si je puis dire, le mettre en confiance, sans tomber dans le jeu de la séduction. C’est vraiment délicat, cela requiert plusieurs qualités particulières. Voilà pourquoi notre esthéticienne travaille avec nous depuis 17 ans, et elle est très à l’aise avec les hommes. En effet, chaque fois que le toucher entre en scène, l’intimité s’intensifie, ce qui requiert une excellente capacité d’écoute et d’empathie, créant un climat qui conduit souvent à la confidence. » Réalité que l’auteur de ces lignes a pu valider concrètement lors du soin pour les mains. À cette différence près que j’ai non seulement eu l’insigne privilège d’avoir deux esthéticiennes plutôt qu’une, mais qui plus est, les propriétaires elles-mêmes !
Pour en savoir davantage ou pour prendre rendez-vous :
870, boulevard du Lac, Lac-Beauport
418 658-4041 | info@omertasalon.com
omertasalon.com
ESSAI ROUTIER DE LA MERCEDES-BENZ EQE 500 4MATIC 2023
Mercedes-Benz a M orce l’inévi Ta B le virage vers la TransiTion énergéTique en proposanT plusieurs nouveaux véhicules élec T riques. après avoir lancé l’an dernier la grande eqs, le consTrucTeur alleMand ajouTe l’eqe. Prestige a conduiT la Berline 500.
Déclinée en trois modèles, 350, 500 et AMG, tous à rouage intégral, la berline utilise l’architecture de l’EQS et en épouse largement l’apparence. Un peu moins longue et dotée d’un empattement un peu plus court que l’EQS, la berline surpasse légèrement des voitures comme la Tesla S sur le plan des dimensions. Détail plutôt inusité, le capot demeure fermé comme une huître, à moins qu’un technicien de Mercedes ne l’ouvre pour accéder au système de filtration d’air optionnel. Plusieurs apprécieront toutefois la petite trappe montée sur l’aile avant gauche qui permet de verser le liquide de lave-glace.
L’EQE 500 démontre d’exceptionnelles aptitudes. Combinés, ses deux moteurs électriques alimentés par une batterie lithium-ion d’une capacité de 90,6 kilowattheures déploient 402 chevaux et un couple de 633 lb-pi. Les accélérations sont assez spectaculaires. Dans les côtes montagneuses de Charlevoix, la berline réagit promptement. Cette puissance est transmise aux roues au moyen d’une transmission à un seul rapport. Selon les habitudes de conduite, la voiture peut atteindre une autonomie d’environ 420 km. Moindre qu’une Lucid Air ou une Tesla S, qui peuvent rouler un peu plus de 600 km avant de manquer d’énergie, l’autonomie reste sensiblement comparable à plusieurs concurrentes. Branchée sur une prise de 240 V, la batterie a besoin de 9,5 heures pour être complètement rechargée, et d’environ 30 minutes pour passer de 10 à 80 % avec une borne de recharge rapide.
Mercedes repousse les limites de son EQE en ajoutant l’AMG EQE. La cavalerie rassemble 617 chevaux dont le rendement place la voiture sur un pied d’égalité avec des voitures comme la Porsche Taycan. Dotée d’une fonction permettant d’augmenter momentanément la puissance au décollage, la voiture franchit le 0 à 100 km/h en 3,5 secondes selon le constructeur.
AVANT-GARDISTE
Reprenant l’élégante présentation intérieure de l’EQS, l’EQE accueille les occupants dans un environnement feutré. Au centre de la planche de bord trône un écran tactile multimédia de 12,8 po qui utilise la technologie OLED (diode électroluminescente organique) pour produire la lumière. Il se démarque des écrans à affichage à DEL par la clarté de son affichage et sa consommation moindre d’énergie. Relativement intuitif, ce système nécessite néanmoins une période pour s’en approprier pleinement l’utilisation.
Pour rendre l’expérience à bord plus futuriste, Mercedes offre en option l’hyperécran MBUX qui consiste en trois écrans distincts fusionnés pour donner l’impression de n’en former qu’un seul. Utilisant l’intelligence artificielle, le puissant arsenal informatique du système peut anticiper les besoins des utilisateurs en fonction de leurs habitudes de conduite.
Du reste, la présentation intérieure ne soulève aucune critique particulière, tout comme l’excellente insonorisation. Seul le matériau utilisé pour les leviers pour les vitesses et les clignotants aurait avantage à être de meilleure facture.
Garnis de cuir véritable, les sièges fournissent un très bon confort. Les personnes qui prennent place à l’arrière seront étonnées par l’espace réservé aux jambes, mais les plus grandes trouveront celui pour la tête plus juste. Elles pourront néanmoins apprécier la luminosité que leur procure le toit panoramique de série.
Mercedes mise principalement sur le confort et la douceur de roulement plutôt que sur la sportivité. La suspension AIRMATIC favorise une conduite coulée, en gérant efficacement les imperfections de la route. Mais elle tend à déconnecter le conducteur du bitume. Dans les virages, elle s’accroche avec aplomb et maintient sa trajectoire sans trop d’effort. La voiture est stable et inspire confiance. En option, Mercedes propose un système qui modifie l’angle des roues arrière jusqu’à 4,5 degrés en fonction de la vitesse. Jusqu’à environ 60 km/h, il contribue à améliorer l’agilité de la voiture, sa réactivité dans les virages et le contrôle lors des manœuvres d’évitement.
Sans être parfaite, la nouvelle EQE 500 fait partie des voitures électriques haut de gamme incontournables. Performante et truffée de technologies de pointe uniques, elle possède dans son jeu des atouts qui suffisent pour troubler le sommeil de la concurrence.
En bref
/ Prix de départ : 95 000 $
/ Prix du modèle essayé : 134 000 $
/ Concurrence principale : Audi e-Tron GT, BMW i5, Genesis G80 Electrified, Lucid Air
/ Autonomie : 418 kilomètres (selon le constructeur)
/ Autres modèles : EQE 350 4Matic et AMG EQE 4Matic
v ous sor T ez du li T un B eau M a T in e T , en vous regardanT dans la glace, vous consTaTez avec effroi qu’un de vos yeux arBore un Beau rouge à sa surface oculaire. voTre preMier réflexe d’auTodiagnosTic : sans dou T e une conjonc T ivi T e B ac T érienne. vous courez à voTre pharMacie pour vous procurer des gouTTes ophTalMiques anTiBioTiques en venTe liBre, donT la grande variéTé nous laisse avec l’eMBarras du choix. pourTanT, après quelques jours, l’éTaT de voTre Œil seMBle se déTériorer. que faire ?
Cet exemple illustre fort bien les risques de l’autotraitement. Même si l’intention est toujours louable, on ne peut tout connaître dans la vie. À une personne qui me consulterait pour cette condition, je répondrais qu’en deux décennies de pratique en tant qu’optométriste, j’ai diagnostiqué moins d’une dizaine de véritables cas de conjonctivite bactérienne. Et que si c’était vraiment le cas, la situation se rétablit habituellement d’elle-même en quelques jours chez les personnes dotées d’un système immunitaire sain. En revanche, si vous êtes allergiques à ces produits antibiotiques, vous risquez d’aggraver la situation.
Parlant d’allergies, fréquentes en cette période de l’année, il est fort possible qu’elles soient la cause de cette rougeur. Beaucoup de gens se tournent alors vers les antihistaminiques. Or, ceux-ci entraînent une réduction des sécrétions corporelles, causant alors de la sécheresse oculaire, elle-même responsable de bien des cas d’irritation provoquant de la rougeur. Les gouttes décongestionnantes sont aussi très populaires pour remédier à la situation. La surface oculaire redevient immaculée pour quelques heures, mais l’effet rebond vous attend au détour, de sorte que les yeux seront de plus en plus rouges. Cercle vicieux attribuable au fait que le principe actif contracte les artérioles, diminuant ainsi l’apport d’oxygène à l’œil. Pour compenser, les vaisseaux sanguins se dilatent à nouveau. Pourtant, il existe une solution de rechange, appelée Lumify. Ce produit, en vente libre depuis un an, est dépourvu d’effet rebond, car il décongestionne plutôt les veinules, qui recueillent le sang désoxygéné. Devant une tablette remplie de flacons à la pharmacie, l’auriez-vous choisi si je ne vous en avais pas informé ? Même chose pour les gouttes ophtalmiques indiquant « soulagement de
Dr François Piuze
Optométriste
Copropriétaire de Eye Am Soins oculaires
l’allergie », qui ne font bien souvent que décongestionner, sans traiter la cause. Les sondages révèlent qu’en cas d’allergies touchant les yeux, la moitié des répondants affirment avoir recours à l’autotraitement.
En réalité, beaucoup de cas d’allergies se confondent avec la sécheresse oculaire, qui touche beaucoup de gens, qui se tournent souvent vers les larmes artificielles. Il faut toutefois savoir qu’elles ne sont pas toutes de qualité égale. Chez Eye Am, nous vous prescrirons celles dont les ingrédients et le taux de viscosité conviennent le mieux à votre type de sécheresse oculaire. J’ai déjà précisé dans de précédentes chroniques que nous proposons un plan de traitement qui cible la cause même de la sécheresse en stimulant les glandes de Meibomius, qui sécrètent les huiles chargées de lubrifier la surface oculaire.
Bref, vous comprenez que l’autotraitement est rarement une solution efficace. Vous risquez donc de vous retrouver à la case départ après avoir investi financièrement. Les professionnels de la santé oculaire sont donc les mieux placés pour vous orienter au meilleur de leur connaissance et de leur expérience.
Pour en savoir davantage : eye-am.ca
l e re T our du B eau T e M ps es T synony M e d’escapades e T de découver T es ! c ’es T aussi la saison privilégiée pour enfourcher voTre vélo eT pour sor T ir vos B â T ons de golf. Prestige a pour vous quelques conseils e T B onnes idées pour profiTer à fond de l’éTé !
COUPS DE CŒUR
80 5 ACTIVITÉS COUP DE CŒUR EN ESTRIE
84 5 COUPS DE CŒUR À TRAVERS LE MONDE
DESTINATIONS DE LUXE
81 LA POURVOIRIE NÉMISKAU EN HAUTE-MAURICIE
82 LE RIPPLECOVE HÔTEL & SPA EN ESTRIE
SPORTS & LOISIRS
86 3 TRUCS POUR AMÉLIORER VOTRE TECHNIQUE AU GOLF
88 LE PLAISIR DE ROULER ULTRA LÉGER
D'ÉTÉ &
Plaisirs d'été & destinations de luxe / Cendrine Chénel
vous coMpTez visiTer la suBliMe région de l’esTrie ce T é T é ? v oici cinq ac T ivi T és coups de c Œ ur suggérées par line laTour eT siMon raTTé dignard du ripplecove hôTel & spa, une desTinaTion on ne peuT plus Magnifique pour les aMaTeurs de plein air eT les aMoureux de culTure.
Sur le site même du Ripplecove, les villégiateurs ont accès à une foule d’activités nautiques sur le lac Massawipi : kayak, planche à pagaie, pédalo et balade en ponton. ripplecove.com
Une nature grandiose vous attend tout au long des 80 kilomètres de parcours de randonnée pédestre ou sur l’un ou l’autre de ses nombreux sentiers de vélo de montagne. Ce site se trouve à 21 minutes de l’hôtel. sepaq.com
Le parc national du Mont-Orford.
À deux minutes du Ripplecove se trouvent les 19 kilomètres du Sentier nature Tomifobia, un endroit idéal pour une promenade en nature ou pour une brève virée à vélo sur piste cyclable. ayerscliff.ca
Le sentier nature Tomifobia.
Situés à 18 minutes de l’hôtel, les 20 kilomètres de sentiers pédestres du secteur de l’Observatoire donnent accès à des points de vue exceptionnels sur les sommets des monts Mégantic (1110 m) et Saint-Joseph (1075 m). sepaq.com
La programmation riche et variée du Vieux Clocher, haut lieu culturel québécois et salle mythique accueillant des spectacles d’humour et de musique, répond aux attentes des plus exigeants. Le Vieux Clocher est situé à 18 minutes de l’hôtel. vieuxclocher.com
siTuée en pleine naTure, à 75 kiloMèTres au nord-ouesT de la Tuque en hauTeMauricie, la p ourvoirie n é M iskau es T une des T inaT ion de villégiaT ure incon T ourna B le pour quiconque souhaiTe vivre une expérience de pêche inouBliaBle dans un cadre aBsoluMenT enchanTeur ! ajouTez à la BeauTé des lieux le confor T de l’hé B erge M en T , la cuisine gas T rono M ique, l’accès à un spa e T les no MB reuses ac T ivi T és offerTes, eT vous avez l'assurance de vivre un séjour à la fois ressourçanT eT énergisanT
Ouverte en 2002, la pourvoirie cinq étoiles est, depuis 2019, la propriété de Bertrand Roberge, homme d’affaires bien connu à Québec, et de sa fille Peggy, qui en assurent la pérennité et le développement. Un tel coin de paradis, d’une superficie de 32 kilomètres carrés, accessible à toute la famille ou pour divers événements, ne pouvait passer sous le radar. En effet, « la Pourvoirie Némiskau est reconnue pour sa pêche sportive de grande qualité tout au long de la saison, explique Peggy Roberge. L’omble de fontaine (truite mouchetée) et la truite grise foisonnent dans nos 11 lacs, dont l’accès est exclusif à notre clientèle. »
La Pourvoirie Némiskau propose trois types d’hébergement, tous alimentés en électricité 24 heures sur 24 et faciles d’accès. Que vous optiez pour l’un des 20 chalets en bordure d’un lac, l’une des quatre chambres en auberge ou l’une des 20 unités de pavillon, vous aurez droit à un confort optimal.
Plusieurs forfaits sont offerts à la Pourvoirie Némiskau, en plan américain ou européen. Alors que le premier est le summum du forfait de pêche tout-inclus qui permet de bénéficier d’un accès à tous les services, dont celui d’éviscération, de la mise sous vide et de la congélation des prises, le second s’adresse aux invités qui préfèrent vivre la forêt à leur manière en choisissant de séjourner dans un chalet avec services à la carte. Pour un séjour familial mémorable, le forfait « Vacances en famille » est tout indiqué. Les enfants ont d’ailleurs accès à des jeux aquatiques qui les garderont actifs durant la journée. On y propose également des forfaits « Chasse à l’ours » et « VTT », de même qu’un « Lac-à-l’épaule », ce dernier étant propice à des activités de teambuilding ou de retraites d’entreprise. Une salle multifonctionnelle dotée d’une cuisine et de commodités audiovisuelles (incluant le Wi-Fi) peut par ailleurs accueillir jusqu’à 225 personnes lors d’événements corporatifs ou festifs.
LA CHASSE, LA PÊCHE, ET PLUS ENCORE !
Mis sans frais à la disposition des visiteurs, les canots, kayaks, pédalos et paddleboards permettent d’explorer le lac Pal. Sinon, plusieurs activités payantes vous sont proposées, telles que des randonnées guidées, des tours de ponton ou pourquoi pas un tour en hydravion ? Pour un maximum de détente, vous pourrez avoir recours aux services de massothérapie et profiter des saunas et jacuzzis (ces derniers pouvant accueillir jusqu’à 15 personnes chacun) installés au cœur d’un décor majestueux.
Pour en savoir davantage ou pour réserver :
1, rue du Lac Pal, La Tuque 1 866 714-1124 | info@nemiskau.com | nemiskau.com
La pourvoirie est située à quatre heures de route de Québec. Les forfaits sont offerts jusqu’au 30 septembre 2023.
UNE DESTINATION
D’EXCEPTION EN ESTRIE
lové sur une presqu’île du lac MassaWippi, dans le village d’ayer’s cliff, le ripplecove hôTel & spa donne à lui seul raison au New York Times, qui faiT enTrer l’esTrie dans le presTigieux palMarès des desTinaTions à visiTer en 2023. MarianT on ne peuT Mieux naTure, élégance eT ModerniTé, ceT éTaBlisseMenT respecTe égaleMenT les plus hauTs sTandards inTernaTionaux en MaTière d’hôTellerie eT de gasTronoMie, faisanT du ripplecove une desTinaTion inconTesTaBleMenT presTigieuse au quéBec.
La vue majestueuse sur le lac Massawippi vaut à elle seule le déplacement.
Vue sur le lac bleu à partir de la terrasse privée située sur le toit des Condos-Terrasses.
Bénéficiant d’investissements majeurs depuis l'arrivée des nouveaux propriétaires en 2017, Richard Laliberté et Jocelyne Beaudry, le Ripplecove met en valeur, année après année, son écrin naturel et architectural avec les matériaux les plus nobles et grâce au savoir-faire de la région pour une expérience d’hébergement distinctive.
Non seulement le Ripplecove dispose-t-il d’un bâtiment patrimonial exceptionnel de style néo-victorien et de chambres romantiques dites « signature » avec vue sur le lac, mais il offre également à sa distinguée clientèle de modernes et luxueuses suites au sein du bâtiment Condos-Terrasses. Cet espace hébergement propose aussi une terrasse sur le toit, uniquement accessible à l’intention des résidents du bâtiment, et de laquelle on peut admirer la majesté du lac Massawippi. Quant aux suites du Pavillon Massawippi, qui offrent un merveilleux point de vue sur les couchers de soleil, elles se trouvent à deux pas de l’espace détente comprenant sauna, jacuzzis et piscine, accessibles à tous les clients du Ripplecove.
VILLAS : LUXE, INTIMITÉ ET ÉLÉGANCE
Dès le 24 juin 2023, le Ripplecove proposera une nouvelle expérience grâce à un atout novateur, son Espace Villas. À proximité immédiate du lac, huit villas de luxe accueilleront de 6 à 10 personnes dans chacune d’elles et dans une ambiance alliant élégance naturelle et confort contemporain. Non seulement ces villas jouiront-elles d’un emplacement exceptionnel et d’une esthétique des plus soignées, mais elles donneront aussi accès à tous les services (activités aquatiques et sportives, restaurant 4 diamants, bar et espace détente), et notamment à un service de conciergerie personnalisé de haut niveau pour un séjour à la carte.
AU RYTHME DU MASSAWIPPI
Des investissements majeurs ont été réalisés pour faire du Ripplecove une destination corporative unique et proposer un cadre moderne pour des réunions grandioses. L’adresse pour accueillir vos plus précieux clients ! En effet, situé dans un paysage enchanteur à moins de trois heures de route de Québec et seulement une heure et demie de Montréal, le Ripplecove Hôtel & Spa propose trois espaces de réunion, des salles baignées de lumière naturelle et jouissant, pour certaines d’entre elles, d’une vue exceptionnelle sur le lac Massawippi. Munies d’équipement à la fine pointe de la technologie, idéales pour tous les types d’occasions professionnelles et corporatives, ces salles, dont certaines sont modulables, peuvent accueillir jusqu’à 100 personnes et offrent un environnement de travail inspirant, intime et élégant.
Dès le 24 juin 2023, le Ripplecove proposera une nouvelle expérience grâce à un atout novateur, son Espace Villas.
L’une des nouvelles salles de réunion.
L’Espace Détente : un coin de détente privilégié comprenant sauna, jacuzzis et piscine.
!
Tourisme d’affaires et tourisme de villégiature se combinent à merveille au Ripplecove. Avec cette nouvelle approche, l’établissement s’ancre solidement et avec raffinement dans l’hôtellerie de luxe au Québec. Il s’impose comme une destination de calibre mondial et propose une expérience unique et incontestablement inoubliable.
Pour en savoir davantage ou pour réserver :
700, Ripplecove, Ayer’s Cliff
1 800 668-4296 | info@ripplecove.com | ripplecove.com
vous cherchez quelques suggesTions qui sorTenT de l’ordinaire pour vos prochaines vacances ? voici cinq presTigieuses desTinaTions « coup de cŒur » suggérées par l'équipe de cluB voyages élysée. quand le luxe renconTre l'exTraordinaire ! Plaisirs d'été & destinations de
Composé de 12 îles, l’atoll privé de Tetiaroa ne se compare à rien au monde. Il abrite l’unique hôtel du mythique acteur Marlon Brando. À l’intérieur du grand cercle corallien, c’est le calme absolu et le grand luxe. Trente-cinq villas privées en bordure de mer, avec leur propre plage, vous attendent pour une communion avec la nature et toute la beauté qu’elle renferme. L’expérience est saisissante. Ce n’est pas sans raison que beaucoup de célébrités y vont en vacances sans que personne ne le sache.
AUX MALDIVES
Le Club Med Finolhu, destination de rêve située sur l’île de Gasfinolhu, combine luxe et écoresponsabilité en offrant des hébergements sur pilotis dignes des plus grands hôtels. Immense villa, piscine privée, majordome et nourriture raffinée ne sont que quelques éléments qui vous attendent sur place. En prime, vous aurez droit aux plus beaux couchers de soleil sur les eaux turquoise de l’océan Indien… directement de votre villa sur l’eau.
Au Botswana, pays de l’Afrique australe, une combinaison de rêve vous attend au Eagle Island Lodge de Belmond : nature et safari au cœur d'une région classée au patrimoine mondial de l'UNESCO, ainsi qu’un hébergement de grand luxe dans des campements au design contemporain. Jamais vous n’aurez séjourné dans une tente aussi splendide, luxueuse et raffinée. Sur votre balcon, dégustez un café en admirant les éléphants qui se pavanent dans leur habitat naturel.
Niché au cœur du parc Xcaret, le distingué hôtel boutique 5 étoiles Casa de la Playa propose 63 sublimes suites face à la mer des Caraïbes, sur la Riviera Maya. Aucun hôtel au Mexique ne peut se comparer à ce petit bijou construit dans le plus grand respect de l’art mexicain. L’hôtel propose des menus concoctés par certains des chefs les plus convoités du Mexique et, en prime, vous avez un accès 24/7 à l’immense cave à vin et au bar afin d'apporter n’importe quelle bouteille à votre chambre. La Casa de la Playa vous donne également accès en priorité et gratuitement à toutes les activités et excursions des parcs Xcaret.
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Avec son décor de carte postale, l’île de Santorin est la destination coup de cœur de bien des voyageurs. Pour séjourner dans un havre de paix prestigieux au cœur des Cyclades, loin des touristes, avec une vue à couper le souffle sur la mer Égée, les élégantes suites et villas du Canaves Oia Suites & Villas représentent l’oasis parfaite. Vous vous sentirez comme dans les films avec les piscines rivières ! Nagez depuis l’intérieur de votre suite jusqu’à votre balcon. Un rêve !
Chez Club voyages Élysée, nous transformons des voyages de haute qualité en expériences inoubliables en alliant humain et technologie.
NOTRE OFFRE POUR VOUS :
• Vacances tout inclus de haute qualité
• Circuits privés sur les 5 continents
• Mariages à destination et lunes de miel
• Croisières de rêve et location de yacht
• Groupes corporatifs et voyages de récompense
L’ÉQUIPE DE DIRECTION DE CLUB VOYAGE ÉLYSÉE : Gabriel Blais-Lafleur et Véronica Peric, copropriétaires, et Geneviève Hogue, directrice générale.
Plaisirs d'été & destinations de luxe / Marie-Claude
Savoie
aMaTeurs de golf, nous avons réussi à oBTenir les M eilleurs conseils du professionnel en T i T re du cluB de golf le MonTMorency eT MeMBre de la pga du quéBec, jacques côTé. découvrez les secreTs de ceT experT afin de vous déMarquer sur le green ceT éTé.
Prendre le temps de vous filmer pendant que vous pratiquez votre swing facilitera grandement la compréhension des mouvements de votre corps et permettra de cibler les détails à améliorer pour élever votre technique à un autre niveau. Jacques Côté conseille par ailleurs de vous filmer à plusieurs reprises au cours de la saison afin d’observer votre progression.
Que vous soyez un débutant ou un habitué des terrains de golf, les simulateurs virtuels peuvent grandement vous aider à améliorer vos habiletés au fer. « Ces simulateurs sont de bons outils pour prendre confiance en vos mouvements, pour en travailler certains de façon localisée ou pour aiguiser votre précision, explique l’expert. Cette technologie est aussi idéale pour ne pas perdre la main durant l’hiver et commencer la saison estivale avec aplomb. »
60 BOUGIES POUR LE CLUB DE GOLF LE MONTMORENCY
Situé tout près de la chute Montmorency et lové dans un tournant de la rivière portant le même nom, le Club de golf Le Montmorency offre un terrain de 18 trous dans un cadre urbain facile d’accès. Une partie de son parcours s’effectue du côté ville et l’autre, plus en forêt, ceci afin de diversifier l’expérience.
Le club propose aussi, depuis l’hiver dernier, trois simulateurs de golf virtuel à la fine pointe de la technologie. Ceux-ci sont accessibles aux membres du club ainsi qu’aux joueurs plus occasionnels.
Mais ce qui, sans contredit, fait la renommée du club, c’est son ambiance et son accueil chaleureux de la part du personnel et des membres. Car au Montmorency, c’est la passion pour le golf qui prime avant toute chose, et ce, depuis maintenant six décennies !
Jacques Côté, professionnel du Club de golf
Le Montmorency et membre de la PGA du Québec, aide un golfeur à améliorer sa technique.
Rien de mieux que d’obtenir les conseils directs d’un expert pour vous améliorer ! C’est d’ailleurs ce qu’offre Jacques Côté au Club Le Montmorency. À travers cinq cours, vous pourrez tout savoir pour améliorer vos mouvements, choisir le bon fer au bon moment et faire les coups les plus précis.
Bonne saison de golf !
a u cours des dernières années, la ven T e de vélos élec T riques a connu une ascension fulguran T e. Mais pour plusieurs cyclisTes encore, les inconvénien T s liés au poids e T à la ManiaBiliTé de ceux-ci, en plus de leur apparence singulière, surpassen T les avan T ages. h eureuse M en T , le Marché évolue. des vélos disTincTifs e T innovan T s fon T leur appari T ion e T , ce qui ajou T e à leur aTT rai T , ils son T fa B riqués par une en T reprise quéBécoise. reTenez ce noM : spherik.
VÉLO URBAIN
AVEC ASSISTANCE ÉLECTRIQUE
Tout nouveau, le modèle SEC 3000 se distingue de la concurrence par la puissance de son moteur au pédalier et par l’autonomie prodigieuse de sa batterie (jusqu’à 125 km). Le vélo parfait pour vous déplacer partout en ville, et ce, en tout confort grâce à sa position relevée.
Vous êtes à la recherche d’un vélo électrique puissant et fiable, mais qui vous laisse la sensation de rouler sur un vélo traditionnel ? Le modèle E-SMT, comme tous les autres produits de cette nouvelle gamme innovante fabriquée par Spherik en collaboration avec Maxon pour la motorisation, possède non seulement un poids plume, mais aussi un look sportif des plus attrayants. Autrement dit : tous les avantages des modèles électrique et traditionnel réunis en un seul et même vélo. Présenté au salon Eurobike en Allemagne ce mois-ci, ce chefd’œuvre sur deux roues sera offert dès le printemps 2024. Il ne vous reste qu’à passer votre commande auprès de Spherik !
À VOUS, LES MONTAGNES !
Enfin, pour ceux et celles qui pratiquent le cross-country et recherchent la performance, le nouveau modèle SMCL vous permettra d’effectuer des descentes en toute légèreté et agilité sur des terrains très techniques. Avec sa géométrie pensée pour la position du cycliste, il respecte en tout point les nouvelles normes du downcountry. Sachez toutefois que ce modèle a aussi été conçu pour le simple plaisir de pratiquer le vélo de montagne.
Une gamme de vélos électriques super légers
avec l’avèneMenT de la vanlife, les road trips onT le ven T en poupe ! e xplorer une des T inaT ion en auToTour perMeT sans aucun douTe de découvrir de superBes endroiTs à son propre ryThMe eT d’accéder à des lieux difficile M en T accessi B les au T re M en T . Prestige vous inviTe en road Trip, à la renconTre de la naTion arc-en-ciel, céléBranT TouTes les culTures, africaines coMMe MigranTes. parTez à la découverTe de panoraMas surprenanTs eT explorez les Big Five d’afrique du sud.
Un troupeau d’éléphants du parc national d’Addo.
L’Afrique du Sud représente, dans les faits, l’une des rares destinations africaines, incluant la Namibie, où il est possible et sécuritaire de choisir l’autotour pour visiter certaines régions, idéalement à deux. Bien que la conduite se fasse à gauche, les conditions de route sont bonnes et la signalisation est même meilleure qu’au Québec. Un certain encadrement de la part d’une agence de voyages est tout de même recommandé, et rien ne vous empêche d’utiliser les services de guides locaux pour visiter une ville, découvrir un site en particulier, ou encore marcher sur des sentiers de randonnée. Certains guides accepteront même de monter dans la voiture que vous conduirez.
Au départ de la ville du Cap, faites l’expérience de conduire par vous-même sur la Route des jardins jusqu’à la ville de Port Élisabeth. Profitez-en d’abord pour passer quelques jours dans la mythique ville du Cap et ses alentours. Baladez-vous dans le quartier haut en couleur de BoKaap et le long du waterfront en soirée. Atteignez le sommet de la Montagne de la Table grâce à un téléphérique rotatif. Une fois en haut, vous serez récompensés par des vues panoramiques époustouflantes sur la ville. La réserve naturelle du Cap de Bonne Espérance rassemble plus de 30 espèces florales menacées ainsi que des animaux tels que des babouins, des gnous, des zèbres, des autruches et une belle variété d'oiseaux, sans oublier les fameux manchots du Cap sur la magnifique plage de Boulders. Pour les fervents d’histoire, l’île de Robben est un incontournable. C’est à cet endroit que Nelson Mandela a été emprisonné durant 18 ans.
Prenez ensuite la route vers Hermanus pour une rencontre avec les grands requins blancs, puis vers Oudtshoorn, ville où on élève des autruches. À Cango, vous pourrez visiter des grottes, et à Knysna, naviguer en bateau au milieu de la réserve naturelle de Featherbed, un lieu unique pour en apprendre davantage sur l’une des communautés (bidonville) les plus sécuritaires et durables du pays. Sur cette route, vous pourrez aussi vivre un premier safari animalier au sein du parc national d’Addo, où pas moins de 400 éléphants vivent paisiblement. Il est possible de conduire vous-même, mais on recommande néanmoins de participer à un safari guidé en jeep, ou encore à un safari à dos de cheval au coucher du soleil. Pour sortir des sentiers battus, allez marcher ou pagayer à la péninsule de Robberg ou à Tsitsikamma, endroit où les formations rocheuses volent la vedette.
en bordure de l’océan, sur la Route des Jardins.
Pour les œnophiles amateurs, il existe la Route des vins . Nous vous conseillons de loger au moins une nuit dans les alentours de Stellenboch et Franschhoek. Vous pouvez aussi opter pour un tour guidé d’une journée, au départ du Cap, qui vous permettra de vivre plusieurs dégustations de grands crus.
De Port Élisabeth, prenez ensuite un vol vers Johannesburg afin de poursuivre votre road trip vers Hazyview où vous attend le canyon Blyde. Pour les amateurs de randonnée pédestre, il s’agit d’un endroit coup de cœur en Afrique du Sud. Et pour les amateurs d’histoire et de culture, les cités de Pretoria, Johannesburg/Soweto ainsi que l’État du Swaziland vous attendent. Mais il est peu recommandé de conduire dans ces endroits, et il demeure important d’y être accompagné d’un guide.
Vignoble et architecture européenne à Franschhoek, sur la Route des vins
Un périple en Afrique du Sud serait incomplet sans y expérimenter l’observation de la faune. Bien que le parc national de Kruger soit le plus connu, nous vous encourageons à vivre une expérience différente au sein de réserves privées telles que Karongwe, Kampala, Sabi Sand ou encore la réserve d'Hluhluwe-Umfolozi. Vous vous sentirez privilégiés de vous y retrouver presque seuls. Il est à noter que la conduite est interdite dans ces réserves. Profitez plutôt des services d’un guide-chauffeur, souvent offerts à l’endroit où vous logerez.
i l y a, de par le Monde, de noMB reuses villes aux rues escarpées. pensons à san francisco, à i s T an B ul, au quar T ier du Mon TM ar T re à paris. c ela ajou T e à leurs char M es e T leur piTToresque. il en esT Bien sûr ainsi de noTre vieux-quéBec avec son cap, ses escarpeMenTs, ses escaliers eT sa célèBre côTe de la MonTagne.
Dans les années 1950 et 1960, le restaurant Le Vendôme y eut bonne réputation avec sa carte parisienne.
Monter la côte de la Montagne ! Par tous les temps et pour quiconque, cela a toujours représenté un défi. Et notre fondateur Samuel de Champlain aurait été bien mal vu de trop s’en plaindre. C’est lui qui avait convaincu son patron Pierre Dugua de Mons et son roi Henri IV que le site de Québec était idéal pour y faire un établissement permanent. On pourrait y arrêter les ennemis, car le fleuve s’y rétrécissait et on ferait du haut cap une forteresse imprenable.
À l’été de 1608, Champlain fit ainsi construire son habitation à l’ombre du rassurant cap (sur le site de l’actuelle église Notre-Dame-des-Victoires). C’est neuf ans plus tard, en 1617, que Champlain installa la famille de Louis Hébert et de Marie Rollet sur les hauteurs du cap (où se retrouve aujourd’hui le Séminaire). On utilisa une échancrure dans la falaise pour y tracer un sentier abrupt, que l’on ne pouvait grimper qu’à pied. Les trois enfants de la famille, Anne, Guillemette et Guillaume, devaient bien se demander où cela les mènerait là-haut.
Quelques années plus tard, à compter de 1624, Champlain fit enfin ériger son fort Saint-Louis, surplombant le cap et dominant le fleuve (sur le site d’une partie de notre terrasse Dufferin et du monument Champlain). Il fallait bien y monter des matériaux. Et cela à force de bras d’hommes, car il n’y avait pas encore de chevaux à Québec.
Source : numerique.banq.qc.ca
Champlain fit donc retravailler le sentier de 1617. Il en fit fermer la partie inférieure, trop pentue, pour faire une nouvelle section longeant le bas de la falaise. Cela explique pourquoi, vis-à-vis l’escalier Casse-Cou, le tracé de la côte de la Montagne prend la forme d’un coude. Dans ses écrits, Champlain se justifiait ainsi : « L’incommodité que l’on recevait à monter la montagne pour aller au fort Saint-Louis me fit entreprendre d’y faire faire un petit chemin pour y monter avec facilité ». Il est intéressant de noter qu’aux yeux de Champlain la falaise est « une montagne » Rien n’est donc étonnant au fait qu’on en viendra à parler de « la côte de la Montagne »
Au cours de l’été de 1635, Champlain monta pour une dernière fois sa côte de la Montagne. Paralysé, il fut incapable de quitter son château Saint-Louis l’automne venu, et mourut le jour de Noël.
Au printemps suivant, son successeur, le sieur de Montmagny, montait à son tour la côte de la Montagne lorsqu’on lui fit observer qu’il longeait ainsi le cimetière où étaient enterrés les pionniers de Québec.
On raconte que le nouveau gouverneur s’agenouilla alors dans la côte afin de prier. Encore aujourd’hui, en 2023, une grande croix brune nous indique l’endroit de ce cimetière (cela est du côté droit lorsque l’on monte la côte, au pied des remparts du parc Montmorency).
De vieilles gravures nous montrent qu’il y avait jadis des maisons accrochées aux ponts de Paris comme au Ponte Vecchio de Florence. C’est à cela que nous font penser les maisons qui s’accrochent à notre côte de la Montagne. C’est au temps du gouverneur Frontenac, à compter des années 1670, qu’apparurent ces premières maisons.
Les bombardements britanniques du terrible été de 1759 ne laissèrent des maisons de la côte de la Montagne que des décombres. Les maisons furent par la suite reconstruites pour y loger diverses boutiques.
Au milieu du XIXe siècle, la côte était une artère commerciale huppée avec ses établissements d’horlogerie, d’orfèvrerie, de gravure, d’édition. C’est là que le quotidien Le Soleil fut fondé en 1896. Plusieurs députés pensionnaient à l’hôtel Mountain Hill House.
Au XXe siècle, ce fut au tour de boutiques de souvenirs d’attirer l’attention des passants quelque peu essoufflés. Dans les années 1950 et 1960, le restaurant Le Vendôme y eut bonne réputation avec sa carte parisienne. Et un peu plus haut dans la côte, les encadreurs Zannetin y tinrent la première grande galerie d’art en ville. On nous a raconté que parfois, sur le seuil de la porte de la boutique, la vieille madame Zannetin apercevant le fleuve en contrebas, songeait à sa lointaine Italie natale. Puis, elle rentrait dans sa boutique. Elle avait fait de la côte de la Montagne sa nouvelle patrie. Comme tant d’autres avant elle.
l e 25 M ai dernier, à l a s cène l e B ourgneuf, c’é Tai T le reTour de la soirée-Bénéfice au profiT de la fondaTion le p eT iT Blanchon après T rois ans de pause forcée. à ce TT e occasion, sep T courageuses personnali T és de q ué B ec son T M on T ées sur scène afin d’in T erpré T er une chanson en sou T ien à la cause des enfan T s les plus vulnéraBles de noTre sociéTé, vicTiMes d’aBus, de négligence eT d’aBandon. couronnée de succès, la soirée a perMis d’aMasser 62 000 $ grâce à la générosiTé des donaTeurs, des parTenaires eT du présenTaTeur de la soirée, desjardins caisse des rivières de quéBec.
Fidèles à la tradition, les courageux candidats sont montés sur scène pour interpréter une chanson de leur choix, accompagnés de musiciens live. De simple karaoké en 2012, la soirée s’est transformée en véritable expérience de scène au fil des années, au grand bonheur des spectateurs.
La mascotte de la Fondation Le Petit Blanchon; Sabrina Ferland, coorganisatrice de la soirée et coach musicale, présidente de Bellita; Jonatan Julien, ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale; Nathalie Bertrand, directrice développement de marché, Desjardins Caisse Des Rivières de Québec, partenaire présentateur de la soirée; Claire Pimparé, porte-parole de la Fondation; Marie-Josée Turcotte, coorganisatrice de la soirée, rédactrice en chef du magazine Prestige; Guy Boutin, président-fondateur de la Fondation et président de Trimco Gestion et Courtage immobilier; Maryse Fabien, candidate et productrice de l'émission GoPhoenix - Pour la santé durable en entreprise; Éric Girard, gagnant de l’édition 2023, responsable de l’approvisionnement chez Opera MD; Mario Martel, gagnant du duel 2023, chef et vice-président opérations et développement chez Groupe Roy; Dany Provost, candidat et directeur planification financière et optimisation fiscale chez SFL Gestion de patrimoine; Jacynthe Lemay, candidate et directrice générale chez EM médecine esthétique; et Carl Ouellet, duelliste et président de l'Association québécoise du personnel de direction des écoles.
Grande Gagnante de Canada’s Got Talent 2022, Jeanick Fournier a non seulement accepté de jouer le rôle de juge en compagnie de Joanne Boivin (Rythme 102,9) et Julie Couture (TVA Nouvelles), mais elle a aussi offert une performance spéciale à la fin de la soirée.
LE VAINQUEUR DE LA COMPÉTITION PRINCIPALE
Le vote du public a permis de couronner Éric Girard, responsable de l’approvisionnement chez Opera MD, qui a interprété la chanson Planchers fragiles
Le ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, Jonatan Julien , a créé la surprise en choisissant d’interpréter la chanson Copilote de Fouki et Jay Scott, accompagné des Petits Chanteurs de Charlesbourg.
Un vibrant hommage a été rendu à Claire Pimparé. La célèbre Passe-Carreau en a profité pour annoncer sa retraite en tant que porteparole, après plus de 10 années de dévouement envers la cause des enfants.
(avec Sabrina Ferland, absente sur la photo) et membres du conseil d’administration de la Fondation Le Petit Blanchon.
Attendu avec impatience à chaque édition, le duel oppose deux gagnants d’éditions précédentes. Grâce à son interprétation de Si Dieu existe, Mario Martel, chef et vice-président opérations et développement chez Groupe Roy, l’a emporté… avec 51 % des votes contre Carl Ouellet, président de l'Association québécoise du personnel de direction des écoles.
POUR LA FONDATION LE PETIT BLANCHON
La soirée du 25 mai a aussi été l’occasion pour le présidentfondateur de la Fondation Le Petit Blanchon, Guy Boutin, d’annoncer un nouveau projet en collaboration avec le Centre de pédiatrie sociale de Québec. Après la Maison Le Petit Blanchon, qui accueille des enfants polytraumatisés âgés entre 3 et 8 ans, et Le Phare du Blanchon – Un lieu pour apprendre, une maison située en milieu rural qui s’adresse aux jeunes de 8 à 13 ans, un nouveau bâtiment verra le jour dans quelques années afin d’offrir un espace de vie pour les familles et les enfants en situation de vulnérabilité. « Ce centre permettra notamment de dépister et de prévenir les stress toxiques qui empêchent le sain développement des enfants, et de favoriser l’accès à des services de proximité », explique celui qui est promoteur immobilier.
Partenaire dans ce projet, le Centre de pédiatrie sociale de Québec souhaite que tous les enfants aient accès à des services de santé mentale par l’entremise d’une diversité de thérapies : zoothérapie, art-thérapie, musicothérapie, thérapie par la nature et l’aventure, etc. « Le but visé est de développer une bonne gestion des émotions et de saines habitudes de vie chez ces enfants qui sont encore trop nombreux à vivre des situations critiques, admet Jean-Christophe Nicolas, directeur général du Centre de pédiatrie sociale de Québec. C’est pourquoi ce service s’appellera Corps, Cœur et Esprit. »
Avec l’appui de la communauté, ce projet majeur verra le jour d’ici deux ans. Il ne reste qu’un détail à finaliser : trouver un terrain à Québec pour y bâtir ce nouveau centre qui coûtera environ 2,5 millions de dollars. Mais il n’y a pas de prix pour améliorer la vie d’enfants qui connaissent un départ difficile, n’est-ce pas ?
Pour en savoir davantage sur la Fondation Le Petit Blanchon ou pour faire un don : fondationlepetitblanchon.com
Présentée par Desjardins Caisse de Québec, la 3e édition de l’Encan d’Art Virtuel de La Dauphine s’est tenue du 5 au 21 mai derniers. À cette occasion, plus de 100 œuvres réalisées par une soixantaine d’artistes connus et émergents ont été offertes aux enchères. Grâce à la générosité des partenaires, donateurs, artistes peintres et participants, la Fondation Maison Dauphine est parvenue à amasser la somme de 22 500 $ au bénéfice des jeunes en difficulté ou en situation d’itinérance qui fréquentent La Dauphine.
« Ma région, mes écoles, nos Fillactive » : tel est le nom de la première campagne de financement de l’organisme Fillactive, qui vise à renverser la tendance de l’inactivité physique chez les adolescentes. Lancée en mai dans l’ensemble du Québec, la campagne se poursuivra jusqu’au 30 juin prochain. Pour propager la bonne nouvelle, une vingtaine de leaders d’affaires se sont mobilisés, dont cinq femmes de Québec : Julie Bédard (Synergie Immobilière), Mélanie Leduc (Deloitte), Nathalie Dionne (TELUS), Cécile Dufour (Viva Médico-Esthétique) et Mélissa Gilbert (Beneva). Près de 116 000 $ ont été amassés jusqu’à maintenant, l’objectif étant de 275 000 $. Les fonds serviront à maintenir et à développer le programme Fillactive dans les écoles secondaires du Québec.
Pour participer à la campagne : fillactive.ca/campagne
C’est devant une assistance record de plus de 340 personnes, dont plusieurs dignitaires, que la Fondation Sourdine a tenu sa 23e soirée Les Saveurs du Théâtre le 10 mai dernier. Présenté par Québecor, en partenariat avec Lobe et Volvo de Québec, et sous la présidence d’honneur de M. Nicolas Audet-Renoux, vice-président régional chez RBC Banque Royale, cet événement unique, qui a eu lieu au Théâtre Capitole, complice de la soirée, a permis d’amasser la rondelette somme nette de plus de 150 000 $ au profit de l’École oraliste de Québec pour enfants malentendants ou sourds.
Audet-Renoux, président d’honneur, RBC
Martin Cousineau, président, Fondation
Lobe (partenaire majeur); Sandra Ferguson, Fondation Sourdine; Isabelle Savage, École oraliste de Québec pour enfants malentendants ou sourds; Rachel Léonard, Volvo de Québec (partenaire majeur); et Sébastien Ménard, Le Journal de Québec, Québecor (partenaire présentateur).
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